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Assis sur un désert de roches calcaires qui renferme toutes les richesses du pays, les jeunes de Metlili ne rêvent que d’une mer qui leur permettrait de fuir vers un ailleurs meilleur et des cieux plus cléments.
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Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales l’affirme
Des agents de sécurité de l’Etat pour protéger les sites pétroliers
22-03-2013
Par Youcef Salami
L’Algérie a chargé des agents de sécurité de l’Etat de protéger les sites économiques détenus par des étrangers, malgré les réticences de ses partenaires, après l’attaque meurtrière en janvier dernier du complexe gazier d’In Amenas. La déclaration émane du ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia qui s’exprimait, jeudi dernier, en marge d’une séance plénière de l’APN, consacrée aux questions orales. La protection des sites relevait de services internes de sécurité. Cela va donc changer, ainsi que l’explique le ministre de l’Intérieur. «Nous avons décidé d’introduire des membres des services de sécurité. Il a été difficile d’accepter cela par les compagnies étrangères. La sécurité de ces sites était jusqu’à présent assurée par des sociétés privées. La sécurité des sites économiques du pays relève de la souveraineté de l’Algérie et de la sécurité de l’Algérie», a détaillé Daho Ould Kablia. «Nous avons également renforcé la protection sécuritaire aux alentours des
Par Amar Rafa L’Algérie et la Mauritanie ont signé, jeudi à Nouakchott, cinq accords de coopération dans les domaines de la pêche, l’hydraulique et la santé ...
De notre correspondant à Constantine Nasser Hannachi C’est un prolongement et un segment des assises engagées les derniers mois par les tutelles du secteur sur la ranimation ...
Répondant à nos questions, le président du Forum des chefs d’entreprise (FCE) Réda Hamiani, se prononçant sur les diverses activités industrielles existant à Constantine (mécanique et pharmaceutique et un secteur agroalimentaire en progression), appelle les opérateurs à consolider le rapprochement entre ces PME-PMI. «Il est nécessaire de mutualiser. C’est à dire qu’au lieu de disposer d’unités éparses, il vaut mieux opérer par regroupement. Le Forum joue justement ce rôle de catalyseur pour des proximités intelligentes». Les divers partenariats étrangers engagés par l’Etat pour booster les productions et la réanimation des entreprises (publiques) restent un moyen sûr…...
De notre envoyée spéciale à BouiraBahia Aliouche Les infrastructures de grande distribution jouent un rôle de locomotive et de levier pour toute l’industrie nationale. Les pouvoirs ...
L’initiative de l’Agence nationale de l’amélioration et du développement du logement (Aadl) de maximiser le taux d’affluence des souscripteurs de l’année 2001, reçus dans des bureaux aménagés pour la circonstance, a visiblement porté ses fruits....
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La Banque d’Algérie (BA) et Algérie Poste (AP) disposent d’importantes encaisses de monnaies fiduciaires Rien que pour les deux premiers mois de l’année en cours, les disponibilités au niveau d’AP sont évaluées à 50 milliards de dinars....
Par Reda CadiDans ses réponses aux questions orales, à l’Assemblée populaire nationale (APN), jeudi dernier, le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales a annoncé que ...
La réalisation de l’usine Renault Algérie sera lancée en septembre prochain, sur un terrain de 15 hectares jugé excellent par M. Jean-Christophe Kugler, leader du Comité de management de la Région Euromed au sein de cette entreprise....
Le laboratoire Sipharmal, domicilié à Batna, fournit exclusivement des produits injectables en conditionnement secondaire, une vocation qui n’a de sens qu’en théorie, la réalité étant tout autre....
Le président de l’APW de Tizi Ouzou, Hocine Haroun, a animé, jeudi, la traditionnelle conférence de presse de l’après-session de l’Assemblée, en y imprimant un nouveau style qui n’est pas étranger à sa qualité d’artiste....
Par Hasna Yacoub L’ambassadeur de Grande-Bretagne a invité, mardi soir dernier, à son siège, le directeur général de l’administration pénitentiaire, Mokhtar Fellioune, et des directeurs d’établissements ...
Faut-il lever le moratoire sur la peine capitale ou pas ? Tel est le débat qui doit être engagé dans la société. Car la peine capitale ne touche pas uniquement les kidnappeurs et assassins d’enfants. De l’avis des experts judiciaires, présents hier à la Radio nationale pour débattre du phénomène des kidnappings d’enfants, l’application de la peine de mort ne doit pas être liée exclusivement à une affaire d’enlèvement d’enfant....
L’intérêt affiché par les pouvoirs publics pour le développement socioéconomique de la région sud du pays semble faire des émules au niveau du milieu du patronat algérien....
De notre correspond à Tizi Ouzou Malik Boumati La permanence parlementaire des six députés et du sénateur FFS de Tizi Ouzou est désormais ouverte, à l’issue d’une ...
Il enregistre une série de médicaments entre 2010 et 2012
Le laboratoire Sipharmal hors-la-loi
Par Youcef Salami
Le laboratoire Sipharmal, domicilié à Batna, fournit exclusivement des produits injectables en conditionnement secondaire, une vocation qui n’a de sens qu’en théorie, la réalité étant tout autre. Une délégation ministérielle dépêchée par le ministre de la Santé a été surprise de constater que ce fameux laboratoire ne dispose d’aucune installation à ce jour. Pis encore, Sipharmal a pu enregistrer plusieurs médicaments en 2010, 2011 et 2012, apprend-on de source sûre. L’infraction au Code du commerce et à la réglementation en vigueur du ministère de la Santé sont ainsi avérées.
Il reste cependant à savoir comment est-il possible qu’un opérateur ait réussi à tromper tout le monde et à déjouer les règles d’inspections prévues par les textes officiels. Cette affaire qui relève du pénal impliquerait plusieurs
Par Rabah Iguer
Le complexe gazier de Tiguentourine, accueillera demain les festivités liées au double anniversaire de la nationalisation des hydrocarbures et du syndicat historique algérien, l’Union générale des travailleurs algériens (Ugta). C’est ce qui a été annoncé, hier, dans un communiqué. Ce choix explique le secrétaire général de l’Ugta, M. Abdelmadjid Sidi Saïd, se veut une «expression de l’engagement des travailleuses et travailleurs contre toute attaque contre l’Algérie». La célébration du double anniversaire, de la nationalisation des hydrocarbures et de la création de l’Ugta, à Tiguentourine est une «expression de la solidarité des travailleurs avec les forces de l’Armée nationale populaire (ANP) et de sécurité pour avoir mis à genou les forces terroristes», a indiqué M. Sidi Saïd dans une déclaration à l’APS, à la veille des festivités. Il a souligné à ce propos «la détermination des travailleurs contre toute ingérence étrangère dans les affaires de l’Algérie» et à «faire face au terrorisme barbare».
REMPLISSAGE DES BARRAGES Le ministre annonce un taux «historique»
Le premier responsable du secteur de l’eau s’exprimait jeudi, en marge de la grande exposition du secteur à l’occasion de la célébratiaon du Cinquantenaire de l’indépendance. Une rétrospective des réalisations du secteur a été faite à travers les diverses expositions et présentations. S’agissant donc de l’état de la ressource, Hocine Necib, a précisé que le taux ...Suite
Disciple et admirateur de Mohamed Teguia, cet «immense Homme», cet «historien de grande envergure et officier de l’ALN», M. Tahar Bensaâda est enseignant universitaire, chercheur et auteur de plusieurs ouvrages, dont De la légitimité historique à la légitimité institutionnelle. A Bruxelles, avant-hier, au siège du consulat d’Algérie, il est intervenu sur les accords d’Evian en présence d’un nombreux auditoire.
Honnête dans sa démarche d’historien, le conférencier informe, toutefois, d’emblée «le discours historique n’est pas neutre». Les accords d’Evian, cette date «doublement controversée» des deux rives de la Méditerranée, critiquée tant en Algérie qu’en France, est, selon l’orateur et ce, malgré ses carences, un «acquis du peuple algérien». Didactique, à l’aise dans son exposé, sourcilleux sur les détails et rigoureux dans la démarche — on n’est pas disciple de Teguia comme ça, pour rien —, le Dr Bensaâda articule son intervention autour d’éléments-piliers, de marqueurs. Le contexte historique dans lequel se sont tenues les négociations, le rapport de force politique de l’époque et les bouleversements sociologiques et historiques que la guerre d’Algérie a engendrés. Evian a constitué une étape importante dans le long processus qui a mené vers la décolonisation, l’indépendance, il ne faut pas croire, cependant, dira l’orateur, que les choses se sont passées comme ça, mécaniquement et que le tout était écrit à l’avance, d’avance. Non, que non, mille fois non ! «Sans le génie diplomatique des jeunes diplomates algériens, leur courage, leur abnégation et leur vigilance, cela aurait pu en aller autrement.» Il est vrai, aussi, que les négociateurs algériens d’Evian bénéficiaient du travail inlassable, de l’ardeur et du sens des responsabilités des responsables du GPRA et du FLN qui ont effectué un lobbying de grande qualité au profit de l’indépendance de l’Algérie. «Sensibiliser le jeune sénateur John Kennedy, influent et très écouté au sein du parti démocrate, pour l’amener à soutenir la cause algérienne n’est pas à la portée du premier venu», s’est plu à dire le conférencier. Cet exemple est d’autant plus probant que Kennedy deviendra président des Etats- Unis d’Amérique et que la France, tant à Washington qu’à New York, disposait de relais, de lobbies et de moyens autrement plus conséquents que ceux dont pouvaient disposer M’hammed Yazid, Rédha Malek, Mohamed Seddik Benyahia, Saâd Dahleb et les autres. Le Dr Bensaâda n’omettra pas de souligner l’immense rôle, le déterminant tournant qu’a été le «11 Décembre». Ces manifestations urbaines, celles, notamment d’Alger, ont constitué une chance historique, un soutien indéfectible pour la diplomatie de combat algérienne à Evian. Depuis, les pourparlers prennent un autre cours, une trajectoire plus favorable pour nos jeunes diplomates. Les complots de la France, les coups bas de Michel Debré, alors Premier ministre, les vices de procédures de Louis Joxe, chef de la délégation française, ont été, tous l’un après l’autre, balayés et écartés. Evian n’était pas une sinécure pour les représentants algériens, loin, très loin s’en faut. Du début à la fin du processus, pénible et usant, la France n’a pas cessé de multiplier les crocs-en-jambes, les entourloupes, les pièges, les ruses et les faux-fuyants. Une fois, c’est le Sahara qui doit être séparé du reste du pays, une autre fois c’est la volonté d’inviter Mohammed V et Bourguiba à la table des négociations, une autre fois c’est l’élargissement à d’autres représentations que le FLN, les discussions. Supposer un seul instant que les Français étaient venus sincèrement pour parler de l’indépendance de l’Algérie, uniquement d’indépendance, rien que d’indépendance, serait une erreur historique d’appréciation et surtout une injustice faite à notre génie diplomatique d’alors. Les Algériens à Evian pouvaient-ils arracher plus à l’ordre colonial ? C’était, sans doute, la rumeur de ce que pouvait rapporter la station neigeuse française. En ce sens, Evian est une victoire algérienne précieuse, il faut en être fier… Des leaders du mouvement associatif algérien et/ou belgo-algérien ont promis d’inviter en mai prochain Rédha Malek, l’un des rares survivants de l’épopée diplomatique d’Evian pour qu’il parle du 8 Mai et du 19 Mars. C’est un combiné historique relevé. Le Dr Mohamed Tahar Bensaâda, quant à lui, a apporté avant-hier des éclaircissements importants et a travaillé en profondeur le 19 Mars. A. M.
La secrétaire générale du Parti des travailleurs a eu, à l’occasion de la réunion, hier, de la commission nationale des élus locaux, à ressasser ses propositions pour les limiter au phénomène du chômage qui frappe de plein fouet notamment la jeunesse.
Fraîchement élu à la tête de la Fédération algérienne de handball, M Derouaz Mohamed Aziz animera ce matin dès 10h, une conférence de presse à la salle de conférences de la Maison des fédérations de Dély Ibrahim.
L’arbitre international algérien Djamel Haïmoudi a remporté le Sifflet d’or arabe 2012, récompensant le meilleur arbitre arabe, selon le sondage annuel organisé par le magazine sportif libanais El Hadath Erriyadhi. Trente-huit anciens arbitres internationaux et experts arabes issus des continents asiatique et africain, à l’instar de l’Algérien Belaïd Lacarne, ont participé à ce sondage. Haïmoudi, qui avait terminé à la troisième place en 2011, a obtenu 102 points, devançant de 26 longueurs l’arbitre emirati Ali Hamad El Badaoui qui avait été sacré en 2009 et 2011. Le Saoudien Khalil Djalal El Ghamdi, vainqueur en 2006 et 2010, complète le podium de la 18e édition du Sifflet d’or arabe.
La 25e journée du championnat d'Algérie de Ligue 2 de football, prévue samedi dans son intégralité à 15h, sera marquée par l'affiche entre le leader, le CRB Aïn Fekroun, et l'USM Blida, un des prétendants à l'accession qui accuse 5 points de retard sur le podium.
Par Kader Bakou Alger-Centre, c’est-à-dire le centre-ville d’Alger, aurait pu être à Tamentfoust, de l’autre côté de la baie. Tamentfoust était la jumelle de l’antique Tipasa et d’Icosium, l’actuelle Alger. Son nom viendrait de sa position géographique, à droite de la baie d’Alger, en regardant vers la mer. En effet, il dérive de «tama n t’yefoust » qui en berbère veut dire «le côté de la droite» ou «la main droite». Les différents noms de la cité renseignent sur ses «occupants» successifs. A un certain temps, c’était Rusguniae (cap des Buissons) la Phénicienne. Les Romains vont la «romaniser » en Rusgunia. Les Espagnols, eux, ont « hispanisé» le nom de Tamentfoust qui est devenu Matifou. Les Français enfin vont donner à la cité le nom de l’explorateur La Pérouse. C’est certainement à l’époque romaine que la ville a connu son apogée. En effet, sous Auguste, vers l’an 30 av. J.-C., elle devient une colonie de droit romain conçue pour les vétérans de la Legio VIII Gemella. L’empereur Auguste en personne s’y installa entre 33 et 27 av. J.-C. Tous les habitants de Rusgunia bénéficièrent alors de la citoyenneté romaine. A l'ère des Byzantins, Rusgunia devient le siège d'un évêché. Une mosaïque peut être admirée au musé du Louvre à Paris et elle provient du pavement d'une église. D'autres objets provenant de Rusgunia sont conservés au Musée des antiquités d'Alger. La ville possède un patrimoine historique et archéologique important, dont le fort turc datant du XVIIe siècle (le bordj de Tamentfoust ou Fort-de-l’eau), son église du XIXe siècle et les vestiges de sa ville antique datant du Ier siècle av. J.-C. Au VIe siècle, le géographe El- Idrissi dira d’elle : «C’était autrefois une grande ville et on y voit encore le reste d’anciennes constructions, de temples et de colonnes en pierre. » Le hasard, les aléas et les caprices de l’histoire ont voulu qu’à partir d’un certain temps, c’est la «rive gauche» de la baie qui a pris davantage d’importance. Mais Alger est devenue tellement gigantesque que les deux côtés de la baie ne font pratiquement qu’une seule et unique ville dont le centre géographique est l’oued El- Harrach. K. B. bakoukader@yahoo.fr
Le délestage en pays pétrolier, un outrage à la raison !
Si l'on devait condamner à mort la bêtise dans notre pays, faudrait envisager ensuite une vaste opération de…
… Repeuplement !
C'est, je le pense sincèrement, le degré zéro de la gouvernance ! Je ne vois pas d'autre indice de sécheresse managériale aussi criant. Tous les ans, à la même période, un ministre de l'Energie, qu'il soit clean ou avec plein de pellicules sur le veston, malgré les shampooings italiens et canadiens, vient nous dire en face, droit dans les yeux ceci : «Il ne devrait pas y avoir de délestage cet été !» L'actuel ministre n'a pas dérogé à cette règle devenue quasi immuable. En 2013, dans un pays producteur de pétrole, de gaz et de scandales en épaisses couches schisteuses, nous en sommes encore à ouvrir la saison de printemps avec ce genre de promesses. Jamais tenues jusque-là, puisque malgré les déclarations identiques faites au printemps 2012, l'été a été «régulé» par les délestages, doux euphémisme pour désigner l'arrêt en alimentation électrique de millions de foyers. Le temps gaspillé à venir discuter de l'improbabilité de délestages électriques en été est un temps pris, volé sur des débats autrement plus probants sur le photovoltaïque, sur les énergies renouvelables de manière plus générale et sur la nécessaire collaboration entre les ministères de l'Energie et de l'Habitat en matière de promotion des maisons éco-énergétiques. Plus crûment dit, une conf' de presse sur «délestage ou pas» représente à mes yeux une offense à la raison, autant qu'au formidable trésor que la nature nous a donné et dont nous ne savons pas quoi faire réellement, en dehors du gaspillage et de l'engraissement des fils et des neveux. Les accords d'Evian n'ont pas été signés hier ou l'an dernier, en 2012. L'Algérie n'a pas enclenché sa guerre libératrice le 1er novembre 2006. Nous avons gagné le droit humain de nous autogérer en 1962. Comment alors, ya bouguelb, accepter, tolérer qu'un demi-siècle après, un demi-siècle et des brouettes pleines de gaz et de pétrole on vienne spéculer gentiment sur le fait que le courant arrivera, peut-être, doucement, parfois, à la folie, jamais, de temps en temps, si Dieu veut, par petits jets ou en cascade dans nos maisons ? Ça, c'est le genre de questions que l'on se pose le 6, le 7, le 8 ou à la rigueur les 31 juillet des dix premières années d'indépendance. Pas après ! Désolé, pas après ! Aujourd'hui, à l'heure précise où j'écris ces lignes, le 22 mars 2013, à 14 heures 04 minutes, j'apprends que l'Angola, pays pétrolier indépendant en plein boum, vient de racheter toute une flopée de grosses entreprises, de très grosses entreprises stratégiques du… Portugal en crise. Ai-je besoin de rappeler que le Portugal a colonisé l'Angola longtemps ? Non ! Je me contente juste de fumer du thé et de rester éveillé à ce cauchemar qui continue. H. L.
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