UN CRIME CRAPULEUX EN EST À L’ORIGINE Émeutes à Chéraga
La situation a failli de peu dégénérer, hier, à Chéraga, dans la banlieue ouest de la capitale puisque des émeutes ont émaillé une partie de la localité avec toujours le même élément déclencheur, commun à toutes les révoltes que connaissent nombre de villes aux quatre coins du pays, le sentiment d’injustice. ...Suite
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Météo Algérie annonce une nouvelle vague de froid à partir de vendredi. La Protection civile renforce ses cellules de crise. L’Office national de météorologie a annoncé, hier, un nouveau bulletin. Selon ce dernier, la région nord connaîtra à partir de demain un ennuagement progressif au cours de l'après-midi, voire en début de soirée. Quelques pluies résulteront de l’arrivée d’une perturbation venue de l’Ouest. Celle-ci entraînera une nouvelle vague de froid, et ce, à partir de vendredi, le temps sera instable et de fréquentes averses s’abattront sur la majeure partie de la région, de fortes pluies ainsi que de la grêle sont attendues. Ces précipitations seront beaucoup plus prononcées dans les régions du Centre et de l’Est. L’Office national de météorologie annonce également que des chutes de neige seront observées à partir de demain soir sur les régions s’élevant à plus de 800 m d’altitude et à plus de 600 m dans la région est. Les températures varieront entre 10° et 13° C au niveau du littoral et entre 3 et 6° C vers l’intérieur. Quant aux vents, ils seront généralement faibles à modérés, mais des rafales sous orages perturberont le cours du week-end, notamment sur les régions du littoral. Alors que pour les régions sud, Météo Algérie annonce un temps partiellement nuageux et assez froid, notamment dans le nord du Sahara. Les températures maximales varieront, quant à elles, de 10°C à 24°C. Malgré les différents efforts de déneigement, des villages, notamment dans les régions de Kabylie et Sétif, restent toutefois isolés. Plusieurs administrations, telles que Sonelgaz et Algérie Télécom tentent tant bien que mal de faire face à la situation. La Protection civile a installé des cellules de crise afin de limiter les accidents. Tous les moyens de déneigement ont été mobilisés dans les communes concernées, des équipes d’intervention se relayent pour assurer la fluidité de la circulation et le bienêtre des citoyens. Darine Hassani
Et le 1er prix est attribué à… Tata Louisa ! |
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Par Hakim Laâlam Email : laalamh@yahoo.fr |
Nouveau rebondissement dans l’affaire de la bigamie présumée de Nadir Belhadj. Le joueur pourrait être blanchi de toute accusation grâce à un témoignage-clé.
Celui de sa 3e épouse !
Il faut être juste avec cette dame ! Quand il a fallu lui tomber dessus à bras raccourcis, ici même, je ne m’en suis pas privé. Mais là, désolé, faut lui rendre l’hommage qu’elle mérite, Tata Louisa ! Seule sur la scène, dans un one-women-show extraordinaire d’intensité imitée, en prenant à sa charge tout le décor en carton pâte, en réglant seule les lumières en faux jour et les spots en trompe-l’œil, Tata a réussi là où des dizaines de partis déjà fabriqués et des centaines sur le point de l’être ce mercredi ont échoué : elle crée l’illusion d’une vie politique animée, équilibrée, passionnante, prenante, mordante, diversifiée, contradictoire, consistante, intelligente et toute en projection sur le futur du pays. Attention ! Ce n’est pas une mince affaire. Il n’est pas donné au premier venu de faire ainsi tourner la vieille dynamo partisane en Algérie. Tata Louisa n’a pas son pareil, ni sa pareille d’ailleurs en la matière. Quand vous l’entendez à une tribune, criant à l’infiltration massive du mouvement associatif algérien par la CIA, vous y croyez tellement que vous soupçonnez votre épicier d’être un James Bond dormant dans son échoppe, au fond de votre crasse cité, attendant juste l’ordre de Langley pour attaquer tout seul le Palais d’El Mouradia. Lorsque vous mesurez la virulence des accusations lancées lancées par Tata contre les partis islamistes, vous en venez même à douter de vos propres archives, mettant sur le compte d’un vil procédé de maquillage par Photo Shop des clichés la montrant tout sourire au conclave romain de Sant’ Egidio. Non ! Ça ne se peut pas ! Tata Louisa n’y était pas, bien sûr. On a voulu juste la salir ! Elle est tellement convaincante lorsqu’elle annonce avoir saisi Abdekka par courrier, que vous admettez fort bien que le bureau du châtelain puisse être encombré par la pile énoooooorme de lettres et de saisines envoyées par la Tata. A croire qu’elle passe son temps à lui écrire, la passionaria ! En vérité, et sans cela, mon hommage ne vaudrait rien, j’ai un regret, tout de même. Un profond regret. Pour Hollywood ! Pour Bollywood ! Pour le cinéma de manière générale. Car Tata Louisa y aurait fait un tabac, un malheur ! Et le bonheur des producteurs. Elle crée un scénario à partir de rien. Elle peut planter un décor dans une portion de désert vous donnant l’impression que vous déambulez dans Broadway, un soir de grandes premières sur les planches. Avec des bouts de ficelles, deux ou trois dés à coudre, un vieux tissu rouge défraîchi par les luttes perdues et les renoncements fructueux, Tata peut vous illusionner une Algérie plurielle et démocratique. Rien que pour ça, Yaâtik Essaha, Tata ! Ils doivent être aux anges. Là-haut, dans le Palais. Et surtout en bas. Dans la cave où se fabriquent les illusionnistes. Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H. L.
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