024-/-ACTUALITÉS Du Dimanche 24 Janvier 2016
*******
|
RÉVISION DE LA CONSTITUTION A l’issue du Conseil des ministres tenu lundi 11 janvier, Abdelaziz Bouteflika a saisi, le jour même, le Conseil constitutionnel au sujet du projet de révision constitutionnelle. L’institution que préside Mourad Medelci dispose, en vertu de la loi, d’un délai de 20 jours pour rendre public son avis. Et en l’espèce, le Conseil constitutionnel ne peut Suite... |
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Consulter toute l'édition d'aujourd'hui
|
|
Oued El ma sous le choc La commune de Oued El Ma (40 km au nord-ouest de la ville de Batna) n’oubliera pas de sitôt le cauchemar qu’elle a vécu mercredi... |
«La révision constitutionnelle consacre l'hégémonie du système politique en place»
Le président du parti Talaie El Houriat, Ali Benflis, a animé, hier à Blida, une rencontre régionale de son parti.
«La majorité ne doit pas se taire et mourir en silence»
La secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, continue d’alerter sur les conséquences de la loi de... *
Les manifestations contre la pauvreté et le chômage ont cédé la place, durant les dernières 48 heures, à des...
Marchés pétroliers : Des pronostics favorisant la hausse des prix
La tendance haussière des marchés pétroliers, enregistrée ces deux derniers jours, était quelque peu prévisible.
Actualité
Oued El ma sous le choc
La commune de Oued El Ma (40 km au nord-ouest de la ville de Batna) n’oubliera pas de sitôt le cauchemar qu’elle a vécu mercredi...
Marches et rassemblements au menu
L’Alliance nationale patriotique, regroupant des gardes communaux, des Patriotes et des éléments de groupes de légitime...
«La révision constitutionnelle consacre l'hégémonie du système politique en place»
Le président du parti Talaie El Houriat, Ali Benflis, a animé, hier à Blida, une rencontre régionale de son parti.
«La majorité ne doit pas se taire et mourir en silence»
La secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, continue d’alerter sur les conséquences de la loi de...
ESS 1- USMA 1 : L'Entente mal récompensée
Stade du 8 Mai 1945 (Sétif) Arbitres : Mial, Itchiali et Serah Buts : Chafai (24’) USMA - Aroussi...
USMH 2 - USMB 0 : Plié en première mi-temps
Stade du 1er Novembre à Mohammadia (Alger) Arbitres : Benouza, Ghoumari et Ayad Buts : Bouguèche (12’ sp), Meziane...
RCA 0 - CRB 0 : Equitable
Stade Smaïn Makhlouf (Arbaâ) Arbitres : Achouri, Tamen et Boulfelfel Averts : Mahsas, Ghiselain (RCA) - Aoudou (CRB)...
Marchés pétroliers : Des pronostics favorisant la hausse des prix
La tendance haussière des marchés pétroliers, enregistrée ces deux derniers jours, était quelque peu prévisible.
Chute des prix du brut : Crainte d'une crise financière internationale
La dégringolade des cours pétroliers mondiaux, qui ont perdu près de 75% de leur valeur depuis juin 2014, fait désormais...
Bâtiment : Le portugais Prebuild décroche deux contrats
Le groupe portugais Prebuild, spécialisé dans le bâtiment, a remporté deux contrats immobiliers en Algérie,...
La Tunisie sur une poudrière
Les manifestations contre la pauvreté et le chômage ont cédé la place, durant les dernières 48 heures, à des...
Le gouvernement tunisien appelle à la patience
Le chef du gouvernement tunisien, Habib Essid, a appelé hier à la «patience» après une semaine d’une...
«Aucun gouvernement n'a les moyens de faire face à la crise»
Propos recueillis par Ali Boukhlef
Les enfants d'abord
La pièce théâtrale Kariat El Aman (Le village de la quiétude) a drainé des ribambelles d’enfants...
Centre culturel algérien de Paris : Hommage à Ahmed Wahbi
|
Après la répression de mercredi dernier
Oued El ma sous le choc
le 24.01.16 | 10h00
La commune de Oued El Ma (40 km au nord-ouest de la ville de Batna) n’oubliera pas de sitôt le cauchemar qu’elle a vécu mercredi dernier.
D’aucuns parlent de la répression qui s’est abattue sur les villageois sortis cette semaine pour dénoncer énergiquement l’annulation d’un projet d’usine promis il y a cinq ans.
La population est depuis sous le choc, surtout à cause de la tournure qu’ont pris les événements. Des témoins évoquent la violence dont auraient fait usage les forces d’intervention de la Gendarmerie nationale.
La ville, qui garde les stigmates des affrontements, semble toujours sous le choc des dépassements des forces de sécurité.
Dans les ruelles de Oued El Ma, on nous interpelle pour nous montrer les dégâts.
Le chef du groupement de gendarmerie a affirmé que les forces de l’ordre sont intervenues dans le cadre de la loi et qu’elles avaient des mandats de perquisition dûment signés par le procureur de la République. Mais l’énigme est totale.
Slimani Khemissi, doctorant en droit constitutionnel, reste ferme : «Nous devons faire la différence entre perquisition et assaut. Les maisons qui ont fait l’objet de perquisition portent encore les stigmates d’une intervention musclée, telles les traces de rangers sur les meubles et les portes.»
Menzer Boudjemaâ, l’avocat qui s’est saisi du dossier des détenus, nous a confié qu’un mandat de perquisition obéit à des règles : «On ne défonce pas la porte de la maison d’un citoyen sans établir un PV !» Et d’ajouter : «Une fois à l’intérieur de la maison, les gendarmes n’ont à aucun moment demandé aux habitants de décliner leur identité, puisque le mandat de perquisition est nominatif.» Il déclare qu’il a même fait l’objet de menaces.
Deux autres personnes racontent qu’elles ont subi des exactions. La première, Hammou Messaâdia, 49 ans, handicapé moteur, sur une chaise roulante : «Les gendarmes ont enjambé le mur et ont fait irruption chez moi, cassant les vitres de la fenêtre de ma chambre.
Ma mère, âgée de 78 ans, les suppliait de craindre Dieu.» La deuxième, un berger, a été prise alors qu’elle revenait du pâturage et est toujours en garde à vue.
Approché par nos soins, le député FLN Nouas Aziz, qui se trouvait sur les lieux, a déclaré avec beaucoup d’hésitation que «cette intervention est entachée de dépassements».
Fayçal Azzouz, 34 ans, conducteur d’engin, est très en colère : «Ils ont cassé la porte, ont giflé ma femme, lui ont arraché la chaîne qu’elle portait au cou, lui ont pris ses bijoux et une somme d’argent que j’avais empruntée à mon employeur.» Et d’ajouter : «Ils ont aussi pris 40 cartouches du fusil à pompe que je possède de manière légale.»
Un PV dressé par un huissier de justice, dont nous détenons une copie, relate toutes ces déclarations. Il est important de noter que les portes ont été défoncées à coups de pied et de troncs d’arbre en guise de bélier. Les portes, parfois même des meubles, portent encore les traces de rangers.
Un autre avocat, Lamouri Ahmed, explose : «C’est une honte ! 30 fois une honte ! Ils ont fracassé la porte du hammam, défoncé une porte intérieure qui donne sur le kiosque tenu par mon neveu et ils ont tout pris.»
Les témoignages que nous avons recueillis ne sont pas exhaustifs, il en reste beaucoup d’autres sur lesquels nous reviendrons mardi, alors que cinq des détenus seront jugés au tribunal de Oued El Ma ; trois autres le seront au tribunal de Batna mercredi.
La ville a retrouvé son calme et les habitants ont renoué avec leurs habitudes. Les citoyens vaquent à leurs occupations et tous les commerces sont ouverts.
Les enfants surexcités par la présence de journalistes approchent de manière furtive pour satisfaire leur curiosité. Dire que mercredi passé, ils étaient tous armés de frondes et s’entraînaient au tir sur des cibles. Les citoyens ont pris les choses en main, ont retroussé les manches et ont tous participé au nettoyage.
Les engagements du wali
Cette opération a commencé dès que la délégation — composée d’une vingtaine de personnes parmi les notables, les universitaires, les représentants de la société civile et des élus locaux — dépêchée aux discussions avec le wali était de retour et a rendu compte de la réunion.
Le wali a pris acte des principales revendications des citoyens de Oued El Ma : maintenir le projet de station d’énergie solaire, ouvrir la route de Chlaâlaâ et libérer les détenus.
Rassurés par les réponses du premier responsable de la wilaya, les citoyens ont fait preuve de sagesse et ont repris leurs activités après que leur ville ait été paralysée par une grève générale durant 48 heures. Ils nourrissent tous l’espoir que Aziz, l’un des blessés, hospitalisé au CHU de Batna, s’en sorte bien ; il a, selon les témoignages de son frère, sept côtes fêlées et le poumon perforé.
A l’hôpital, il est sous surveillance de policiers et c’est grâce à l’intervention du responsable de la police que ses parents ont pu lui rendre visite.
La commune de Oued El Ma, qui a compté de nombreux martyrs lors de la lutte pour l’indépendance, a aussi le mérite d’avoir résisté aux hordes terroristes durant la décennie noire. Un souvenir qui fait dire à un notable de la ville : «Les terroristes, nous les avions empêchés de pénétrer dans nos maisons…»
Lounes Gribissa
|
Les soldes, une aubaine pour certains, de la méfiance pour d'autres
le 24.01.16 | 16h58
Moins de 10%, 20%, 30% ou encore moins de 50%, les soldes sont au rendez-vous à Alger et ailleurs. Des chaussures de marque cédées à 12600 da avant, sot vendues à 6500 da durant cette période des soldes, soit la moitié du prix.
Dans presque tous les magasins à Alger est accrochée une autorisation accordée par les autorités aux commerçants pour les soldes débutés pour la majorité vers le 12 janvier.
Un magasin de vêtements pour femmes dont les articles sont tous importés des Etats-Unis, l’heure n’est pas aux soldes. La gérante nous dira que « nous ne faisons que des arrangements, pas de soldes, surtout en ce moment, la valeur de l’Euro est très chère ».
Deux jeunes dames dans un tout autre magasin de chaussures d’Italie à Hassiba Ben Boulaïd concèdent que les prix demeurent chers malgré les soldes. En effet, une paire à 5600 da, est cédée à 4600 en période de soldes, soit une réduction de 1000 da.
Si certains magasins sont plutôt pris d’assaut en cette période de soldes, d’autres par contre sont beaucoup moins fréquentés. Cela est peut être du au fait que certains Algériens ne croient pas que se sont de vraies soldes. Sur les réseaux sociaux, notamment sur la page facebook de l’association pour la protection des consommateurs Algériens(APOCE), avec des photos à l’appui, des internautes dénoncent une arnaque. Des photos où on voit que les prix de certains produits soldés sont augmentées exprès pour afficher sur les étiquettes une réduction sur la base même de tel ou tel article dont le prix a été augmenté.
La photo suivante a été postée sur la page facebook d’APOCE avec le commentaire suivant : "Le même produit était proposé a 8500 dzd avant les soldes, maintenant que les soldes ils affichent un prix avant de 13500 dzd ( ce qui n'est pas vrai ) pour mettre une remise de 50 pour cent alors que la remise réelle est a peine de 1000 dzd 15 à 20 pour cent".
Un autre citoyen lui répond et explique à sa manière la situation en disant : "parce que il n'y a pas de contrôle de la part du ministère de commerce, c'est la loi de la jungle qui gère dans le marché algérien. J'ai entendu quelqu'un de ma famille dire qu' un ami à lui commerçant lui a confié qui'il gagne parfois 10 fois la somme normale durant le solde, en faisant seulement mettre devant le magasin des annonces qu'on fait des soldes à x %, sans avoir changé les prix".
Mis à part cette question d'arnaque qui reste à prouver, il est sur qu'au vu du pouvoir d'achat de l'Algérien lambda, les prix des articles de marque ne sont pas du tout accessibles en temps normal. 12 000 da pour une paire de chaussure, c'est meme beaucoup pour un Algérien qui perçoit un salaire de 50 000 le mois par exemple et en période de soldes, meme avec un prix réduit de moitié, ça reste inaccessible pour l'Algérien dont les revenus sont modestes.
Beaucoup de citoyens restent sur leur faim et ne voitent pas l'utilité de telles pratiques, alors qu'ils sont aussi très nombreux à trouver leur s comptes et à se précipiter sur les étalages des magasins.
Hamida Mechaï
|
17e Journée du championnat professionnel de Ligue 1 : Ça se bouscule sur le podium
ESS 1- USMA 1 : L’Entente mal récompensée
le 24.01.16 | 10h00
Stade du 8 Mai 1945 (Sétif)
Arbitres : Mial, Itchiali et Serah
Buts : Chafai (24’) USMA - Aroussi (43’) ESS
ESS : Khedairia, Megatli, Hachi, Aroussi, Benlamri, Zerrara, Amada (Lamri 92’), Haddouche, Daghoulou, Djahnit, Amokrane (Belaimeri 59’)
Entr. : Geiger
USMA : Mansouri, Benayada, Abdellaoui, Chafai, Khoualed, Ferhat, Benkhemassa, Beldjilali (Andréa 63’), Benmoussa (Chettal 55’), Bouchama, Nadji (Aoudia75’)
Entr. : Hamdi
Comme attendu, l’affiche de la journée a été marquée par l’engagement physique, beaucoup de déchets techniques, la présence des défenseurs ayant volé la vedette aux attaquants transparents et les contestations des 22 acteurs. Auteurs de deux beaux buts réalisés sur des balles arrêtées, les défenseurs Chafai (24’) d’un côté et Aroussi (43’) de l’autre se sont illustrés de fort belle manière. Au grand bonheur du public nombreux qui a fait le déplacement. Contrairement à leurs adversaires qui ont tenu à gérer les péripéties de la partie jouée au milieu, les Noir et Blanc ont essayé de porter l’estocade mais la barre transversale a, à trois reprises, sauvé Mansouri. En plus de la baraka, le gardien usmiste était entouré par une défense regroupée. En dépit d’un enjeu pesant, les deux camps se sont adonnés à cœur joie. Disputant une véritable partie d’échec, les deux coaches, qui ont opéré des changements appropriés (poste par poste), ont essayé de surprendre le vis-à-vis. D’autant plus que le jeu s’est beaucoup débridé durant le dernier quart d’heure d’une rencontre caractérisée par la bonne condition physique des deux équipes.
Kamel Beniaiche
|
|
Tlemcen : Décès de l’ancien wali Bouricha
le 24.01.16 | 10h00
L’ancien wali de Blida, Mohamed Bouricha, est décédé avant-hier à Tlemcen, des suites d’une longue maladie.
Né le 10 janvier 1939 à Tlemcen, l’ancien commis de l’Etat était soigné en France avant de rentrer il y a deux mois dans sa ville natale, où il a trouvé la mort au milieu des siens. L’inhumation a eu lieu hier au cimetière Cheikh Senouci.
De son vivant, M. Bouricha avait été placé sous contrôle judiciaire en 2005 pour implication, au début des années 2000, dans une affaire de surfacturation ayant trait à la distribution de vêtements aux enfants démunis de cinq communes de la wilaya de Blida. Un contrôle judiciaire levé quelques années plus tard par un magistrat conseiller de la Cour suprême, chargé de l’instruction du dossier.
Le 10 mai 2005, il démissionnede son poste. Rencontré brièvement sur une terrasse de café à Tlemcen, quelques mois après sa démission, M. Bouricha a refusé tout commentaire sur son affaire. Cette affaire de surfacturation, qui avait défrayé la chronique à l’époque, n’a abouti à aucun procès ou, du moins, n’a eu aucune suite.
Que Dieu accueille le défunt en Son Vaste Paradis.
Chahredine Berriah
Le gouvernement tunisien appelle à la patience
le 24.01.16 | 10h00
Le chef du gouvernement tunisien, Habib Essid, a appelé hier à la «patience» après une semaine d’une contestation sociale inédite depuis la révolution de 2011.
Malgré un possible risque d’une nouvelle escalade, M. Essid n’a annoncé aucune mesure concrète pour lutter contre le chômage et la corruption à l’issue d’un Conseil des ministres extraordinaire. Il a toutefois exhorté ses compatriotes à «comprendre qu’il y a des difficultés». «Les solutions existent, mais il faut un peu de patience et d’optimisme», a-t-il dit.
Il a expliqué que le pays était «en danger malgré les choses positives que nous avons accomplies, surtout au niveau de la transition démocratique», en évoquant de nouveau les défis «sécuritaire, économique et social». Le chef de l’Exécutif, qui a dit la veille ne pas avoir de «baguette magique pour donner de l’emploi à tout le monde en même temps», a souligné que le Conseil des ministres resterait mobilisé pour étudier la situation dans le pays, qui fait figure de rescapé du Printemps arabe sans parvenir à s’extirper du marasme économique. A signaler que les protestations se sont poursuivies hier dans les villes de Sidi Bouzid et Regueb pour revendiquer l’emploi et le développement dans la région. Des protestataires à Regueb ont, par ailleurs, appelé à la mise en liberté de plusieurs personnes qui ont été arrêtées en raison de la transgression du couvre-feu, a précisé la même source.
|
Ali Benflis à Blida
«La révision constitutionnelle consacre l’hégémonie du système politique en place»
le 24.01.16 | 10h00
Le président du parti Talaie El Houriat, Ali Benflis, a animé, hier à Blida, une rencontre régionale de son parti.
D’emblée, il confie que «le choix de Blida n’est pas fortuit car sa population a été d’un estimable soutien lors de ses assises préparatoires de son congrès et sa forte adhésion à son projet politique».
Dans ce sillage, l’objectif de cette rencontre visait, entre autres, à se prononcer sur la vision de son parti sur le projet de révision de la Constitution en vogue. A ce sujet, il affirme que «l’initiative de la révision constitutionnelle n’avait pas pour objectif de régler les problèmes du pays, mais à régler les problèmes du régime politique en place». D’où, soutient-il, son rejet dans le fond et dans la forme par son parti.
Plus explicite, M. Benflis indique avoir chargé son secrétariat national de consacrer une journée d’étude spécifique interne sur ce projet. Une journée qui a été organisée le 16 janvier dernier et a été conclue par «l’élaboration d’un rapport révélateur d’une Constitution sur mesure au profit du régime politique en place et non au bénéfice des larges couches de la population», note-t-il. Ce rapport sera porté à la connaissance de l’opinion publique bientôt, à toutes fins utiles, assure-t-il.
Parmi les conclusions tirées du rapport et portées à la connaissance de l’assistance par Ali Benflis, il est loisible de citer celles qui considèrent que cette révision constitutionnelle prétendument consensuelle s’est révélée plus diviseuse que rassembleuse et que jamais celle-ci n’est apparue, avant ce jour, aussi «contestable et contestée».
Et d’ajouter, en citant ce rapport, que le mal profond dont souffre le pays n’est pas dans sa Constitution, qu’il suffirait de réviser périodiquement pour en guérir, mais dans le système politique lui-même qui a viré en un pouvoir personnel dont la vacance met l’Etat en danger.
En marge de cette rencontre, Ali Benflis a déclaré : «La Coordination pour les libertés et la transition démocratique (dont il fait partie, ndlr) s’est réunie il y a deux jours.» Et d’ajouter : «Un groupe de travail élargi à toutes les parties est constitué pour préparer son congrès prévu le 27 mars, qui est de bonne augure.»
Hocine Mallek
|
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
L'actualité Info AFP : toutes les infos en direct avec l'Agence France Presse en photos |
|
++
A découvrir aussi
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 5 autres membres