0044-/-ACTUALITÉS du lundi 13 février 2017
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ACTUALITÉ
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Réception en juillet 2018 de la nouvelle aérogare d'Alger
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SPORTS
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Déclarations contradictoires et cacophonie autour du prix du lait : Le subterfuge de l’emballage
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Pénuries, flambée des prix, retards de livraison, commerce informel : Le marché de l’automobile déstabilisé par les quotas d’importation
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INTERNATIONAL
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CULTURE
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SNEL : Sus à la transaction douteuse à Sétif
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Pénuries, flambée des prix, retards de livraison, commerce informel
Le marché de l’automobile déstabilisé par les quotas d’importation
le 13.02.17 | 10h00
Le marché algérien de l’automobile a perdu la splendeur qu’il avait du temps où les concessionnaires pouvaient importer sans compter dans l’unique souci de satisfaire une demande estimée à environ 2,5 millions de citoyens largement solvabilisés par les hausses de salaires octroyées en 2015, les revenus tirés des activités commerciales et, bien entendu, les crédits à la consommation généreusement accordés aux bas revenus.
La compétition commerciale, qui se pratiquait du temps où les importations n’étaient pas soumises à restriction a, comme on le sait, pris subitement fin en 2016, depuis que le gouvernement, financièrement mal à l’aise, mais aussi et surtout, contraint de garantir à la firme française Renault la vente des véhicules montés dans son usine d’Oran, a décidé de soumettre les concessionnaires automobiles au régime des quotas.
Il faut, en effet, savoir qu’en 2016, seules 226 licences d’importation avaient été octroyées à une quarantaine de concessionnaires qui n’avaient pu importer que 98 400 véhicules au total, soit 201 600 unités de moins que l’année précédente. On en avait importé 300 000 en 2015.
Le quota de l’année en cours est de 50 000 unités.
Il est en deçà du quotas global octroyé en 2016 du fait de l’érosion de nos réserves de change et, bien entendu, de la volonté du gouvernement algérien de protéger la production de l’usine Renault d’Oran, qualifiée un peu trop pompeusement de production nationale, qui promet de mettre sur le marché 55 à 60 000 véhicules cette année.
C’est dire l’importance de la restriction de l’offre globale qui ne couvrira, dans le meilleur des cas, qu’environ 20% de la demande solvable en dépit des fortes hausses de prix qui disqualifieront de toute prétention d’achat une large partie de la clientèle potentielle (classes moyennes paupérisées).
Gérer la pénurie
Restreints à des quotas d’importations nettement inférieurs à la demande, les concessionnaires automobiles en sont aujourd’hui réduits à «gérer la pénurie» avec tous les désagréments causés à une clientèle habituée à davantage d’égards en matière d’accueil, de choix, de prix, de régime de garantie et de service après-vente. Le marketing, autrement dit, l’attrait de la clientèle au moyen du rapport qualité-prix, n’est en effet nulle part pratiqué et, comme au temps des sinistres monopoles d’Etat, la pratique du «à prendre ou à laisser» tend, comme on a pu le constater dans tous les showrooms algérois que nous avons visités, à se généraliser.
Ce retour quasi général aux pratiques monopolistiques est malheureusement accompagné par une entente sur des prix fixes et non négociables (comme au temps du monopole de la défunte Sonacome) très préjudiciables aux clients.
La concurrence, qui avait prévalu durant les années fastes, a totalement disparu. Le choix des marques proposées à la vente est restreint, avons-nous constaté dans les showrooms en attente désespérée de nouveaux arrivages et l’accueil que nous ont réservé les agents commerciaux n’était guère chaleureux, sans doute parce qu’ils n’avaient pas grand-chose à vendre.
Estimant leurs marges bénéficiaires insuffisantes et leurs gains globaux en net déclin, les concessionnaires hésitent en effet à opérer des réductions de prix au profit de leurs clients, préférant ainsi vendre à prix fermes et non négociables. On se demande alors à quoi l’introduction de nombreuses marques d’automobiles a bien pu servir, étant donné que les clients ne tirent plus aucun bénéfice de ce qui s’apparente à une mascarade concurrence.
L’entente commerciale, pourtant prohibée par la loi sur la concurrence, est de surcroît souvent pratiquée, mais aucune voix des responsables expressément chargés de veiller à sa bonne application (ministère du Commerce, Conseil national de la concurrence, Associations de protection des consommateurs etc.) ne s’élève pour mettre fin à ce type de malversation. L’indifférence des autorités concernées a même ouvert la voie à des comportements encore plus répréhensibles de certains concessionnaires qui, par appât du gain, n’assument même plus leurs obligations contractuelles pour ce qui concerne notamment la garantie et le service après-vente, bien souvent octroyées à la tête du client comme des faveurs et non pas comme des obligations contractuelles.
Parfaitement conscients que les acheteurs lésés ne saisissent que très rarement les tribunaux, certains concessionnaires n’hésitent plus à se dérober de leurs obligations contractuelles en leur faisant payer très cher des prestations relevant pourtant clairement du régime de la garantie.
Flambée des prix
Les prix des véhicules neufs disponibles dans les halls d’exposition mal achalandés ont véritablement flambé, même si les commerciaux que nous avons interrogés estiment à juste raison que les concessionnaires n’en sont pas la cause. Les hausses vertigineuses des prix constatées ces trois dernières années ne sont effectivement pas l’œuvre des concessionnaires mais celle des pouvoirs publics algériens qui ont dévalué au minimum de 20% la valeur du dinar par rapport au dollar américain et soumis les véhicules neufs à toute une panoplie de taxes dépassant, dans certains cas, de moitié la valeur économique du véhicule
La restriction aussi subite qu’importante des importations de véhicules a évidemment ouvert la voie au marché informel qui se développe un peu partout dans le pays et dont on peut déjà observer les showrooms improvisés sur les trottoirs et parkings de nombreux quartiers d’Alger. Des véhicules flambant neufs de diverses marques directement importés ou acquis dans des conditions troubles auprès de concessionnaires, qui déclaraient pourtant être en rupture de stock, vous sont proposés à des prix excessifs mais avec des avantages que les concessionnaires ne peuvent pas vous offrir (disponibilité immédiate du véhicule, transfert de propriété effectué auprès de l’APC dans l’heure qui suit l’achat, service après-vente personnifié, etc.).
La restriction de l’offre provoquée par l’octroi de quotas d’importation de véhicules neufs nettement inférieurs à la demande nationale a, comme on a pu le constater, exacerbé «l’esprit de monopole» qui, sous l’effet d’une pénurie désormais effective, n’a pas tardé à se réinstaller sur le marché de l’automobile.
Certains concessionnaires vont même jusqu’à vous présenter l’acquisition d’un véhicule pourtant très chèrement payé comme une faveur qui, par conséquent, ne saurait vous ouvrir droit aux avantages concurrentiels qui distinguent un marchand d’un autre (qualité de l’accueil, réductions de prix, formules de garantie et de service après-vente plus avantageuses, etc.). Un concessionnaire automobile domicilié à Bir Mourad Raïs nous apprend que du temps où l’importation de véhicules était libre, sa société se permettait d’accorder de fortes remises, notamment à l’occasion des Salons de l’automobile et des achats groupés formulés par de grandes entreprises et institutions publiques. «Pourquoi voulez-vous que je fasse des remises de prix ou des faveurs commerciales, puisque je n’éprouve aujourd’hui aucune difficulté à vendre le peu de véhicules qu’on m’a permis d’importer», nous affirme-t-il, sur un ton, mêlant à la fois, amertume et satisfaction.
Pas d’issue dans l’immédiat
En visite dans un showroom situé à Alger-Centre, un citoyen, visiblement désabusé par le niveau exagérément élevé des prix et le choix restreint de véhicules proposés à la vente, pose à l’agent commercial qui l’avait accueilli la question de savoir pourquoi les citoyens algériens ne seraient pas autorisés à acquérir le véhicule de leur choix directement dans le pays où ils sont fabriqués ?
Ils seraient, dit-il, certains de faire d’importantes économies et d’obtenir de meilleures conditions de garantie, en faisant jouer la concurrence effective qui prévaut dans ces pays producteurs de véhicules.
C’est une possibilité qui est en réalité offerte aux citoyens résidant en Algérie, mais la difficulté de la mettre en œuvre réside dans le fait que les banques algériennes n’autorisent pas les transferts en devises pour ce genre de transaction. Pour importer directement son véhicule, il devra se débrouiller de la devise sur le marché parallèle où les taux de change sont si prohibitifs qu’ils ôtent toute chance de faire des économies sur le prix final de l’automobile acquise.
Le seul avantage que l’importation directe peut effectivement lui offrir est le choix du véhicule et sa disponibilité immédiate.
Cette morosité, qui caractérise actuellement le marché de l’automobile, court évidemment le risque de s’exacerber dans les prochaines années, en raison d’une offre qui se réduira sans doute encore plus, du fait du déclin de nos réserves de change.
Le marché d’occasion dopé par les ventes massives opérées par les classes moyennes paupérisées et l’arrivée prochaine d’un nombre important d’automobiles qui sortiront des usines de montage en projets (Peugeot, Volkswagen, Hyundai, Nissan, etc.) pourraient atténuer quelque peu le déséquilibre entre l’offre et la demande qui prévaut actuellement en Algérie, mais on est encore loin de cette échéance. Les conditions générales d’équilibre du marché n’étant pas réunies, il n’est évidemment pas permis d’espérer un retour prochain au bénéfique régime de la concurrence.
Nordine Grim
Déclarations contradictoires et cacophonie autour du prix du lait
Le subterfuge de l’emballage
le 13.02.17 | 10h00
Objet de crises cycliques, dont la dernière remonte à novembre 2016, le lait subventionné fait encore parler de lui.
Mais cette fois-ci pas en termes de disponibilité ou de perturbation dans sa distribution, comme c’est le cas à chaque fois, mais en termes de prix. Un prix qui risque d’être revu à la hausse de manière indirecte, puisque le changement d’emballage (passage aux boîtes cartonnées), annoncé pour mars prochain, induira une augmentation du prix.
Certes, le lait reconstitué à partir de la poudre importé ne sera pas touché par cette mesure, mais subira d’une manière ou d’une autre les conséquences d’une telle décision. Comment ? Le lait pasteurisé conditionné en sachet (LPC), dont le prix est fixé à 25 DA, ne sera plus produit en même quantité qu’auparavant, du moins chez le Groupe industriel des productions laitières (Giplait)-devenu après la dernière restructuration Lait et Giplait- qui détient 50% des parts du marché du lait en Algérie, et ce, à la faveur de la politique de substitution de la poudre de lait par le lait cru produit localement, en vigueur depuis quelques années.
Même si jusque-là le taux d’intégration reste faible chez le public, avec 7% contre 25% chez le privé, le remplacement de la poudre de lait par du lait de vache fait son chemin petit à petit. Mais entre les explications du ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche (MADRP), Abdessalem Cheghoum, et celle du président du Comité international du lait (Cilait), Mahmoud Benchakour, les choses ne semblent pas encore claires pour le moment.
Contradictions
Le premier tente de rassurer en précisant que le prix du lait subventionné ne sera pas revu à la hausse. «Il n’y aura pas d’augmentation du prix du lait en sachet et il restera inchangé», a-t-il assuré la semaine dernière, au lendemain de la sortie médiatique d’un représentant de Colaital de Birkadem (filiale de Giplait), annonçant la commercialisation du lait en boîte dès mars prochain. Il précisera dans le même sillage que le lait de vache, qui est de qualité meilleure, est actuellement écoulé à des prix variant entre 35 et 45 DA, alors que ce n’est pas le cas sur le terrain. Les commerçants le revendent entre 45 et 50 DA. Une fois conditionné dans des briques, son prix oscillera entre 60 ou 65 DA, selon Colaital. Mais il sera plus cher chez les commerçants détaillants (puisque le prix du lait de vache en sachet est libre).
Donc, même si l’augmentation des prix ne concerne pas le LPC, elle le sera dans tous les cas pour le lait de vache en boîte qui sera produit en grandes quantités au détriment du LPC. Cela pour dire que cette reconversion se fera au détriment du sachet, mais surtout du pouvoir d’achat.
Les consommateurs, notamment ce qui reste des couches moyennes dont le pouvoir d’achat est déjà en érosion et qui ont déjà du mal à trouver du LPC dans certaines localités, se rabattront donc sur le lait de vache. Si auparavant ils dépensaient 50 DA pour deux litres par jour, ils devront débourser 120 DA par jour pour leurs besoins en consommation de lait. Soit en moyenne 3000 DA par mois, des dépenses qui risquent de passer du simple au double. Ce qui inquiète d’ores et déjà le président de l’Association de protection et d’orientation du consommateur (Apoce), Mustapha Zebdi, qui, tout en relevant le côté positif sanitaire et environnemental d’une telle mesure, ne manquera pas d’afficher son inquiétude quant à l’impact sur le pouvoir d’achat des Algériens.
Interrogé à ce sujet, le président du Cilait nous dira dans un premier temps : «Je n’ai rien à dire. Le ministre a tout expliqué concernant les prix.» Au sujet de l’adhésion du privé à une telle démarche, il répondra : «Tout dépend des transformateurs. Certains ont déjà commencé à utiliser l’emballage en carton pour les produis dérivés. Mais pour le lait de vache, on verra.» Ce sera en effet en fonction du coût, surtout que le nouvel emballage est cher. Selon certaines estimations, une brique de lait coûte, à elle seule en emballage non recyclable, sans gros investissements, de 15 à 24 DA (l’équivalent du prix actuel du sachet de lait rempli et toutes charges incluses).
Sachant que de nombreuses laiteries privées traversent des difficultés financières, le défi semble difficile à relever pour l’heure. Le public se contentera à lui seul de donner l’exemple et de baliser le terrain à la levée des subventions via une solution non encore clairement étudiée.
Et pour cause, même au niveau de l’organisation professionnelle, l’on n’arrive pas à expliquer la démarche, comme l’illustrent les déclarations de Benchakour, qui, après avoir éludé la question, a fini par lâcher : «C’est une décision politique.» Et d’aborder autrement la question sur les ondes de la Radio nationale, en faisant part d’une éventuelle hausse du prix du LPC à hauteur de 20% ! C’est-à-dire un prix allant jusqu’à 33 DA. Des déclarations contradictoires qui montrent que c’est encore le flou pour les professionnels du secteur autour d’une décision qui remonte, pour rappel, à trois ans. C’est en effet en janvier 2014 que Abdelmalek Sellal avait appelé les producteurs de lait, à partir de Mostaganem, à passer du lait en sachet au lait en boîte. Il leur avait accordé un délai de trois ans. Ce n’est qu’aujourd’hui que le dossier est remis sur le tapis en pleines difficultés financières et en plein débat sur la révision du système des subventions.
Pressions
Ce qui suscite des interrogations et des inquiétudes de part et d’autre. Et ce d’autant que l’on s’attend à une diminution des quantités de LPC, donc à une pression avec l’arrivée du lait en boîte, dont la capacité de production sera de l’ordre de 300 000 litres par jour, selon le PDG de Giplait, Mouloud Harim, qui a annoncé par ailleurs la création au cours de cette année d’une filiale spécialisée dans l’élevage de bovins laitiers et la production de lait de vache. Le groupe aura également à son actif la gestion de 19 fermes pilotes attribuées récemment au groupe par le Conseil des participations de l’Etat (CPE). Ce qui confirme cette tendance graduelle au remplacement de la poudre par le lait cru.
Ce qui est une bonne chose puisque cela va diminuer la dépendance du pays confronté aux importations des matières premières laitières. Mais qui va affecter en parallèle les consommateurs, habitués pendant de longues années aux prix subventionnés. D’où la nécessité de préparer le terrain pour ce changement via des mesures spécifiques, sans passer par des subterfuges. Les problèmes sanitaires et environnementaux liés au sachet ne datent pas d’aujourd’hui. Ce sursaut cache en tout cas d’autres desseins.
La levée des subventions en marche
Et ce, d’autant qu’il est intervenu au lendemain de l’application portant levée provisoire des subventions de l’orge en le vendant aux éleveurs à 2300 DA au lieu de 1550 DA le quintal au niveau des Coopératives des céréales et légumes secs (CCLS). Ce qui a suscité le mécontentement des éleveurs, plutôt des revendeurs. «Nous ne vendons pas aux éleveurs. Ces derniers boycottent l’orge que nous proposons, alors nous le cédons aux coopératives privées», témoignera un employé d’une CCLS dans la région des Hauts-Plateaux, où la demande en orge est pourtant importante.
A titre indicatif, selon les explications du ministère de l’Agriculture, la suppression de la subvention de l’orge, une mesure introduite par le projet de loi de finances (PLF 2017), répond à une demande émanant des éleveurs, qui estiment qu’ils ne tiraient pas profit de ce soutien à cause de la spéculation. L’orge, qui sert à l’engraissement du bétail, notamment le cheptel ovi
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Coupe de la CAF (tour préliminaire) Bechem United (Ghana) 2 – MCA 1
Courte défaite du Mouloudia
le 13.02.17 | 10h00
Le MC Alger s’est incliné, hier, à Accra, face au club ghanéen de Bechem United, sur le score de 2 buts à 1, dans le cadre de la rencontre aller du tour préliminaire de la Coupe de la CAF.
Le représentant algérien a été mené au score dès l’entame de la deuxième mi-temps grâce à un but de Touré inscrit sur penalty (47’), avant que Seguer n’égalise à la 65e minute.
Mais la joie des Mouloudéens été de courte durée puisque l’adversaire a repris l’avantage par l’intermédiaire d’Abotsi, qui a doublé la marque quelques minutes plus tard (70’). Malgré cette défaite, le MCA garde intactes ses chances de qualification pour le prochain tour. Et le but de Seguer pourrait s’avérer salvateur au décompte final.
A noter que le match retour est prévu le 18 février prochain au stade du 5 Juillet à Alger à partir de 20h30. Il sera arbitré par un trio marocain dirigé par Adil Zourak, qui sera assisté par Mouhib Abdallah Filali et Yahya Nouali.
Le Mouloudia a donc réussi à faire mieux que la JS Kabylie, l’autre représentant algérien en cette même compétition qui s’est complètement effondré, vendredi, au Liberia, face à l’équipe de Monrovia CB qui a remporté le match sur le score de 3 buts à 0. Actuel leader en championnat, le MCA espère aller loin dans ce challenge africain. Il devra, avant tout, passer cette première étape face à Bechem United.
Dans le cas d’une qualification au prochain tour, le MCA affrontera le vainqueur de la double empoignade entre Akanda (Gabon) et la Renaissance du Congo (RDC). Les 2 équipes s’étaient quittées, vendredi au Gabon, sur le score nul de zéro partout. A noter que le joueur Mokdad, qui n’a pas accepté son remplacement, a eu une altercation avec l’entraîneur Mouassa, ce qui a nécessité l’intervention de la police locale.
A. A.
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(Photo ARIF ALI / afp.com) |
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