093-/-ACTUALITES DUVendredi 03 Avril 2015
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Vendredi 03 Avril 2015
الجمعة 03 أفريل 2015 م
الجمعة 13 جمادى الآخرة 1436 ه
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Autoroute Est-Ouest : Peut-on encore parler d'autoroute ? L’autoroute Est-Ouest, censée réduire le temps et la distance entre les villes du Nord, est dans un état critique. Les usagers... |
Quand Sellal parle des libertés
Sellal : 20 000 migrants clandestins en Algérie
De plus en plus d'enseignants partent en retraite anticipée
Il y a de plus en plus de départs en retraite anticipée dans le secteur de l’éducation, tous paliers confondus.
Allô le 30 03 ? Mon cancer du sein, je ne veux pas en parler à mes proches
Première en Algérie : un numéro vert, le 30 03, pour les femmes atteintes d’un cancer du sein, a été...
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Oran : le journaliste poursuivi pour «atteinte au prophète» jugé le 28 avril
Alors que l’affaire du journalise des deux publications, Jaridati et Mon Journal, Abdelhaï Abdessami, qui demeure en détention...
Coupe africaine : La qualification à la portée des clubs algériens
Après l’élimination du MC Alger au tour préliminaire de la Coupe de la CAF face au club nigérien du FC Sahel, quatre...
Les Chélifiens décidés à arracher la victoire
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L'AGO du COA demain à Bab Ezzouar
Kenya : L'Université de Garissa pleure ses étudiants
Au moins 147 personnes, essentiellement des étudiants, ont trouvé la mort hier lors d’une attaque terroriste,...
Sidi El Houari : Le plus vieux quartier d'Oran meurt en silence
Le quartier historique de Sidi El Houari vient d’être décrété «secteur sauvegardé». Sur place, des...
Le décret, signé par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, et publié dans le numéro du 8 février 2015, stipule...
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Autoroute Est-Ouest : Peut-on encore parler d’autoroute ?
le 03.04.15 | 10h00
L’autoroute Est-Ouest, censée réduire le temps et la distance entre les villes du Nord, est dans un état critique. Les usagers souffrent quotidiennement des retards dans les travaux de remise en état et mettent deux fois plus de temps qu’avant pour arriver à destination.
Depuis son ouverture officielle en 2008 par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, l’autoroute Est-Ouest est devenue un vrai danger public pour les usagers qui l’empruntent quotidiennement.
Des travaux inachevés depuis son ouverture, un tunnel qui s’effondre et des glissements de terrain qui emportent une partie du «projet du siècle»... Le tronçon qui mène du centre du pays vers l’Est est dans un très mauvais état et est devenu un vrai cauchemar. Celui situé dans la wilaya de Bouira, précisément entre Lakhdaria et Laâdjiba, est dans un état critique. La partie reliant ces deux communes avait été réalisée en 1993 dans la première tranche du projet par l’entreprise algérienne Cosider.
La construction de deux tunnels et d’un grand viaduc situés au niveau des communes de Aïn Turc et Djabahia a été respectivement confiée à une entreprise turque et à un groupement mixte algéro-italien. A proximité des deux tunnels de Aïn Chriki, un gigantesque éboulement de terrain a été enregistré il y a plus de deux ans. Une partie de la route avait été emportée par le glissement de terrain qui menaçait même des habitations. Les travaux visant à stabiliser le sol et la réalisation de cette route traînent toujours.
Études
Par ailleurs, d’autres travaux de mise à niveau ont été lancés il y a quelques jours sur le tronçon allant de Bouira à El Adjiba, à l’est de Bouira. Cette partie avait été réalisée par l’entreprise italienne Todini. Un fait qui illustre une fois de plus que ce tronçon d’autoroute, long de 101 km, traversant Bouira, a été tout bonnement bâclé. Pourtant, celui de Bouira à Lakhdaria avait été livré à la circulation en juillet 2008 et son inauguration avait été faite par le président de la République. L’ancien wali de Bouira, Ali Bougera, actuellement wali de Ouargla, avait déclaré en 2012 que «c’est Cosider qui avait réalisé ce tronçon selon ses moyens».`
Les normes n’ont pas été respectées car, selon M. Ferhat, gérant d’une entreprise de transport de marchandises qui a travaillé dans ce même chantier, «lors de la réalisation du tunnel, qui est situé au lieu-dit Aïn Chriki de la commune de Djebahia, nous étions plusieurs petites entreprises algériennes à avoir sous-traité le transport de terre dégagée lors de la réalisation du tunnel auprès d’une entreprise chinoise qui réalisait le projet. Mais ce qui avait attiré notre attention à l’époque, c’était le fait d’étaler la terre dégagée du tunnel pour qu’ensuite elle soit utilisée comme première couche pour l’autoroute actuelle. Par la suite, nous avons demandé des explications aux responsables pour savoir si cela était temporaire ou non, et ils n’ont jamais répondu aux questions.
Je me souviens aussi qu’une fois, un des chauffeurs de camions 6x4 en a informé les services techniques qui venaient faire les suivis des travaux, mais ces derniers ont répondu simplement qu’ils savaient ce qu’ils faisaient». Un bureau d’études spécialisé dans l’étude des sols et tracés de routes nous a confirmé ces données : «Une grande partie de cette autoroute est réalisée sans étude, car pour un tel projet il faut prendre l’étude très au sérieux, contrairement à ce qui s’est passé sur ce chantier.
On n’a pas besoin d’être un expert pour se rendre compte que cette autoroute est un grand échec, au moins dans certaines zones. Il suffit de regarder là où il y a un glissement de terrain ou une fissure pour voir sous le goudron la terre qui ne devait pas être utilisée. Pour réaliser une telle autoroute, il faut d’abord faire une étude fiable du sol.
Abandon
La capacité portante du sol de fondation doit être calculée avec un facteur de sécurité acceptable pour assurer la sécurité. C’est le même principe lors de la réalisation d’une maison : pour savoir combien on doit creuser pour les fondations, il faut savoir si c’est un terrain rocheux ou meuble. Par la suite, il faut respecter les normes de terrassement car, après avoir dégagé la terre, il faut la replacer par du tout-venant d’oued ou du tuf comme première couche pour que la base de la route soit stable.
Par la suite, il faut mettre une autre couche de gravillon 0/40 millilitre pour servir de couche de propreté et de liaison entre le goudron et le tout-venant. Et en dernier, le goudron en plusieurs couches en sachant qu’il faut mettre d’abord le grave bitume et enfin le béton bitumineux comme dernière couche de finition. Mais les entreprises impliquées dans la réalisation de l’autoroute n’ont malheureusement pas toutes respecté ces procédures, ce qui a causé d’énormes dégâts.» L’autre point qui met en danger les usagers de cette autoroute, c’est l’absence d’éclairage et la présence de dos d’âne qui ne sont pas visibles, surtout la nuit. «Avant, quand l’autoroute était en bon état, je mettais 3 heures pour aller d’Alger à Sétif en respectant les limitations de vitesses qui sont parfois de 80 km/h ! Mais depuis sa dégradation, je mets 5 heures», nous raconte Saâd, un usager de cette autoroute.
Et pour se reposer, il n’y a, pour l’instant, aucune aire de stationnement, les usagers de cette route font une pause quand ils y sont obligés devant les barrages de gendarmerie pour être en sécurité. Les marchés de remise en état sont attribués en gré à gré à d’autres sociétés qui n’ont pas réalisé le projet. L’entreprise japonaise qui devait réaliser les 97 km dans la wilaya de Taref a abandonné le projet pour aller renforcer celle qui réalise les travaux à Constantine au lieu-dit Djebel El Ouahch qui devait être livré en juin, selon le ministre des Travaux publics, Abdelkader Kadi.
Bouzid Ichalalene
Quand Sellal parle des libertés
le 03.04.15 | 10h00
L’Etat tente encore une fois de redorer son blason. Sur la question des libertés de réunion et de manifestation, le ministre des Relations avec le Parlement, Khelil Mahi, a déclaré hier à l’APN, au nom du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, que «657 autorisations» de réunion, une partie importante des demandes selon M. Mahi, «ont été accordées par la wilaya d’Alger durant le premier semestre de 2014».
Donc, selon M. Sellal, «les rassemblements sont organisés en toute liberté à Alger. Les seuls refus enregistrés sont dus au non-respect des conditions prévues par la loi.» Une déclaration qui a fait réagir certains partis politiques et organisations de la société civile qui, dans leur ensemble, considèrent ce discours comme de «la poudre aux yeux». Me Salah Dabouz, président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (Laddh) s’interroge sur le nombre total des demandes déposées et celles rejetées par le ministère de l’Intérieur ? Le porte-parole de Jil Jadid, Sofiane Sakhri, remet en doute la «crédibilité de l’Etat» et rappelle au Premier ministre, pour ne donner qu’un seul exemple, le refus essuyé à leur demande de la tenue d’une conférence sur les modalités de transition démocratique.
Selon lui, pour se justifier, la wilaya d’Alger s’est contentée de leur faire comprendre que «l’objet de la conférence n’était pas clair !» «Seuls les plus conciliants avec le pouvoir bénéficient de ce genre d’autorisations», s’indigne-t-il. Lahlou Aliouat, coordinateur des gardes communaux, est de cet avis. «La seule évolution enregistrée réside dans l’étouffement des voix contestataires. Le pouvoir n’autorise que ses supplétifs», s’emporte-t-il. En termes de respect des droits, M. Sellal assure que «les institutions consacrent l’Etat de droit et protègent les droits individuels et collectifs, y compris la liberté d’expression et d’association, de réunion et de manifestation.» Atmane Mazouz, porte-parole du RCD, dresse un bilan autre que celui du Premier ministre. «Jamais le gouvernement n’a autant violé les lois sur les libertés de réunion et de manifestation. Nous sommes dans un Etat de non-droit et les acquis démocratiques sont à arracher.» «Quand les autorités répondent aux demandes, elles le font tardivement avec un refus», lance Hacene Ferhati, représentant de SOS Disparus.
L’Etat a fait de nous des clandestins dans notre propre pays.» Me Abdelghanbi Badi, président du bureau d’Alger de la Laddh, suggère au Premier ministre de répondre d’abord aux nombreuses demandes de conformité qu’exige la nouvelle loi sur les associations, la 12-06, avant de parler de liberté d’association et de manifestation. Toute manifestation publique est strictement interdite à Alger.
L'essentiel de la semaine
le 03.04.15 | 10h00
Samedi
A Tunis, la «société civile» progouvernement s’en prend aux représentants de l’opposition par la violence. Elle épouse les méthodes dont ses sponsors usent à l’intérieur, mais aussi à l’extérieur. Faire du «pouvoir» n’est d’ailleurs pas donné à tous. Pour cela, il faut être protéiforme. La preuve, après des années de calvaire, il se murmure que l’officialisation de tamazight est imminente. Les miracles existent.
Dimanche
A Charm El Cheikh, les pays arabes s’entendent pour une force militaire conjointe, sans Alger, qui refuse d’agir hors de ses frontières et prône une «solution politique au Yémen». Inflexibilité de la doctrine diplomatique, et surtout toute la concentration des AE est sur la venue de l’émissaire de l’ONU pour le Sahara occidental, une guerre régionale est encore à gagner. Côté potins, il paraîtrait que Khalifa se serait décidé à tout déballer et à donner des noms.
Lundi
Des Algériens en colère dénoncent les «mensonges» de l’Etat qui ne semble pas pressé de finir les projets AADL en cours. Mensonge ? Une grande première. Toujours dans les premières, Sellal a une bonne idée, il annonce une révision du budget 2015, histoire de le rationaliser et le mettre au diapason du prix du pétrole. Mais pas de panique, une coopération aura bientôt lieu avec la Biélorussie, plus grande démocratie et économie la plus dynamique au monde.
Mardi
Rebaïne revient à la charge : «La situation du pays est catastrophique.» Vérité de Lapalisse. Des solutions ? Le pouvoir semble emprunter les siennes au printemps. Zerhouni annonce le développement d’un «écotourisme» dans le Sud. Alger et Paris sont sur le point de signer un accord de coopération pour la protection de l’environnement, alors qu’on annonce enfin un programme de développement des énergies durables. Une Algérie verte, on a hâte.
Mercredi
Zuma quitte Alger après avoir signé un mémorandum politique entre les deux pays. On espère que ce texte est irrigué par les valeurs de Mandela. Il serait d’ailleurs content d’apprendre que l’Algérie «finira par abolir la peine de mort» selon Amnesty International, et ce n’est pas un poisson d’avril. Lamamra, lui, a fait approuver par les pays arabes l’ensemble des amendements algériens pour la création d’une force militaire arabe. Art diplomatique.
Jeudi
Après sa fronde contre l’opposition, Bouteflika se radoucit et propose de discuter de la révision constitutionnelle qui sera en débat au Parlement. Elan de générosité sûrement dû à la bonne nouvelle venant de l’UA, la question sahraouie sera une priorité. Mahi, devant l’APN, affirme que «peu de manifestations sont interdites», alors que Belaïz estime que «la situation à In Salah est presque normale». Quand l’APN se transforme en antichambre du festival Alger’Rire.
Amrane Mahfoud Medjani
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Passeport biométrique : réunion des consuls généraux d’Algérie en Europe
le 03.04.15 | 10h00
Une réunion, regroupant les consuls généraux d’Algérie en Europe et entrant dans le cadre du suivi et de l’amélioration de l’opération de délivrance du passeport biométrique aux ressortissants algériens, est prévue aujourd’hui et demain à l’ambassade d’Algérie en France, selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères. «Le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Abdelhamid Senouci Bereksi, accompagné de hauts cadres du ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales et du ministère des Affaires étrangères, présidera, les 3 et 4 avril, une réunion au siège de l’ambassade d’Algérie à Paris, qui regroupera les consuls généraux et consuls d’Algérie en France, Espagne, Italie, Belgique, Suisse, Grande-Bretagne et Allemagne», précise la même source. Cette réunion a pour but d’«évaluer le processus de délivrance du passeport biométrique et de prendre toutes mesures supplémentaires de facilitation, susceptibles d’améliorer encore cette opération au bénéfice des membres de notre communauté», selon le communiqué.
APS
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Claude Hêche : «La Suisse a tendance à sous-estimer le rôle de l’Algérie pour la stabilité»
le 03.04.15 | 10h00
L’Algérie «se révèle toujours plus un acteur déterminant» de la sécurité en Europe, a estimé le président du Conseil des Etats de la Fédération suisse, Claude Hêche, considérant qu’elle mérite d’être soutenue pour ses efforts dans la région du Maghreb et du Sahel.
«Avec sa connaissance approfondie de toutes les communautés et ethnies de la région, l’Algérie se révèle toujours plus un acteur déterminant de la sécurité en Europe», a indiqué Claude Hêche qui a effectué dernièrement une visite de travail en Algérie, cité par le journal suisse Le Temps. Il a estimé que l’Algérie, «incontournable» au Mali, en Libye et en Tunisie pour son rôle dans la lutte contre le terrorisme et ses efforts de pacification, «mérite d’être soutenue plus ouvertement par la Suisse», plaidant pour que son pays participe «pleinement» à la prochaine Conférence internationale mise sur pied par Alger pour traquer le financement du terrorisme. «La Suisse a tendance à sous-estimer le rôle de l’Algérie pour la stabilité non seulement de la région méditerranéenne, mais aussi de l’Europe, en particulier francophone.» Le président du Conseil des Etats de la Fédération suisse a plaidé pour une «intensification» des relations bilatérales, «non seulement en matière de renseignement, mais aussi en matière économique», préconisant dans ce sens «une reprise des négociations en vue d’un accord de libre-échange entre les pays de l’Association européenne de libre-échange et l’Algérie».
APS
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Convention de 2005 de l’Unesco : un nouveau challenge pour l’Algérie
le 03.04.15 | 10h00
L’Algérie est le 135e pays à avoir ratifié, en février, la Convention de 2005 de l’Unesco sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles.
«La ratification est passée inaperçue, parce que le ministère de la Culture est régi par des bureaucrates qui ne mesurent pas l’importance d’un tel acte», déclare Samir Hadji, écrivain et militant culturel. «Pendant longtemps, notre pays comptait parmi les derniers pays au monde à avoir refusé de franchir le pas. Il était resté, par conséquent, en dehors du débat et des enjeux internationaux relatifs à la gouvernance de la diversité culturelle, alors qu’il en avait grandement besoin, surtout après les événements tragiques de Ghardaïa», explique Ammar Kessab, expert en management culturel. «Officiellement, les objectifs de l’Etat en matière de culture en Algérie ont été conçus pour protéger et promouvoir la grande variété des particularismes culturels et régionaux du peuple.
Le contenu de la Convention de 2005 met à mal une situation de statu quo culturel entretenue par le régime depuis l’indépendance, dans la mesure où le texte de la convention appelle explicitement les parties à créer, sur leur territoire, un environnement encourageant les individus et les groupes sociaux pour qu’ils puissent créer, diffuser et distribuer leurs propres expressions culturelles et à y avoir accès», ajoute-t-il. Maintenant, un retard considérable doit être rattrapé en matière de reconnaissance des cultures locales, «non pas en organisant des festivals folkloriques, mais en introduisant des réformes publiques de fond.
Il s’agit aussi de créer un secteur culturel indépendant, géré de manière autonome, dans lequel les différents groupes sociaux peuvent s’exprimer librement, dans le cadre d’un appareil administratif et réglementaire qui encourage ces expressions plutôt que de les contraindre», précise M. Kessab.
Faten Hayed
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Coupe africaine : La qualification à la portée des clubs algériens
le 03.04.15 | 10h00
Après l’élimination du MC Alger au tour préliminaire de la Coupe de la CAF face au club nigérien du FC Sahel, quatre clubs de l’élite, à savoir l’ES Sétif, l’ASO Chef, l’USM Alger et le MC El Eulma, restent toujours en course afin de passer le cap des seizièmes de finale des Coupes africaines.
L’USM Alger, l’Entente de Sétif en Ligue des champions et l’ASO Chlef, en Coupe de la CAF aborderont les matches aujourd’hui avec beaucoup de sérénité. Car même si l’USM Alger jouera en déplacement face au club sénégalais de l’AS Pikine, les poulains du coach allemand Otto Pfister partent largement favoris pour passer aux huitièmes de finale après leur large succès du match aller au stade de Bologhine (5-1). L’avantage du terrain pourrait être bénéfique pour l’ES Sétif qui recevra au stade du 8 Mai 1945 le club gambien du Real Banjul. Au match aller, les deux clubs se sont séparés sur un score nul (1-1). Cet après-midi, les Noir et Blanc veulent renouer avec le succès après le revers inattendu, à domicile, le week-end dernier, en championnat, face à l’ASO Chlef (0-1).
Cette formation accueillera, pour sa part, le club guinéen de Horaya Conakry. Battus au match aller 0 à Bamako, au Mali, à la faveur d’un penalty dans le temps additionnel, les Chélifiens espèrent mettre à profit l’avantage du terrain, mais aussi la grande confiance dont jouit actuellement l’équipe afin de poursuivre son aventure dans la Coupe de la Confédération. La mission sera, par contre, plus délicate pour le MC El Eulma qui rendra visite au club ghanéen de l’Asante Kotoko. Au match aller, les coéquipiers de Chenihi avaient été tenus en échec (0-0) à El Eulma.
Mais c’est surtout la mauvaise passe en championnat qui risque de peser sur le mental des joueurs. Le club, qui occupe une place de relégable, s’est séparé de son coach Azzedine Aït Djoudi au lendemain de son revers, à domicile, face au MC Oran (0-1). C’est désormais au coach Jules Accorci qu’incombe la responsabilité de sauver le club de la relégation, mais aussi tenter de le qualifier en huitièmes de finale de la Ligue des champions. C’est tout le défi des Eulmis qui joueront ce dimanche à Kumasi face aux Ghanéens de l’Asante Kotoko.
Farouk Bouamama
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Sadou revient sur la participation algérienne à Guiyang
le 03.04.15 | 10h00
Le directeur des équipes nationales d’athlétisme, Abdelkrim Sadou, qui avait accompagné les sélections nationales filles et garçons au dernier Championnat du monde de cross-country à Guiyang (Chine), est revenu sur la participation algérienne. «La sixième place obtenue par les filles est un résultat très positif, étant donné que c’est la première fois qu’on les intègre dans un Championnat du monde.
Nos athlètes ont fait un bon travail d’équipe. Ce qui nous a permis d’obtenir la sixième place sur les douze nations engagées. Amina Bettiche a réussi à se classer en 26e position, suivie de Nawal Yahi (28e), Barkahoum Drici (41e) et Saoud Aït Salem (44e)», relève t-il. Toutefois, M. Sadou a insisté sur le fait que le plus important reste les compétitions sur piste et route avec les futures critériums que sont le Championnat arabe, le Championnat du monde et les Jeux panarabes. «Bettiche a la 20e performance mondiale cette année sur 3000 m steeple. Nous avons des aspirations par rapport à sa spécialité. Pour l’avenir, nous misons sur Nawal Yahi, de même que Nabila Sifi, qui malgré sa 66e place est une athlète à suivre.» Concernant la dixième place des garçons, Abdelkrim Sadou précise : «On misait sur une place entre la sixième et la huitième, car en 2013 l’équipe avait terminé la compétition à la sixième place. Malheureusement, c’est une déception. Il est vrai que le niveau était très élevé. En 2013, Rabah Aboud s’était classé en onzième position. Cette fois-ci, il a terminé en tant que meilleur Algérien à la 31e place», regrette le directeur des équipes nationales d’athlétisme.
Farouk Bouamama
"La fin d'Interstellar est vraiment stupide
VIDÉO Attention spoiler, on vous conseille d'avoir vu le film de Christopher Nolan pour mieux apprécier la vidéo qui suit.
Christopher Nolan en prend pour son grade dans la dernière vidéo en date des "Screen Junkies" qui publient sur YouTube les bandes-annonces honnêtes de nos films préférés, sans avoir peur de les égratigner.
Sorti en 2014, Interstellar est un film créé "par un réalisateur qui peut apparemment tout se permettre depuis qu'il a réalisé The Dark Knight". Une oeuvre "ambitieuse" et "originale", mais qui nous fait aussi nous demander: "Qu'est-ce qu'il fout dans une bibliothèque de l'espace??", poursuit la vidéo.
On retrouve Matthew McConaughey dans le rôle de... Matthew McConaughey, qui ne s'exprime pas toujours très clairement et ne pense qu'à sa fille, Murph, au détriment de son autre enfant.
L'équipe des Screen Junkies se moque aussi des faiblesses du scénario d'Interstellar, de ses métaphores faciles et déjà vues, mais elle condamne surtout la fin du film. "Ce n'est pas qu'on ne comprend pas, c'est juste que c'est vraiment stupide."
Stromae vient de dévoiler le clip de "Carmen" présent sur l'album Racine Carrée. Il dresse une satire des réseaux sociaux.
Attendu à Coachella le week-end prochain, Stromae vient de dévoiler le clip de "Carmen", morceau présent sur l'album désormais culte "Racine Carrée".
La vidéo est une animation réussie où l'alter-ego de Stromae est pris dans la spirale de l'addiction aux réseaux sociaux. Comme le précise le site Buzzfeed, à qui le Bruxellois a accordé l'exclusivité, la vidéo commence par un selfie avec l'oiseau emblématique de Twitter.
Un nouveau compagnon qui va prendre de plus en plus de place dans la vie de l'internaute au point d'avoir une emprise totale sur celui-ci et l'emmener... à l'abattoir. Un bien sombre destin.
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