104-/-ACTUALITES DU Mardi 14 Avril 2015
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Mardi 14 Avril 2015
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Mardi 14 Avril 2015 |
الثلاثاء 24 جمادى الآخرة 1436 ه
الثلاثاء 14 أفريل 2015 م
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Il s’est endormi dans la soute d’un avion d’Alaska Airlines au moment de sa pause
. Un bagagiste de Menzies
Aviation ne s’est pas réveillé avant le décollage.
L’avion a donc pris son envol de Seattle en direction de
Los Angeles, lundi 13 avril.
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Calogero – « Un jour au mauvais endroit » Victoires de la Musique 2015
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SAÏD SADI AU SOIR D’ALGÉRIE : Propos recueillis par Nacer Belhadjoudja |
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Le gouvernement freine les importations La chute drastique des recettes pétrolières commence à faire son effet dans la mesure où le gouvernement vient... |
Le marché de la devise sous pression : Faux euros et blanchiment
Plusieurs descentes de police ont été effectuées à Hussein Dey au square Port-Saïd dans le cadre d’une...
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Après l’opération au square Port- Saïd
Raréfaction de la devise sur le marché parallèle
le 14.04.15 | 10h00
La plaque tournante de la devise au square Port-Saïd s’est réveillée, hier, dans une ambiance morose. Au lendemain de l’opération coup-de-poing rondement menée par les services de police, la situation qui y prévaut est, on le comprend aisément, tendue. Après de nombreuses années «d’impunité», jamais ce lieu «tant préservé par les autorités», pour reprendre la réflexion d’un «cambiste» habitué des lieux, n’a connu une telle situation.
Les revendeurs informels de la devise étaient encore là hier, hantant les artères Bachir Azzouz, Che Guevara, Abane Ramdane et square Port-Saïd, sans pour autant s’adonner à leur activité lucrative. «Que va-t-on faire ? C’était notre gagne-pain…» disent-ils, éplorés. Pour ces derniers, il leur semble que le moindre geste est scruté, suspecté par des policiers en civil. «Personne ne se risquerait à vous vendre de la devise par les temps qui courent.
Tout le monde est sur le qui-vive», nous confie l’un des cambistes sous le sceau de l’anonymat. Un autre s’approche de nous pour prendre la parole : «L’opération éclair d’hier a été exécutée sans que personne s’y attende.» Les cambistes qui déambulent dans les parages préfèrent utiliser un langage codé afin d’éviter d’être repérés dans ce qui est devenu pour eux un «guêpier» surveillé par des indicateurs anonymes. Selon les informations recueillies sur les lieux, après la saisie des liasses de devises contrefaites (30 000 euros), une cinquantaine d’individus ont été arrêtés, embarqués, auditionnés puis relâchés en fin de journée. «On nous a auditionnés au niveau du poste de police.
Tout le monde a été entendu et des PV ont été dressés en vue d’une comparution prochaine devant la justice à une date qui n’est pas encore fixée», nous confie notre interlocuteur. Par ailleurs, les nombreux revendeurs de devises s’indignent de la saisie de leur argent dont ils ne connaissent pas le sort qui lui est réservé. Selon les nombreuses personnes interrogées, aucun accusé de réception ne leur a été délivré par les services de police qui pourrait éventuellement attester des sommes confisquées. L’enquête diligentée par les éléments de la Sûreté nationale est toujours en cours afin d’élucider la provenance des faux billets interceptés.
Indifférence des pouvoirs publics
Le gouverneur de la Banque d’Algérie, Mohamed Laksaci, avait insisté, il y a quelques mois à l’APN, sur l’ouverture de bureaux de change, qui devraient être agréés dès 2015 pour parer au marché noir. Dans le même contexte, il avait affirmé que la Banque d’Algérie avait accordée 40 autorisations pour l’ouverture de ces bureaux depuis 1997, dont certaines ont été annulées en raison d’infractions.
Ceci dit, ces déclarations sont restées lettre morte et ne semblent pas du goût de tous nos responsables, à l’instar de Daho Ould-Kablia, alors ministre de l’Intérieur, qui avait estimé que les citoyens et l’Etat «trouvaient leur compte» dans le marché parallèle de la devise et qu’il n’existait pas de raison pour l’interdire. En somme, le marché parallèle de la devise remplissait une fonction sociale que l’Etat était incapable d’assumer. Des déclarations fortement critiquées en leur temps par les députés.
Après cette opération contre le marché informel de la devise, l’on se demande comment les autorités vont répondre aux besoins des citoyens en quête de devises, particulièrement ceux appeler à faire des soins à hors du pays et les familles qui financent à grands frais les études de leurs enfants à l’étranger, entre autres. Même les candidats à l’accomplissement du pèlerinage aux Lieux Saints de l’islam n’hésitent pas à solliciter le marché parallèle de la devise…
Aziz Kharoum
Difficultés d’approvisionnement en carburant
Les raisons d’une tension persistante
le 14.04.15 | 10h00
Les automobilistes se plaignent, ces derniers jours, de difficultés d’approvisionnement en carburant, quand ce n’est pas de pénurie pure et simple. Ils doivent souvent parcourir des dizaines de kilomètres pour faire le plein. Qui est donc responsable de cette tension sur l’essence ? Selon plusieurs témoignages recueillis dans les stations-service, «la croissance continue et le renouvellement du parc automobile n’explique pas tout».
L’Algérie a consommé en 2012 plus de 14 millions de tonnes de carburants, dont 2,4 millions de tonnes importées, ce qui représente en valeur 2,8 milliards de dollars. Loin de rassurer les automobilistes, Saïd Akretche, PDG de Naftal, ne veut pas entendre parler de pénurie. Il a affirmé que «rien ne justifie la crainte des automobilistes à se précipiter vers les stations. Le carburant est disponible suffisamment et le système de distribution fonctionne correctement».
Il ajoute néanmoins : «Aucun système ne peut fonctionner de manière parfaite. Il peut arriver que des problèmes surviennent au niveau de l’exploitation, des ports, des pipelines ou des routes. Mais dans ces cas, il ne s’agit pas de pénurie.» Le PDG tente de minimiser la situation, mais les scènes de chaînes d’attente sont tout, sauf une hallucination collective ! A Alger, mais aussi dans plusieurs villes de l’intérieur du pays, le même constat: des files d’attente de véhicules dans les stations-service qui débordent jusque sur la rue, créant parfois des embouteillages, ou un ralentissement de la circulation routière. Celles dotées d’une faible capacité de stockage se vident rapidement.
Les automobilistes des wilayas limitrophes, venus s’approvisionner au niveau des stations-service de la wilaya d’Alger sont à l’origine, également, de la tension enregistrée dans la capitale. Malgré tout les automobilistes prennent leur mal en patience en attendant leur tour pour être approvisionnés ! La rumeur de pénurie a vite fait le tour de la capitale et la crise de confiance a fait le reste. Ce sont surtout les transporteurs qui craignent la rupture, synonyme d’immobilisation de leur bus et donc impossibilité de travailler et manque à gagner énorme. Certains stockent des quantités de carburant pour parer au plus pressé en toute illégalité. Ce qui accentue la pénurie.
Les pompistes pensent que la perturbation est «conjoncturelle», mais la pilule passe mal chez les automobilistes. Et c’est avec un dépit ostensible que certains expriment leur frustration : «Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise ? Nous vivons cette situation depuis la semaine dernière. Lorsqu’un camion-citerne fait son entrée dans une station, une lueur d’espoir naît sur les visages», confie un automobiliste dans une des stations-service d’El Biar.
Pour faire face au déficit des carburants, Sonatrach prévoit l’augmentation à hauteur de 30% des capacités des raffineries en activité (Skikda, Alger et Arzew), de la reconstruction de celle de Hassi Messaoud et de la création de trois nouvelles raffineries (Biskra, Ghardaïa et Tiaret) dotées d’une capacité de 5 millions de tonnes chacune et dont la mise en service est prévue entre 2018 et 2019. Mais force est de constater que, depuis quelques années, les perturbations du réseau de distribution sont devenues récurrentes, voire cycliques.
Derrière la panique des citoyens qui a provoqué le rush, n’y a-t-il pas un véritable problème de maîtrise et d’anticipation de la demande de Naftal ? Par ailleurs, Djamel Cherdoud, responsable de la communication de Naftal, cité par des quotidiens, a qualifié ce phénomène de «crise de chaîne» et a assuré qu’aucun problème d’approvisionnement n’a été enregistré et que toutes les stations disposent de leur quota habituel.
Kamel Benelkadi
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Les fausses bonnes idées…
le 14.04.15 | 10h00
Une amnistie fiscale comme ticket d’entrée aux acteurs de l’économie souterraine dans les circuits officiels et une répression pure et dure du change parallèle peuvent-elles constituer une réponse opérante au basculement de pans entiers de l’économie nationale dans la sphère informelle ? Assurément pas ! Car, et bien des experts vous le diront, tout comme un escalier se balaie nécessairement en commençant par le haut, une sphère économique, aussi, ne peut être assainie sans un bouleversement profond des modes de gouvernance publique. Le reste n’étant que façade et palliation.
Depuis quelques mois, faut-il observer, le gouvernement ne cesse de prêcher, à qui veut bien l’entendre, que le salut des finances publiques en ces temps de crise pétrolière ne peut venir que d’une réinsertion des circuits informels dans la sphère économique légale. L’économie de l’ombre, apprend-on à l’occasion, brasse pas moins de 3700 milliards de dinars, soit, semble-t-il, bien plus que les circuits officiels de la place bancaire locale.
Et vu la raréfaction des ressources pétrolières et l’acheminement du pays vers une nouvelle crise de la dette, à mesure que s’installe la baisse des prix du brut, il serait décidé en haut lieu de s’attaquer frontalement à l’économie souterraine pour, d’une part, en canaliser certains circuits dans la sphère légale et, d’autre part, en scier quelques branches pourries.
Ainsi s’expliquerait sans doute l’idée de l’amnistie fiscale remise au goût du jour, à l’issue du fameux grenelle du commerce extérieur, organisé à la fin du mois écoulé sous l’égide du gouvernement. Ainsi s’expliquerait également la rafle policière opérée avant-hier au square Port-Saïd, place dédiée ouvertement et depuis presque toujours aux opérations de change informel.
Que de fausses bonnes idées au moment où les recettes du pays en devises tendent à ne plus suffire à financer ne serait-ce que ses dépenses à l’importation ! En Algérie, comme dans des pays occidentaux ou autres, faut-il en effet se rendre à l’évidence, les offres d’amnistie fiscales n’ont jamais attiré grandes fortunes au bercail.
Quant à l’idée de l’éradication du marché parallèle des devises par la répression, il est sans doute superflu de s’étaler sur les effets pervers des politiques de prohibition en situation de rareté et de pénuries. Sans une économie diversifiée et compétitive, l’Etat ne peut, en effet, ni aligner le taux de change officiel sur celui du marché parallèle pour éliminer les raisons d’être de ce dernier ni présenter une offre alternative de devises à même de supplanter l’attractivité du «Square».
Sauf à éradiquer la prédation économique à la source, en opérant d’abord un véritable changement de gouvernance, toute autre idée palliative est forcément vouée à mourir dans l’indifférence.
Akli Rezouali
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Elle court, elle court la rumeur…
le 06.04.15 | 10h00
La révision de la Constitution aura lieu au cours de ce mois d’avril. Le projet sera adopté par voie parlementaire. Le remaniement ministériel suivra tout de suite après. Sellal sera viré et Abdessalem Bouchouareb prendra sa place.
L’homme d’affaires Ali Haddad allait être, un temps, le successeur potentiel de Bouteflika, puis président d’un parti en voie de création et, enfin, Premier ministre. Voilà à quoi nous sommes réduits dans ce pays, où la rumeur tient lieu de mode de gouvernance.
Il n’y a absolument aucune visibilité sur les intentions d’un régime qui cogite laborieusement dans son tunnel, où il ne sait plus quelle direction prendre.
Ces rumeurs récurrentes et diffuses distillées par-ci, par-là paraissent assez invraisemblables. Mais elles offrent à leurs auteurs (le pouvoir et sa périphérie) le sursis de ne pas devoir se découvrir en ces temps d’incertitudes et s’offrir un peu de répit. Elles sont jetées comme un sac d’os à une presse désorientée qui, faute d’informations crédibles et vérifiées, tire des plans sur la comète. Et le ministre de la Communication se fait un malin plaisir de lui faire la leçon d’éthique quasi quotidiennement.
A une dizaine de jours de la première année à blanc d’un quatrième mandat, décidément de trop, le président de la République tient les Algériens en haleine. Nul ne sait de quoi sera fait demain, avec un chef de l’Etat en mode inactif, un Premier ministre plutôt discret et un front social plus que jamais agité.
Signe de cet épais brouillard au sommet, on s’est permis l’incroyable crime de lèse-majesté de farcir le message présidentiel, à l’occasion de la fête de la Victoire, d’une philippique inédite contre la presse et les partis de l’opposition. Les Algériens s’interrogent légitimement où va leur pays, quand même le discours de leur Président est retouché à dessein. Il est préoccupant de savoir qu’il y a des couacs au sein du sérail.
A fortiori dans ce contexte délétère marqué par la maladie invalidante du chef de l’Etat qui l’empêche de procéder à des arbitrages nécessaires et fixer le cap. A l’arrivée, le gouvernement Sellal donne la nette impression de naviguer à vue en attendant un hypothétique port d’attache.
Que penser donc d’un Premier ministre qui annonce solennellement l’élaboration d’une loi de finances complémentaire (LFC) aujourd’hui et se voit contredit le lendemain par son ministre des Finances ? Que penser de deux ministres – Intérieur et Tourisme – qui ne sont pas sur la même longueur d’onde s’agissant de la gestion des plages ? Que penser des ministres du Commerce et de l’Agriculture qui jouent au ping-pong pour justifier la folie des prix des produits alimentaires, que le premier explique par le jeu de l’offre et la demande et le second par la dérégulation des marchés ? On peut multiplier à l’envi ces petites polémiques qui font écho à des grincements plus ou moins audibles dans l’engrenage du système.
Jusqu’à quand serons-nous sujets (et objets) de ces rumeurs qui sentent décidément mauvais pour l’Algérie et pour les Algériens ? Il y a par contre un constat qui n’a rien d’une rumeur : le président Bouteflika achève la première «annus horribilis» de son quatrième mandat. Et on aura tout vu et tout entendu.
Hassan Moali
D'importantes quantités d'armes saisies près d'In Guezzam
le 14.04.15 | 15h07
Une tentative d'acheminement d'une importante quantité d'armements de guerre, de munitions et d'explosifs a été mise en échec mardi, dans la région d'In Guezzam, par un détachement de l'Armée nationale populaire (ANP), relevant du secteur opérationnel d'In Guezzam (6ème région militaire), a indiqué le ministère de la défense nationale dans un communiqué.
"L'opération qui a eu lieu suite à une patrouille de reconnaissance menée par les éléments de l'ANP près de la bande frontalière à Tiririne, s'est soldée par la découverte d'une cache contenant 6 pistolets mitrailleurs de type kalachnikov, 3 fusils mitrailleurs de type FMPK, 2 lance-roquettes de type RPG-7 et SPG-9, 2 mortiers de calibre 60 mm, 6 mitrailleurs de calibres 14,5 mm et 12,7 mm, 2 mines anti-groupes, 60 grenades offensives et défensives, 225 kilogrammes de produits explosifs, 45 roquettes de différents calibres et 1.761 balles pour divers armements", a-t-on précisé.
"Cette opération de qualité est le fruit de la vigilance des éléments de l'ANP et leur veille à défendre l'intégrité du territoire national et à déjouer toute tentative visant à porter atteinte à la stabilité et la sécurité de l'Algérie, et ce, en dépit de tous les sacrifices pour faire face à ces menaces et défis, à l'instar de la sécurisation des frontières, la lute anti-terroriste, la lutte contre la contrebande et le crise organisé", a-t-on souligné.
APS
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Plus de 5.000 gendarmes pour sécuriser la manifestation Constantine capitale de la culture arabe
le 14.04.15 | 17h04
Plus de 5.000 gendarmes ont été mobilisés pour garantir la sécurité durant la manifestation "Constantine capitale de la culture arabe", a affirmé indiqué mardi le lieutenant-colonel Abdelhamid Kerroud, responsable de lÆinformation au commandement de ce corps constitué.
Les éléments désignés pour cette tâche, affectés depuis les wilayas de Skikda, de Mila, d'Annaba, d'Oum El Bouaghi et de Constantine, sont chargés d'assurer la sécurité, de jour comme de nuit, des invités étrangers et des délégations participantes lors de leurs déplacements, selon cet officier.
Ils ont également pour mission de "garantir la sécurité dans et aux alentours des structures culturelles destinées à abriter les différentes manifestations", et aussi de surveiller le réseau routier et les différentes places publiques, a précisé le lieutenant-colonel Kerroud au cours d'une conférence de presse organisée pour présenter le bilan des activités du 5ème commandement régional de la Gendarmerie nationale (Constantine) lors du premier trimestre 2015.
Les groupements territoriaux des wilayas limitrophes, notamment celles situées sur le littoral, sont également mobilisés dans le cadre d'un dispositif sécuritaire compléme
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