#Floride. Au moins 3 morts et 9 blessés dans une fusillade à Fort Lauderdale-Hollywood International Airport.
0006 -/-ACTUALITÉS Du Vendredi 06 Janvier 2017
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الجمعة 08 ربيع الثاني 1438 ه
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Vendredi 06 Janvier 2017
Alger: Deux des agresseurs de ressortissants chinois à Bab Ezzouar, arrêtés
Alger en 2016: réception prochaine de 30 projets routiers
Émeutes sur fond de contestation : La violence comme dernier «recours»
Édito : Anonymat et viralité : éléments des crises à venir
L’appel anonyme
Islamisme politique : Les alliances peinent à convaincre
Tewfik Hamel. Analyste et chercheur en histoire militaire et études de défense : La décennie noire pèse toujours sur la crédibilité des islamistes
Les desseins inavoués
Constantine : Une banque de données pour le phénomène des glissements de terrain
Recensement des terres agricoles non exploitées
Football/Transfert : Feghouli en route vers l'AS Rome
Riyad Mahrez : Le roi de l’Afrique
Match amical : Leekens en quête de son onze-type
Kadir opte pour Alcorcon
Décathlon : Ashton Eaton tire sa révérence
Andre Ward songe sérieusement à la retraite
Réduction de la production de l’Opep : Les pays exemptés source d’inquiétude
Marché pétrolier : Le brent au plus haut depuis 18 mois
Loi de finances 2017 : La DGI rassure
Le respect des quotas sur la balance : L’accord de l’Opep à l’épreuve du terrain
Carburants et produits pétroliers : La consommation reste stable
Augmentation généralisée des prix : L’année de l’adaptation à la crise
Bertrand Badie Professeur à Sciences Po Paris : Daech est un symptôme beaucoup plus qu’une cause
Turquie : Poursuite de la traque de l’auteur de l’attentat d’Istanbul
Brèves :
Interférence de Moscou : Trump désavoue les services américains de renseignement
Manifestations nocturnes et actes de vandalisme à Kasserine : Les autorités accusent les contrebandiers
Violations de la trêve en Syrie : Ankara appelle Téhéran à faire pression sur Damas
Nikon Film Festival : 5 bonnes raisons pour voter Je suis condition humaine
Festivals : Une année marquée par une réorganisation et des restrictions budgétaires
Festival du théâtre arabe : Le Prix de la meilleure représentation est fixé à 25 000 dollars
Rencontre littéraire avec Yasmina Khadra à Oran : «Les Algériens et les Maghrébins capables de réfléchir le monde»
Sila 2016 : Il déplore cette mise à l’écart qui lui a été signifiée l’été dernier
Institut français : Appel à projets culturels, artistiques, universitaires et scientifiques
Alger en 2016: réception prochaine de 30 projets routiers
le 06.01.17 | 12h46
2016 aura été pour la wilaya d'Alger l'année d'un chantier ouvert pour la réalisation de routes à double voie, d'échangeurs et d'extensions d'axes routiers pour une meilleure fluidité du trafic routier au niveau de la Capitale, et ce dans le cadre du Plan stratégique (2012-2035).
Dans cette optique, plus de 226 opérations d'aménagement routier (270 km) ont été réalisées cette année dans la wilaya d'Alger, outre 30 projets de dédoublement et 7 échangeurs. Le programme du réseau routier de la Capitale porte sur le développement et l'entretien des infrastructures et la réalisation de nouveau projets pour renforcer les capacités, a indiqué à l'APS le Directeur des travaux publics de la wilaya d'Alger, Abderrahmane Rahmani, ajoutant que la plupart de ces projets, dont le taux d'avancement dépasse les 60%, seront réceptionnés d'ici fin 2017.
Une enveloppe de 500 millions de dinars a été débloquée pour la rénovation des glissières de sécurité et leur remplacement par des glissières en béton. En 2016, la wilaya d'Alger a réceptionné deux trémies reliant le quartier de Djenane Sfari (Birkhadem) à celui de Ain Melha (Gué de Constantine) et un pont à Réghaia outre une élargissement de 3m de la rocade Zeralda-Boudouaou-Boumerdes et une autre extension de la route nationale (RN) N°1. Le même responsable a imputé les lenteurs enregistrées dans la finalisation de certains projets au problème d'indemnisation des propriétaires du foncier concerné par ces projets.
80 milliards DA pour des travaux de rénovation
La wilaya d'Alger réceptionnera en 2017 pas moins de 30 projets de dédoublement de routes et 07 échangeurs dont la réalisation a nécessité un montant global de 80 milliards de dinars, outre des ports et d'autres infrastructures, a indiqué M. Rahmani. Pour assurer la fluidité du trafic routier à travers les différentes communes, la wilaya d'Alger a dégagé une enveloppe financière de 2 milliards de dinars pour la réfection et l'entretien des routes.
Les travaux portent actuellement sur deux principaux axes en l'occurrence la rocade sud reliant Zeralda Ouest à Reghaia Est et l'autoroute Est reliant Alger centre à l'aéroport international Houari Boumediene. Parmi ces projets, le Directeur des travaux publics a cité sept (7) grands axes notamment le dédoublement du chemin de wilaya 122 reliant Ain Taya-Réghaia-Ouled Moussa (Boumerdes) et du chemin de wilaya 121 reliant Ain Taya-Rouiba.
Par ailleurs, les travaux de dédoublement du chemin de wilaya 149 reliant Bordj El Bahri et Café Chergui vers la deuxième rocade reliant l'aéroport à Zeralda et Réghaia et de la radiale reliant le tunnel de Oued Ouchayah à Bachdjerrah vers Baraki et Baba Ali en direction de la route nationale (RN) N°1, se poursuivent.
La réception de ce tronçon permettra un accès facile à l'aéroport en permettant aux usagers de la route du centre ville de sortir, en un quart d'heure, vers Birtouta, la RN n°1 et la rocade deux. Outre ces projets, une autoroute est en cours de réalisation à l'extrême ouest d'Alger reliant Tessala El Mardja-Douaouda Marine-Zéralda transitant par Oued Mazafran, ce qui permettra une fluidité du trafic routier en provenance du Sud d'Alger via la RN n°1.
Une assiette de 4.5 hectares a été récupérée, suite au relogement des habitants de l'ancien bidonville El Remli, et a été consacrée à la réalisation d'un viaduc s'étendant sur une distance de 1100 mètres "actuellement en cours de réalisation", selon le directeur des travaux publics de la wilaya d'Alger.
Le projet transitant par Oued El Harrach et la voie ferrée de Gué de Constantine, permet de désengorger le trafic routier au niveau de la banlieue est d'Alger, Selon le même responsable.
APS
Émeutes sur fond de contestation
La violence comme dernier «recours»
le 06.01.17 | 10h00
Qu’elle ait été motivée par les mesures de la loi de finances 2017 ou fruit de manipulations aux relents affairistes, la violence s’est érigée en mode d’expression à part entière. Produit d’un mal-être social chronique ou seul recours d’une jeunesse désemparée contre un sentiment d’injustice grandissant, El Watan week end a tenté de comprendre.
«20 milliards de centimes nets ! C’est ce qu’a réalisé un commerçant depuis le lancement de la rumeur de la grève, soit depuis 15 jours», affirme El Hadj Tahar Boulenouar, président de l’Association des commerçants et artisans (ANCA).
Suite à cette rumeur lancée via les réseaux sociaux principalement, les citoyens, pris de panique, ont voulu faire le plein de réserves pour ne pas être à court de produits si grève il y avait. «Je suis en train de faire mes courses. J’ai fait le plein pour au moins un mois. Je ne sais pas ce qui va se passer dans les prochains jours. On parle d’une grève générale.
Je préfère anticiper». Farida n’est pas la seule à faire des réserves dans cette supérette à Béjaïa. Dans ce magasin, les achats ne sont pas pour l’immédiat, mais un ravitaillement de plusieurs semaines. Ils croyaient sérieusement à l’appel à la grève. Les étagères sont presque vides. L’inquiétude règne. Lundi dernier, répondant à cet appel anonyme, de nombreux commerçants ont fermé boutique à Béjaïa, Bouira ou encore Boumerdès. Suite à cela, des mouvements de protestation et des actes de violence ont été constatés. Si certains ont pointé du doigt les commerçants, de nombreux experts ont appelé à la vigilance et à faire attention à la manipulation.
Tromperie
Mais finalement, a qui profite cette grève ? «Tous les éléments démontrent que ce ne sont pas les commerçants qui sont derrière cette grève», affirme Elhadjtahar Boulenouar. De son côté, Ferhat Ait Ali affirme: «Ce qui s’est passé à Bejaia en grande partie et dans d’autres zones de manière moins marquée, peut faire l’objet de plusieurs lectures toutes négatives. La première concerne les Objectifs réels et les parties impliquées dans et essais grandeur nature de mobilisation ultérieure des populations juvéniles pour des objectifs aux antipodes avec ceux déclarés au départ.
Ainsi prétendre que la loi de Finances 2017, est le point de contestation principal de cette action, qui a mobilisé dans une seule wilaya le gros des commerçants et des émeutiers, est une tromperie sans nom». Ainsi, selon le spécialiste, «les jeunes émeutiers, n’ont pratiquement jamais lu une loi de finances et encore moins celle de 2017, et ne savent même pas de quoi il en retourne en matière fiscale et de pouvoir d’achat, eux qui vivent quotidiennement l’irrationalité économique érigée en règle dans notre pays, au point de contester une augmentation obligée, sur un produit utile et de veiller la nuit à côté d’une crêperie ou ils laissent l’équivalent d’une quinzaine de jours de consommation de ce produit en crêpes et autres gaufres, pour les moins nantis. On peut donc être sur que cette histoire de Loi de Finances n’a rien à voir avec les motivations des uns et des autres».
Réseaux sociaux
Il explique : «Premièrement, quelque soit les augmentations établies, le commerçant garde toujours sa marge bénéficiaire. Donc, il ne peut pas faire se révolter alors qu’il n’est pas pénalisé. Ensuite, comment peut-on accuser les commerçants alors qu’aucun représentant officiel de ces derniers (UGCA ou ANCA) n’a appelé à la grève. Il s’agit d’un appel anonyme». D’ailleurs, le spécialiste raconte : «L’appel a la grève qui a circulé sur les réseaux sociaux ne contient ni signature ni cachet.
On ne savait pas qui été l’organisateur de celle ci». Ainsi, si quelques commerçant ont reçu la visite d’un groupe de jeunes qui leur ont distribué des flyers les prévenant de la tenue d’une grève générale de 5 jours à partir du 2 janvier, d’autre ont carrément été menacé. «Si tu ouvres, on casse ta vitrine !» ont-ils prévenu.
A cet effet, l’expert financier Ferhat Ait Ali soutient : «Les commerçants n’ont strictement aucune raison de contester cette loi de Finances, qui ne les pénalise pas du tout, et leur permet même d’engranger des marges conséquentes au nom d’un augmentation de taxes sur les consommateurs, même pas entrées en vigueurs sur les anciens stocks.
Il se trouve que le gros de ces détaillants sont taxés selon le régime de l’IFU, qui les dispense même de tenir une comptabilité sérieuse, leur permettant ainsi de doubler leurs marges avec la même fiscalité et d’en faire assumer la charge à un état aussi défaillant dans la prévision des effets de ses actions, que dans leur prise en charge une fois évidents sur le terrain». Selon l’expert financier, pour le volet préparation et mise en pratique de cette action, il y a un gigantesque écran de fumée qui la discrédite dès le départ, et la rend pour le moins suspecte dans tous ses aspects.
Barons de la spéculation
Ainsi, cette action, n’a ni promoteurs identifiés et encadrant son déroulement, ni revendications précises, ni alternative à ce qui est contesté en apparence, et tout le monde sait qu’une loi de finances n’est pas récusable après sa signature, à moins de récuser et le gouvernement et le parlement qui l’ont laissée passer, et le président avec.
Finalement, selon Elhadjtahar Boulenouar, ce sont les barons de la spéculation qui sont derrière cet appel à la grève car il faut savoir que les augmentations dues à la spéculation et le monopole sont plus graves que celles de la loi de finances. Selon lui, il y a des gens qui cherchent à exploiter cette grève.
Panique
D’ailleurs, nombreux sont ceux qui veulent profiter de cette dernière pour faire annuler les licences d’importations par exemple. Mais comment cela serait possible ? Elhadjtahar Boulenouar explique : «Ces gens la pensent que si grève il y a, l’Etat se retrouverait dos au mur. Il ferait alors appel à ceux qui monopolisent les marchés qui négocierait pour l’annulation des licences d’importations».
Mais pourquoi sommes-nous arrivé la ? Il y a deux ans, soit en 2014, lorsqu’a commencé la période d’austérité, le politologue Mourad Goumiri avait affirmé à El Watan que si le pouvoir est pris de panique, c’est tout simplement car il a toujours appris à gérer l’abondance mais jamais la pénurie. En effet, comptant principalement sur la rente pétrolière, il semblerait que la chute du prix du baril a complètement chamboulé la donne.
Ainsi, selon le spécialiste, il a été facile pour ce pouvoir de distribuer la rente lorsque celle-ci nous tombait du ciel. «Souvenons-nous des tournées présidentielles, à l’intérieur du pays (lorsqu›il était valide) et des milliards de DA, pompés dans le Fonds de péréquation, qu›il a distribué, sans aucun contrôle et hors du pouvoir législatif qui, conformément à la constitution, est le seul habilité à affecter les ressources budgétaires, à travers la loi des finances. En matière de budget de fonctionnement (essentiellement les salaires des fonctionnaires) la ripaille c’est faite de deux côtés: Augmentation des effectifs et des salaires, sans contreparties réelles ni de la productivité ni des rendements. Cette débauche budgétaire n’avait ému personne à cette époque, puisque la ressource semblait intarissable.
Ce qui devait arriver arriva, une fois la confirmation de la baisse substantielle des prix du pétrole! Pour ne pas toucher aux acquis on va hypothéquer l’avenir», avait alors expliqué Mourad Goumiri.
Violence
2 ans plus tard, il semblerait que ces explications soient toujours d’actualité. Mais vu les actes de violences perpétrés, une question reste sans réponse : Pourquoi on n’arrive pas a mener une action sans violence ? En janvier 2011, une montée de violence avait frappée la capitale. A ce moment, certains politiques, le ministre de l’intérieur Daho Ould Kablia en tête, ont accusé les «lobbies» industriels mécontentés par la Loi de finance complémentaire de 2009.
D’autres sources politiques et syndicales nous ont aussi parlé de probables règlements de comptes entre les clans militaires composés de pro et d’anti-Bouteflika. Pour, le sociologue Mohamed Kouidri affirme : «Dans toutes les sociétés, notamment celles qui ont une plus ou moins longue histoire de violence, ou qui sont dans un contexte historique de violence, et particulièrement les pays comme le nôtre (principalement en Afrique, Asie et Amérique du sud mais pas uniquement), il s’est développé une certaine culture de la revendication par la violence.
Dans toutes ces sociétés, il y a une frange de violents opportunistes qui saisi n’importe quelle occasion pour s’adonner à leur forme d’expression préférée; la violence, même s’ils n’ont rien compris des motifs de la manifestation. Concernant la manipulation qui pourrait être dernière les actes de violences de ces derniers jours, le doute revient toujours lorsqu’il y a des manifestations qui dérapent, et à chaque fois, les échanges d’accusation engagent les deux protagonistes, les organisateurs des manifestations et les autorités responsables du maintien de l’ordre».
«Beylik»
De son côté, le sociologue Zoubir Arrous, «Nous sommes un peuple qui glorifie la violence. Le citoyen a recours à la violence car il n’a plus confiance dans la capacité des institutions de l’Etat à faire valoir ses droits. La violence devient alors son seul recours. Il saccage alors les biens publics sous prétexte que cela appartient a l’Etat «Beylik», et qu’ils profitent a d’autres que lui or il ne fait que nuire a ses bien finalement. Il faut savoir que toute action sociale qui n’est ni encadrée et non organisée conduit à la violence.
Plus important encore, la violence n’est pas propre à une région spécifique comme on voudrait le faire croire, mais elle concerne l’ensemble du territoire». n
Sofia Ouahib et Ryma Maria Benyakoub
Loi de finances 2017 : La DGI rassure
le 04.01.17 | 10h00
La loi de finances 2017 prévoyant la hausse de plusieurs taxes, dont la TVA, afin de compenser la chute spectaculaire des revenus pétroliers n’affectera pas outre mesure ni le pouvoir d’achat des consommateurs ni l’activité économique du pays, a assuré hier à Alger un responsable à la Direction générale des impôts (DGI).
«Nous sommes en face d’une crise économique qui frappe le pays. Il est tout à fait normal que le pouvoir d’achat s’amenuise. Mais, ce n’est pas pour autant que la loi de finances sera déterminante sur la diminution du pouvoir d’achat. L’effet de cette loi sur les citoyens n’atteindrait pas dans la masse les 5%. Donc, le pouvoir d’achat ne sera pas concrètement affecté par cette loi de finances, mais il est affecté en général par la crise économique», a expliqué Mustapha Zikara, directeur de la législation à la DGI, lors d’une journée d’information sur l’impact de la loi de finances 2017 sur l’activité des entreprises, organisée à l’hôtel El Aurassi par la Chambre algérienne de commerce et d’industrie (CACI).
Se voulant rassurant, le même responsable a relevé que les pouvoirs publics n’ont pas ménagé leurs efforts pour consolider le pouvoir d’achat des citoyens à travers le maintien des transferts sociaux et des subventions pour certains secteurs d’activités (agriculture, pêche, etc ).
Signée le 28 décembre par le président Abdelaziz Bouteflika, deux mois après son vote à l’Assemblée, la loi de finances 2017 prévoit d’augmenter la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) de 2 points, elle atteindra 9% pour le taux réduit et 19% pour le taux normal.
Parallèlement, le gouvernement prévoit une hausse de 10% à 30% des taxes sur la consommation de tabac, les automobiles et autres alcools, bananes fraîches, abonnement à internet et carburants. Quid de l’incidence de la hausse de la TVA sur la croissance des entreprises ? «Les professionnels présents ici savent très bien que la TVA est neutre pour l’entreprise. Ils paient la TVA en amont et la déduisent. C’est au moment de la vente qu’il y a cette répercussion. En principe, il n’y a pas tellement de gêne pour l’entreprise.
De plus, des facilités sont accordées aux entreprises, notamment des avantages dans l’investissement. Dire que la loi de finances va freiner ou affecter l’activité économique, personnellement, je ne suis convaincu», a affirmé Mustapha Zikara. Pour sa part, Rachid Sai, directeur de l’animation et du développement de l’entreprise auprès de la CACI, a souligné que la loi de finances est «favorable» pour les entreprises.
«La loi de finances, adaptée dans un contexte transitoire, prévoit de nouvelles dispositions fiscales visant l’allégement des procédures fiscales en faveur de l’entreprise», a-t-il rappelé, notant que le texte va mettre en place un cadre incitatif, nécessaire à la relance des investissements.
Calculé sur la base d’un prix de 50 dollars le baril de pétrole, le budget de 2017 prévoit des recettes globales de 51 milliards de dollars et des dépenses de 63 milliards de dollars.
Hocine Lamriben
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Des tirs ont eu lieu dans l'aéroport de Fort Lauderdale, en Floride. La police fait état de plusieurs victimes. Selon les premières informations, il y aurait au moins neuf blessés. Le shérif a confirmé qu'il y a "plusieurs morts". Selon les sources, le chiffre varie de 3 à 5 personnes tuées. L'aéroport international d'Hollywood-Fort Lauderdale est situé immédiatement au nord de Miami, sur la côte atlantique de la Floride. Moments de panique dans l'aéroportLes témoins ont décrit des voyageurs fuyant en courant, d’autres étant regroupés sur le tarmac de l’aéroport, selon des images télévisées diffusées en direct. Les faits se sont déroulés dans la zone de récupération des bagages, a indiqué l’aéroport.
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