0030-/-ACTUALITÉS Du Lundi 30 Janvier 2017
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ACTUALITÉ
Mise en service partielle prochainement du Centre anti-cancer de Tizi-Ouzou
Médias: l'importance d'un discours équilibré sur la migration
Attentat contre la mosquée de Québec : Deux Algériens parmi les victimes
Fusillade à la mosquée de Québec, six morts et huit blessés
Atmane Mazouz. secrétaire national à la communication du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) : «La fraude électorale renforce et alimente l’abstention»
Soufiane Djilali. président de Jil Jadid : «Les Algériens ne croient plus à l’honnêteté des scrutins»
Élections législatives 2017 : La hantise de l’abstention
L’Algérie parmi 23 pays refusant l’accueil de ses resortisants expulsés des États-Unis : Le démenti nuancé des autorités…
Réponse des familles de disparus à Sellal : «Notre combat ne cessera pas sans vérité et justice»
Ministres FLN aux législatives : Bouteflika n’a pas encore tranché
SPORTS
CAN-2017 : Le Cameroun et le Burkina Faso retrouvent le carré d’as
Ayant déjà exercé en Algérie : Broos et Renard, des coachs qu’on regrette
Rachid Heraïgue 22 ans déjà
AGE de la LIRF : Le MJS a couvert la transgression de la loi et les statuts de la FIFA
Challenge Cherdioui Saïd : Plus de 1000 athlètes au rendez-vous
Ligue 1 (17e journée) : Le Doyen perd son troisième derby
ECONOMIE
Saïda : deux modèles de véhicules de la marque Suzuki seront montés dès mars prochain
Les zones montagneuses en quête d’un plan de développement : Quand les intempéries révèlent les inégalités territoriales
Kamel Aït Chérif . Expert en énergie : «Dans les montagnes et les Hauts-Plateaux, il faudra privilégier les énergies renouvelables»
Des élus en parlent : Plaidoyer pour une stratégie basée sur les spécificités régionales
Equilibre régional : entre consensus politique et difficultés de mise en œuvre
La robotique fait son show au salon SIVAL d’Angers (France) : Cap sur l’agriculture connectée
INTERNATIONAL
France: Fillon et son épouse entendus dans l'enquête sur des soupçons d'emplois fictifs
Présidence de la Commission de l’Union africaine : Cinq candidats pour un fauteuil
Projet de réforme de l’Organisation panafricaine : L’Algérie pose ses conditions
Maroc : Des milliers de manifestants contre la «corruption»
Maroc: des milliers de personnes manifestent à Rabat contre le gouvernement
trump interdit aux citoyens de 7 pays musulmans d’entrer aux États-Unis : indignation dans le monde
CULTURE
5e anniversaire de la mort de Cherif Kheddam : «Ressuscité» à Boumessaoud (Tizi Ouzou)
Théâtre : Générale de la pièce L’Aube Ismaël de Mohammed Dib
La violence entre idole et icône : Daech fait «son» cinéma
Exposition de photos de Sihem Salhi : Des œuvres plurielles
Amine Zaoui rêve d’un citoyen qui ne crache pas dans la rue
Béjaïa : Maison frontières,un projet théâtral algéro-français
Attentat contre la mosquée de Québec : Deux Algériens parmi les victimes
le 30.01.17 | 13h23
Deux Algériens font partie des six victimes qui ont été tuées dans l’attentat survenu dimanche soir contre une mosquée de la ville de Québec (Canada), a-t-on appris auprès d’une source proche de l’association qui gère le centre culturel auquel est affilié le lieu de culte.
Il s’agit de Karim Hassan et Khaled Belkacemi. Ce dernier est ingénieur en informatique à l’université Laval. Agé de 43 ans, il est père de trois enfants dont un bébé de moins d’un an. Il est originaire d’Alger.
Les autres victimes sont d’origine marocaine, tunisienne et malienne. L’attentat a aussi fait une dizaine de blessés parmi les fidèles présents à la prière de la soirée (Icha).
Deux assaillants cagoulés sont entrés dans la mosquée et ont tiré sur les présents. Ils ont été arrêtés par les forces de l’ordre.
Montréal, Samir Ben
L’Algérie parmi 23 pays refusant l’accueil de ses resortisants expulsés des États-Unis
Le démenti nuancé des autorités…
le 30.01.17 | 10h00
Le classement de l’Algérie parmi les 23 pays que le nouveau président américain aurait mis en garde pour avoir refusé de recevoir leurs ressortissants expulsés des Etats-Unis, ne semble pas inquiéter les autorités algériennes.
Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères se montre «prudent» en évitant «les conclusions hâtives» et met en avant les relations excellentes entre l’Algérie et les Etats-Unis. Des sources bien informées abondent dans le même sens et affirment que «l’Algérie n’a jamais refusé» d’accueillir ses ressortissants expulsés. Elle exige que la réadmission se fasse au cas par cas, et dans le cadre du respect de la législation. Le retour des 26 sur les 28 détenus algériens de Guantanamo, en Algérie, est présenté comme le meilleur exemple.
Citée parmi les 23 pays «mis en garde» par l’Administration américaine contre leur refus de recevoir leurs ressortissants expulsés des Etats-Unis, l’Algérie se garde de «commenter» par «prudence». Le 28 janvier, Los Angeles Times, journal américain, évoquait cette «mise en garde» adressée à une liste de 23 pays, incluant la Chine, l’Iran, l’Irak, la Libye, la Somalie, le Zimbabwe, mais aussi l’Algérie. En fait, le nouveau président des Etats-Unis avait donné le ton, en septembre dernier, lors de la campagne présidentielle, en parlant des «23 pays qui refusent de reprendre leurs citoyens après qu’ils aient été ordonnés de quitter les Etats-Unis d’Amérique».
Contacté par nos soins, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Abdelaziz Benali-Cherif, se montre très sceptique. Pour lui, «entre ce qu’écrit la presse et la réalité, il y a un monde». Il précise : «Les relations entre les Etats ne se font pas à travers les médias. Une mise en garde sous-entend un écrit officiel et une réponse. Nous avons de bonnes relations avec les Etats-unis d’Amérique et dans certains domaines, celles-ci sont excellentes. Il faut éviter les conclusions hâtives.» A propos des Algériens vivant aux Etats-Unis, M. Benali-Cherif est formel : «Nous avons une petite communauté très sereine, et bien intégrée.
En général, ce sont des intellectuels, des cadres et des personnes d’un certain niveau. Ils n’ont jamais posé de problèmes.» Si le porte-parole du ministère des Affaires étrangères se montre très prudent, des sources bien informées se déclarent «étonnées» d’une telle décision. «En général, l’Algérie a deux principes inaliénables en matière de prise en charge de ses ressortissants vivant à l’étranger et frappés par une décision d’expulsion.
Le premier est l’obligation consacrée par la Constitution de protéger ses ressortissants vivants en dehors de son territoire, et ce, quelle que soit leur situation. Le deuxième principe est la réadmission de ces derniers dans le cadre du respect de la réglementation internationale en la matière», expliquent nos interlocuteurs, sous couvert de l’anonymat. Selon eux, tout pays est souverain dans ses décisions, s’il estime nécessaire d’expulser des personnes étrangères vivant sur son sol.
«Chaque pays est souverain, mais il doit respecter les conditions en matière de réadmission. Cependant, il y a des conditions à respecter. L’Algérie n’a jamais refusé d’accueillir ses ressortissants expulsés par des pays tiers. Elle exige que la question de l’accueil soit traitée au cas par cas, qu’il y ait une vérification, par les soins de ses services, de l’identité de l’expulsé et que ce dernier ait épuisé toutes les voies de recours contre son expulsion», révèlent nos sources. Elles précisent que «des pays comme l’Allemagne, l’Italie ou encore l’Espagne, ont bien compris la préoccupation de l’Algérie, qui agit dans le cadre du respect de la réglementation internationale. Elle a refusé un rapatriement en groupe et sans aucune vérification. Les partenaires ont fini par comprendre. Les expulsés ont été réadmis au cas par cas». Nos interlocuteurs rappellent la gestion du dossier des Algériens détenus à Guantanamo qui, à leurs yeux, est «le meilleur exemple de gestion» : «Le cas de Guantanamo est un exemple à rappeler.
Au début il y a eu une grande polémique, parce que les Américains voulaient renvoyer les 28 Algériens arrêtés en Irak, en Bosnie, au Pakistan et en Afghanistan, en imposant ce qu’ils appellent des garanties diplomatiques qu’ils ne puissent plus constituer une menace à travers des mesures de sécurité. En clair, l’Algérie devait accepter de maintenir en détention les mis en cause, de leur refuser tout document de voyage et d’assumer toute responsabilité quant à leur agissement à l’égard des Etats-Unis.
Pour les autorités algériennes, le seul traitement qui pouvait être réservé à ces personnes était de leur appliquer la loi. Les négociations ont duré longtemps avant que les Américains ne décident d’accepter de gérer le dossier au cas par cas et d’abandonner les garanties diplomatiques. Les détenus de Guantanamo, faut-il le rappeler, ont un statut de considérés de combattants ennemis sur lesquels ne s’applique pas la législation américaine. Ils sont soumis aux lois de la guerre. Sur les 28 Algériens identifiés comme tels, aujourd’hui, il ne reste dans cette prison que deux seulement et pour des raisons indépendantes de la partie algérienne. Les autres détenus sont rentrés au pays. Ils ont été entendus par la justice et seulement un seul a fait l’objet de poursuites par contumace. Les autres n’étaient pas cités dans les affaires de terrorisme en Algérie. Bon nombre d’entre eux ont été remis en liberté. Il est clair que l’Algérie ne peut être concernée par les mises en garde, si mises en garde il y a.»
En fait la question de l’immigration clandestine n’a cessé d’être le sujet phare des campagnes électorales américaines, sans toutefois, dépasser ce cadre. Le dernier rapport, publié en septembre par le Centre d’étude des migrations, a avancé le nombre de 10,9 millions d’immigrés clandestins installés aux Etats-Unis, avec un recul par rapport à 2003, où ils étaient un peu plus de 11 millions. Les Mexicains viennent en tête avec plus de la moitié de cette population.
Lors de la dernière campagne électorale, le candidat Donald Trump s’est plaint des pays qui «refusent de reprendre» leurs ressortissants expulsés et «que nous acceptons de garder» et a promis : «Cela ne se passera pas comme ça avec moi une fois élu.» Une fois à la Maison-Blanche, Trump a décidé, par décret, d’interdire l’accès à son pays aux citoyens de sept pays musulmans, la Libye, le Soudan, la Syrie, l’Irak, l’Iran, le Yémen et la Somalie, créant ainsi un précédent dans le monde.
Salima Tlemçani
BAISSE DU POUVOIR D’ACHAT Les soldes en temps de crise : images surprenantes de centres commerciaux pris d’assaut par les foules à l’heure où le gouvernement s’inquiète plus que tout de la réaction des masses suite à l’introduction des premières mesures d’austérité. Surprenantes ? Pas tant que cela. Les deux situations semblent liées, et les Algériens savent en faire part dans des témoignages qui laissent parfois sans voix Suite... |
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- 343-lundi 09 DECEMBRE 2013
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