Ainsi, le contingent des véhicules a été fixé à 152.000 unités sur  l'année 2016, alors que le nombre des véhicules importés en 2015 a été de l'ordre  de 300.000 unités (contre 439.637 unités en 2014).  Ce contingent concerne les véhicules automobiles pour le transport de  dix personnes ou plus (chauffeur inclus), les véhicules de tourisme et autres  véhicules automobiles principalement conçus pour le transport des personnes  (y compris les voitures de type "break" et les voitures de course) et les  véhicules automobiles pour le transport de marchandises.         

Concernant le contingent quantitatif du ciment portland gris, il a  été fixé à 1,5 million de tonnes, précise la même source.  Quant à l'acier rond à béton (comportant des indentations bourrelets,  creux ou reliefs obtenus au cours du laminage ou ayant subi une torsion après  laminage), son contingent a été fixé à 2 millions de tonnes.         

Selon la même source, tout opérateur économique, personne physique ou  morale, remplissant les conditions conformes à la législation et à la réglementation  en vigueur, peut introduire une demande de licence d'importation d'un produit  ou d'une marchandise. L'avis d'ouverture des contingents est à compter du 14 janvier jusqu'au  3 février 2016.         

L'opérateur doit déposer le formulaire dûment renseigné, à télécharger  sur le sire web du ministère du Commerce, auprès de la direction du commerce  de wilaya territorialement compétente .         

Cette demande doit être accompagnée d'une copie du registre du commerce,  une facture pro forma indiquant le produit, la qualité, la valeur et l'origine  du produit, un extrait de rôle, une attestation de mise à jour avec la Cnas  ou la Casnos et un questionnaire d'identification de l'opérateur économique  à renseigner.         

Cette liste peut éventuellement être élargie à d'autres produits et  marchandises.

Alors que des millions d’Algériens ont accompagné l’un des éminents dirigeants de la Révolution à sa dernière demeure, d’anciens responsables lancent des polémiques aux contours sombres. A commencer par les différentes sorties de l’ancien ministre de la Défense, Khaled Nezzar, qui a senti le besoin d’«apporter des précisions» sur des déclarations que feu Aït Ahmed avait faites de son vivant. Tel un sniper attendant une éventuelle cible, le général Nezzar sort sa grosse artillerie pour démentir des faits qui ont pourtant fait consensus jusque-là : jamais du vivant de Hocine Aït Ahmed, un ancien responsable a démenti le fait que le pouvoir ait proposé au fondateur du FFS de faire partie d’une direction (ou de la diriger) afin de sortir le pays de la crise.

Mais ce débat, qui s’est fait à sens unique puisque l’un des acteurs n’est plus de ce monde, a débordé sur la crise qui a secoué le pays durant les dernières années de la présence de Chadli Bendjedid à la tête de l’Etat. De la responsabilité de l’arrêt du processus électoral aux raisons qui ont poussé le défunt chef de l’Etat à remettre son tablier un soir de janvier 1992, en passant par les violences qui ont marqué le pays durant la période qui a précédé les élections législatives de décembre 1991, tout y passe.

Et si le général Khaled Nezzar, qui était ministre de la Défense au moment des faits, a l’habitude d’assumer ou d’expliquer une partie des faits, l’intrusion du général Mohamed Betchine, qui n’était pourtant pas acteur direct à ce moment-là, veut rajouter une couche à cette polémique qui n’en finit pas d’évoquer d’autres acteurs beaucoup moins loquaces. C’est le cas de Mouloud Hamrouche que le général Nezzar accuse d’être derrière les brutalités qui ont suivi la grève du Fis-dissous en 1991.

Dans ce capharnaüm que «les moins de 20 ans» ne comprennent pas forcément, des questions légitimes se posent. Il s’agit surtout de savoir ce qui motive tout ce beau monde à s’inviter aujourd’hui à une scène où il n’est pas dit qu’ils sont forcément des acteurs de premier plan. Leurs réputations étant faites depuis longtemps, les généraux Nezzar et Betchine ou encore Ali Haroun semblent des joueurs qui évoluent plutôt pour d’autres équipes qui tirent les ficelles derrière les rideaux. Car, personne n’ignore que dans les coulisses du pouvoir se jouent des duels ou des combats encore plus acharnés entre des acteurs qui se battent à couteaux tirés en vue d’acquérir une place dans la course à la succession qui se prépare.

Il est vrai que Abdelaziz Bouteflika, même diminué physiquement, reste présent au cœur du débat politique. Mais, sauf coup de théâtre, le projet de la révision constitutionnelle est le dernier projet politique que son régime est en mesure d’offrir actuellement. Ce qui pousse des cavaliers embusqués à monter sur leurs chevaux et attendre le signal pour la course finale. Et ironie de l’histoire, 24 ans après l’arrêt du processus électoral — synonyme du début officiel de la décennie noire et sanglante —, ce sont encore des militaires de cette époque qu’on croyait lointaine qui font le débat. Ce qui signifie que le pays n’est toujours pas guéri de ses anciennes blessures malgré l’inscription de la «réconciliation nationale» dans le projet de révision constitutionnelle.

La Direction Générale de la CNAS avait commandé un audit pour améliorer les prestations au niveau des services de cette infrastructure qui relève de son institution. Le DG de la CNAS compte multiplier les conventions de vacation avec les personnels spécialistes (médecins, techniciens de santé, ndlr) pour une meilleure prise en charge des patients, allant jusqu’au suivi des malades dès leurs sorties de la CMCI. Le DG de la CNAS a mis en avant dans son intervention les données techniques de la CMCI de Bou-Ismail, qui demeure l’unique clinique publique en Algérie, spécialisée en cardio- pédiatrie médicale et chirurgie infantile. En dépit de toutes les difficultés qui entravent ses quotidiens, elle n’a pas cessé ses activités.

Les chinois prospectent ce secteur précis dans notre pays. D’ailleurs, l’Algérie compte sur une coopération avec les chinois pour développer les actes médicaux, tout en misant sur le transfert technologiques avec les scientifiques chinois. Interrogé par El Watan sur le résultat de la coopération du CMCI de Bou-Ismail avec les médecins britanniques et belges qui a duré plusieurs années, un sujet qui n’a pas été évoqué durant le visite, « on n’est pas fermé pour une coopération avec les anglais et les belges », nous répond Mohamed El-Ghazi. Néanmoins, le membre du gouvernement satisfait, avait recommandé la rigueur et l’organisation dans la gestion de la CMCI, en raison des restrictions budgétaires imposées par la crise économique que vit le pays.

La CMCI prend en charge les patients cardiaques depuis leurs naissances jusqu’à l’âge de 16 ans. Cette infrastructure s’étend sur une surface de 8000 M2 disposant d’une capacité totale d’hébergement de 63 lits, s’articule sur plusieurs structures qui abritent les plateaux techniques, notamment pour la chirurgie cardiaque, la chirurgie dentaire. La capacité d’accueil pour le préopératoire est de 18 lits ; les soins intensifs 07 lits et enfin le postopératoire 10 lits. 36 médecins dont 09 vacataires et 188 paramédicaux se relaient autour des malades. En 2015, la CMCI de Bou-Ismail avait enregistré 14934 consultations cardio-pédiatriques ; 1808 hospitalisations et enfin 600 interventions chirurgicales dont 385 à cœur ouvert. Le taux de mortalité n’a pas été révélé par l’orateur.

Le Centre d’accueil des parents des malades qui dépend de la CMCI avait pris en charge en charge en 2015, pas moins de 2836 familles des patients issues des différentes wilayas du pays. Abdelkader Kadi, wali de Tipasa confirme la disponibilité de son administration pour mettre des moyens à la disposition de la CMCI et ses patients après l’ouverture très prochaine du service cardiologie de l’EPH de Tipasa (120 lits). « Une Fondation est en voie de réalisation, elle va résoudre toutes les problématiques inhérentes à la prise en charge de l’ensemble des patients cardiaques d’une part et d’autre part elle s’occupera de la formation du personnel médical, grâce à la coopération avec lés chinois », affirme le Chef de l’Exécutif de la wilaya de Tipasa..

 

L’évolution du marché pétrolier inquiète, les cours du baril de brut ayant, à un moment, approché les 30 dollars sur le marché asiatique. Les analystes voient ainsi reculer le seuil du déclin des prix à tel escient que la banque d’affaires américaine Morgan Stanley n’écarte plus la possibilité d’un baril à 20 dollars. Une situation loin de rassurer les pays les plus fragiles de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP). C’est dans ce contexte justement que le président de l’OPEP, le Nigérian Emmanuel Ibe Kachikwu, a appelé à la tenue d’une réunion extraordinaire, début mars, afin d’examiner la situation du marché.

Une réaction somme toute naturelle du ministre nigérian des Ressources pétrolières, dont le pays soutient l’option de défense des cours par un rééquilibrage du marché aux côtés de l’Algérie et du Venezuela. Selon l’AFP, Emmanuel Ibe Kachikwu a estimé nécessaire, lors d’un forum sur l’énergie à Abu Dhabi, une réunion extraordinaire du cartel sur les cours qui ont atteint leur plus bas niveau en 12 ans. Il a, dans ce sens, indiqué : «Nous (l’OPEP) avions dit que si le prix atteignait 35 (dollars le baril), nous commencerions à examiner la convocation d’une réunion extraordinaire.»

Cependant, l’appel du président de l’OPEP risque de rester un vœu pieux, ce qu’il  reconnaît lui-même. Emmanuel Ibe Kachikwu modère ainsi son propos et reconnaît ne pas avoir vérifié la disposition de tous les Etats membres, particulièrement les exportateurs du Conseil de coopération du Golfe CCG menés par l’Arabie Saoudite, qui campent sur le stratégie de guerre des prix. «Je n’ai pas encore beaucoup parlé avec les ministres du Pétrole» de l’OPEP, a indiqué M. Ibe Kachikwu, avant de préciser qu’«un groupe sent la nécessité d’intervenir.

Un autre pense que même si on le fait, on ne représente que 30 à 35% de la réalité du marché» pétrolier. Et de préciser que «65% du marché sont hors des mains de l’OPEP et, à moins d’avoir ceux qui représentent ces 65% à la table des négociations, on ne peut pas changer fondamentalement», mettant ainsi comme préalable à tout accord un consensus au sein de l’OPEP, mais aussi entre l’OPEP et de gros producteurs hors OPEP, à l’image de la Russie.

Ce qui semble aujourd’hui relever de l’utopie. D’ailleurs, l’intervention hier du ministre émirati de l’Energie, Suhail Al Mazrouei, à Abu Dhabi, ne fait que confirmer l’impression générale. Celui-ci dit s’attendre à une reprise du marché pétrolier avant la fin de l’année, en dépit de la dégringolade actuelle des prix. «Je suis fermement convaincu que le marché va connaître une correction avant la fin de 2016.

C’est ce qu’indiquent les fondamentaux du marché», a affirmé le ministre, balayant d’un revers de  main les arguments plaidant pour une intervention de l’OPEP. Suhail Al Mazrouei réaffirme la position du CCG mené par l’Arabie Saoudite. En ce sens, les divergences s’approfondissent entres les membres de l’OPEP, ceci d’autant que les analystes estiment que la montée des tensions entre l’Arabie Saoudite et l’Iran éloigne toute perspective d’accord au sein de l’OPEP.

Vers un baril à 20 dollars ?

En tout état de cause, l’hypothèse d’un rééquilibrage du marché est loin de faire consensus parmi les analystes, certains estimant que l’on est proche d’un seuil plancher des cours, tandis que d’autres pensent qu’avec «les attentes croissantes que le yuan pourrait baisser davantage, en raison de l’affaiblissement de l’économie chinoise, les spéculations augmentent (autour de l’idée que) les prix du pétrole pourraient bien s’enfoncer en dessous des 30 dollars le baril dans les jours qui viennent, en particulier étant donné les annonces (lundi) par l’Union européenne que les sanctions iraniennes pourraient être levées assez rapidement», comme le note Michael Hewson, analyste chez CMC Markets.

Pour sa part, la banque d’affaires américaine Morgan Stanley estimait hier que le baril, qui a perdu 15,6% depuis le 1er janvier, pourrait encore baisser. La banque d’affaires prévoit ainsi qu’en cas d’appréciation rapide du dollar, le cours du brut pourrait perdre de 10 à 25%, estimant que «le scénario d’un pétrole à 20 ou 25 dollars le baril est possible».

Notons que le marché a été marqué par une dégringolade des cours sur les places asiatiques. Vers 6h30 GMT, le cours a inscrit de nouveaux plus bas depuis décembre 2003 à 30,43 dollars pour le brent et à 30,41  pour le WTI. Sur les marchés européen et américain, le pétrole a évolué en dents de scie et tenté un rebond. Vers 16h, le baril de brent valait 32,08 dollars à Londres. Le cours du light sweet crude (WTI) était coté, quant à lui, 31,52 dollars à New York.

 

Faute de temps, un timing serré, vous êtes au bureau, à domicile, où que vous soyez, vous n’avez rien préparé à dîner ou encore vous recevez des invités. Vous voulez manger une paëlla, une pizza, du couscous, des nems…Ce n’est grave et la situation n’est pas désespérée. Il existe un service de commande de repas en ligne et de livraison à domicile. Quel que soit l’heure de la « fringale ». C’est simple, rapide et pratique ! Les maîtres mots de la start-up Hellfood Algérie(https://dz.hellofood.com/).

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De chez Quick Wok , les nems frais aux légumes, au poulet ou au saumon ou encore la commande du plat à base de yakitori à emporter. De nombreuse restaurants réputés comme La Cantine, Woodpecker , Erriane et Timlilith pour le couscous et la cuisine orientale, Delizioso et le Forestin pour les pizzas, le Taj Mahal pour la cuisine indienne…Soit une liste de 54 restaurants. Et elle ne cesse de s’allonger. Bref, Hellofood, la surprise actuelle du chef. Bon app’( appétit et application).