069-/-ACTUALITES Du Mercredi 09 Mars 2016
Mercredi 09/03/2016 +
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لأربعاء 29 جمادى الأولى 1437 ه
الأربعاء 09 مارس 2016 م
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Une usine Volkswagen bientôt en Algérie Le groupe Volkswagen a entamé des négociations avec le gouvernement algérien pour implanter une usine de montage de véhicules. |
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En partenariat avec Sovac
Une usine Volkswagen bientôt en Algérie
le 09.03.16 | 10h00
Le groupe Volkswagen a entamé des négociations avec le gouvernement algérien pour implanter une usine de montage de véhicules.
Après avoir été annoncé en janvier dernier par son représentant en Algérie, le groupe Sovac, le projet d’usine de montage de véhicules par le groupe Volkswagen tend à se concrétiser. Une forte délégation du constructeur allemand a été reçue hier par le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdessalem Bouchouareb, en son siège, pour entamer officiellement les négociations sur le projet d’implantation d’une usine de montage de véhicules du groupe Volkswagen en Algérie, par le groupe Sovac.
Une rencontre à l’issue de laquelle la délégation allemande, accompagnée par l’ambassadeur d’Allemagne en Algérie, a exposé son projet industriel au ministre de l’Industrie auquel «elle a également exprimé le soutien du groupe Volkswagen à la politique du gouvernement algérien de développer une industrie automobile», selon un communiqué du groupe Sovac. Il s’agit là de la première rencontre entre Volkswagen et le gouvernement algérien et au cours de laquelle un groupe de travail mixte a été constitué et des discussions entre les différentes parties ont été entamées.
Et selon le groupe Sovac, les négociations ont porté principalement sur les modèles qui seront fabriqués en Algérie et les différentes étapes de concrétisation de ce projet, à savoir l’entrée en production en 2017 et l’évolution du taux d’intégration. Selon M. Bouchouareb, «il s’agit de la troisième rencontre avec ce partenaire important et actif sur le marché algérien.
Volkswagen a la volonté d’entrer dans un partenariat pour la fabrication de plusieurs types de véhicules comme Seat et d’autres marques». Il est vrai que ce projet a été dévoilé par le constructeur allemand à la délégation accompagnant, en janvier dernier, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, en Allemagne où il s’était entretenu avec la chancelière allemande, Angela Merkel. Ainsi, pour le groupe Sovac, les discussions se sont déroulées dans un climat accueillant et très favorable pour l’avancement du projet. «Nous avons été chaleureusement accueilli par le ministre de l’Industrie et des Mines et ses collaborateurs. Les échanges étaient constructifs.
Le ministre a exprimé tout son engagement à accompagner ce projet (...)», a indiqué le PDG de Sovac, Mourad Oulmi. «Nous sommes ouverts à ce partenariat car nous ne pouvons pas imaginer une industrie mécanique sans un partenaire allemand qui est déjà présent en Algérie dans la fabrication de poids-lourds», a en effet souligné au cours de cette rencontre le ministre de l’Industrie. «Les entreprises vont poursuivre les négociations. J’espère qu’elles aboutiront bientôt à un accord», a-t-il avancé, estimant que la présence des fabriquants allemands d’automobile va «se renforcer» avec ce futur partenariat.
De nouvelles rencontres sont en effet programmées pour les semaines à venir afin d’accélérer les négociations avec le groupe Volkswagen et démarrer le projet dans les prochains mois, selon le groupe Sovac qui a obtenu officiellement un terrain de 150 hectares dans la wilaya de Relizane pour implanter son usine qui produira 100 000 véhicules/an pour un investissement de plus de 170 millions d’euros. Le groupe Volkswagen compte produire, selon son représentant local, la Polo classique, la Skoda Octavia et le pick-up Amarok pour le marché local et international. Mais pas seulement : le constructeur allemand compte éventuellement procéder, à moyen terme, à la fabrication de pièces de rechange en Algérie avec d’autres projets.
Par ailleurs, sur un autre registre mais qui est étroitement lié à l’industrie automobile, le premier responsable de l’Industrie et des Mines a rappelé, à l’occasion, la mise en place prochaine d’un cahier des charges organisant l’activité automobile afin «de ne pas vivre ce que nous avons déjà vécu en matière de gestion de l’activité des concessionnaires automobiles» laquelle avait connu de profonds dysfonctionnements, a-t-il souligné. L’organisation et la réglementation de l’activité de l’industrie automobile serviront non seulement les intérêts des entreprises étrangères partenaires mais aussi l’intérêt de l’Algérie qui ambitionne de relancer l’industrie mécanique, a-t-il insisté.
Rabah Beldjenna
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Les supporters de l’USMAnnaba menacent de perturber la visite de sellal demain à Annaba
le 08.03.16 | 15h27 | mis à jour le 08.03.16 | 16h33
La décision prise hier par la commission de discipline de la Ligue Nationale de Football Amateur de faire perdre les deux équipes CR Village Moussa- USM Annaba à l’issu d’un match violent, non disputé à terme, au stade Colonel Amirouche vendredi dernier a fait réagir violemment les supporters annabis.
Ils sont des milliers à s'être rassemblés, aujourd’hui, devant le siège de la wilaya, menaçant d’empêcher le premier ministre Sellal de se rendre mercredi à Annaba. « Fakakir, Fakakir… ya el wazir » ont scandé les inconditionnels du club local à l’adresse des responsables locaux, a constaté cet après-midi elwatan.com sur place.
Très excités, les supporters de l’Usmannaba exigent les trois points du match aujourd’hui même et sans condition. « C’est la condition sine qua none pour laisser Sellal effectuer sa visite à Annaba. Le cas échéant, nous perturberons par tous les moyens cette visite car nous nous estimons victimes et la décision de la commission disciplinaire de la FAF est injuste» fulminent-ils.
Selon des indiscrétions, l’agitation a atteint son paroxysme au niveau du siège de la wilaya de Annaba, où le service protocolaire du premier ministre en place, venu pour assurer les préparatifs de cette visite, n’est pas sur de conseiller Sellal à faire ce déplacement risqué ce mercredi.
La situation s’est compliquée davantage avec l'arrivée d’autres centaines de supporters des quatre coins de la wilaya. Ils ont ramené avec eux des tentes et les ont installé devant le siège de la wilaya avec la ferme intention de ne pas quitter les lieux jusqu’à la satisfaction de leur revendication.
D’autres ont escaladé les poteaux d’éclairage publics et les maisons attenantes et scandent des propos obscènes envers les responsables locaux et nationaux.
M-F.G
Lutte contre les violences à l’égard des femmes
Les chefs de police africains adoptent un plan d’action
le 09.03.16 | 10h00
Les travaux de la 5e Assemblée générale de la Déclaration de Kigali, sur le rôle des services de police dans la lutte contre les violences à l’égard des femmes et des filles, ont pris fin hier matin à Alger, avec l’adoption d’une plateforme dite d’Alger, articulée autour de 14 recommandations. Les expériences algérienne et rwandaise, comme modèle de lutte…
C’est en fin de matinée que les chefs de police d’une vingtaine de pays africains et les experts de l’ONU et de l’Union africaine ont achevé les travaux de la 5e Assemblée générale de la Déclaration de Kigali, sur le rôle des services de police dans la lutte contre les violences à l’égard des femmes et des filles, avec l’adoption d’une déclaration commune, dite d’Alger, qui s’apparente à un plan d’action articulé autour de 14 recommandations.
Il s’agit tout d’abord de renforcer les capacités de la police africaine, de la professionnaliser pour la rendre plus efficace en matière de lutte contre ces violences, de prévention mais aussi de prise en charge des victimes. C’est ce qu’a indiqué, hier, le directeur de la police judiciaire, Ali Ferrague, lors d’un point de presse.
Cette plateforme appelle les services de police au renforcement de leurs moyens pour poursuivre, rechercher et enquêter sur les auteurs des violences et pour assurer une prise en charge des victimes et encourager le recrutement de femmes policières à tous les échelons sécuritaires, tout en veillant à leur promotion à des postes de responsabilité. Pour le directeur de la police judiciaire, les chefs de police africains «estiment que les violences à l’égard des femmes constituent une violation des droits de l’homme et de la dignité humaine. Une des 14 recommandations est d’empêcher l’impunité qui profite aux auteurs des violences.
La présente plateforme recommande l’adaptation de la législation africaine relative aux droits de l’homme». Le contrôleur Ali Ferrague n’a pas manqué de relever que les conférenciers ont mis l’accent sur la nécessité de la multiplication des cycles de formation au profit des agents chargés de l’application de la loi, afin d’améliorer le professionnalisme des organes de sécurité africains. Il a, par ailleurs, ajouté que les participants à cette assemblée générale «ont insisté sur la mise en place de différentes formules de partenariat, en mettant en avant l’échange d’informations ainsi que le renforcement des synergies de partenariat entre les pays africains.
Il est question aussi d’améliorer la coopération entre les services de sécurité en Afrique, tout en s’appuyant sur les mécanismes d’Afripol en termes d’échange d’informations et de partage des expériences et des bonnes pratiques. A ce titre, les expériences algérienne et rwandaise ont suscité un intérêt particulier, parce qu’elles peuvent constituer des modèles de bonnes pratiques en matière de lutte contre les violences à l’égard des femmes, de prévention mais surtout d’anticipation sur ce fléau planétaire grâce à des solutions innovatrices».
L’orateur rappelle «les efforts consentis par l’Algérie pour faire face à ce phénomène, en précisant que le nombre de 20 000 policières dans les rangs de la police met le pays en situation de leader, surtout lorsque l’on sait que des pays, comme le Sénégal, par exemple, ne comptent que 9000 policiers et que de nombreux autres pays africains ont un effectif compris entre 10 000 et 12 000 policiers seulement.
L’Algérie est aussi l’un des rares pays disposant d’une base de données sur les violences à l’égard des femmes, permettant ainsi la planification d’une stratégie de lutte, alors que de nombreux pays africains n’ont aucune information sur le phénomène de la violence». Auparavant, l’inspecteur général de la police rwandaise, Emmanuel Kasaka, a clôturé les travaux par un hommage à l’Algérie et souhaité la mise en application des recommandations.
Quant au Directeur général de la Sûreté nationale, Abdelghani Hamel, il a mis l’accent sur l’importance des travaux de la conférence qui, dit-il, ont été réhaussés par la présence du secrétaire général de l’Onu, Ban Ki-moon, et de hautes personnalités onusiennes et africaines qui «encouragent les services de police africains à endiguer le fléau de la violence à l’égard des femmes».
Pour Hamel, il est important de cerner cette violence, d’en identifier les auteurs et de prendre des mesures contre ce fléau à travers la mise en œuvre des différents instruments nationaux, régionaux et internationaux. L’expérience rwandaise est à ce titre très louable et pourrait être un modèle de lutte contre les violences. Le directeur général de la police a remis des distinctions à plusieurs femmes, faisant partie de l’Onu, du ministère de la Solidarité et de la DGSN, qui ont pris part à l’organisation de la conférence.
34 femmes assassinées en 2015 et 9663 violentées
Durant l’année 2014, les services de police ont enregistré 9191 plaintes pour violence déposées par des femmes. Ce nombre a connu une hausse en 2015, pour atteindre 9663 victimes de violence.
Cette évolution est le résultat, explique Kheira Messaoudène, commissaire divisionnaire directrice du bureau chargé des violences à l’égard des enfants et des femmes, «d’une prise de conscience des femmes, et ce, grâce aux campagnes médiatiques de dénonciation des violences qui ont rendu visible l’invisible».
Selon elle, les femmes mariées sont plus exposées aux agressions que les célibataires. «Elles sont dans la majorité des cas battues par les époux.
Nous axons notre travail sur le refus de toute impunité, puisque même si la victime décide de retirer sa plainte, la procédure reste engagée et c’est à la justice d’en décider», précise Mme Messaoudène en regrettant que, durant l’année 2015, 34 femmes ont malheureusement été assassinées. S. T.
Salima Tlemçani
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