0054-/-Actualité duLUNDI 23 Février 20155
Lundi 23 Février 2015
الإثنين 23 فيفري 2015 م
الإثنين 4 جمادى الأولى 1436 ه
ه
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
CONSÉQUENCE DIRECTE DE LA GRÈVE DES ENSEIGNANTS Encore un début de semaine sous le signe de la grève dans le secteur de l’éducation. Les enseignants adhérents au Cnapest débrayent pour la cinquième journée consécutive. Le secteur est sous la menace d’un autre débrayage, début mars. Pour éviter de perturber la fin du second trimestre, le ministère Suite... |
|||||||||||||
Consulter toute l'édition d'aujourd'hui ++++
++++
+++++
+++++++++++
|
|
|
Ooredoo et l'octroi de la publicité : Le chantage de Joseph Ged Dans une déclaration surprenante, le directeur général de l’opérateur qatari Ooredoo a formulé des menaces... |
Symbole de la souveraineté nationale : La sécurité alimentaire fragilisée par la hausse des importations agricoles
Dans un contexte marqué par l’instabilité des prix des matières premières agricoles sur le marché international,...
Pouvoir-opposition : Le face-à-face du 24 février
La journée du 24 février, une date à forte charge historique, sera célébrée cette année dans un...
Réda Kateb, acteur : Un «pro» fête son César
Le comédien Réda Kateb, d’origine algérienne et neveu du grand écrivain Kateb Yacine (Nejma), a été...
Ooredoo et l'octroi de la publicité : Le chantage de Joseph Ged
Dans une déclaration surprenante, le directeur général de l’opérateur qatari Ooredoo a formulé des menaces...
Pouvoir-opposition : Le face-à-face du 24 février
La journée du 24 février, une date à forte charge historique, sera célébrée cette année dans un...
ES Sétif : L'Aigle noir à la dimension des Pharaons
Appelé à relever un autre défi, le onze ententiste a, une nouvelle fois, tenu ses engagements. Malgré les mauvaises...
Affaire : Berraf-Hayatou Suite et fin
Football professionnel .Centres d'entraînement : opération en voie d'achèvement
Le football professionnel, ou prétendu comme tel, réoccupe le début d’une scène footballistique mièvre et...
L'économie algérienne reflet d'une souveraineté hypothéquée
Le 24 février 1971, l’Algérie nationalisait ses hydrocarbures dans une décision à haute valeur symbolique pour un pays...
Symbole de la souveraineté nationale : La sécurité alimentaire fragilisée par la hausse des importations agricoles
Dans un contexte marqué par l’instabilité des prix des matières premières agricoles sur le marché international,...
Equipements et savoir-faire importés pour des résultats insignifiants : Une industrie à faible puissance
L’industrie à travers ses différentes filières est l’autre secteur où la dépendance vis-à-vis de...
Financement et soutien au terrorisme dans le monde musulman : Le Pakistan charge l'Arabie Saoudite
Après les critiques virulentes adressées la semaine dernière par l’Egypte au Qatar pour son soutien aux groupes terroristes...
Yémen : Réfugié à Aden, le président Hadi défie les Houthis
Le président yéménite Abd Rabbo Mansour Hadi, qui a réussi à fuir la capitale Sanaa pour trouver refuge dans son fief...
Culture
Réda Kateb, acteur : Un «pro» fête son César
Le comédien Réda Kateb, d’origine algérienne et neveu du grand écrivain Kateb Yacine (Nejma), a été...
Ooredoo et l’octroi de la publicité : Le chantage de Joseph Ged
le 23.02.15 | 10h00
Dans une déclaration surprenante, le directeur général de l’opérateur qatari Ooredoo a formulé des menaces à peine voilées contre des médias qui s’attaqueraient au Qatar et au pouvoir algérien. Le dirigeant de l’opérateur de téléphonie mobile s’est exprimé, mercredi dernier, sous les applaudissements du ministre de la Communication, Hamid Grine, présent dans la salle. Joseph Ged a, en substance, conditionné l’octroi de la publicité par son entreprise à la presse au «respect» des régimes algérien et qatari.
Très peu rapportée par les médias, la déclaration a suscité la polémique sur les réseaux sociaux. Des internautes demandent même de boycotter l’opérateur qui se permet ainsi de faire des injonctions aux médias du pays. Pis, c’est la première fois qu’un opérateur étranger se permet un tel écart envers les médias du pays d’accueil. Et le sujet relève d’une extrême importance.
Etrangement, cette sortie de Joseph Ged fait écho à des déclarations similaires de Hamid Grine. Le ministre de la Communication avait, en effet, appelé les entreprises à conditionner l’attribution de la publicité aux journaux au «respect de l’éthique». Le ministre avait même inventé un «cercle vertueux» qui justifierait l’attribution de la publicité. Des journaux ont vite senti et subi les répercussions de ces déclarations sur leurs recettes publicitaires.
Ingérence diplomatique
Ce chantage vient donc d’être confirmé par les déclarations de Joseph Ged. Le patron d’Ooredoo, dont la publicité est omniprésente dans les médias audiovisuels, a franchi un pas qu’aucun autre patron algérien n’avait osé franchir. Mais il y a plus grave. Le dirigeant libanais de la firme qatarie entre dans le très sensible dossier diplomatique ; il menace les médias qui s’attaquent au pays d’origine de l’entreprise, le Qatar, de les priver des annonces de l’opérateur de téléphonie mobile.
«Scandaleux», s’écrie Abdelaziz Rahabi, ancien ministre de la Communication. «Ooredoo est ainsi devenu la cinquième colonne du Qatar en Algérie», explique l’ancien diplomate. «Ooredoo a commencé petit, chez nous, avant de devenir grand. Maintenant, c’est nous qui nous mettons petits devant lui», commente l’ancien ministre, qui rappelle les conditions peu normales dans lesquelles avaient été attribuées les deux licences de téléphonie mobile dans notre pays.
Lors d’un dîner offert aux journalistes, mercredi soir, le patron d’Ooredoo a indiqué : «Nous ne cautionnerons en aucune façon des attaques personnelles ni envers l’Algérie ni envers le pays d’où a commencé l’aventure Ooredoo, le Qatar. Nous ne nous engagerons jamais aux côtés de ceux qui sont animés par des valeurs négatives de dénigrement et de médisance.»
Contacté par nos soins, le patron d’Ooredoo, Joseph Ged, apporte des «précisions» mais confirme à demi-mot ses déclarations : «Nous demeurons respectueux de la ligne éditoriale de la presse et nous sommes un annonceur libre de ses choix et de ses décisions toujours conformes aux lois algériennes.» Et d’ajouter : «Ooredoo a été le premier opérateur à casser le chantage économique de certains annonceurs envers la presse et nous refusons d’associer notre entreprise à la diffamation.»
Ali Boukhlef
|
|
CAN-2017 : L’Egypte se retire et exprime son soutien à l’Algérie
le 23.02.15 | 10h00
Les médias égyptiens ont rapporté aujourd’hui les déclarations de plusieurs de leurs responsables sportifs, annonçant le retrait de leur pays de la course à l’organisation de la CAN 2017 pour laquelle l’Algérie est aussi candidate, tout comme le Gabon et le Ghana. Il est ajouté, d’autre part, que la Fédération égyptienne soutient le dossier algérien.
Ainsi, le quotidien Al Ahram a indiqué que Hani Abou Rida, membre des Comités exécutifs (CE) de la CAF et de la FIFA a déclaré que l’Egypte n’est plus candidate pour cette édition. Un retrait mu, selon lui, par la volonté de son pays de peser de tout son poids pour que l’Algérie obtienne l’organisation de cette 31e édition.
Pour lui, il n’est pas question que les deux pays, aux «relations privilégiées», fassent la course pour le même événement. Quelques autres médias égyptiens ont rapporté les propos tenus par le ministre égyptien de la Jeunesse et des Sports, Khaled Abdelaziz, sur une chaîne de télévision, qui a affirmé également que «l’Egypte s’est retirée de la CAN 2017 au profit de l’Algérie».
Il faut dire que cette CAN a provoqué une polémique, notamment depuis que le président du Comité olympique algérien (COA), Mustapha Berraf, a déclaré que l’Algérie n’obtiendra pas l’organisation de cette édition, qui sera, d’après lui, attribuée au Gabon. Des propos qui n’ont pas, apparemment, été appréciés par le ministre des Sports, Mohamed Tahmi, qui a signalé 48 heures après que ces déclarations ne sont que de «pures spéculations qui ne servent pas la candidature de l’Algérie».
Samedi dernier, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a reçu le président de la CAF, Issa Hayatou, en présence du ministre des Sports, Mohamed Tahmi, et du président de la FAF, Mohamed Raouraoua. Mais rien n’a filtré sur le contenu de la rencontre. En tout cas, la CAF va rendre son verdict, pour ce qui concerne l’attribution de la CAN 2017, le 8 avril prochain au Caire.
Abdelghani Aïchoun
Pouvoir-opposition : Le face-à-face du 24 février
le 23.02.15 | 10h00
La journée du 24 février, une date à forte charge historique, sera célébrée cette année dans un face-à-face entre le pouvoir et l’opposition. Ce repère historique qui divise plus qu’il ne rassemble sera donc un rendez-vous d’affrontement politique sur fond de crise du système. Ainsi, les partis de l’opposition comme ceux du pouvoir ont décidé de mobiliser leurs troupes.
Même le gouvernement semble se saisir de cette journée pour reprendre l’initiative. Emboîtant le pas au mouvement opposé à l’exploitation du gaz de schiste, la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD) défie le pouvoir en organisant des sit-in à travers tout le territoire national.
En se réappropriant la symbolique du 24 février qui renvoie à la création de l’UGTA historique et à la nationalisation des hydrocarbures, les leaders de la CNLTD disputent au pouvoir le monopole d’un héritage historique dévoyé.
La secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, se posant en défenseur des nationalisations, a choisi Hassi R’mel pour brocarder les «prédateurs». En face, les partis du pouvoir ne comptent pas non plus laisser le champ libre à l’opposition. Le FLN d’Amar Saadani tiendra un meeting à Annaba. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, sera accompagné par le locataire de la Maison du peuple, Abdelmadjid Sidi-Saïd, à Arzew et Hassi Messaoud.
Des démonstrations de force qui révèlent l’incapacité des forces politiques en présence à forger un «consensus national» pour une sortie de crise. Signe d’une impasse politique globale. Les divisions à l’extérieur comme à l’intérieur du pouvoir semblent s’accentuer, conséquence du blocage post-quatrième mandat.
Le pouvoir de Bouteflika n’arrive toujours pas à matérialiser la moindre de ses promesses politiques. La révision de la Constitution, qui a fait objet de plusieurs «consultations», tarde à voir le jour. Au rejet de l’ensemble de l’opposition s’ajoute l’absence d’un arrangement entre les différentes factions du régime. L’initiative lancée par le FFS pour une «conférence nationale du consensus» rencontre un rejet massif de la part des acteurs politiques. Même les partis du pouvoir, qui ont fait miroiter au vieux parti de l’opposition qu’ils allaient s’asseoir autour d’une table de dialogue, ont fini, dans une volte-face, par torpiller la démarche du FFS. La CNLTD, qui a tenté une ouverture via l’entreprise du chef du MSP en proposant une négociation directe avec le pouvoir, n’a pas non plus rencontré d’écho favorable.
Des blocages à tous les niveaux, alors que le statu quo dans lequel se trouve le pays ne cesse de s’aggraver. Derrière les appels à construire un «front interne» se profilent des divisions profondes qui enfoncent davantage l’Etat dans un délitement sans précédent. Entre un pouvoir autoritaire qui emploie toutes ses forces pour se maintenir et une opposition qui recolle ses morceaux pour amorcer un processus de transition démocratique, le fossé est plus que difficile à combler. En voulant gagner du temps, en réalité, Bouteflika fait perdre un temps précieux pour le pays, alors que tous les indicateurs sont au rouge.
Hacen Ouali
Après une semaine de grève du Cnapest-e : Les parents d’élèves en appellent au Premier ministre
le 23.02.15 | 10h00
Lautonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l’éducation – élargi (Cnapest-e) boucle aujourd’hui sa première semaine de grève. Et en dépit de la réunion tenue avec la tutelle mercredi dernier, aucun dénouement ne semble se profiler à l’horizon.
Pour le plus grand désarroi des premiers concernés : les élèves et leurs parents. «Nous allons introduire une demande d’audience auprès du Premier ministre, et ce, afin de lui faire part de nos craintes et de l’urgence de mettre fin à la situation d’instabilité qui prévaut», affirme Khaled Ahmed, président de l’Association nationale des parents d’élèves.
Ce représentant de parents d’élèves ne manque pas de mots pour qualifier cette «prise d’otages». «Irresponsable et égoïste. Cela est d’une extrême gravité que d’entamer une grève illimitée à la veille des examens d’un trimestre aussi court et décisif que celui-ci», peste-t-il.
D’ailleurs, si la grève perdure au point de menacer l’issue de ce deuxième trimestre de cours, «une réunion sera organisée mercredi, afin d’établir un rapport détaillé de la situation. Il sera transmis à la présidence de la République et aux autres instances gouvernementales», prévoit M. Ahmed. Selon les parents d’élèves, hypothéquer l’avenir de leurs enfants n’est pas la solution, et ce, quelles que soient les revendications des contestataires, légitimes ou illégitimes.
D’autant que des rumeurs font état de menaces de boycott des examens de fin de trimestre, ou autres blocages «administratifs». «S’ils refusent de transmettre les notes et résultats des compositions, comme cela a été le cas par le passé, la ministre doit absolument appliquer les dispositions légales prévues dans les lois liées au droit de grève», exhorte M. Ahmed. Menaces que dément Nouar Larbi, coordinateur national du Cnapest-e. «L’évaluation est l’un des droits de l’élève, et il n’est, pour l’heure, pas envisagé un quelconque boycott et de faire l’impasse sur les examens ou sur la remise de notes», insiste le syndicaliste.
Pour ce qui est de l’ampleur de la grève, «elle se poursuit sans déperdition. Les taux de suivi sont sensiblement les mêmes, si ce n’est en augmentation, puisque de nombreux établissements du cycle moyen ont rejoint le mouvement», explique-t-il, déplorant «l’absence de contrepartie de la tutelle» conditionnant l’arrêt du débrayage.
Face à la colère des parents, M. Larbi oppose leur propre désarroi. «Même nous, en tant qu’enseignants nous ne sommes pas à l’aise, nous sommes continuellement sous pression. D’autant plus qu’il reviendra aux professeurs de récupérer les heures et les cours non prodigués, et ce, sans parler des défalcations sur salaire. Nous sommes donc les premiers à pâtir de cette grève», dit-il.
Et les perturbations ne font que commencer : la Coordination syndicale de l’éducation (CSE) a, elle aussi, annoncé son intention d’entamer un mouvement de débrayage de trois jours à compter du 9 mars prochain.
Ghania Lassal
Ecoles primaires Une commission mixte Intérieur-Education
le 23.02.15 | 10h00
La ministre de l’Education nationale, Nouria Benghebrit, a fait état, hier à Tamanrasset, de l’existence d’une commission ministérielle mixte Intérieur-Education chargée d’examiner la question de l’amélioration de l’encadrement administratif des écoles primaires.
Cette commission mixte sera chargée de «l’examen de la question de l’encadrement administratif des établissements primaires, pour leur permettre de mener pleinement leur mission», a déclaré Mme Benghebrit, en réponse aux préoccupations soulevées par des élus locaux, en marge de son inspection d’une école primaire à Idelès (200 km de Tamanrasset).
La ministre, qui s’est enquise d’une classe préparatoire de 16 élèves au niveau de cette école située dans le quartier In Irdjen, a mis l’accent sur la nécessité de consacrer un volume horaire à l’enseignement d’un programme spécifique aux classes préparatoires en prévision de la prochaine rentrée scolaire, en tenant compte de la langue maternelle en parallèle à la langue arabe. Mme Benghebrit a mis l’accent à la fois sur l’initiation des élèves du cycle préparatoire et sur la formation de leurs encadreurs, avant d’exhorter les parties concernées à réunir les meilleures conditions de scolarisation par l’amélioration des structures éducatives.
|
la société civile s’active : In Salah veut rester mobilisée
le 23.02.15 | 10h00
A près avoir déposé, jeudi, une demande de moratoire sur le gaz de schiste à El Mouradia, In Salah espère vraisemblablement une décision providentielle du président Bouteflika qui, dans un scénario peu probable de l’avis des observateurs et des protestataires eux-mêmes, déciderait, par miracle, d’organiser un débat national sur l’avenir énergétique du pays et proclamerait un moratoire sur les gaz et pétrole de schiste au Sahara.
In Salah, dont la société civile veut garder jalousement cet élan citoyen inédit qui a unifié ses rangs devant la question de l’après-fracturation hydraulique impliquant l’injection de produits chimiques toxiques dans le sol du Tidikelt, organisera aujourd’hui, à la veille du 24 février, une conférence de presse à laquelle elle a convié la presse nationale pour parler du moratoire déposé à la Présidence, de sa position envers la manifestation du 24 février et pour répondre aux questions des journalistes sur le devenir du mouvement de protestation au lendemain du 24 février 2015. Selon Slimani Abdelhamid, animateur du mouvement, In Salah organisera sa marche du 24 février «qui n’a rien à voir avec celle des partis de l’opposition».
Selon notre interlocuteur, «l’objectif est de marquer cette commémoration de la nationalisation des hydrocarbures par une nouvelle marche qui verra la participation massive des habitants d’In Salah contre le passage à la fracturation hydraulique et en soutien à la demande de moratoire adressée au chef de l’Etat».
Une autre marche, 700 km plus au nord. Après une nouvelle marche sous la pluie samedi, le front populaire contre le gaz de schiste, actif depuis le mois de juin 2014 à Ouargla, se veut résolument solidaire d’In Salah.
C’est pratiquement la seule ville du Sud qui tienne un sit-in permanent sous une kheïma depuis trois semaines, la seule à se mobiliser chaque week-end depuis deux mois et à organiser des conférences scientifiques ambulantes à travers ses quartiers et sa périphérie. Le succès de ces débats quotidiens à la rencontre du peuple est tel que l’un des principaux animateurs, le professeur Segni Laadjal, a été convié à aller à Sahat Somoud, à In Salah, pour parler aux manifestants du Tidikelt venus par milliers sur l’esplanade de la daïra écouter le savant venu de Ouargla défendre les appréhensions et les peurs exprimées depuis le 31 décembre 2014.
A chacun sa marche, même si la date est la même et rassemble les différences. Et à Ouargla, la commémoration du 24 Février, chapeautée par le Premier ministre Abdelmalek Sellal en personne, revêt une importance cruciale.
C’est un rappel des promesses et des engagements non tenus, un nouvel ultimatum qui sera lancé à la veille du 27 février, l’autre date emblématique de la région, celle des manifestations populaires contre la scission du Sahara du Nord de l’Algérie tenues en 1962 à Ouargla. Une stèle vient d’être érigée en l’honneur des martyrs de cette marche réprimée par le colonisateur.
Houria Alioua
|
|
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 5 autres membres