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Le président de la JSK Mohand-Chérif Hannachi a été évacué ce mercredi en urgence au CHU Nédir Mohamed de Tizi-Ouzou. De sources hospitalières, Il souffre de contusions cérébrales à la suite d'une chute qui s'est produite chez lui.
HUIT MINISTRES SE DÉMARQUENT OFFICIELLEMENT DE BELKHADEM FLN : lâchages au sommet
Les ministres du Front de libération nationale exigent de Abdelaziz Belkhadem d’annoncer immédiatement sa démission afin de permettre l’élection d’un nouveau secrétaire général lors de la prochaine session du comité central. Dans une déclaration officielle rendue publique, hier, ils annoncent lui dénier toute autorité sur eux. ...Suite
Les ministres du Front de libération nationale exigent de Abdelaziz Belkhadem d’annoncer immédiatement sa démission afin de permettre l’élection d’un nouveau secrétaire général lors de la prochaine session du comité central. Dans une déclaration officielle rendue publique, hier, ils annoncent lui dénier toute autorité sur eux. Tarek Hafid - Alger (Le Soir) - C’est un retournement de situation inattendu qui s’est produit, hier, au sein de la maison FLN. Les huit ministres de ce parti, à savoir Abdelaziz Ziari, Tayeb Louh, Rachid Harraoubia, Abdelkader Messahel, Mohamed Khoudri, Rachid Benaïssa, Moussa Ben Hamadi et Amar Tou ont signé une déclaration dans laquelle ils exigent de Abdelaziz Belkhadem de remettre son mandat. «Dans le but d’éviter les dérapages pouvant causer des fractures dangereuses, les ministres du FLN appellent Abdelaziz Belkhadem à céder sa place à un nouveau secrétaire général qui jouit du consensus et de l’unanimité et qui sera élu lors de la prochaine session ordinaire du comité central. Il est invité, de son plein gré et dans l’immédiat, à faire part de ses intentions afin de permettre une parfaite organisation de cette session», précisent- ils. Amar Tou et consorts ont également annoncé leur décision de se démarquer officiellement du secrétaire général du Front de libération nationale, Abdelaziz Belkhadem. «Les ministres représentant le parti au sein du gouvernement actuel, tout en restant attachés à la mise en œuvre du programme présidentiel, dénient à Abdelaziz Belkhadem toute autorité sur eux, et ce, à partir de ce jour (hier, mercredi, Ndlr). Ils attendent de lui de faire preuve de lucidité comme seule garantie pour perpétuer le message du parti en sa qualité de force politique leader dans le pays», indiquent les huit membres du gouvernement. Cette décision, unique dans les annales politiques algériennes, intervient en réaction à des abus dont a fait preuve Belkhadem dans sa gestion du parti. «Les pratiques du secrétaire général du Front de libération nationale, Abdelaziz Belkhadem, ont provoqué des animosités dans l’environnement administratif et politique du parti. Il a tenté d’utiliser les institutions de l’Etat pour des ambitions personnelles, et ce, en violation du caractère sacré de ces institutions », relèvent-ils. L’une de ses institutions n’est autre que l’Assemblée populaire nationale, où le Front de libération nationale est très largement majoritaire. Pour les ministres, le jeu trouble de Belkhadem «menace le climat de sérénité nécessaire à l’étude des projets de lois». Lundi, lors d’une rencontre organisée au siège du parti, Abdelaziz Belkhadem avait obtenu le soutien des parlementaires du FLN dans le conflit qui l’opposait à trois ministres : Amar Tou, Tayeb Louh et Rachid Harraoubia. Ces derniers l’avaient saisi officiellement — le jour même de la démission d’Ahmed Ouyahia du RND — pour exiger son départ. «Comportement irresponsable, honteux, illégal», avaient alors dénoncé les parlementaires qui ont accusé les trois membres du gouvernement «de vouloir semer la zizanie» au sein du parti. Mais là, ce ne sont plus trois ministres, mais la totalité des représentants du FLN au sein de l’Exécutif qui exigent le départ de Belkhadem. En fait, il est peu probable que des personnalités comme Rachid Benaïssa, Abdelkader Messahel ou encore Moussa Benhamadi, qui sont loin d’être des «militants engagés», aient accepté de signer une déclaration éminemment politique s’ils n’avaient pas reçu «un signal du plus haut sommet de l’Etat». Le même procédé a été utilisé contre Ouyahia. Belkhadem aura-t-il les reins plus solides que son ancien «allié»?
Par Maamar Farah J'ai lu, comme tous les lecteurs du Soir d'Algérie, que le Premier ministre Abdelmalek Sellal va se rendre à Annaba qui se prépare à l'accueillir. Mais devinez ce qu'il y a dans tous les espaces publicitaires de la ville. Des portraits de Sellal ? Non, vous n'y êtes pas. Tous les portraits sont interdits sauf durant les campagnes électorales. Et d'ailleurs, on leur réserve des espaces érigés à la hâte, en métal moche comme tout et peint en blanc à la va-vite ! Alors qui ? Lui, bien sûr ! En long, en large, en hauteur, dans les abribus, dans les cadres lumineux, sur les autoroutes, au milieu des lampadaires : partout, on peut le voir. A Tarf, la visite de Tou a donné lieu à l'étalage d'immenses portraits sur les édifices visités ou à inaugurer ! Etranges mœurs d'une époque révolue, rappelant la Tunisie de Ben Ali ou l'Egypte de Moubarak. Ou même la Corée du Nord. Pour m'être rendu dans ce dernier pays, je peux témoigner que les seuls endroits où l'on ne trouvait pas le portrait de Kim Il Sung étaient les endroits où l'on va... tout seul ! maamarfarah20@yahoo.fr «Bien sûr qu'il faut récupérer les salles de cinéma. Encore faut-il avoir le temps de s'en occuper entre deux «festivaux» (je sais, il y a faute, mais pour moi c'est des «festivaux» !) et ces années d'ici, là-bas, de l'Afrique, des musulmans, des Arabes... Si jamais les extraterrestres ne trouvent pas où organiser leur année, ils savent qu'ils peuvent compter sur nous !»
La réunion d’urgence, tenue avant-hier, tard dans la soirée au siège de la centrale syndicale et qui a vu la présence des cadres syndicaux, des receveurs, du directeur général d’Algérie- Poste, ainsi que des représentants du ministère, a été sanctionnée par une série de mesures. Sur le terrain, la grève générale se poursuit et paralyse une grande partie des bureaux de poste. Abder Bettache - Alger (Le Soir) - C’est un face-à-face qui a duré plus de quatre heures. Chacune des parties faisait état de la situation qui prévaut au sein d’Algérie-Poste, onze jours après une grève qui a paralysé toutes les activités de l’entreprise. En effet, la rencontre qui a eu lieu à l’initiative du secrétaire général de l’UGTA a permis tant aux représentants des travailleurs qu’à ceux de l’administration représentés par des receveurs et autres cadres de la direction générale de se «dire les quatre vérités et situer les responsabilités sur les raisons de la non-reprise des activités», deux jours après l’accord paraphé entre les deux parties. Selon nos sources, les syndicalistes ont saisi cette opportunité pour accuser certains cadres de l’entreprise de «pousser vers le pourrissement », alors que d’autres ont dénoncé «ceux qui tirent les ficelles en vue de prendre leur revanche ou maintenir la déstabilisation de l’entreprise pour un changement radical à la tête d’Algérie Poste».Il n’en demeure que la réunion qui s’est tenue hier, dans la grande salle située au quatrième étage du siège de l’UGTA, n’a pas eu d’effets particuliers sur le mouvement de grève. Dans leur majorité, les bureaux de poste n’ont pas connu de reprise à l’exception de quelques-uns situés à l’intérieur du pays. Et pourtant, la veille, soit lors de la réunion de mardi passé, il était convenu que les receveurs en étroite collaboration avec les syndicalistes agissent «conjointement» pour que la reprise soit effective hier matin, au plus tard l’après-midi. Pendant ce temps, plusieurs dizaines de grévistes se sont rassemblés pour la énième fois devant la Grande-Poste. «Nous voulons des mesures bien détaillées et claires concernant l’application de nos revendications », a soutenu un des grévistes rencontré sur les lieux. Pour rappel, les travailleurs d’Algérie Poste en grève depuis le 31 décembre dernier ont refusé de mettre fin à leur grève au lendemain d’une proposition de sortie de crise faite par la direction de l’entreprise qui s’est engagée à appliquer les deux accords collectifs relatifs à la nomenclature des postes et à la promotion. Les grévistes, qui mènent leur action en dehors de leur section syndicale affiliée à l’UGTA, maintiennent leurs revendications et dénoncent certaines décisions prises lundi dernier par la tutelle, notamment l’octroi d’une prime dite d’encouragement de 30 000 dinars, exigeant l’application de la convention collective et l’application d’un plan de carrière. Les travailleurs d’Algérie Poste mécontents, venus de plusieurs wilayas du pays, ont tenu de nouveau leur rassemblement devant la Grande-Poste à Alger où ils scandaient leurs revendications et confirmaient à la presse le maintien de leur débrayage, suivi, selon eux, par 95% des travailleurs.
Pour la première fois dans les annales des championnats du monde de handball messieurs, l’Espagne aura l’insigne honneur d’abriter une édition, la 23e , qui aura lieu du 11 au 27 janvier courant. Pour rappel, l'Espagne a été désignée pays organisateur de ce championnat du monde par la Fédération internationale de handball, le 2 octobre 2010 après que la Norvège ait retiré sa candidature. Ainsi, durant 16 jours, les meilleurs handballeurs de la planète se donneront rendez-vous sur cette terre ibérique pour tenter d’arriver au soir de la finale à pouvoir hisser haut ce trophée. Aussi, 23 équipes se lanceront à sa conquête et défier celle de la France qui l’a remporté en 2011 en Suède. Mais entre ce désir et la réalité du terrain, chaque équipe aura d’abord à jouer à fond la qualification lors du premier tour. Pour cette phase préliminaire, quatre groupes de six formations chacun ont été constitués lors du tirage au sort effectué le 19 juillet dernier à Madrid. A l’issue de ce tour, les quatre premières équipes classées de chaque poule se retrouveront au tour principal pour jouer le titre. Par contre, les formations restantes auront à jouer une compétition de consolation dénommée «Coupe du Président» puis les malheureux éliminés de cette compétition disputeront les rencontres de classement. Pour cette présente édition, le comité d’organisation a jeté son dévolu sur six villes pour abriter un total de 60 rencontres du premier tour, avec 15 matchs par groupe. Au second tour, la compétition sera vraiment impitoyable car tout calcul sera exclu avec l’élimination directe au bout de chaque rencontre des quarts de finale, demi-finales et la finale, sans oublier les matches de classement. Pour revenir au premier tour, les villes de Granollers (groupe A), Séville (groupe B), Zaragoza (groupe C) et Madrid (groupe D) seront les théâtres des confrontations. Ensuite, Barcelone et Guadalajara seront associés pour les rencontres du tour principal et celles de classement. Pour officier toutes les rencontres, il y aura 16 paires d’arbitres dont 12 sont Européennes, deux d’Asie et une d’Amérique. O. K.
LA PARTICIPATION ALGÉRIENNE Une 13e pleine d’incertitudes Loin de froisser les sportifs des autres disciplines ainsi que ceux du Roi football, le handball algérien peut se targuer d’être le plus représentatif à l’échelle planétaire, au niveau des championnats du monde. En effet, la petite balle algérienne sera à sa 13e participation depuis la première, en 1974. Pour les amateurs de «stat’», l’Algérie a disputé depuis le Mondial de 1974 en ex- RDA, sous la houlette du Roumain Costache Mircea, et celui de 2011, en Suède, sous la férule de Bouchekriou Salah, un total de 64 rencontres matérialisées par 13 victoires, 8 nuls et 43 défaites. Pour être prêts à jouer cette édition, les protégés de Bouchekriou Salah ont effectué une préparation après le mois de Ramadan avec une série de stages aussi bien en Algérie qu’à l’étranger. Cependant, deux facteurs ont joué quelque peu en défaveur des Verts. Il s’agit des multiples blessures de certains éléments-clés ainsi que le nombre insuffisant de rencontres internationales amicales. Pour les blessures, il est indépendant de toute volonté, et c’est le revers de la médaille de tout sportif qui ne peut le prévoir. Plus concrètement, le coach national ne pourra pas compter sur Boubayou et Filah, toujours blessés, alors que Hedjaidji n’est pas encore compétitif pour jouer des matchs de haut niveau. Pour pallier ces forfaits, Bouchekriou a rappelé Boudrali Hichem qui n’est plus à présenter, vu sa grande expérience. Sur un autre plan, et pour que le travail soit bien fait, le coach national a fait appel à deux techniciens que sont Daoud Amar et Gherbi. Ainsi, l’entraînement des gardiens de but sera pris en charge par Daoud, et pour Gherbi, ce sera un apport pour driver les joueurs et prévoir un suppléant en cas d’expulsion de Bouchekriou lors d’un match. Concernant les joueurs présents, le retour de Boudrali rassure quelque peu. Sa très grande expérience, surtout en défense, permettra de pallier l’absence de Boubayou et Filah (blessés) et Hedjaidji (manque de compétition). Au cours de cette participation, l’équipe algérienne n’a pas été gâtée par le tirage au sort effectué le 19 juillet dernier. Avec la présence de l’Espagne, de la Croatie, de la Hongrie, de l’Egypte, la tâche ne sera guère aisée pour les Verts. Bien qu’ayant conscience de l’âpreté des rencontres face à ces équipes, le staff algérien n’emmènera pas ses protégés en victimes expiatoires. Bien au contraire, il les a bien préparés aussi bien physiquement que mentalement. Gardant les pieds sur terre, Bouchekriou sait bien que les débats face aux Espagnols, aux Hongrois, aux Croates et aux Egyptiens ne seront pas des parties de plaisir. Il n’y a que le match à disputer devant les Australiens qui s’annonce plus ou moins facile à gérer mais en évacuant tout excès de confiance. Le match face à l’Egypte sera le tournant dans le premier tour. O. K.
Par Kader Bakou Il n’y a qu’un exilé qui peut vraiment ressentir ce que ressent un autre exilé. La nostalgie et le mal du pays sont des sentiments indéfinissables, au-delà des appartenances religieuses ou ethniques. Dans le film Le sel de la merd’Annemarie Jacir, une Américaine d’origine palestinienne revient au pays de ses ancêtres. A Ramallah, Soraya essaie de récupérer l’argent de son grand-père déposé avant 1948 dans une banque anglo-palestinienne qui existe toujours. Calculant les intérêts cumulés, elle estime que la banque lui doit un peu plus de 16 000 dollars américains. La banque par la voix de son directeur (un Palestinien) refuse de lui donner cet argent. Soraya a fait connaissance avec deux jeunes Palestiniens. Tous les trois vont braquer la banque, «voler» 16 000 dollars et se sauver de l’autre côté du «mur de Sharon». Se faire passer pour un Israélien, c’est facile : il suffit de porter la kippa, de coller une étoile de David sur sa voiture et de brancher sa radio sur une chaîne en hébreu. Soraya et ses amis palestiniens se promènent à Jérusalem et discutent en anglais avec des Israéliens, en se faisant eux-mêmes passer pour des juifs vivant aux Etats-Unis. Ils voient un oranger dans une villa. Se penchant au-dessus de la clôture, ils cueillent quelques oranges qu’ils dégustent sur place. Ce n’est pas du vol, car ils considèrent que cette terre est toujours la leur. A la fin de l’histoire, Soraya et Emad retraversent le mur de Sharon. Leur ami, lui, est resté à Tel Aviv et va se marier avec une jeune juive qui habite la villa des grands-parents de Soraya. Dans la voiture, il y a toujours les épluchures des oranges de Jérusalem. Annemarie Jacir est une Palestinienne qui vit en exil, en Jordanie. Il n’y a qu’un (e) exilé (e) qui pourra vraiment comprendre la valeur de ces simples épluchures d’orange du pays, chez Soraya et Emad ! K. B.
Amar Ghoul : «Je suis corps et âme avec Bouteflika.»
Chacun fait ce qu’il veut avec son corps, mon grand !
Je suis outré ! Je dirais même plus, scandalisé ! Et comment ne pas l’être lorsque vous lisez partout que «Abdelkader Bensalah a été installé mercredi à la tête du Sénat pour un 3e mandat». Mensonges ! On nous ment. Oui, on nous ment et je vous prends officiellement et, surtout, solennellement à témoins. Comment oser dire que Bensalah a été installé à la tête du Sénat ? Lorsqu’on affirme comme ça, sans ambages, que Bensalah a été installé, ça veut dire qu’il avait été désinstallé juste avant. Logique ! On ne peut installer ce qui l’est déjà, n’est-ce pas ? Alors, oui, là, je trouve qu’il y a outrage ! Outrage à la position déjà installée d’un homme que l’on n’hésite pas à calomnier en annonçant aussi légèrement qu’il vient juste d’être installé. Ça ne se peut pas ! Ce qui est installé, boulonné depuis des lustres, tellement installé que même les boulons ont rouillé et ne peuvent plus être dévissés, sauf à être cisaillés, cet édifice-là ne peut être présenté comme fraîchement installé. Non, pas du tout, je ne chicane pas et je ne fais pas de misères aux mouches. D’abord, parce que je déteste au plus haut point ceux qui font du mal aux mouches et à tous les animaux, ensuite, parce que chez moi, les mots, les expressions ont leur importance. Des guerres se sont déclarées parce que des mots ont été mal utilisés ou pas bien compris. Des conflits millénaires minent des pays frontaliers parce que des zigotos des deux côtés de ladite frontière ont fait usage immodéré et surtout inapproprié de formules et de phrases devenues avec le temps assassines. Alors, moi, aujourd’hui, sans prétention aucune, juste renseigné sur l’importance des bons mots dans les bonnes phrases, je dénonce le mensonge d’une telle information distillée pourtant à large échelle dans vos journaux. Halte au viol des mots et du sens. Place à la rigueur ! Bensalah a été conforté dans son installation antérieure, oui ! Bensalah a vu ses boulons rafraîchis et resserrés dans la position «fermés», oui ! Bensalah a été amarré un peu plus au socle sur lequel il était déjà installé, oui ! Bensalah s’est vu ajouter des fixations à celles qui le scotchait déjà au fauteuil de président inamovible du Sénat, oui ! Bensalah a vu ses jointures anciennement collées au siège de patron des sénateurs renforcées par de nouveaux points de soudure, oui ! Mais Bensalah installé, nooooooon ! Au grand jamais non ! En Algérie, on n’installe pas, Môssieur ! On conforte et on solidifie. C’est différent ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H. L.
Si elle ne développait pas ses ressources énergétiques, l’Algérie serait contrainte d’importer, à l’horizon 2030, pour 80 milliards de dollars en produits énergétiques....
«Les primes d’assurance comptabilisées par les 23 compagnies d’assurances activant en Algérie sont en hausse de 12% à près de 100 milliards de dinars en 2012, un chiffre qui pourrait quadrupler d’ici à 2020»....
Exia, l’Ecole supérieure d’informatique du Cesi Algérie, organisera une journée «Portes ouvertes», le 26 janvier prochain de 9 h à 17 h. Les participants à cette ...
Dénommée «Renault Algérie production», la société détenues à hauteur de 49% par le groupe français Renault, de 34% par la Société nationale de véhicules industriels (Sniv) et de 17% par le Fonds national de l’investissement (FNI) sera créée dans les tout prochains jours, probablement avant la fin du mois de janvier....
La secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, a annoncé hier la convocation d’une conférence internationale d’urgence, dans sa deuxième session, pour discuter des «menaces qui guettent l’Algérie, sous couvert d’intervention militaire au Mali». ...
Le président de l’UA, le Béninois Thomas Boni Yayi, a appelé, mardi dernier, l’Otan à déployer des forces aux côtés des troupes africaines qui doivent être envoyées dans le nord du Mali pour en chasser les groupes armés. ...
Par Younès Djama Algérie Poste (AT) est-elle en train de pâtir de l’obligation de service public en dépit de l’impératif de la rentabilité qu’exige son statut ...
Par Abdelkrim GhezaliSept membres du Conseil de l’APC de Chéchar ont saisi dans une lettre datée du 22 décembre dernier, le wali de Khenchela l’appelant ...
Vingt-deux-mille-cent-douze (22 112) logements LPL (logements public locatifs) à réaliser d’ici fin 2014 au profit des familles «les plus démunies» d’Alger....
Bonne nouvelle pour les souscripteurs aux programmes location-vente 2001 et 2002 de l’Aadl (Agence nationale de l’amélioration et du développement du logement)....
La visite que va effectuer, demain, le président du gouvernement espagnol en Algérie est une étape importante, selon l’ambassadeur ibérique, établi à Alger, qui intervenait à l’occasion d’un point de presse organisé, à cet effet, dans la journée d’hier. ...
Le directeur général d'Algérie Poste a appelé, hier, tous les travailleurs grévistes à rejoindre leurs postes de travail après que le conseil d'administration et le syndicat, lors d'une réunion marathon, aient conclu un accord. Les deux parties ont convenu, lors de cette réunion, «le versement, mercredi (aujourd'hui), à tous les travailleurs, de la prime de bénéfice, estimée à 30 000 dinars», a indiqué un communiqué d'Algérie Poste. ...
Le ministre de l’Energie et des Mines, Youcef Yousfi, a présenté, hier, devant l’Assemblée populaire nationale (APN) le nouveau projet de loi sur les hydrocarbures. ...
Dans le cadre des projets de partenariat algéro-émirati-allemands pour le développement de l’industrie mécanique sous la marque du groupe allemand Daimler (Mercedes), une trentaine de sous-traitants nationaux ont été identifiés....
Le secrétaire d’Etat chargé de la Communauté nationale à l’étranger, M. Belkacem Sahli, a présenté, hier, le nouveau produit «Assurance rapatriement de corps», destiné aux Algériens résidents à l’étranger. ...
En août 2012, le ministère de l’Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa, avait annoncé au comité interprofessionnel de la filière avicole...
De notre envoyée spéciale à Mila :Badiâa Amarni Deux enveloppes financières sont consacrées à la wilaya de Mila pour l’amélioration de son secteur des ressources en ...
Le président de «Tajamoû Amal el Jazaïr» (TAJ), Amar Ghoul, a déclaré, hier à Alger, lors d’une conférence de presse au siège du parti, que la question de la révision prochaine de la Constitution devait être vue «dans un cadre beaucoup plus global (…)...
Deux ans après, le «printemps arabe» - un vocable utilisé pour désigner la vague de soulèvements dans les pays arabes- n’a pas encore livré tous ses secrets....
De notre correspondant à Constantine A. Lemili «Vaste et exaltant programme, les élus du Khroub sont en ordre de travail pour l’affronter». Propos lucides et responsables lancés ...
Plusieurs centaines de millions d’euros pour le projet d’Oued Tlillet
La première voiture Renault sortira de l’usine en novembre 2014
09-01-2013
Photo : Sahel
Par Samira Imadalou
Dénommée «Renault Algérie production», la société détenues à hauteur de 49% par le groupe français Renault, de 34% par la Société nationale de véhicules industriels (Sniv) et de 17% par le Fonds national de l’investissement (FNI) sera créée dans les tout prochains jours, probablement avant la fin du mois de janvier. C’est ce qu’a indiqué, hier, le président de la SGP-Equipag, M. Bachir Dihimi lors d’une conférence de presse organisée conjointement avec les représentants des actionnaires de ce projet de partenariat ; la première voiture Renault, le dernier modèle de la Symbol sortira de l’usine d’Oued Tlillet (Oran) en novembre 2014, c’est-à-dire dans 22 mois.
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