187-/-ACTUALITES Du Mardi 05 juillet 2016
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Mardi 05 Mai 2015
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الخميس 17 مارس 2016 م
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الخميس 08 جمادى الآخرة 1437 ه
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Le message de Bouteflika à l’occasion du 5 juillet
Le président Abdelaziz Bouteflika a adressé un message à l’occasion de la célébration du 54ème anniversaire de l’Indépendance et de la fête de la Jeunesse, dont voici le texte intégral :
« Mes chers compatriotes,
A l’occasion de la célébration du 54ème anniversaire du recouvrement de l’Indépendance nationale et de la Fête de la Jeunesse, je m’incline d’abord à la mémoire de nos glorieux martyrs de la lutte de Libération nationale.
Je vous présente aussi mes meilleurs vœux, et je salue également mes compagnons d’armes, les moudjahidine, auxquels je renouvelle l’hommage de la Nation pour leurs sacrifices.
J’exprime aussi, au nom du Peuple, notre considération aux Officiers, Sous-Officiers, et djounoud de l’Armée Nationale Populaire, digne héritière de l’Armée de Libération Nationale, ainsi qu’aux personnels des corps de sécurité, pour leur mobilisation et leur sacrifice en vue d’assurer la sécurité des citoyens et de protéger efficacement l’intégrité du territoire national au milieu d’un voisinage malheureusement perturbé par plusieurs foyers de tensions.
Mes chers compatriotes,
La célébration de la Fête Nationale de l’Indépendance et de celle de la Jeunesse est une occasion propice à la rétrospection et au regard sur l’avenir.
La rétrospection est d’abord un Devoir de Mémoire à cultiver pour que notre peuple se souvienne au fil de ses générations qui se succèdent, du prix de son indépendance et de sa liberté.
De fait, notre jeunesse doit cultiver le souvenir du martyre enduré par notre peuple 132 années durant, un martyre fait de massacres, de tentatives d’extermination de nos ancêtres, de spoliations de leurs terres, et d’une tentative d’éradiquer notre culture et notre identité et de nous reléguer au temps passé. N’en a-t-il pas été de même pour les Omeyades et les Abassides ?
Nous devons aussi faire connaître à nos enfants, les répressions barbares qui ont frappé leurs ancêtres, chaque fois qu’ils ont tenté de briser le joug colonial, allant jusqu’aux déportations de milliers d’Algériens au-delà des océans.
Les générations montantes doivent connaître également l’embrigadement forcé de nos compatriotes dans les troupes du colonisateur, au fil des guerres que celui-ci a livrées ou qu’il a subies, les dizaines de milliers d’Algériens tombés en Europe notamment pour la défaite du nazisme, mais aussi les massacres de leurs parents, ici en Algérie, en Mai 1945, alors que le Monde fêtait la victoire sur le nazisme.
Mes chers compatriotes,
Prendre en charge notre devoir de Mémoire, c’est chérir également l’épopée de la Révolution du 1er Novembre 1954.
Cette Révolution a été un majestueux sursaut libérateur d’un peuple armé de sa foi et de sa détermination, face à l’une des premières armées au monde, l’armée d’un colonisateur qui, de surcroît, nourrissait l’illusion que notre Patrie faisait partie de son propre territoire.
La Révolution de Novembre est exceptionnelle aussi, par le lourd tribut que notre vaillant peuple a versé, avec un million et demi de martyrs, des millions d’Algériens parqués ici, dans des camps de concentration, ou réfugiés dans les pays voisins, un peuple dont les villages et l’économie rurale ont été dévastés.
La Révolution de Novembre est exceptionnelle également, car elle fut le catalyseur de la libération de plusieurs peuples africains, et elle a été à l’origine de la consécration par les Nations Unies en Décembre 1960, du Droit des Peuples coloniaux à l’indépendance, en écho aux revendications populaires sanglantes durant le même mois, à travers plusieurs villes algériennes.
J’appelle les responsables du système national d’enseignement, les chercheurs, ainsi que les hommes et les femmes de lettres et de culture, à redoubler d’efforts pour enseigner et faire connaître davantage notre Histoire et notamment celle du recouvrement de notre indépendance, car, l’Histoire est une source de fierté et d’unité nationales, et un puissant levier mobilisateur pour toutes les nobles causes, dont celle du développement national.
Mes chers compatriotes,
La rétrospection à laquelle invitent les dates commémoratives, consiste aussi à rappeler le chemin parcouru par notre pays depuis l’indépendance, de sorte à mesurer les progrès réalisés, à éviter la répétition des erreurs survenues, et à puiser un surcroît de détermination face aux défis contemporains.
C’est le lieu de rappeler que, pour avoir tant souffert des horreurs de la guerre, notre peuple a, dès l’indépendance, affirmé son attachement farouche à sa souveraineté et proclamé aussi son profond désir de paix.
Le primat de la souveraineté nationale a été rapidement concrétisé à travers des décisions historiques successives, décrétées au sujet des terres agricoles, des ressources minières, et du système financier local, en même temps qu’il a été graduellement mis fin à toute présence militaire étrangère à travers le pays.
Dans cette même lancée, l’Algérie prit des mesures légitimes en vue d’intégrer au domaine de l’Etat les biens individuels et collectifs demeurés vacants au lendemain de l’indépendance.
Cette démarche a une relation avec ce que fit le colonisateur, au cours des années quarante du siècle dernier, des biens des populations de notre pays, elle a induit une mesure irréversible qui fait désormais partie intégrante de notre législation contemporaine.
En parallèle, notre peuple s’est attelé à la bataille du développement pour prendre sa revanche sur tous les retards que lui a fait subir plus d’un siècle d’occupation coloniale.
Il en sera ainsi, notamment, avec la généralisation de l’éducation et de la formation universitaire, ou le développement de la médecine à travers tout le pays. Il en sera de même en ce qui concerne la construction d’un outil industriel prometteur, ou le développement des infrastructures de base.
D’importants résultats ont été concrétisés en quelques années seulement. Malheureusement, cette dynamique a été contrariée par des vicissitudes politiques et économiques, qui déboucheront d’ailleurs, sur une tragédie nationale sanglante qui aurait pu détruire notre pays, une Tragédie que Dieu nous a aidé à dépasser et dont nous pensons encore les plaies.
En puisant une nouvelle fois dans notre attachement séculaire à la Patrie et en nous inspirant aussi des nobles valeurs de l’Islam, nous avons su réaliser la Réconciliation nationale et restaurer la paix civile, conditions indispensables pour tout développement.
Nous avons ravivé aussi la flamme patriotique héritée de la Révolution de Novembre pour nous atteler à rebâtir ce qui a été détruit, à apporter des réponses aux attentes sociales de la population, à relancer le processus de développement économique, à faire reculer le chômage, à restaurer l’Algérie à sa place réelle dans le concert des nations, et à conforter l’édifice institutionnel et démocratique du pays.
Les fruits de tous ces efforts sont là sur le terrain, et nul ne peut les contester, tout comme ces résultats constituent autant de réponses à ceux qui s’interrogent sur la destination prise par les revenus des hydrocarbures.
En effet, plus de trois millions de familles ont bénéficié d’un toit, alors que le raccordement à l’eau potable, à l’électricité et au gaz naturel a enregistré une progression remarquable dans toutes les contrées du pays. Dans le même temps, des dizaines de nouvelles infrastructures de santé publique ont été livrées, et nos universités accueillent désormais plus d’un million et demi d’étudiants.
Le monde rural, berceau de la Révolution de Novembre à laquelle il a versé un lourd tribut, a pu accéder davantage aux bienfaits du développement. Nos efforts triomphent aussi, graduellement, de l’habitat précaire, au bénéfice de milliers de familles et au profit de nos villes et cités.
Parce qu’elle s’est transformée en un vaste chantier, l’Algérie a pu également réduire fortement le chômage qui rongeait la société il y a près de deux décennies.
De même, les infrastructures de base ont été fortement développées à travers l’ensemble du territoire national, consolidant ainsi les fondements d’un décollage économique dans la diversification et la compétitivité.
La dépense publique a été, durant ces dernières années, le moteur de la croissance hors hydrocarbures, en attendant que l’économie diversifiée s’affirme davantage sur le terrain, comme fruit des réformes et des soutiens économiques déployés.
En effet, les entreprises locales, publiques et privées, ont bénéficié d’importants encouragements fiscaux, fonciers, ou financiers, dont la bonification des crédits et le rééchelonnement des dettes bancaires et fiscales.
L’agriculture a aussi été l’objet de soutiens multiformes, dont la population commence à recueillir les premiers fruits, sous la forme d’une offre plus importante.
En parallèle, nous avons œuvré à consolider l’Etat de droit et le pluralisme démocratique tout en agissant pour raffermir l’unité nationale.
La récente révision constitutionnelle atteste des acquis nouveaux en ce qui concerne notamment la promotion et la protection des libertés individuelles et collectives, la consolidation de la séparation des pouvoirs et de l’indépendance du pouvoir judiciaire, et la constitutionnalisation des droits de l’opposition.
Dans le même temps, la constitutionnalisation de Tamazight comme langue nationale et officielle, dans une Algérie fière aussi de son arabité et attachée à l’Islam religion de l’Etat, est venus conforter le socle de notre unité nationale.
Mes chers compatriotes,
Notre pays est confronté aujourd’hui aux aléas sévères de la chute des prix des hydrocarbures, une ressource qui pèse encore fortement sur notre économie et notre développement comme cela est le cas d’ailleurs dans d’autres pays producteurs de cette matière première.
Ce choc n’est pas la conséquence de failles dans notre démarche interne. Bien au contraire, ce sont les décisions nationales prudentes que nous avons prises il y a quelques années, notamment un important remboursement anticipé de la dette extérieure, dont la dette militaire, ce qui nous permit d’accomplir un bond qualitatif dans la mise à niveau des capacités et des équipements de l’Armée Nationale Populaire, la digne héritière de l’Armée de Libération Nationale.
Dans la même démarche, nous avons décidé de cesser tout recours aux crédits extérieurs, et en gérant avec prudence nos réserves de change, ce qui nous permet aujourd’hui de faire face à la crise financière, et d’engager souverainement les correctifs que celle-ci requiert, en tenant compte de nos réalités propres et dans la fidélité à nos options sociales fondamentales.
La crise économique et financière n’est guère l’apanage d’un pays particulier, notamment dans l’économie mondiale globalisée. C’est la réponse à cette crise qui varie d’un pays à l’autre, selon le degré de mobilisation et de consensus interne mis en place, et en cela, notre pays est en droit d’envisager avec sérénité et espérance, le dépassement de la crise financière actuelle.
La sérénité est à notre portée, grâce d’abord à la tradition de dialogue et de concertation entre le Gouvernement et ses partenaires économiques et sociaux.
Cette sérénité est à notre portée également du fait de notre attachement à la justice sociale et à la solidarité nationale qu’il est cependant nécessaire de rationaliser.
La sérénité se propagera davantage également si nos acteurs politiques acceptent de concourir au débat et aux propositions de solutions, dès lors que l’enjeu n’est pas le pouvoir ou l’opposition, mais bien le devenir économique du pays et le sort de toute la population.
L’espérance est, quant à elle, légitime pour le dépassement de la crise financière actuelle, tant les atouts sont nombreux à la disposition de notre pays.
En fait, la crise actuelle pourra se révéler une opportunité d’accélérer notre sursaut collectif pour rompre avec le confort de la rente, pour rompre aussi avec les pesanteurs de la bureaucratie, et pour réhabiliter également la valeur du travail que notre religion sacralise et que le développement exige.
Dans tous ces domaines, la mutation est déjà là, comme en témoignent l’accélération des réformes, le consensus croissant pour rationaliser notre modèle social, ainsi que le rythme auquel se concrétisent des résultats palpables dans le développement économique hors hydrocarbures.
Toutes ces mutations ne manqueront pas de se raffermir dans le cadre du nouveau modèle de croissance et de développement dont sont convenus le Gouvernement et ses partenaires économiques et sociaux, et avec le concours du Pacte économique et social que la Tripartite vient de confirmer aussi.
Dans cette perspective, notre base industrielle, qui est déjà honorable, a vocation à s’élargir, car notre marché intérieur le requiert et nos besoins d’exportation le commandent, alors que nos ressources minérales à transformer et à valoriser sont substantielles, et que notre potentiel en énergies renouvelables est prometteur.
L’économie des services a encore tout un champ à exploiter, qu’il s’agisse du tourisme ou qu’il s’agisse de l’économie numérique en essor.
Le potentiel agricole attend souvent d’être défriché et nécessite partout une modernisation pour satisfaire la demande locale et pour générer de nouvelles ressources extérieures par les exportations.
Mais notre pays est riche avant tout de sa jeunesse, de surcroît éduquée et souvent hautement qualifiée. C’est donc la mobilisation de cette jeunesse pour fructifier les richesses nombreuses du pays qui sera le levier grâce auquel l’Algérie dépassera, avec l’aide de Dieu, la crise actuelle sans dommage, et accélèrera le cours de son développement pour accéder demain, à son statut légitime de pays émergent.
Voilà pourquoi, j’appelle la jeunesse à réaliser un sursaut pacifique et généreux pour gagner la bataille du développement. Une telle bataille est au-dessus de tous les clivages politiques, idéologiques, ou de quelque autre nature qu’ils soient, car c’est tout simplement la bataille de votre propre avenir, jeunes de mon pays, la bataille du devenir de l’Algérie.
En dépit d’insuffisances certaines, l’Algérie vous a donné à vous, ses jeunes enfants, une éducation et un environnement social honorable. Elle met aujourd’hui à votre disposition ses atouts et ses richesses qu’il vous revient de fructifier davantage. Pour cela, elle interpelle votre génie, votre savoir, votre sueur et vos bras, tout comme elle espère bénéficier de vos avis propres que vous aurez à faire connaître au sein du Conseil Supérieur de la Jeunesse qui verra bientôt le jour.
Cet appel que je vous adresse, jeunes de mon pays, est dénué de tout paternalisme. C’est l’appel d’un de vos aînés qui a consacré sa jeunesse et toute sa vie au service de la Patrie. C’est un appel qui vous invite, en cette fête nationale de l’indépendance et de la jeunesse, à vous inspirer de l’exemple des meilleurs de vos aînés, les glorieux martyrs auxquels nous devons tous de vivre indépendants et souverains dans l’Algérie libérée.
Je conclus ce message, mes chers compatriotes, en priant Dieu d’accepter votre jeûne et vos prières, et en vous souhaitant une bonne et heureuse fête de l’Aïd El Fitr.
Gloire à nos martyrs,
Vive l’Algérie,
Je vous remercie de votre aimable attention ».
Résidents en médecine en fin de cursus
Un sit-in pour protester contre la nouvelle réforme
le 17.03.16 | 10h00
Les médecins résidents en fin de cycle, pour qui une prolongation d’années de formation a été décidée dans le cadre de la refonte par le ministère de l’Enseignement supérieur, comptent envahir l’espace public pour être enfin entendus par leur tutelle.
L’hôpital public vit, ces derniers temps, de fortes perturbations en raison de tous les dysfonctionnements qui enfreignent l’évolution des médecins en formation. Pierre angulaire du fonctionnement d’un service médical, les médecins résidents et les internes font aujourd’hui face à d’énormes difficultés dans l’exercice de leur profession.
Au rythme où vont les choses, les activités médicales risquent d’être sérieusement affectées. Après les médecins internes qui multiplient les manifestations pour crier leur colère, c’est au tour des résidents en fin de cycle d’occuper la rue. Les médecins résidents en fin de cycle, pour qui une prolongation d’années de formation a été décidée dans le cadre de la refonte par le ministère de l’Enseignement supérieur, comptent envahir l’espace public pour être enfin entendus par leur tutelle.
Un préavis pour l’organisation d’un sit-in sera déposé aujourd’hui au niveau de l’administration et d’autres actions seront décidées suite à cela. «Le problème est posé depuis l’année dernière, en mai 2015, mais, à ce jour, rien n’est encore réglé. Nous nous sommes adressés à tous les responsables du ministère de l’Enseignement supérieur, en vain. Aucune réponse favorable à nos doléances. Il nous reste la rue pour nous exprimer et peut-être avec cela nous serons entendus», déclare un délégué des résidents des 11 spécialités concernées par cette nouvelle réforme, qui rappelle que le temps presse. «L’année universitaire tire à sa fin et notre problème risque de perdurer», s’inquiète-t-il.
Le délégué n’a pas manqué de souligner que les programmes pédagogiques élaborés par les présidents des comités pédagogiques représentés par des professeurs de chaque spécialité ont été totalement assurés. «Une ou deux années ajoutées pour la formation risquent d’être sèches, puisqu’il n’y a plus rien à enseigner.» Il regrette que cette réforme vienne donc s’appliquer avec un effet rétroactif.
Et de rappeler que «suite à l’abrogation de l’arrêté 709 intervenue après des grèves cycliques l’année dernière, un nouvel arrêté ministériel 11-37 publié en octobre 2015 vient prévoir une prolongation d’années de formation pour les étudiants en résidanat et serait même applicable aux promotions de 2013-2014, toutes spécialités confondues.
Ce que nous rejetons catégoriquement». Dans ce même arrêté, relève notre interlocuteur, il est aussi mentionné que la durée de la formation sera déterminée par un autre texte réglementaire (art. 25). «C’est pour quand alors notre fin de cycle de formation de résidanat ? Que veulent-ils faire de nous encore, alors que nous avons acquis l’essentiel ?» s’interroge-t-il. Du côté des présidents des comités pédagogiques, cette nouvelle réforme doit normalement concerner uniquement les futures promotions.
Interrogé à ce sujet, le président du comité pédagogique de pédiatrie, le Pr Bensenouci, chef de service à l’hôpital de Beni Messous, est formel : «Lors de la réunion conjointe entre les présidents des comités pédagogiques, les doyens des facultés et les représentants du ministère de l’Enseignement supérieur, j’ai proposé de permettre à tous ceux qui sont inscrits dès le départ pour quatre années de finir leur cursus des quatre ans.
J’ai également suggéré que s’il y a des redoublants en première année, on doit leur permettre de continuer sous le même régime, sinon ils vont se retrouver à faire six années. Ce qui n’est pas normal. Cette nouvelle réforme doit logiquement concerner que les nouvelles promotions. Apparemment, ma proposition n’a pas été retenue.» Du côté du ministère de tutelle, silence radio. La directrice de la formation doctorale et de l’habilitation universitaire, Mme Boualouche, chargée du dossier, était injoignable.
Djamila Kourta
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