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L'Etat incapable de résoudre le conflit La visite de Abdelmalek Sellal à Ghardaïa, le 14 janvier dernier, n’a rien réglé. Les affrontements entre Arabes et...
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La tension se réinstalle Nuit de violences à Ghardaïa. Plusieurs quartiers populaires de la ville ainsi que des ksour mozabites, notamment celui de Mélika, ont...
«Fausse pénurie» et vraies perturbations Le ministère du Commerce nie toute diminution dans les quotas de la poudre de lait livrés aux laiteries. A l’issue d’une...
Sports
L'Algérie bat l'Angola sans convaincre Trois victoires consécutives pour les handballeurs algériens seniors qui ont infligé, hier à la salle Hacène Harcha,...
«L'EN d'Algérie est une belle formation» Juste après le match ayant opposé le Maroc au Congo, comptant pour la 2e journée de la CAN-2014 de handball, nous avons posé...
Retour réussi pour Messaoud Après une absence prolongée, due à une intervention au genou, l’animateur de jeu de l’ASO Chlef, Mohamed Messaoud, a...
L'éternel insurgé Le théâtre Mahmoud Triki de Guelma a abrité durant quatre jours (du 15 au 18 janvier courant), un colloque international...
Deux prix pour le groupe Babylone La première édition des Algerian Music Awards (Ama), organisée jeudi soir à Alger, a doublement consacré le groupe...
La visite de Abdelmalek Sellal à Ghardaïa, le 14 janvier dernier, n’a rien réglé. Les affrontements entre Arabes et Mozabites ont repris de plus belle depuis trois jours, soulevant du coup des questions sur l’utilité d’une telle initiative.
Pour donner corps à sa «feuille de route» pour le retour de la paix à Ghardaïa, le Premier ministre a profité d’une fête religieuse, le Mawlid Enabaoui, pour tenter de sceller la paix entre les deux communautés. Mais l’œuvre s’est avérée être beaucoup plus périlleuse que le pensaient les autorités qui ont opposé une solution de replâtrage à un problème éminemment politique. Et comme les châteaux de cartes ne durent que le temps d’une accalmie, l’initiative de Sellal et de son gouvernement s’apparente plus à une arlésienne qu’à un messie venu réconcilier deux antagonistes.
A un problème purement politique, qui peut avoir des ramifications qui dépassent les frontières des cinq cités de la vallée du M’zab, le gouvernement a distribué des terrains et «offert» des indemnisations pour 150 maisons et commerces endommagés. En contrepartie, face à un parti pris flagrant de certains policiers et les multiples dénonciations de la population locale, les autorités sont restées muettes. Et même lorsque des «sanctions» sont annoncées, comme c’est le cas de la part d’un haut cadre de la DGSN, le gouvernement reste dans le flou. Plusieurs semaines après les faits, la DGSN menace de sanctionner d’éventuels responsables. Pourtant, les images diffusées depuis quelques jours sur les réseaux sociaux ne permettent aucune ambiguïté : des jeunes qui jetaient des pierres derrière un mur qui protège la cité de Mélika et des policiers, en uniforme, qui observent la scène. C’est donc le même scénario qui se répète. «Même lorsque nous appelons le commissariat, les policiers répondent qu’ils ne peuvent rien faire et qu’il attendent les instructions d’en haut», témoigne, dépité, un jeune habitant de Mélika. Notre interlocuteur, qui était en rassemblement hier devant la Maison de la presse, a indiqué que son habitation a été incendiée, ainsi que six autres ksour.
Une tribune de choix, des communications de qualité.
Le théâtre Mahmoud Triki de Guelma a abrité durant quatre jours (du 15 au 18 janvier courant), un colloque international consacré à Kateb Yacine, rehaussé par la présence de spécialistes et hommes de lettres.
Les communications sur Kateb Yacine ont déferlé à un rythme rapide et effréné, et ce, au prorata de l’extraordinaire profusion et diversité des thèmes engendrés par une œuvre fascinante et plurielle, livrés par des spécialistes et hommes de lettres d’ici et d’ailleurs, comme la Tunisie, le Liban, la Pologne, la France, la Corée du Sud, la Côte d’Ivoire… Nous aurons remarqué quelques absences, — mais non défections —, comme celle de Charles Bonn, qui est, nous a-t-on fait savoir, souffrant, ou celle encore du poète et rédacteur en chef du journal égyptien Al Ahram, Ahmed Shahawy, dont on nous communiquera «l’extrême désolation de ne pas avoir réussi à obtenir un visa pour l’Algérie».
Pourtant, sa présence sur cette terre de tous les combats pour la dignité n’aurait-elle pas acquis toute sa symbolique, eu égard à son engagement sans faille contre l’obscurantisme, et ses courageuses prises de position, d’autant plus qu’il a été «condamné à mort par les Frères musulmans» ? Entre vendredi et hier, nous aurons assisté à une grand nombre de conférences, dont nous livrons ici quelques titres : «A propos de poèmes inédits de Kateb Yacine de 1950/1951», de Chloé Money (doctorante à l’université de Bordeaux (France). La très jeune doctorante a relevé un aspect absolument inédit, lié au personnage controversé de Staline. Se basant sur différentes recherches de l’époque, la conférencière pose la question de savoir pourquoi Kateb Yacine, «homme subversif, engagé, révolté par définition, n’a jamais critiqué Staline ?»
Aucune force étrangère sur le territoire algérien selon Lamamra
le 19.01.14 | 15h05
Le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a affirmé dimanche à Alger qu'aucune force étrangère n'était présente sur le territoire algérien.
Animant une conférence de presse conjointe avec son homologue malien, Zahabi Ould Sidi Mohamed, M. Lamamra a fait savoir qu'il n'y avait pas de forces étrangères sur le territoire algérien.
Interrogé sur le survol de drones sur la frontière algéro-tunisienne, il a indiqué que « d'après nos informations, il n'y a pas de drones du côté tunisien ».
M. Zahabi accompagne le président Malien, Ibrahim Boubacar Keita, qui effectue une visite de travail et d'amitié en Algérie
Actualité
Sports
21e édition du Championnat d’Afrique des nations de handball (groupe B)
Trois victoires consécutives pour les handballeurs algériens seniors qui ont infligé, hier à la salle Hacène Harcha, sa première défaite à la formation de l’Angola 23-19 (mi-temps 12-8) pour le compte du tour préliminaire du Championnat d’Afrique de handball 2014 (groupe B).
Les Verts, qui ont éprouvé des difficultés vendredi soir pour vaincre le RD Congo, ont fait montre de la même prestation hier. A court de concentration, les Algériens n’ont pu développer leur véritable jeu. Un manque d’inspiration qui a permis aux Angolais d’espérer. L’absence de Mokrani, pour blessure, a été ressentie par l’équipe. Fort heureusement que Slahdji a confirmé qu’il est jusqu’ici le meilleur gardien de ce championnat. Il a redonné confiance à ses coéquipiers qui n’étaient pas dans le coup. En effet, durant les premières minutes de jeu, les camarades de l’excellent Boultif, soutenus par leurs nombreux supporters, ont ouvert le score par Rahim.
Présidentielles:2014
Présidentielle: 15 candidats ont retiré les formulaires de souscription de signatures
le 19.01.14 | 16h40
Quinze (15) candidats à l'élection présidentielle, prévue le 17 avril prochain ont, jusque-là, retiré les formulaires de souscription de signatures individuelles, a annoncé dimanche à Alger le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Tayeb Belaiz
Dans une déclaration à la presse à l'issue du vote à l'APN du projet de loi relatif aux titres et documents de voyage, M. Belaiz a indiqué que son département "a reçu, samedi, ces candidats venus retirer les formulaires de souscription de signatures individuelles relatifs à la candidature à l'élection présidentielle du jeudi 17 avril", sans citer les noms de ces derniers.
"Le retrait des formulaires de souscription de signatures individuelles pour les postulants à la candidature à l'élection présidentielle du jeudi 17 avril se fera à partir de samedi (hier) au siège du ministère", avait annoncé vendredi un communiqué du ministère de l'Intérieur. En vertu de la loi organique 12-01 du 12 janvier 2012 relative au régime électoral, les postulants à la candidature à cette élection peuvent, et ce à partir d'hier, se présenter au ministère de l'Intérieur pour retirer les formulaires de souscription de signatures individuelles. "La remise de ces formulaires intervient sur présentation par le candidat d'une lettre adressée à M. le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, annonçant son intention de constituer un dossier de candidature à l'élection à la présidence de la République", avait expliqué la même source.
Les postulants à la candidature auront, à partir de la date de publication du décret relatif à la convocation du corps électoral, 45 jours pour le dépôt de leurs dossiers, selon les dispositions de l'article 137 de la loi organique. Pour briguer un mandat présidentiel, les candidats seront tenus, conformément à l'article 139 de la loi de janvier 2012, de présenter une liste comportant au moins six cents (600) signatures individuelles de membres élus d'assemblées populaires communales, de wilayas ou parlementaires réparties au moins à travers vingt-cinq (25) wilayas.
Dans l'incapacité de réunir les signatures d'élus locaux ou nationaux, les candidats ont la possibilité de collecter 60.000 signatures individuelles d'électeurs recueillies à travers au moins vingt-cinq (25) wilayas. Cette opération fait suite à la signature par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, du décret portant convocation du corps électoral pour jeudi 17 avril 2014.
ECONOMIE
Rachat du français Fagor Brandt : Cevital seul postulant
Rebrab devra passer par une autorisation de la Banque d’Algérie afin de transférer l’argent nécessaire au rachat de l’usine française.
Cevital a été retenu seul repreneur éventuel de l’usine Fagor Brandt en cessation de paiement en France après le retrait de tous ses concurrents. L’homme d’affaire Issad Rebrab a déposé, selon la procédure exigée, une proposition de rachat avant la fin du délai fixé au 17 janvier 2014 à 17h, alors que le chinois Haier, le turc Beko et le mexicain Mabe ont préféré se retirer. D’autres repreneurs parmi les grands noms de l’électroménager ont manifesté, selon le journal français Le Figaro, leur intérêt tels que Bosch-Siemens, Whirlpool et Candy, mais n’ont fait finalement aucune offre de reprise de l’entreprise en liquidation.
Rebrab sera fixé sur le sort de sa demande de reprise au cours du mois prochain, après l’examen du dossier par l’administrateur judiciaire du groupe d’électroménager. Il est à noter cependant que l’issue de l’offre de Cevital se joue plus en Algérie qu’en France, puisque Rebrab devra passer par une autorisation de la Banque d’Algérie afin de transférer l’argent nécessaire au rachat de l’usine française. Selon le site d’information Algérie patriotique qui a révélé, il y a quelques semaines, l’intention de l’homme d’affaires de racheter l’usine française, une demande de dérogation de la Banque d’Algérie aurait déjà été introduite par Cevital en vue effectuer la transaction en France. Une autorisation qui n’est pas simple à obtenir, étant donné les restrictions sur le transfert de monnaie imposées depuis quelques années.
En cas de refus, il restera peut-être à Rebrab la possibilité de faire racheter l’usine par une de ses filiales à l’étranger. S’il est allé jusqu’au bout de son projet, en formulant officiellement sa demande de rachat, Rebrab doit avoir imaginé les solutions possibles, surtout qu’il bénéficie apparemment d’un soutien de taille, en la personne du ministre français du Redressement productif, Arnaud Montebourg. Ce dernier semble voir d’un très bon œil sa démarche de rachat en France, d’entreprises en difficulté. Un souhait que le ministre français avait d’ailleurs publiquement exprimé, en souhaitant «voir de grands groupes algériens investir et produire en France», lors du comité économique algéro-français qui s’est tenu en décembre 2013 à Alger. Il est à rappeler que pour sa part, Rebrab n’en est pas à son premier coup d’essai dans sa quête de rachat d’entreprises en crise en France.
IL ANNONCERA CE MATIN SA CANDIDATURE Ali Benflis, le retour
Ali Benflis présente aujourd’hui, à l’hôtel Hilton, sa déclaration de candidature pour la présidentielle du 17 avril 2014. Un retour qui marque la fin de dix années de retrait de la scène politique algérienne.Suite...
Ali Benflis présente aujourd’hui, à l’hôtel Hilton, sa déclaration de candidature pour la présidentielle du 17 avril 2014. Un retour qui marque la fin de dix années de retrait de la scène politique algérienne. Tarek Hafid - Alger (Le Soir)- 20 avril 2004-19 janvier 2014. Ali Benflis ferme aujourd’hui une longue parenthèse qui aura duré dix ans. Candidat du Front de libération nationale à la présidentielle de 2004, il démissionne officiellement de son poste de secrétaire général. L’homme accepte sa défaite et remet les clefs du FLN douze jours après le scrutin. Ce parti ne s’en relèvera jamais. Les «redresseurs» prennent le dessus et écartent les «légalistes». Organisé en mars 2005, le 8e congrès-bis du FLN finira par effacer toute trace «organique» de Benflis. Abdelaziz Bouteflika est désigné «président d’honneur du FLN» au terme de ce congrès. Présenté comme étant un poste honorifique, ce statut lui permet, en fait, de jouir de très larges prérogatives. Il ne veut plus se permettre d’être confronté à la situation de 2003 lorsqu’il a failli perdre le contrôle du Front de libération nationale. Bouteflika avait alors actionné l’administration et la justice pour le récupérer. De son côté, Ali Benflis se fait discret. Il se retire de la vie publique mais suit avec attention l’actualité. L’homme garde une réelle influence au sein du parti qu’il a dirigé. Au niveau des structures de base notamment où les légalistes parviennent à contrer le semblant d’autorité que tente d’imposer Abdelaziz Belkhadem sur les mouhafadhas et les kasmas. En 2007, un groupe de militants crée la Cellule centrale de suivi du FLN dans un salon de thé de Sidi-Fredj. Proches de Ali Benflis, les initiateurs de cette structure parallèle rallient à leur cause d’ex-redresseurs. La cellule de suivi constituera l’embryon des «néo-mouvements de redressement». Ceux qui finiront par éjecter Abdelaziz Belkhadem de la direction du FLN en janvier 2013. Revenir en politique a toujours été un objectif de Benflis. Mais plus jamais en qualité de secrétaire général du FLN, parti dont il est resté militant. Le retour est juste une question de temps. L’option d’une participation à la présidentielle d’avril 2009 n’est pas retenue. Il profite encore de ce troisième quinquennat pour renforcer ses réseaux, écrire (il publie deux livres :: La vie du Chahid Benflis Touhami, dit Si Belgacem et A ceux qui m'ont fait découvrir le génie de la langue arabe) et peaufiner son programme. Ces trois dernières années, Benflis multiplie les déplacements à travers toute l’Algérie. Ses proches assurent que la décision de se présenter à la présidentielle d’avril 2014 est antérieure à la maladie du Président Bouteflika. Le candidat à la magistrature suprême est prêt à mener une nouvelle bataille. Aujourd’hui, ses comités de soutien sont présents dans toutes les wilayas et même à l’étranger. Mais avant de se lancer, il devra expliquer à l’opinion publique les raisons de son retrait et de son long silence. C’est justement l’exercice auquel il se livrera, aujourd’hui, en prononçant sa déclaration de candidature face à la presse. T. H.
Le budget de la santé a quadruplé en l’espace de quelques années. Une augmentation qui n’a d’égale que l’insatisfaction exprimée aussi bien par les usagers de la santé, les professionnels et les responsables. La mauvaise gestion est pointée du doigt. Le ministre entend profiter des expériences étrangères pour que les prestations de services dans les hôpitaux s’améliorent. Nawal Imès- Alger (Le Soir) Les sommes colossales injectées dans le secteur de la santé ne se traduisent pas par une politique de santé efficiente. En cause, la mauvaise gestion présentée comme étant le chaînon manquant dans l’ensemble du système mais pas seulement : le manque d’investissement dans la ressource humaine est également mis à l’index. De l’avis même du ministre de la Santé, il est «difficile de se fixer des priorités». Abdelmalek Boudiaf s’exprimait devant les professionnels du secteur réunis à l’occasion d’un colloque international consacré aux politiques de santé. Il y a reconnu la nécessité de réformer le système de santé en modernisant les systèmes de gestion et en améliorant la prise en charge des ressources humaines. Il est temps, selon Boudiaf, de passer en la matière d’une formation quantitative à une autre étape plus qualitative. Au cours de ce colloque, le système de santé dans tous ses aspects a été disséqué. Le Pr Chachoua, qui a fait une rétrospective de ce dernier depuis l’indépendance, a démontré comment le budget alloué au secteur n’a cessé d’augmenter sans que cela ait d’impact réel sur l’amélioration des prestations. Selon une enquête menée en 2011, l’insatisfaction est aussi grande chez les professionnels, chez les usagers mais également chez le principal fournisseur d’argent, à savoir l’Etat. Et pour cause, cinquante années après l’indépendance, le système est resté incohérent avec un secteur parapublic qui a disparu, un secteur public dépassé et un secteur privé essentiellement implanté dans les grandes villes. Les données épidémiologiques ont, quant à elles, également changé, imposant un changement de stratégies. Les maladies non transmissibles sont devenues facteur de risque numéro un. 60% de la mortalité est due à ces maladies non transmissibles qui nécessitent une riposte urgente. Autre symptôme desdysfonctionnements du système de santé, le manque de vision globale, ce qui impose souvent aux patients un nomadisme médical qui n’est pas sans conséquences sur leur prise en charge médicale. La restructuration des structures sanitaires a été pointée du doigt et une nouvelle organisation de ces dernières est en réflexion. Les participants au colloque international continueront aujourd’hui de disséquer le système national et d’exposer les expériences étrangères. Leurs recommandations serviront à enrichir la réflexion déjà en cours au sujet de la réforme du système de santé.
Loi et carte sanitaire Le processus de révision en bonne voie Le processus devant mener à des changements au niveau de la carte sanitaire et de la loi sanitaire datant de 1985 est en bonne voie, selon le ministre de la Santé. Le projet portant modification de la carte sanitaire a été finalisé et se trouve actuellement au niveau de la chefferie du gouvernement. La loi sanitaire continue, elle, de faire l’objet d’enrichissement et de discussions avec les différents acteurs avant que la mouture finale ne soit présentée.
Les assises nationales se tiendront en mars Les assises de la santé, initialement prévues pour le mois de février, se tiendront finalement au mois de mars. Elles réuniront tous les acteurs du secteur qui «contribueront à la mise en place de nouvelles bases plus adaptées aux transformations que connaît la société algérienne et ce, dans l’optique de promouvoir la santé en Algérie», selon le ministre de la Santé. N. I
Le ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques a décidé d’autoriser l’exploitation du corail à partir du mois d’avril prochain. Une décision qui n’est pas du goût du Comité national des marins-pêcheurs. Le comité, qui ne peut pas imposer son diktat pour annuler cette décision, demande au ministre de tutelle d’interdire les partenariats avec les étrangers. Salima Akkouche – Alger (Le Soir) La décision du département de Sid Ahmed Ferroukhi d’autoriser la pêche du corail a irrité le président du comité national des marins-pêcheurs, Hocine Bellout. Ce dernier a expliqué, hier, lors d’une conférence de presse animée au siège de l’UGCAA, de Salah Souilah, qu’il faudra attendre au minimum cinq ans pour procéder à l’exploitation du corail. Et pour cause, selon M. Bellout, la taille du corail est actuellement de 28 millimètres, or cette ressource doit atteindre 10 à 15 centimètres pour avoir le droit de l’exploiter. Le comité national des marins-pêcheurs est, cependant, conscient qu’il n’a pas son mot à dire dans la décision du ministère de tutelle. A défaut de lui demander de faire marche arrière, une sollicitation qui va tomber dans l’oreille d’un sourd, le comité demande d’interdire les partenariats avec les étrangers et de laisser les Algériens exploiter eux-mêmes cette ressource. L’intervenant a indiqué, par ailleurs, que depuis 2000, l’année d’interdiction de la pêche du corail, jusqu'au début de cette année, 14 tonnes de corail ont été saisies. «Ce sont principalement les Italiens et les Tunisiens qui ont appris aux Algériens cette pratique du vol et du trafic du corail», a soutenu l’intervenant, pour justifier son refus d’associer les étrangers à l’exploitation du corail en Algérie. Le comité des marins-pêcheurs a également évoqué la pêche du poisson. Une pêche qui, selon ses dires, n’obéit à aucune règle. «Nous continuons à utiliser des camions en bois et des filets alors qu’ils sont interdits ailleurs», a indiqué le conférencier. Ce dernier pointe du doigt l’Entreprise de gestion des ports de pêche qui ne fait pas son travail de contrôle. M. Bellout a, par ailleurs, rappelé que l’Algérie dispose de 31 ports de pêche, de 4 255 unités de pêche et 55 000 marins-pêcheurs. S. A.
La reprise du championnat d'Algérie de Ligue 2 professionnelle avec le déroulement de la 16e journée, n'a pas apporté de changements en tête de classement, après le nul concédé par le trio, ASM Oran, USM Bel-Abbès et USM Blida, tandis qu'en bas de tableau, l'ES Mostaganem a essuyé sa 16e défaite de la saison face à l’AS Khroub (0-1) et se dirige tout droit vers le championnat amateur. Le choc de cette journée entre l'ASM Oran (1er) et l'USM Blida (3e) disputé à Oran, n'a pas connu de vainqueur (1-1). Un score de parité qui arrange beaucoup plus les visiteurs, lesquels confirment leur troisième place au classement. En revanche, l'ASM Oran qui restait sur une victoire face au MC Saïda lors de la dernière journée de la phase aller (2-0), a mal entamé la seconde phase du championnat. Pourtant, les hommes de Kamel Mouassa ont ouvert la marque par Belaalem à la 35e minute, mais les visiteurs ont égalisé par Djilali juste avant la pause . De son côté, l'USM Bel-Abbès a été accrochée par le premier relégable le CA Batna (0-0). Les coéquipiers de Belkaïd on raté une belle occasion pour prendre seuls les commandes du championnat. La belle opération de la 16e journée est à mettre à l'actif de l'US Chaouïa et le WA Tlemcen, vainqueur respectivement du NA Hussein-Dey (2-0) et du MSP Batna (1-0). L'USC a bien préparé son match de coupe d'Algérie face au MC Alger en dominant le NAHD, l'un des prétendants à la montée grâce à un doublé de Youssef-Khodja (6’ et 63’). Le WA Tlemcen a souffert de son côté pour s'imposer contre le MSP Batna 1- 0 grâce à un but de Tyouli à la 43e minute. A la faveur de leur succès, l'USC et le WAT se hissent à la quatrième place à trois longueurs des deux premiers. En revanche, les Sang et Or du NAHD reculent à la septième place avec 25 points en compagnie de l'O Médéa, l'autre grand perdant de cette journée, après sa surprenante défaite à domicile devant le MC Saïda (1-0) dans un match émaillé d'incidents et qui s'est arrêté à la 90’+2 suite à l'agression de l'un des arbitres assistants. En bas de classement, les journées se suivent et se ressemblent pour la lanterne rouge l'ES Mostaganem, qui a concédé sa 16e défaite face à l'AS Khroub (1-0). Une nouvelle défaite sur sa pelouse qui confirme le malaise profond de l'équipe qui a mis un grand pied en division amateur. Les deux équipes de Batna connaissent une saison difficile et devront lutter jusqu'à la fin pour sauver leur peau, tout comme l'USM Annaba (13e) qui s'est inclinée face à l'A Bou-Saâda (1-0) dans un match de mal classés.
Pour leur deuxième sortie dans cette 21e CAN, les Verts ont pris difficilement le meilleur sur le Sept de la RD Congo sur le score de 26 à 23. C’est loin d’être une surprise puisque cette même équipe congolaise a failli éliminer l’Algérie en quarts de finale lors de la dernière CAN de Rabat (Maroc). Pour revenir à la rencontre, on dira que la RD Congo a réalisé un excellent match se permettant le luxe de faire douter cette équipe algérienne, pourtant poussée par toute une salle. Après un bon début des Algériens qui menaient 7 à 2 au quart-d’heure de jeu, les Congolais par l’entremise de leur capitaine Audrey allaient revenir peu à peu au score et, nonobstant la réplique algérienne bien emmenée par un Berkous des grands jours, ils obligent les protégés de Zeguelli de prendre une avance de trois buts (12 9) à la pause. En seconde mi-temps, les Congolais auraient pu égaliser à plusieurs reprises si ce n’était la verve de Slahdji qui réalise un très grand match. Néanmoins, à un quart-d’heure de la fin, le Congo revient à 18 partout et il a fallu le sursaut du public pour que les Verts reprennent l’avantage et battent le RD Congo sur le score de 26 à 23. Comme lors de la première journée disputée jeudi, les postulants au titre, menés par le champion sortant tunisien, n’ont éprouvé aucune peine, chez les messieurs, à confirmer leur statut de favoris. En plus de la Tunisie, en roue libre contre le Gabon, le tandem d’outsiders, l’Algérie et l’Egypte bien en jambes, ont été au rendez-vous et lancé un autre message que la lutte à la couronne sera rude. En appel dans le groupe «B» contre une redoutable sélection congolaise du COD toujours aussi difficile à jouer, comme le prouve une première mi-temps serrée (11/9), les Algériens, poussés souvent dans leurs derniers retranchements, ont éprouvé d’énormes difficultés à contrôler les débats et à se défaire d’un vis-à-vis physiquement au point, en plus d’un potentiel technique appréciable. Sans trembler toutefois, ils feront la différence (26/23) au terme d’un combat de tous les instants. Le Maroc, surpris jeudi par l’Angola qui se révèle encore une fois au public algérien en ne faisant pas de détails (27/19) devant le Nigeria avec une seconde victoire de rang de suite et reste dans le sillage de l’Algérie, semble avoir digéré sa mauvaise entame en se reprenant de fort belle manière face au Congo qu’ils ont dominé sur une marge sécurisante de treize buts d’écart (score final 36-23) après avoir déjà fait le trou en première période. Les «Lions de l’Atlas» se relancent ainsi dans la compétition et peuvent toujours espérer continuer l’aventure. Dans le groupe «A», le duel à distance entre la Tunisie et l’Egypte, en appel respectivement face à de modestes Gabonais et d’imprévisibles Camerounais, continue de plus belle en attendant la superbe affiche, le sommet prévu mardi prochain, en fin de soirée à la salle Harcha. Les «Aigles de Carthage», comme les «Pharaons», en bons leaders avancent tranquillement vers les tours principaux. Dans la même poule «A», le Sénégal était en démonstration face à la Libye qui n’a pas pesé lourd pour l’occasion en s’inclinant logiquement sur le score sans appel de 25 à 35, les «Lions de la Téranga» ayant pris option sur un succès mérité, dès l’entame de la partie et une première mi-temps (13-19) sans problème. Chez les dames, le fait du jour est bien sûr le réveil de l’Algérie qui, cette fois, n’a pas raté la marche. Désireuses de se racheter après le nul (27 27) concédé lors de l’entame du tournoi face au Sénégal qui n’a pu continuer sur sa lancée en négociant mal l’obstacle congolais de la République démocratique (20 24) après avoir perdu l’ascendant déjà lors du 1er half (7-12), les Algériennes, qui ont ouvert la 2e journée, étaient confrontées à un accrocheur sept camerounais qui restait sur un faux-pas et donc dans l’obligation de réagir. Pour ce faire, elles ont sorti le grand jeu et pu, grâce notamment à une Samira Sahabi des grands jours, qui a annihilé de nombreuses tentatives adverses, et portées par un public tout acquis à la cause, signer à l’arrivée un joli succès (26/21) qui préserve intactes leurs chances de qualification au prochain tour et doivent patienter jusqu’à aujourd’hui, (dimanche), contre cette même sélection congolaise et le match pour le leadership du groupe «A»où l’on verra un peu plus clair quant aux prétentions des uns et des autres, alors que le groupe «B» observait une petite pause et avant de reprendre un très déséquilibré Angola-Guinée. O. K. Ils ont dit
Réda Zeguili (sélectionneur-Algérie) : «Nous nous attendions à un match difficile après la rencontre facile de jeudi contre le Nigeria. Certains joueurs avaient la pression qui, heureusement, s'est dissipée au fil des minutes. Cette équipe de la RD Congo nous pose toujours des problèmes, comme c'était le cas lors des quarts de finale de la CAN-2012 au Maroc. Nous allons essayer de corriger nos lacunes, notamment en attaque, lors des prochains matches, à commencer par celui de samedi contre l'Angola qui a le même niveau que nous. J'espère que nous allons continuer à monter en puissance.»
Tuzolana Francis (sélectionneur-RD Congo) : «Nous enregistrons notre seconde défaite du tournoi après celle de jeudi contre le Congo mais aujourd'hui (vendredi), mes joueurs ont bien joué et ça leur tenait à cœur de faire un bon résultat contre l'Algérie. Notre objectif n'a pas changé, c'est-à-dire se qualifier en quarts de finale et nous n'allons pas y renoncer. C'est avec des matches comme ceux contre l'Algérie qu'on apprend.»
Ryad Chahbour (arrière-Algérie) : «C'est notre 2e victoire du tournoi qui nous fait beaucoup de bien. Nous n'avons pas sous-estimé la RD Congo qui a beaucoup de qualités. Samedi contre l'Angola, ce sera plus difficile.»
Tuzolana Audrey (capitaine-RDC) : «C'est frustrant de perdre encore contre l'Algérie après la défaite de 2012. Nous avons manqué notre objectif, l'Algérie a bien joué le coup et a gagné, félicitations.»
Zamoum Anis (arrière-Algérie) : «La RDC est une bonne équipe dont 14 ou 15 joueurs évoluent en Europe, ce qui explique les difficultés rencontrées. Nous avons tout fait pour gagner, c'est l'essentiel. Il faut gérer match par match. Contre l'Angola ce sera aussi difficile.»
Sassi Boultif (arrière-Algérie) : «On savait qu'on allait affronter une bonne équipe qui nous a encore posé des problèmes, comme en 2012 au Maroc. Ils ont reproduit le même jeu. Ce qu'il faut retenir, c'est la victoire car la manière n'était pas au rendez-vous. Il va falloir se concentrer maintenant sur les autres matches.» Mokrani Mouloud (pivot-Algérie) : «C'est toujours difficile de manœuvrer ce genre d'équipes. On s'est mis en difficulté en première mi-temps en ratant plusieurs occasions puis après la pause, nous étions crispés et on avait du mal à se lâcher. Il va falloir être plus performant contre l'Angola, il faut évoluer étape par étape. Rahim et Berkous ont pris leur responsabilité en attaque, quant à Slahdji, il a fait des arrêts qui nous ont fait du bien.»
Slahdji (gardien-Algérie) : «J'étais bien concentré, mes défenseurs m'ont beaucoup aidé. Nous n'avons pas montré notre vrai visage, on a perdu beaucoup de balles en attaque mais récupérer des ballons en défense. Je m'attendais à cette difficulté, l'essentiel c'est la victoire.»
Amar Saâdani veut la tête de Sellal. Quand tu vois la…
… sienne, tu comprends qu’il veuille en changer !
Est-il revenu du Val en avion ? J’ai de sérieux doutes là-dessus, à lire les comptes rendus de la presse exemplaire. A voir comme ça, je serais plus enclin à penser que l’homme a traversé la mer à la nage, comme une sorte de mise en bouche avant la campagne qu’il va sûrement battre à plates coutures. Parce qu’à ce niveau de forme étincelante, ile ne va pas se contenter d’une seule campagne comme Sellal. Non ! Il va en faire deux, parallèles. Un truc jamais fait auparavant, mais que lui, tellement, au top de ses capacités physiques va réussir à faire. Il sera dans deux wilayas en même temps ! Eh ouais ! Tu ne t’attendais pas à ça, petite nature, hein ? Et pourtant ! Les nanas et les mecs massés aux meetings ne vont rien y comprendre. Au même moment, à la seconde près, il sera, à titre d’exemple, à Laghouat et à Constantine. Ne me demande surtout pas comment il va faire ni quelle est sa recette. Il est hors normes en ce moment. Mais tout cela, cette forme olympique ne va pas sans poser quelques problèmes, avant même d’aborder dans le détail les deux campagnes électorales qu’il va mener. J’ai dit «deux campagnes» ? Rectificatif. J’ai sous-estimé ses capacités. En fait, c’est trois campagnes en même temps qu’il va faire ! Quels sont les problèmes induits par sa santé insultante ? Eh ben… des problèmes pour le sélectionneur national de football. Vahid ne peut plus faire l’impasse sur la sélection de Abdekka au sein du groupe mondialiste qui ira nous représenter au Brésil. S’il ne le retient pas dans les 22, ça serait de la Hogra, injuste. Et ça m’obligerait surtout – alors que je me l’étais interdit jusque-là — à intervenir dans le conflit entre Raouraoua et Vahid. La non-sélection de Boutef’ obligera le président de la FAF à prendre enfin ses responsabilités en limogeant le Bosnien. On ne peut pas garder un entraîneur qui est aveugle à ce point. Tout coach sensé, compétent et qui souhaite gagner la prochaine Coupe du monde par 5 à 0 face au pays hôte, le Brésil, se doit d’intégrer de facto dans son équipe Abdekka. Et surtout de lui donner le brassard. Mais en même temps, quand tu as dit ça, tu n’as rien dit ! Pourquoi ? Réfléchis un peu, gros malin ! Et Sotchi ? Oui ! Sotchi ! Tu y as pensé aux Jeux olympiques de Sotchi, en Russie, dans quelques jours ? Autant, avant, je comprenais parfaitement que l’Algérie n’envoie personne à ces jeux d’hiver. Mais maintenant, avec le retour en forme extraordinaire, extra ordinaire de Abdekka, faire l’impasse sur Sotchi, c’est se priver de médailles certaines. Et je mets un S à médailles. Tu sais pourquoi ? Parce qu’à Sotchi aussi, comme pour les campagnes électorales, l’athlète Boutef’ sera aligné sur plusieurs épreuves se déroulant exactement au même moment. Il sera sur le tremplin de saut et sur le parcours de combiné nordique. Et nous, où on sera pendant ce temps-là ? Tu oses me poser la question ? J’avais cru que t’avais compris. Eh bien, nous, on sera sous la neige. Six pieds sous la neige. Et tu sais quoi ? Eh ben, à ce stade-là du miracle, il ne nous restera plus qu’à la fumer, cette neige pour espérer rester éveillés à ce cauchemar qui continue. H. L
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