063-/-Actualites du Mercredi 04 Mars 2015
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Mercredi 04 Mars 2015
لأربعاء 4 مارس 2015 م
Mercredi 04 Mars 2015
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L'info en continu
Violences à l'égard des femmes : Que cesse l'impunité ! Les nouveaux textes de loi portant protection de la femme contre la violence étaient hier en débat à l’APN. La nouvelle... |
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Actualité
Violences à l'égard des femmes : Que cesse l'impunité !
Les nouveaux textes de loi portant protection de la femme contre la violence étaient hier en débat à l’APN. La nouvelle...Les Américains prêts à apporter l'appui technique
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Violences à l’égard des femmes : Que cesse l’impunité !
le 04.03.15 | 10h00
Les nouveaux textes de loi portant protection de la femme contre la violence étaient hier en débat à l’APN. La nouvelle mouture, fruit d’un long combat, n’a pas les faveurs des islamistes alors que la violence reste une plaie béante dans la société.
Une injure dans la rue, une main baladeuse dans un bus, une gifle, une brimade puis l’agression décomplexée, facile, qui a de très fortes chances de rester impunie, puisqu’en Algérie, la violence contre les femmes est rendue ordinaire par un code pénal plus que permissif. Puisqu’en Algérie, la violence à l’égard des femmes est presque culturelle. La loi prévoit des sanctions en cas d’atteinte à l’intégrité physique d’une personne, quelle qu’elle soit.
Néanmoins, cette loi ne suffit pas à protéger les femmes contre les coups et blessures, les mariages forcés, les viols, les intimidations nombreuses qu’elles subissent au sein même de leurs familles... Des membres du mouvement associatif militent depuis des années pour la création d’une loi-cadre spécifique pour lutter contre les violences faites aux femmes.
Le projet de loi portant amendement du code pénal pour renforcer cette lutte, examiné et adopté au mois d’août dernier par le Conseil des ministres, a été débattu à l’Assemblée populaire nationale (APN) hier, et bien qu’il ait été jugé «insuffisant» par des militants des droits de la femme, il suscite résistance. A l’APN, lors du débat, des voix se sont élevées pour encourager le pardon, la docilité en cas de violences conjugales.
A l’APN, un peu comme partout dans la rue, on craint l’émancipation des femmes, leur présence. Le texte prévoit «des sanctions envers l’époux coupable de violences contre son conjoint ayant entraîné une incapacité temporaire, un handicap permanent ou une amputation», mais les poursuites sont abandonnées, «si la victime décide de pardonner à son conjoint».
Le texte prévoit également «des sanctions contre l’abandon de l’épouse enceinte ou non, contre les pressions ou intimidations visant à priver l’épouse de ses biens, à l’encontre de l’auteur d’agressions sexuelles contre la femme», aggravées si le «prévenu est un parent de la victime ou si celle-ci est mineure, handicapée ou enceinte». Le texte prévoit aussi des dispositions «contre les violences attentatoires à la dignité de la femme dans des lieux publics».
Des membres du mouvement associatif féministe ont très vite salué le fait que le gouvernement prenne en charge un tel débat public mais tout en critiquant des clauses «dangereuses», telles que le principe de «l’abandon des poursuites en cas de pardon de l’épouse», qui banalise la violence conjugale et ne protège pas la femme contre toutes les pressions sociales et familiales qui l’empêchent souvent de porter plainte contre son mari.
Peur et banalisation
La banalisation de la violence à l’égard des femmes a atteint un tel point que la vie en société semble s’être définitivement organisée autour de cette colère et cette oppression projetées sur elles. Loin des bancs et débats de l’APN, la réalité est pourtant pire que l’idée qu’on s’en fait. Près de 12 000 femmes se plaignent chaque année de violences (auprès des services de sécurité, d’associations, etc.).
Très souvent les auteurs de ces violences restent impunis. Raison pour laquelle, beaucoup de femmes n’osent même pas s’en plaindre, notamment par peur des représailles. D’abord, parce que ces violences commencent dans les foyers, avec plus de 60% des cas (coups et blessures, viols, intimidations, agressions…).
Elles se poursuivent dans la rue, où une violence insidieuse sévit, amenant les femmes à presser le pas, à fuir l’hostilité constante qu’elles croisent, à déserter un espace public où elles dérangent, où elles filent la démarche presque coupables. D’année en année, elles sont pourtant de plus en plus nombreuses à rejoindre l’université et à travailler. Les femmes seraient plus qualifiées que les hommes dans le monde du travail, selon la dernière enquête de l’ONS sur les dépenses de consommation et le niveau de vie des ménages (2011).
Elle révèle que 44,4% des salariés de sexe féminin avaient un niveau universitaire, contre 10,70% seulement pour les salariés masculins. Pourtant, elles n’accèdent que très difficilement, voire rarement à une évolution de carrière normale, à des postes-clés ou à responsabilité. Celle-là est une autre forme de violence.
Bouredji Fella
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Intervention de l'armée à In Salah :
Les précisions du ministère de la défense
le 04.03.15 | 14h39
Le Commandant de la 6è région militaire rencontre des représentants de la population d'In Salah (MDN) ALGER, 4 mars 2015 (APS) - Le Commandant de la 6è région militaire (Tamanrasset) s'est rendu mardi à In Salah où il s'est réuni avec les représentants de la société civile parmi les citoyens et les notables de la région, a indiqué mercredi un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).
"Le Commandant de la 6ème région militaire et conformément aux instructions du Haut Commandement, s'est rendu hier 3 mars 2015 à la ville d'In Salah, où il s'est réuni avec les représentants de la société civile parmi les citoyens et les notables de la région, au nombre de vingt-neuf (29) personnes", a précisé le MDN.
"Au cours de cette rencontre, le Commandant de la 6è RM a écouté leurs préoccupations et leurs revendications, tout en les exhortant à faire prévaloir la raison et de faire preuve de responsabilité et de soutenir les efforts d'apaisement et d'éviter tout acte de sabotage ou de destruction des biens publics et privés", a ajouté la même source.
"Il a également insisté sur la nécessité d'éviter toute forme de provocation ou d'affrontements avec les forces de maintien de l'ordre et de lever le sit-in pacifiquement et de laisser place au retour à la vie normale et ne pas entraver les activités quotidiennes de la population", a souligné le communiqué.
"Le Commandant de la 6è RM s'est ensuite réuni avec les responsables des différents services et forces de maintien de l'ordre, afin de coordonner les efforts pour assurer l'ordre public dans le cadre du strict respect des lois de la République", a indiqué la même source.
"Quant aux lectures contenues dans certains quotidiens parus aujourd'hui (mercredi), le MDN dément catégoriquement toute autre interprétation", a conclu le communiqué.
APS
Résolution du conflit en Libye : Soutien à l’approche algérienne
le 04.03.15 | 10h00
Les Etats-Unis appuient l’approche de l’Algérie dans la résolution pacifique des conflits, notamment au Mali et en Libye. «Je salue les efforts de l’Algérie pour la résolution des conflits au Mali et en Libye.
Nous saluons ce que fait l’Algérie pour apporter une solution pacifique», affirme Anne Petterson, secrétaire d’Etat adjoint aux Affaires du Proche-Orient, lors d’une conférence de presse animée hier à Alger en compagnie de Charles Rivkin, secrétaire d’Etat adjoint aux Affaires économiques. «Nous soutenons également les efforts de l’envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU pour la Libye, Bernardino Leon, qui a effectué plusieurs visites dans la région et rencontré les responsables algériens», ajoute-t-elle.
La secrétaire d’Etat américaine se réjouit du niveau de coopération atteint ces derniers temps entre les deux pays, tout en soulignant l’importance du partenaire algérien. «Les Etats-Unis sont fiers d’être aux côtés de l’Algérie dans la lutte contre l’extrémisme, le fait qu’elle prenne les mesures nécessaires pour s’attaquer aux causes profondes du terrorisme», indique-t-il, précisant que les deux pays doivent travailler ensemble pour lutter contre la radicalisation.
Madjid Makedhi
Exploitation du gaz de schiste
Les Américains prêts à apporter l’appui technique
le 04.03.15 | 10h00
Les Etats-Unis d’Amérique se disent disposés à aider l’Algérie dans l’exploitation du gaz de schiste, si elle opte pour cette décision. C’est ce qu’a assuré le secrétaire d’Etat adjoint chargé des Affaires économiques et commerciales, Charles Rivkin, qui effectue, depuis lundi, une visite en Algérie.
Intervenant lors d’une conférence de presse animée, hier à Alger, conjointement avec sa collègue, Anne Petterson, secrétaire d’Etat adjoint aux Affaires du Proche-Orient, il s’est montré toutefois prudent en évoquant cette question qui suscite une grande polémique en Algérie actuellement. «Nous ne sommes pas ici pour dire au gouvernement algérien ce qu’il doit faire.
Mais nous sommes là pour aider l’Algérie au cas où elle souhaiterait exploiter le gaz de schiste», a-t-il déclaré en réponse aux questions des journalistes. Les entreprises américaines disposent de l’expertise et de la technologie pour extraire cette énergie non conventionnelle. «Il y a des potentialités énormes dans le domaine», a-t-il ajouté, précisant que son gouvernement peut apporter «son appui technologique et technique».
Refusant de faire la comparaison entre les Etats-Unis et l’Algérie, le responsable américain expose, toutefois, «les bienfaits» du gaz et du pétrole de schiste sur l’économie de son pays. «Les avis des Etats à ce sujet sont divers. En ce qui nous concerne, le gaz de schiste a beaucoup apporté à la croissance économique des Etats-Unis, il a réduit la dépendance énergétique et a contribué à la baisse du chômage et à la création d’emplois», indique-t-il. Selon lui, la question du gaz de schiste a été évoquée dans les entretiens avec les responsables du gouvernement algérien, mais «elle n’était qu’un point parmi tant d’autres».
Pour Charles Rivkin, les Etats-Unis veulent renforcer leur relation économique avec l’Algérie. Surtout en ce qui concerne l’investissement. Arrivé à la tête d’une forte délégation d’hommes d’affaires, il réitère la disposition des entreprises américaines à s’installer dans le pays. «Les entrepreneurs qui m’ont accompagné représentent un large éventail de secteurs et se proposent d’apporter à leurs partenaires algériens les plus récentes technologies et le transfert du savoir-faire.
Ils ramènent également une culture de promotion de l’innovation et l’esprit de l’entreprenariat», précise-t-il. Mais, ajoute-t-il, il est «important d’identifier les obstacles qui peuvent freiner le renforcement de la coopération économique bilatérale». «La règle des 51/49% ne pose pas de problèmes aux entreprises comme General Electric. Ce sont les petites et moyennes entreprises qui ont besoin, le plus, de la transparence, de la visibilité et de l’Etat de droit pour s’installer dans le pays.
Elles (les PME-PMI, ndlr) ont besoin de connaître l’environnement économique où elles vont évoluer», soutient-il. «Si ces trois conditions sont réunies, les investisseurs américains viendront en Algérie», enchaîne-t-il. Réaffirmant l’engagement de son pays à renforcer ses coopérations économiques et approfondir les relations politiques avec l’Algérie, Charles Rivkin assure que les Etats-Unis sont également «prêts à aider l’Algérie à diversifier son économie pour faire face à la chute des prix du pétrole».
Madjid Makedhi
Privatisation des entreprises publiques
Les Brasseries de Réghaïa bradées, puis abandonnées
le 04.03.15 | 10h00
Le processus de privatisation des entreprises publiques a été un grand trou noir. Ce dernier commence à livrer ses secrets. C’est le cas de la vente, en 2007, des anciennes Brasseries de Réghaïa. Les documents publiés par le site d’information algerie-focus révèlent l’ampleur du désastre qui a touché certaines entreprises relevant jadis du secteur public.
Ainsi, le document, qui est en fait le contrat de cession de la société, indique que les Brasseries de Réghaïa ont été cédées, en février 2007, à la Sarl Atlas, une société d’importation de bière, vins et liqueurs appartenant aux fils du général Attaïlia, un ancien officier supérieur, aujourd’hui à la retraite. Le montant de la transaction est dérisoire. Il est de 330 000 000 DA, soit 33 milliards de centimes (un peu plus de 3 millions d’euros).
En plus du montant de la vente, la société des fils Attaïlia s’est engagée à investir le montant d’un milliard de dinars «à partir de la date de cession», à sauvegarder les 304 postes de travail et à en créer 96 autres dans les quatre années qui allaient suivre. La société Atlas a versé, selon la même source, 10% du montant de la transaction à la SGP Cojub, détentrice des Brasseries de Réghaïa. L’entreprise de Ataïlia a également promis de reprendre les 775 millions de dinars, représentant une partie de l’endettement de l’entreprise.
Mais au lieu de cela, le nouveau propriétaire n’a pas pu tenir ses engagements. Sur les 304 salariés que comptait la société en 2007, seuls 150 étaient encore en poste en 2014 et, probablement, aucun aujourd’hui. Selon le site d’information, qui cite la SGP Cojub, la société «n’a pas été bradée» vu le degré d’endettement dans lequel elle se trouve. Pis, selon toujours la même source, l’acquéreur a été confronté au fait que les Brasseries de Réghaïa n’étaient pas propriétaires de l’assiette de terrain sur laquelle est bâtie l’usine.
«Depuis 2007, les services des Domaines n’ont pas régularisé la situation du terrain acquis par cet investisseur. Il n’a toujours pas obtenu son acte translatif de propriété. Il ne dispose toujours pas de son registre du commerce qui lui permet d’exercer sa nouvelle activité. Il a été victime, en plus, d’un redressement fiscal. Tout cela a compliqué la vie à cet opérateur privé», indique une responsable de la SGP, citée par algerie-focus. Résultat des courses, l’usine de bière de Réghaïa, qui fut jadis un fleuron de l’industrie algérienne, est abandonnée. Les machines seraient à l’arrêt, même si les autorités ne désespèrent pas de «régler le problème». Les Brasseries de Réghaïa sont-elles un cas unique ?
Ali Boukhlef
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Privatisation des entreprises publiques
Les Brasseries de Réghaïa bradées, puis abandonnées
le 04.03.15 | 10h00
Le processus de privatisation des entreprises publiques a été un grand trou noir. Ce dernier commence à livrer ses secrets. C’est le cas de la vente, en 2007, des anciennes Brasseries de Réghaïa. Les documents publiés par le site d’information algerie-focus révèlent l’ampleur du désastre qui a touché certaines entreprises relevant jadis du secteur public.
Ainsi, le document, qui est en fait le contrat de cession de la société, indique que les Brasseries de Réghaïa ont été cédées, en février 2007, à la Sarl Atlas, une société d’importation de bière, vins et liqueurs appartenant aux fils du général Attaïlia, un ancien officier supérieur, aujourd’hui à la retraite. Le montant de la transaction est dérisoire. Il est de 330 000 000 DA, soit 33 milliards de centimes (un peu plus de 3 millions d’euros).
En plus du montant de la vente, la société des fils Attaïlia s’est engagée à investir le montant d’un milliard de dinars «à partir de la date de cession», à sauvegarder les 304 postes de travail et à en créer 96 autres dans les quatre années qui allaient suivre. La société Atlas a versé, selon la même source, 10% du montant de la transaction à la SGP Cojub, détentrice des Brasseries de Réghaïa. L’entreprise de Ataïlia a également promis de reprendre les 775 millions de dinars, représentant une partie de l’endettement de l’entreprise.
Mais au lieu de cela, le nouveau propriétaire n’a pas pu tenir ses engagements. Sur les 304 salariés que comptait la société en 2007, seuls 150 étaient encore en poste en 2014 et, probablement, aucun aujourd’hui. Selon le site d’information, qui cite la SGP Cojub, la société «n’a pas été bradée» vu le degré d’endettement dans lequel elle se trouve. Pis, selon toujours la même source, l’acquéreur a été confronté au fait que les Brasseries de Réghaïa n’étaient pas propriétaires de l’assiette de terrain sur laquelle est bâtie l’usine.
«Depuis 2007, les services des Domaines n’ont pas régularisé la situation du terrain acquis par cet investisseur. Il n’a toujours pas obtenu son acte translatif de propriété. Il ne dispose toujours pas de son registre du commerce qui lui permet d’exercer sa nouvelle activité. Il a été victime, en plus, d’un redressement fiscal. Tout cela a compliqué la vie à cet opérateur privé», indique une responsable de la SGP, citée par algerie-focus. Résultat des courses, l’usine de bière de Réghaïa, qui fut jadis un fleuron de l’industrie algérienne, est abandonnée. Les machines seraient à l’arrêt, même si les autorités ne désespèrent pas de «régler le problème». Les Brasseries de Réghaïa sont-elles un cas unique ?
Ali Boukhlef
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