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Mercredi 07 Mai 2014
الأربعاء 7 ماي 2014 م
الأربعاء 7 رجب 1435 ه
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Biens immobiliers acquis en France
Les pontes algériens préfèrent Paris
le 07.05.14 | 10h00 Réagissez
Les révélations du journaliste français Nicolas Beau, mettant en cause des dignitaires du régime algérien, se suivent et s’élargissent à d’autres noms qui possèdent des biens immobiliers dans les quartiers chics parisiens.
Après l’inénarrable Amar Saadani, le site Mondafrique évoque les noms de Abdessalem Bouchouareb, fraîchement désigné ministre de l’Industrie et des Mines, et de l’ancien détenteur de ce même portefeuille, Cherif Rahmani. Visiblement, pour Abdessalem Bouchouareb, les scabreuses affaires n’en finissent pas. Abdessalem Bouchouareb, député et ancien bras droit d’Ahmed Ouyahia au RND avant d’être promu ministre à la faveur du remaniement ministériel d’avant-hier, est déjà mis en cause dans le scandale de l’affaire Khalifa. Sa proximité avec le pouvoir central lui a évité un procès. Son dossier sommeille dans les tiroirs de la Cour suprême.
«Certes, Amar Saadani est loin d’être le seul dignitaire algérien à posséder des biens immobiliers en France. Ainsi le ministre de l’Industrie et des Mines du tout nouveau gouvernement, Abdessalem Bouchouareb, possède un superbe appartement au cœur de Paris, quai Montebello, face à la Seine et à Notre-Dame. Le mardi 6 mai, les services du cadastre de la ville de Paris ont confirmé à Mondafrique que Abdessalem Bouchouareb possédait un tel bien. Il faudra qu’il explique dans quelles conditions il a pu s’en rendre propriétaire», a dévoilé Nicolas Beau, hier, sur son journal électronique Mondafrique.
Selon ce dernier, l’ancien ministre de l’Industrie, Cherif Rahmani, possède «trois pied-à-terre dans les quartiers chics de Paris, d’après une enquête qui avait été menée par Le Canard Enchaîné sans être démentie». «Paris est devenu un village algérien», ironise Nicolas Beau. Par ailleurs, si le journaliste d’investigation Nicolas Beau admet l’absence d’éléments tangibles prouvant la détention par l’actuel secrétaire général du FLN d’un montant de 300 millions d’euros, il s’interroge par contre sur le financement des affaires dont Saadani est détenteur. «Comment le patron du FLN peut-il contester posséder quelques fonds bancaires à Paris ? Par quel miracle aurait-il, sans compte en banque, acheté au moins un appartement à Neuilly-sur-Seine, financé les études de ses enfants en France et en Angleterre et réglé les frais d’un grand cabinet d’avocats parisien ?» s’interroge Nicolas Beau. Et d’ajouter : «Si pour régler de telles dépenses, Amar Saadani ne possède effectivement pas de compte bancaire en France, cela signifierait qu’il utilise des valises de billets. Ce que nous ne pouvons imaginer…»
Dans son investigation, le journaliste français lève le voile sur les proximités douteuses entre dignitaires du régime d’Alger et de Paris. Toujours selon son article, il révèle que le concessionnaire de Sovac, Mourad Oulmi, avait acheté, en 2007, l’appartement de Nicolas Sarkozy, situé sur l’île de la Jatte.
En somme, les révélations en cascade de Nicolas Beau confirment l’idée répandue en Algérie selon laquelle les responsables algériens au «patriotisme en bandoulière» sont au mieux des propriétaires de résidences, au pire des résidents à Paris. «Quand les responsables algériens vont à Paris, ils rentrent chez eux.» Le sociologue Nacer Djabi n’a pas tout à fait tort.
Hacen Ouali
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Nigeria: mobilisation internationale pour les lycénnes otages des islamistes
le 07.05.14 | 10h33 | mis à jour le 07.05.14 | 12h44
Barack Obama a annoncé l'envoi d'experts américains pour aider les autorités nigérianes à retrouver les centaines de jeunes filles enlevées par le groupe islamiste armé Boko Haram dans le nord-est du Nigeria, rapt massif sans précédent qui suscite une mobilisation mondiale croissante.
Après l'annonce mercredi d'un nouvel enlèvement de 11 autres jeunes filles par Boko Haram dimanche dans l'Etat de Borno, fief du groupe islamiste dans le nord-est du pays, le président François Hollande a assuré que la France "fera tout pour aider le Nigeria à pourchasser ce groupe et à retrouver les otages".
Cette "situation révoltante" selon le président américain éclipse l'ouverture du "Davos africain", un "Forum économique pour l'Afrique" qui s'ouvre mercredi à Abuja et sur lequel le Nigeria comptait pour mettre en valeur ses progrès économiques et améliorer son image internationale.
Le président nigérian Goodluck Jonathan et les autorités sont critiqués par les familles des 276 jeunes filles enlevées pour leur inaction et leur incapacité à retrouver les lycéennes enlevées le 14 avril à Chibok, dans l'Etat de Borno. Plusieurs dizaines avaient réussi à s'enfuir mais plus de 220 seraient toujours aux mains des insurgés, selon la police.
Le chef de Boko Haram, Abubakar Shekau, a menacé dans une vidéo de "vendre" comme "esclaves" les lycéennes et de les "marier" de force. La diffusion de cette vidéo a terrifié les familles et soulevé une indignation mondiale.
"C'est évidemment une situation qui brise le coeur, une situation révoltante", a déclaré M. Obama dans ses premières déclarations publiques à ce sujet, au cours d'un entretien sur la chaîne américaine ABC.
Cet enlèvement de masse "pourrait être l'événement qui aide à mobiliser la communauté internationale toute entière afin de faire enfin quelque chose contre une organisation aussi abjecte, qui a perpétré un crime affreux", a-t-il ajouté, indiquant qu'une équipe d'experts américains avait déjà été envoyée sur place pour aider les autorités nigérianes à retrouver les jeunes filles.
Les Nigérians "ont accepté notre aide, mêlant militaires, police et d'autres agences qui vont aller sur place, essayer de savoir où ces jeunes filles pourraient être et les aider", a précisé M. Obama.
- Le "Davos africain" éclipsé -
USM el Harrach 1 – MC Alger 0
Graves incidents à Mohammadia
le 07.05.14 | 10h00
Le derby algérois USMH-MCA a failli ne pas avoir lieu, car plus d’une heure avant le coup d’envoi de graves incidents se sont déclarés dans les tribunes, ce qui a causé de nombreux blessés, dont certains ont été évacués à l’hôpital.
Tout a commencé lorsque les 300 fans mouloudéens qui se sont déplacés à El Harrach, s’apprêtaient à prendre place dans la petite tribune qui leur était réservée. Une entrée en «scène» curieusement refusée par les fans harrachis qui voulaient visiblement leur interdire l’accès. Il s’ensuivit un craquage de fumigènes dans la grande tribune, déclenchant un énorme incendie qui a pris sur un tifo et sur la piste d’athlétisme. Pris de panique, les supporters ont envahi le terrain pour fuir les flammes. On dénombre une dizaine de blessés évacués par la Protection civile.
Cet incident est loin de calmer les esprits avec une galerie harrachie en furie qui bombarde le terrain de divers projectiles. A ce moment-là, le report du match est envisagé, avant l’intervention énergique des renforts de police. Le calme est de retour enfin, le derby finit par débuter avec plus de 20 minutes de retard. La première mi-temps est d’un niveau tout juste moyen. Il faut attendre le début de la seconde période pour voir Mebarki ouvrir la marque pour l’USMH (51’). Les Mouloudéens réagissent dans la quête d’une égalisation, sans y parvenir, et ce, malgré les nombreux assauts. A noter qu’à la fin du match, les fans du MCA ont trouvé beaucoup de peine à quitter le stade, en raison des attaques de la galerie harrachie, poussant le service d’ordre, présent en force, à intervenir en usant de gaz lacrymogènes pour instaurer l’ordre et le calme.
Nigeria: des centaines de morts dans l'attaque d'une ville par Boko Haram lundi
le 07.05.14 | 14h00
L'attaque menée lundi par les islamistes de Boko Haram dans une ville du nord-est du Nigeria proche de la frontière camerounaise a fait des centaines de morts, selon un sénateur et des témoins mercredi.
"Le bilan de l'attaque est d'environ 300 morts", a déclaré à l'AFP Ahmed Zanna, sénateur de cette région. Les témoins ont dit avoir compté plus de 100 cadavres dans la ville de Gamboru Ngala et que le bilan pourrait encore s'alourdir.
Gamboru Ngala se trouve dans l'Etat de Borno, fief historique de Boko Haram, qui a revendiqué le rapt de plus de 200 adolescentes dans la même région.
Selon des témoignages d'habitants, les assaillants, arrivés dans la ville en pleine journée à bord de véhicules blindés et de vans peints aux couleurs de la police et de l'armée, ont brûlé le marché, le bureau des douanes, le commissariat de police et presque tous les magasins de la ville.
L'insurrection menée par Boko Haram, qui dure depuis cinq ans, a fait des milliers de morts au Nigeria, pays le plus peuplé d'Afrique et première économie du continent.
Les violences sont surtout concentrées dans le Nord-Est, où l'armée mène une opération de grande envergure, depuis un an, pour tenter de mettre fin à l'insurrection.
Le recours de l'armée à des milices privées, constituées de civils, dans sa lutte contre les islamistes, a poussé Boko Haram à se retourner contre les populations locales.
Dorénavant, "Boko Haram s'en prend à des villages tout entiers (...) massacrant parfois jusqu'à 200 à 300 villageois, hommes et femmes" pour se venger de la complicité des civils avec l'armée, selon le chercheur français Marc-Antoine Pérouse de Montclos.
Les deux attentats qui ont frappé récemment la même gare routière en périphérie d'Abuja, à moins de trois semaines d'intervalle, faisant 90 morts, rappellent la menace sérieuse que fait planer Boko Haram sur le pays tout entier.
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Crimée: l'agressivité russe pourrait déclencher un conflit sanglant selon un leader tatar
le 07.05.14 | 10h23
Interdit d'accès en Crimée après avoir rejeté son "annexion" à la Russie, le leader des Tatars dénonce le "retour aux pires jours de l'URSS" et évoque le risque d'un conflit sanglant que pourrait déclencher la "muflerie" russe envers cette minorité musulmane.
Moustafa Djemilev, 70 ans, né en Crimée, n'avait qu'un an quand sa famille fut déportée comme des dizaines de milliers d'autres en Ouzbékistan, sous l'ordre de Staline.
Il a consacré sa vie à lutter pour le droit des Tatars de vivre sur leur terre d'origine et a passé une quinzaine d'années dans les camps pour ses activités "antisoviétiques".
"Le comportement des Russes aujourd'hui est inadéquat. Nous revenons à l'époque soviétique. Ce n'est pas tout à fait le stalinisme, mais c'est loin des acquis de la perestroïka", explique dans une interview à l'AFP dans un café ouzbek à Kiev ce petit homme maigre pendant sa pause déjeuner entre deux séances au Parlement où il est député.
- La patrie n'est pas à vendre -
Il s'était longuement entretenu avec le président russe Vladimir Poutine avant le référendum controversé du 16 mai qui a abouti au rattachement de la péninsule ukrainienne à la Russie, que les Tatars, qui représentent environ 12% de la population de Crimée, ont largement boycotté.
"Il m'a promis que la Russie ferait pour les Tatars plus que l'Ukraine n'avait fait en 23 ans d'indépendance", raconte-t-il. "J'ai eu l'impression qu'il voulait au moins la neutralité de notre part".
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GOUVERNEMENT SELLAL III Les noms de Ahmed Ouyahia et de Abdelaziz Belkhadem ne figurent pas dans le communiqué de presse de la présidence annonçant la composition du nouveau gouvernement. Sans pour autant faire partie de l’Exécutif, le directeur de cabinet de la présidence et le conseiller spécial de Abdelaziz Bouteflika devraient garder Suite... |
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