074-/-ACTUALITES Du Lundi 14 mars 2016
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الإثنين 14 مارس 2016 م
الإثنين 05 جمادى الآخرة 1437 ه
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Algériens en situation irrégulière en Allemagne
Les services consulaires sous pression
le 14.03.16 | 10h00
L’opération d’identification des ressortissants algériens en situation irrégulière en Allemagne soumet à rude épreuve les services consulaires depuis la mise en branle d’une «turbo-procédure» d’expulsion par le gouvernement Merkel.
Quelque 1500 à 2100 personnes en situation irrégulière, ayant rejoint le territoire allemand entre 2015 et 2016, vont être reconduites vers l’Algérie. Le rapatriement sera assuré par Berlin qui veut s’en débarrasser rapidement, à raison de 30 personnes embarquées sur des vols réguliers, tel que prévu par l’accord algéro-allemand signé en 2006. Ils sont quelque 2100 Algériens — 1500 selon une source diplomatique algérienne — à être considérés comme des migrants clandestins et concernés par l’expulsion de l’Allemagne vers l’Algérie.
La différence entre les deux chiffres s’explique par «ces 600 présumés Algériens qui posent un problème d’identification, étant donné qu’ils sont détenteurs de faux papiers, ce qui nécessite l’ouverture d’une enquête pour chacun d’entre eux. Les 1500 autres ont pour la plupart rejoint l’Allemagne à partir de pays européens, particulièrement la France où ils vivaient avec de faux papiers après l’expiration du délai des visas qu’ils avaient obtenus pour rejoindre l’Europe.
Du coup, ils se sont retrouvés dans une situation de harraga. Donc ils ont rejoint l’Allemagne, parce que c’est le pays européen qui est le plus ouvert en matière d’aide aux migrants, surtout depuis la crise syrienne». «Manque de pot», disent nos interlocuteurs, les agressions sexuelles de Cologne, lors des fêtes de fin d’année (2015) ont changé la donne en raison de la présence de Maghrébins parmi les auteurs, notamment des Algériens.
Les autorités germaniques ont décidé, sous la pression d’une opinion publique de plus en plus hostile aux migrants, d’expulser au plus vite, dans le cadre de ce qui est qualifié de «turbo-procédure», tous les ressortissants algériens en situation irrégulière, rentrés en Allemagne durant l’année 2015, y compris ceux ayant introduit une demande de droit d’asile et qui ne l’ont pas obtenu.
Pour les autorités allemandes, «l’Algérie est un pays sûr». Le renvoi des Algériens vers leur pays «n’est pas en contradiction» avec les engagements européens en matière de droits de l’homme. D’ailleurs, cette décision a été bien explicitée par la chancelière allemande, lors de la visite du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, en Allemagne, tout en rappelant l’accord signé entre les deux pays en 2006, resté encre sur feuille. Selon la chancelière, «des Algériens sont venus illégalement en grand nombre en Allemagne ces derniers temps».
Raison pour laquelle la plus grande partie de sa rencontre à Berlin avec son homologue algérien a été consacrée aux négociations autour du rapatriement collectif de ces migrants. Les négociations entre les deux parties «ont été très serrées». D’un côté, des autorités allemandes pressée de se débarrasser de tous les migrants à travers la mise en place de ce qu’elles qualifient de «turbo-procédure» en affrétant des vols charters et, d’un autre côté, un gouvernement algérien qui se montre prudent face à ce déferlement d’illégaux, dont beaucoup ont de fausses pièces d’identité.
Pas plus de 30 migrants rapatriés par vol
«Le gouvernement a exigé la vérification de chacun des migrants avant qu’ils ne soient rapatriés, et ce, dans le cadre de la mise en application de l’accord algéro-allemand de 2006 qui définit toutes les mesures afférentes au rapatriement des Algériens vivant en Allemagne en situation illégale. Le rapatriement en gros, à bord de vols charters affrétés par Berlin, a été rejeté et considéré inacceptable. D’abord pour des raisons de sécurité mais aussi humanitaires.
Les deux parties se sont mises d’accord sur la nécessité de vérifier l’identité de chacun des migrants et de faire en sorte de ne les renvoyer en Algérie qu’une fois cette procédure achevée. Leur transfert par voie aérienne est prévu dans les clauses de l’accord de 2006. Il doit se faire à bord des vols ordinaires de compagnies qui assurent les liaisons entre les deux pays et c’est à la partie allemande de prendre en charge les frais de ce transfert, tel que défini dans l’accord signé entre les deux pays en 2006», expliquent nos sources.
En fait, l’accord en question a été signé en 1997 à Bonn, puis ratifié par l’Algérie, en février 2006. Il stipule clairement que la reconduite des ressortissants algériens en situation illégale s’effectue par voie aérienne, sur des vols réguliers, et pour un nombre de personnes ne pouvant dépasser 30 à la fois par vol, compte tenu des contraintes de sécurité, que le coût de ces opérations jusqu’aux frontières de l’Etat destinataire, incombe à la partie allemande.
Il précise également qu’à chaque fois que la sécurité aérienne l’exige, les personnes reconduites seront accompagnées par un personnel de sécurité spécialisé. De même qu’il est souligné (dans son article 1er), que «les autorités algériennes réadmettent les ressortissants algériens séjournant de manière illégale sur le territoire allemand, même lorsque ceux-ci ne sont pas en possession d’un passeport ou d’une carte d’identité valide à condition qu’il soit prouvé ou démontré de manière crédible que lesdites personnes possèdent la nationalité algérienne».
«Au cas où celles-ci n’ont aucun document qui prouve leur nationalité, ce sont les autorités consulaires algériennes qui doivent procéder, sans délai, à une audition du présumé dans les établissements pénitentiaires ou les centres de refoulement (…) Lorsque la partie allemande se trouve en possession d’autres moyens de preuve ou d’établissement de la vraisemblance, elle fera parvenir ceux-ci sans délai à la partie algérienne. Si cette dernière ne se voit pas en mesure d’accepter les moyens de preuve ou d’établissement de la vraisemblance présentés, elle en informera, sans délai, les autorités compétentes de la partie allemande».
Mieux, dans le cas où la partie allemande ne confirme pas la nationalité de la personne reconduite, elle réadmet celle-ci sans formalité et sans délai. Il est par ailleurs précisé que les deux parties passent à la négociation «dans le cas où la partie algérienne estime que le nombre des personnes remises dont la nationalité n’a pas été confirmée est élevé, dans le cas où la partie allemande trouve que les délais pour la délivrance des documents de voyage ne permettent pas l’accomplissement des objectifs fixés».
L’article 7 permet à l’Algérie de suspendre provisoirement la procédure de réadmission, si elle considère que sa mise en œuvre n’est pas conforme à l’esprit et à la lettre de l’accord. Autant de dispositions que la partie allemande s’empresse de mettre en exécution dans les plus brefs délais. Ce qui a «fortement bousculé» les services du consulat général de Frankfurt, affirment nos sources.
Et de déclarer : «Depuis quelque temps déjà, les services consulaires font face à des demandes de plus en plus nombreuses d’obtention de passeports d’une année, afin de régulariser leur situation à travers le mariage qui reste l’unique possibilité pour les migrants illégaux d’échapper au rapatriement, notamment depuis la mise en place de la turbo-procédure d’expulsion par les autorités allemandes. Le problème, c’est que celles-ci sont débordées et veulent assainir la situation des migrants clandestins rapidement.
Elles veulent accélérer les procédures d’identification à cause de la circulation des faux papiers. Elles ont même proposé à l’Algérie une aide technique à travers le recours à un matériel d’identification des empreintes digitales. Or, l’Algérie ne dispose malheureusement pas d’un fichier de toutes les empreintes digitales des Algériens. Le fichier biométrique ne concerne qu’une infime partie de la population. Les Allemands se sont résignés à suivre le rythme des services consulaires algériens, habitués à travailler au ralenti», révèlent nos interlocuteurs.
Salima Tlemçani
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Guy Bedos mercredi à Alger
le 14.03.16 | 12h55
L’humoriste Guy Bedos sera à partir de mercredi à l’Institut français d’Alger (IFA).
Guy Bedos est de retour dans son pays de naissance pour assister à la projection du documentaire Guy Bedos en toute liberté réalisé par Mireille Dumas mercredi 16 mars à 18h30 à l'IFA.
Ce documentaire sera une occasion pour retracer le parcours et revoir les moments forts de la vie de cet humoriste qui a fait ses adieux à la scène le 23 décembre 2015 à l’Olympia à Paris.
Le programme se poursuivra jeudi à l’annexe de l’IFA sise 30, rue des Frères Kadri, Hydra par la lecture de Guy Bedos de la Grande dictée entre 14h et 16h.
Suivra à 18h à l’IFA la présentation du livre de Guy Bedos « je me souviendrai de tout ».
La salle affiche déjà complet pour mercredi. L’inscription sur la liste d’attente se fait à l'adresse suivante: filmguybedosentouteliberte2016.alger@if-algerie.com.
Pour plus d’informations consulter http://www.if-algerie.com/alger.
Mina Adel
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Touristes et militaires bloqués par la neige à Tikjda
le 14.03.16 | 16h00
Des familles, venues profiter d'un week-end de neige à Tikjda, une station qui culmine à plus de 1400 mètres d’altitude sur les hauteurs de Bouira, se sont retrouvées coincées sur des routes bloquées faute de chasse-neige.
Vendredi dernier, des centaines d’automobilistes se sont retrouvés prisonniers dans leurs véhicules pour cause d’amoncellement de neige atteignant dans certains endroits 1.5 mètre, a-t-on constaté sur place. Des familles ont même été contraintes de passer la nuit dans leur voiture alors que d’autres ont été obligées d’abandonner leurs véhicules et continuer le chemin à pied.
Pour faire face à cette situation, ce sont les employés du complexe touristique de Tikjda qui se sont mobilisés pour secourir les familles. L’unique engin dont dispose le centre a été mobilisé pour déneiger la route et les clients du centre ont été acheminés à bord dudit camion. « Cela fait plus de quatre heures que nous sommes bloqués ici sur la route, mes enfants grelottent de froid. Nous attendons l’arrivée du camion pour rejoindre le complexe », témoigne un usager venu de la wilaya de Blida.
Défaillance des autorités
Outre les automobilistes coincés par la neige, ce sont les militaires installés dans la caserne de Tikjda et du détachement de Tizi N’koulal qui sont restés isolés, la route étant fermée. Face à la défaillance des autorités, (direction des travaux publics, APC…), pourtant sollicitées par des personnes bloquées de dépêcher des engins pour ouvrir la route et secourir des familles, aucune initiative de la part de ces responsables défaillants n’a été prise. « Nous avons contacté la DTP afin de dépêcher des engins mais aucune suite n’a été donnée à notre requête », a affirmé un responsable du Cnslt.
Il faut noter que ce n’est pas la première fois que les responsables de la DTP se rendent coupables d’une telle attitude de grave négligence en refusant de dépêcher leurs engins pour secourir des familles en détresse.
On peut constater sur place que l’unique chasse-neige dont dispose cette structure à Tikjda est tombé en panne et n’a pas été réparé malgré les BMS des services météo qui annonçaient d’importantes chutes de neige sur les hauteurs. D’autres défaillances et négligences des responsables du même secteur, souvent absents dans les cas d’urgence, ont déjà été enregistrées par le passé.
En panne !
Au final, il a fallu attendre 48 heures pour que le tronçon soit ouvert grâce à la mobilisation des employés du complexe de Tikjda et des usagers ayant réussi à dégager la route, pour que le DTP instruit, selon des sources, par le wali de Bouira de dépêcher des camions sur place.
Contacté par téléphone, le chef de service entretien au niveau de la DTP de Bouira, M. Medahi, a démenti formellement les informations faisant état du refus de la direction de dépêcher des engins pour ouvrir la route, confirmant que deux chasse-neiges sont tombés en panne. « Ce sont des usagers qui nous ont causé des difficultés en stationnant sur la chaussée », justifie-t-il. Le même responsable a ajouté que des engins ont été mobilisés depuis hier pour procéder à l’ouverture d’un tronçon de la RN30 pour désenclaver le détachement des militaires stationnés à Tizi Nkoulal.
Amar Fedjkhi
Mots-clés
Bouira • Neige • militaires • Tikjda
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Réserves de change : l’Algérie a consommé 35 milliards de dollars en 2015
le 14.03.16 | 17h15
Les réserves de change de l'Algérie ont baissé à 143 milliards de dollars à fin 2015, soit un recul de 35 milliards de dollars en une année, a indiqué, lundi à Alger, un représentant du FMI.
"Les réserves de change se maintiennent, certes, à un niveau élevé mais elles ont diminué de 35 milliards de dollars en 2015 pour s'établir à 143 milliards de dollars contre un maximum de 194 milliards de dollars en 2013", a souligné le conseiller au département Moyen-Orient et Asie centrale auprès du FMI, Jean-François Dauphin.
M. Dauphin a conduit une mission du FMI à Alger du 1er au 14 mars dans le cadre des discussions annuelles, menées entre cette institution de Bretton Woods et ses Etats membres, au titre de l'article IV des statuts du FMI pour l'évaluation annuelle de l'économie des pays.
Selon lui, l'impact du choc des prix du pétrole sur la croissance "a été limité, jusqu'à présent, mais les soldes budgétaires et extérieurs se sont considérablement détériorés". La croissance du PIB réel est estimée à 3,7% en 2015 dont 5% pour le secteur hors hydrocarbures, tandis que l'inflation a augmenté à 4,8%, a-t-il précisé.
Le déficit budgétaire a presque doublé en 2015 par rapport à 2014 passant à 16% du PIB en raison de la baisse des recettes pétrolières, a-t-il encore indiqué.
APS
Transferts sociaux et subventions ont explosé
Les largesses de l’état providence
le 14.03.16 | 10h00
A son rôle de ssoutien à de la croissance à travers la dépense publique, l’Etat a adjoint un rôle social non moins important, par le biais des subventions et plus globalement des transferts sociaux.
Subventions à l’énergie, aux produits alimentaires, à l’eau, soutien aux familles, à la santé, à l’éducation, etc. L’enveloppe allouée aux transferts sociaux de l’Etat a explosé ces dernières années. Farid Yaici, économiste, observe dans un document consacré à ce sujet que les transferts sociaux budgétisés ont été multipliés par 7,5 entre 1999 et 2012, passant de 254 milliards de dinars à 1 863 milliards de dinars en 2012, soit 10% du PIB dont un quart consacrés aux aides aux ménages. Les subventions aux prix du lait et des céréales représentaient 50 % de ces aides aux ménages en 2014. Les aides aux ménages sont passées de 54 milliards de DA à 424 milliards de DA en 2012, soit une augmentation de 342 %, selon la même source. Cela sans compter les subventions implicites.
Au total, le premier ministre Abdelmalek Sellal a situé l’ensemble des transferts sociaux à 29% du PIB en 2014. Le nouveau modèle économique devra se défaire progressivement de la tendance aux subventions généralisées et non différenciées, car si elles sont légitimes pour les couches sociales les plus défavorisées, elles sont injustifiées pour les catégories de la population les plus à l’aise financièrement. L’année 2016 a déjà esquissé les grandes lignes de la nouvelle approche économique orientée vers l’élimination progressive des subventions et vers une vérité des prix. Pour l’heure, les carburants et l’électricité sont les seuls concernés, mais ils ne seront certainement pas les derniers. Les responsables du secteur de l’eau ont déjà laissé entendre que les prix iront inévitablement vers la hausse. Il pourrait en être également le cas pour les produits alimentaires de première nécessité.
Le ministre des Finances s’est donnés deux ans à partir de 2015 pour mener à bien ce processus qui pourrait creuser les inégalités et faire basculer beaucoup de familles dans la pauvreté s’il n’était pas accompagné d’un autre type de soutien plus direct et ciblé en vers les couches de la société les plus vulnérables.
Safia Berkouk
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