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Premier retrait militaire français du Mali mais l'engagement devrait durer des années
le 08.04.13 | 20h35 | mis à jour le 09.04.13 | 14h08
Trois mois après le début de son intervention militaire, le 11 janvier, la...
Trois mois après le début de la guerre au Mali, le 11 janvier, la France vient d'effectuer un premier retrait symbolique de troupes de ce pays à l'avenir politique toujours confus, mais son engagement militaire risque de s'y prolonger pour encore longtemps. Mardi, l'état-major des Armées a annoncé à Paris le retrait d'une centaine d'hommes sur les plus de 4.000 déployés au Mali. Ils sont arrivés lundi à Paphos, à Chypre, pour trois jours d'hôtel comme le font habituellement les militaires de retour d'opérations avant de regagner la France.
Petit à petit, le président de la Commission nationale de promotion et de protection des droits de l’Homme (Cnppdh), Farouk Ksentini, a fini par se donner un rôle dans la question de l’emploi. ...
L’Algérie a réitéré, hier, son appel pour la coordination des efforts et la mise en place d’actions de coopération appropriées pour l’éradication du phénomène du terrorisme, en mettant l’accent sur la nécessité de tarir et d’assécher ses sources de financement. «l’Algérie, consciente de la menace et des dangers du terrorisme sur la paix et la stabilité des pays, continue à appeler à la coordination des efforts et à la mise en place d’actions de coopération appropriées pour l’éradication de ce fléau»...
De notre correspondant à Annaba Mohamed Rahamni La première session, hier, de la nouvelle Assemblée populaire de wilaya (APW) d’Annaba a été consacrée au secteur des travaux ...
Le 31 juillet prochain est la date butoir fixée par le Centre national du registre du commerce (Cnrc) aux sociétés commerciales dotées de la personnalité morale pour le dépôt légal obligatoire de leurs comptes sociaux de l’exercice 2012....
La Caisse nationale d’épargne et de prévoyance, Cnep-banque, a accordé 343,7 milliards (mds) de dinars de crédits à l’investissement en 2012, selon un bilan communiqué à l’APS. ...
Par Youcef Salami Expert et consultant en intelligence économique, Mohamed Faouzi Boucheloukh, a appelé depuis Oran, où se tient la 9e édition des Journées scientifiques et ...
Le Salon international de l’agroalimentaire «Djazagro 2013» a ouvert ses portes, hier, au Palais des expositions de la Société algérienne des foires et exportations (Safex)....
Les travailleurs du secteur de l’habitat et de l’urbanisme, affiliés au Syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (Snapap) menacent d’observer une grève de trois jours à compter du 15 avril prochain....
Par Bahia AlioucheLes réformes conduites par les pouvoirs publics visant à assurer la sécurité alimentaire du pays, ont donné des résultats certains en terme de ...
Lors d’un colloque sur la sécurité alimentaire qu’il a organisé, hier à Alger, le Forum des chefs d’entreprises (FCE) a formulé une série de propositions allant dans le sens de l’allègement de la facture alimentaire....
De notre correspondant à Constantine A. Lemli La réussite ou l’échec, même si tout cela reste très relatif, de «Constantine, capitale de la culture arabe 2015» semble ...
De notre correspondant à Annaba Mohamed Rahmani L’actualité de la semaine dernière à Annaba a été marquée par une intense activité du secteur de l’agriculture, représenté par ...
De notre correspondant à Constantine Nasser Hannachi La problématique d’enlèvement d’enfant et de la pédophilie a été au cœur d’une journée d’étude organisée, hier, à la faculté ...
15e Conférence des ministres de l’Intérieur des pays de la Méditerranée occidentale
L’Algérie pour une approche globale contre le terrorisme
09-04-2013
Par Amar Rafa
L’Algérie a réitéré, hier, son appel pour la coordination des efforts et la mise en place d’actions de coopération appropriées pour
l’éradication du phénomène du terrorisme, en mettant l’accent sur la nécessité de tarir et d’assécher ses sources de financement. «l’Algérie, consciente de la menace et des dangers du terrorisme sur la paix et la stabilité des pays, continue à appeler à la coordination des efforts et à la mise en place d’actions de coopération appropriées pour l’éradication de ce fléau», a affirmé le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia, à l’ouverture de la 15e Conférence des ministres de l’Intérieur des pays de la Méditerranée occidentale (Cimo), dont l’ordre du jour porte essentiellement sur les questions sécuritaires.
Les efforts dans la lutte contre le terrorisme doivent prendre en compte le «tarissement et l’assèchement» de ses sources de financement, a-t-il précisé, pour autant, en affirmant que «les mesures prises au plan international pour lutter contre le financement du terrorisme, ont conduit les groupes criminels à se rabattre sur d’autres moyens de
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FLN-RND Quels soutiens pour quels candidats ?
Le compte à rebours a commencé pour la seule élection qui compte vraiment dans le pays, la présidentielle. Dans exactement une année, en tout cas en avril 2014 au plus tard, l’élection présidentielle se doit d’avoir lieu. C’est une certitude. Mais c’est la seule ...Suite
Le compte à rebours a commencé pour la seule élection qui compte vraiment dans le pays, la présidentielle. Dans exactement une année, en tout cas en avril 2014 au plus tard, l’élection présidentielle se doit d’avoir lieu. C’est une certitude. Mais c’est la seule pour le moment.
Kamel Amarni - Alger (Le Soir) - Abdelaziz Bouteflika, qui règne sur le pays depuis la fin du XXe siècle, aura tout fait, ces deux dernières années, pour cultiver le flou et tétaniser la situation politique comme jamais elle ne l’a été depuis l’indépendance. Le 15 avril 2011, et pour faire face à la terrible pression consécutive au fameux «printemps arabe», il lancera ses «réformes politiques» à travers un discours où les Algériens avaient plus retenu l’image pathétique d’un président ostensiblement affaibli par la maladie, à la voix à peine audible que le contenu. Une image qu’il s’emploiera à rectifier dès le lendemain samedi 16 avril 2011 qui coïncidait avec une visite officielle qu’il effectuait à Tlemcen. Mais une autre visite marquera davantage les esprits : celle qu’il effectuait à Sétif le 8 mai 2012. C’est à cette occasion qu’il lancera son célèbre «Tab edjnana» ! Un vieux dicton populaire qui signifie en gros «c’en est fini pour notre génération». Le mot était lâché, mais Bouteflika n’en dira pas plus, depuis. Cela signifie-t-il qu’il renoncera à un quatrième mandat ? Ou alors parlait-il d’autrui ? Il fallait attendre début septembre 2012 pour comprendre que l’homme a, de toutes les manières, commencé, s’agissant d’autrui, en optant pour une sorte de stratégie de «nettoyage par le vide». En procédant au limogeage de Ahmed Ouyahia mais aussi de quasiment tous les membres du gouvernement qui symbolisent le régime Bouteflika comme Abdelaziz Belkhadem, Yazid Zerhouni, Abdelhamid Temmar, Djamel Ould Abbès, Saïd Barkat, Aboubakr Ben Bouzid. A l’exception de ce dernier, les autres étant parmi les membres les plus proches de Bouteflika. Ce vaste remaniement du gouvernement sera suivi, peu de temps après, par une autre opération similaire qui touchera les deux plus grands partis du pouvoir, le RND et le FLN. En moins d’un mois d’intervalle, on assistera aux départs forcés de Ahmed Ouyahia et de Abdelaziz Belkhadem, respectivement de la tête du RND et du FLN. Et, comme par hasard, ni le RND et surtout le FLN ne sont autorisés (c’est le mot) à régler leurs crises respectives pour le moment ! A l’arrivée, le parti de la majorité et son allié se retrouvent sans direction et, pire encore, interdits de toute activité politique ! A peine si Abdelkader Bensalah et Abderrahmane Belayat sont-ils autorisés à expédier quelques affaires courantes, respectivement au RND et au FLN où ils assurent la coordination de structures provisoires. De l’aveu même de membres influents de ces deux partis, tout le monde attend «le signal qui viendra d’en haut». Et tout le monde s’accorde sur le fait que le profil même du futur dirigeant du FLN, d’abord, et du RND, ensuite, sera déterminé en fonction du candidat du pouvoir, c'est-à-dire le prochain président de la République. En somme, tout est suspendu au fait si Bouteflika se représentera ou pas pour 2014. K. A.
Le ministre marocain de l’Intérieur a affirmé, hier, que l’ouverture des frontières avec l’Algérie conduira à une «meilleure coopération» dans la lutte contre le trafic de stupéfiants. Tarek Hafid - Alger (Le Soir) - Le Maroc semble vouloir imposer à l’Algérie l’ouverture des frontières comme préalable à une lutte plus efficace contre le trafic de drogue produite sur son territoire. C’est ce qu’a déclaré, hier, Mohand Laenser, lors d’une conférence de presse marquant la clôture de la 15e Conférence des ministres de l’Intérieur du bassin de Méditerranée occidentale (CIMO). «Si le trafic de drogue est la cause qui justifie la fermeture des frontières, alors les frontières ne s’ouvriront jamais car il n’y a pas un seul pays au monde qui a réussi à éradiquer le trafic. L’ouverture des frontières conduira à une meilleure coopération dans ce domaine», a répondu le ministre à une question sur les mesures prises par les autorités marocaines pour lutter contre ce phénomène. Mohand Laenser a donc profité de la tribune de cette conférence des 5+5 pour remettre sur la table le dossier de l’ouverture des frontières. P ourtant, la question de l’engagement et de la coopération du Maroc dans cette lutte ne devrait pas se poser puisque ce pays est signataire de «toutes les conventions internationales». Mohand Laenser a d’ailleurs tenu à le préciser hier. «Il est important de rappeler qu’en matière de lutte contre les stupéfiants, le Maroc est signataire de toutes les conventions internationales. Il suffit juste de lire les statistiques pour constater le niveau des saisies et la diminution de 70% des superficies cultivées. Avec mon confrère ministre de l’Intérieur d’Espagne, nous sommes revenus ce matin sur les moyens de lutte déployés. Pour ce qui est des frontières avec l’Algérie, il y a également des statistiques et des actions de coopération qui iront en se consolidant», dira-t-il. Si l’on s’en tient aux statistiques des services de sécurité algériens, les saisies de drogue produite au Maroc n’ont cessé d’augmenter. De 53 tonnes de résine de cannabis en 2011, les saisies ont dépassé 157 tonnes en 2012. Il est aujourd’hui établi que ce trafic est la principale source de financement des groupes terroristes au Sahel. D’ailleurs, dans la déclaration finale de la 15e CIMO, les ministres se disent «convaincus que le terrorisme et le crime organisé, notamment le narcotrafic, sont trop souvent liés». Une des résolutions prévoit «la poursuite de la lutte contre le trafic illicite de drogue, des substances psychotropes et des produits précurseurs par le renforcement des capacités des Etats membres de la CIMO, en particulier en matière de contrôle aux frontières maritimes, terrestres et aériennes». T. H.
De notre bureau de Bruxelles, Aziouz Mokhtari Ironie du sort ou signe des temps, à Marseille l’on a inauguré un musée de la mer, le Mucem, destiné à la Méditerranée. Ou à l’Union pour la Méditerranée ?
Au même moment, les présidents des parlements européens de la rive sud du grand-bleu étaient en conclave avec en face d’eux, à l’autre bout de la table, les riverains nord de la mer chère à Chypre, aux investisseurs offshore, à la Grèce antique et qui compte une majorité de pays endettés, au bord du gouffre, aux déficits endémiques et à l’avenir incertain. Au centre des deux rives, le président du Parlement européen (PE), Martin Shultz, socialiste, que veut bien signifier cela, ici et maintenant, et allemand de son état. Que veut Shultz ? Redonner vie à l’Union pour la Méditerranée et permettre de vraies convergences entre les habitants de l’espace Ulysse. Depuis 1995, pourtant, date de la proclamation du processus de Barcelone, traité juste et généreux entre le nord et le sud de l’Europe, tout a été dit et évalué, posé, analysé, scruté, diagnostiqué pour que la Méditerranée, tous versants confondus, aille bien. Mieux, devienne intéressante, prospère. Bruxelles, hélas, a choisi, dès Barcelone proclamé, de dévier, de contourner les accords de la Costa-Brava, de louvoyer, de piétiner les engagements. L’Europe du Nord, repue, égoïste, sous pression et commandements allemands et aux ordres des marchés et des agences de notation, délaisse son flanc sud, notamment le Maghreb, pour n’avoir d’yeux que pour l’Est, les ex-Balcans, les ex-satellites de l’ex-URSS (Pologne, Tchéquie, Slovaquie, Slovénie...), tout bénéf pour Berlin mais rien de bien substantiel et de gagné pour les autres. Les intérêts de l’UE et de l’OTAN se mélangent, alors, coïncident avec le règne de Manuel Barroso, président de la Commission européenne. Ce dernier plus proche de l’Amérique que défenseur de la construction européenne, véritable représentant des marchés, ultra-libéral, partisan zélé de Bush junior, au plan économique et politique, surnommé, ici, le Texan de Bruxelles, casse, petit à petit, et un à un, tous les mécanismes de coopération avec le Maghreb et même avec l’Europe du Sud. Même le Portugal, son pays natal et dont il a été le chef de gouvernement pendant de longues années, ne trouve pas grâce à ses yeux, et est remballé comme les autres, comme un malfrat. La mission de Barroso n’était pas de construire l’Europe, mais de déconstruire tout ce qui pouvait s’opposer aux marchés, aux bourses, aux actions, aux tribulations de la haute finance, aux casinos bancaires... Le processus de Barcelone, à défaut d’être formellement mis en cause, c’est un traité, pas possible de le tuer publiquement, a été vidé de sa substance. Barroso et les siens, soutenus, il est vrai, par des chefs d’Etat et des parlementaires-lobbyistes, inventent d’autres structures et d’autres cadres et les juxtaposent sur Barcelone. La politique de bon voisinage dit PEV qui éloigne Oran, Tunis, Rabat, Alger, Annaba, Monastir, Tripoli de Bruxelles et rapproche de la capitale européenne Kiev d’autres villes de l’extrême-est du continent. Au grand dam des sudistes. Des pays comme l’Espagne, l’Italie tentent la persistance, mais le départ de Chirac, allié de poids et regardant vers le Sud, Madrid et Rome tombent dans l’escarcelle de Berlin. Sarkozy arrive et avec lui s’ouvre l’ère du tout vers l’Amérique, l’OTAN, la civilisation blanche et l’Europe aux Européens. Dans l’esprit et la bouche de l’ex-locataire de l’Elysée, cela signifiait la barrière, la frontière entre le Nord, chrétien et civilisé, et le Sud-Maghreb, musulman et sauvage. L’Union pour la Méditerranée était, dès l’entame, c’est une idée de Sarkozy, conçue comme un complot. Elle devait servir à orienter la Turquie vers cet espace pour la persuader d’abandonner ses velléités européistes, permettre aux Arabes riverains de la Méditerranée de négocier avec Israël et isoler l’Algérie dans le Maghreb. Les premières décisions sont, à cet égard, éclatantes quant aux intentions de Sarkozy. Il préside avec Moubarak, actuellement encagé, en attendant un hypothétique procès ou une mort certaine, le plus tôt serait meilleur pour lui, l’ensemble, travaille en coulisses pour attribuer le siège de l’UPM au Maroc et promeut dans la direction de l’Union pour la Méditerranée des agents de la France possédant des nationalités diverses et de pays méditerranéens. L’Algérie se retrouve dans l’UPM dans la situation de quelqu’un qui dans une main n’a rien et dans l’autre possède... le vide. (yed fargha ou yed mafihache). Lors d’un sommet à Bruxelles, les Allemands, les Espagnols et les Anglais, exacerbés par le comportement de Sarkozy, exigent de rajouter «Processus de Barcelone» à «Union pour la Méditerranée». C’est ce mort-né, ce bâtard institutionnel qui n’est ni l’héritier légitime du traité de la Costa-Brava, ni l’émanation d’un compromis historique, que Martin Shultz tente de réanimer. Schultz est certes allemand, mais à l’impossible nul n’est tenu. L’inauguration de l’UCEM, musée de la Méditerranée, achevée à Marseille, les riverains de la Méditerranée doivent se rendre à l’évidence et dépoussiérer le processus de Barcelone. En organisant un enterrement discret de l’Union pour la Méditerranée... A. M.
Par Maâmar Farah Qu’ils soient cadres ou simples citoyens, les Algériens qui s’expriment à la télévision ne dominent pas toujours l’arabe. On les sent mal à l’aise, ils bafouillent, font appel au français ou au dialectal et ce qu’ils disent est souvent incompréhensible pour les autres Arabes. Ces derniers, par contre, manient la langue d’El Moutanabi avec art. Ainsi, cinquante années d’arabisation n’ont pas réussi à former l’homme de la rue dans une langue que tous les pouvoirs ont voulu imposer sans clairvoyance ! Le comble est que, même pour la langue française, nous sommes en train de nous faire distancer. Il est admis aujourd’hui que les écoles tunisienne et marocaine, pour ne citer que celles-là, forment mieux que la nôtre dans la langue française ! Ainsi, au lieu de rester maîtres d’une langue et d’en acquérir correctement une autre, nous sommes en train de perdre le beurre et l’argent du beurre ! Mais rassurez-vous ! Il est un idiome qui fleurit sans contrariétés depuis toujours chez nous : c’est la langue de bois ! maamarfarah20@yahoo.fr
«Celui qui maîtrise l'arabe est un arabisant. Celui qui maîtrise le français est un francisant. Celui qui maîtrise uniquement l'arabe dialectal (darija) est un... dirigeant !» (Tata Aldjia)
Le quota des supporters usmistes non encore fixé Le Directeur de la jeunesse et des sports d'Oran, Badr Eddine Gharbi a indiqué mardi que les responsables du stade Ahmed Zabana, qui va abriter samedi prochain le match MC Oran-USM Alger pour le compte des demi-finales de la coupe d'Algérie de football, n'ont pas encore tranché sur le quota des billets devant être réservé aux supporters Usmistes. «On n'a pas encore fixé les modalités de répartition des billets entre les deux équipes, mais une chose est sûre, les supporters de l'USMA bénéficieront de leur quota comme stipulé par la réglementation», a déclaré à l'APS, le premier responsable du secteur de la jeunesse et des sports au niveau de la capitale de l'Ouest algérien. «Ce n'est qu'hier (lundi ,Ndlr) que le bureau fédéral a officialisé la programmation de cette rencontre au stade Ahmed Zabana. On n'attendait d'ailleurs que cela pour entamer les préparatifs de ce rendez-vous», a-t-il ajouté. Une polémique est née autour de la domiciliation de la rencontre, puisque le MCO, qui a été tiré le premier au sort, a demandé à ce qu'il accueille l'USMA au stade Habib Bouakeul, où le club est domicilié depuis quelques semaines en championnat de Ligue 1, mais la commission de la coupe d'Algérie au niveau de la Fédération algérienne (FAF) a programmé la rencontre au stade Zabana, dont les tribunes peuvent contenir jusqu'à 30.000 places, contrairement à celles de Bouakeul qui ne dépassent pas les 10.000 places. Le président du MCO, Larbi Abdalilah avait menacé de déclarer «forfait» si la FAF maintenait le match au stade Zabana, non sans crier à «l'injustice». «Je pense que tout le monde est revenu à de meilleurs sentiments et le match se jouera au lieu et à la date convenus. Je dois dire néanmoins que le Mouloudia a été lésé dans cette affaire, car étant le premier à être tiré au sort, ses dirigeants avaient toute la latitude de choisir leur lieu de domiciliation», a estimé Gharbi. Il s'est engagé, en outre, à «tout mettre en œuvre» pour que le match se déroule dans de bonnes conditions, souhaitant que le fair-play «en sorte vainqueur».
Le MB Béjaïa affrontera le champion en titre de Prisons (Kenya) tandis que le GS Pétroliers en découdra avec Al Ahly du Caire en demi-finales du 23e championnat d'Afrique féminin de volley-ball des clubs, aujourd’hui au Palais des sports d'Antananarivo (Madagascar), à l'issue des quarts de finale disputés lundi soir. Les joueuses de Béjaïa, vainqueurs de FAP du Cameroun 3 sets à 0 au précédent tour, auront fort à faire face aux redoutables Kényanes de Prisons qui ont sorti leur rival de Pipeline (Kenya) par 3 à 1. De son côté, le GSP de Zohra Ben Salem poursuit son sans-faute dans le tournoi après avoir enregistré sa quatrième victoire de suite face aux Ougandaises de Ndejje University, par 3 sets à 0. En demi-finales, les Pétrolières disputeront un derby nord-africain contre les Egyptiennes d'Al Ahly du Caire, faciles vainqueurs au précédent tour des Rwandaises d'APR par 3-0.
Start (Aujourd’hui, en heure algérienne) Au palais des sports d’Antananarivo (14h) : MB Béjaïa (ALG) - Prisons (KEN) Au palais des sports d’Antananarivo (16h) : Al Ahly (EGY) - GS Pétroliers (ALG)
La 7e édition du Festival du théâtre professionnel de Sidi-Bel-Abbès lèvera son rideau aujourd’hui, et ce, jusqu’au 16 du même mois. C’est la déclaration qu’a faite M. Assous, directeur du Théâtre de Sidi-Bel-Abbès et aussi commissaire de ce festival. Sur les 18 troupes qui ont prétendu à la compétition, 8 ont été sélectionnées. Les autres troupes participeront à cette manifestation culturelle hors compétition. Quant à celles qui se présenteront en compétition, la première qui se distinguera avec son œuvre participera au festival national qui se tiendra du 24 mai au 6 juin prochains à Alger. Les deux suivantes participeront hors compétition à ce même festival. Durant cette 7e manifestation culturelle qui se tient à Sidi-Bel-Abbès, des étudiants du département des arts de l’université Djilali- Liabès suivront un stage autour de la critique théâtrale à la lumière de la pratique des médias qui sera dirigé par le Dr Mustapha Zeggaï Djamila. En parallèle, des ateliers ponctueront le festival à l’exemple de celui de la problématique du récepteur, ainsi qu’une journée sur le livre de Mustapha, intitulé «Du théâtre algérien au théâtre national». Il y a lieu de signaler que cette 7e édition du festival professionnel ne sera pas sanctionnée par des prix. A. M.
Il est tout de même symptomatique de constater que le premier engin motorisé fabriqué en Algérie, c’est un …bulldozer.
Bled La Casse !
C’est tout le problème en ce moment. Habituellement, en pareille période, il y a le fameux «préposé au feu vert». C’est un monsieur ou un groupe de messieurs, jamais de madame ou de groupe de mesdames, dont la fonction, le job, l’unique métier est d’actionner un feu vert à un moment donné. Ne m’interrogez surtout pas sur qui actionne l’autre levier, celui qui décide du «moment donné», moi, à mon stade d’information, je n’en suis qu’au monsieur préposé au feu vert. Et ainsi, grâce à ce monsieur en charge du feu vert, les gens qui comptent dans ce pays, donc ni vous ni moi, savent très précisément que c’est le moment d’apporter leurs soutiens et de les offrir généreusement. C’est très pratique comme procédé, il faut bien le reconnaître. D’abord, ça évite à ceux qui offrent leurs soutiens de s’en débarrasser trop tôt, au risque d’attraper froid au mauvais endroit. Non ! Le feu vert enclenché donne toujours le bon timing pour l’envoi du soutien. Et puis, autre avantage offert par le préposé au feu vert, c’est la synchronisation. Comme toutes les personnes en phase d’accorder leurs soutiens sont tournées et connectées au préposé au feu vert, dès que ce dernier est donné, elles annoncent en même temps ou presque qu’elles ont remis leurs soutiens à qui de droit. C’est plus organisé, plus clean, plus net, sans cheveu qui dépasse. C’est tout de même mieux qu’une foire où les uns offrent leurs soutiens à une période, les autres plus loin dans le temps, ou carrément à contretemps. Je ne suis pas un facho obsédé par l’ordre et la synchronisation, mais c’est tout de même un p’tit chouïa meilleur quand les choses obéissent à un ordre, un ordonnancement, un agencement. Et le problème, j’y viens enfin, c’est que, depuis quelque temps, nous sommes sans nouvelles du fameux monsieur, ou groupe de messieurs, jamais de madame ou de groupe de mesdames, en charge du feu vert. Les mecs habitués à offrir leurs soutiens ont beau scruter comme des dératés du côté où habituellement ils voient le fameux feu s’allumer, rien ! Dans leur poste de vigie, ils passent des journées entières, pour certains les nuits aussi, et… nada. Ni feu vert pour la séance d’effeuillage traditionnel ni préposé aux feux. D’où ces dernières heures de graves, de très graves problèmes de circulation et d’aiguillage des soutiens. ça part en java, les soutiens volent dans tous les sens, parfois contraires, augmentant sensiblement les risques de carambolages au carrefour. Pour tout vous dire, moi, depuis 48 heures, je ne sors plus, préférant éviter de me prendre en pleine poire un soutien envoyé par erreur. Mourir à cause d’un soutien, oui, c’est peut-être une belle mort, mais un soutien qui ne m’était pas destiné à l’origine, non ! Mon ego de macho en prendrait un sacré coup. Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H. L.
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