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Actualités : FACILITATIONS BANCAIRES Plus de 900 000 nouveaux comptes seront ouverts en 2013
Plus de 900 000 nouveaux comptes bancaires devraient être ouverts en 2013. «L'objectif de créer 900 000 nouveaux comptes bancaires en 2013 sera largement dépassé», a assuré le délégué général de l’Association professionnelle des banques et établissements financiers (ABEF).
Chérif Bennaceur - Alger (Le Soir) - Cité hier par l’agence Algérie presse service, Abderrazak Trabelsi s’est refusé, certes, à avancer des chiffres précis, rétif à toute précipitation médiatique avant l’évaluation finale et la présentation officielle des bilans par les banques de la place, attendues dès aujourd’hui. Néanmoins, le représentant de l’establishment financier évoque un bilan «très positif» du dispositif d’allègement des procédures bancaires et en matière d’octroi des crédits d’investissement, lancé depuis le début de l’année sur instruction du Premier ministre. Selon M. Trabelsi, le bilan de l’activité d’au moins cinq banques publiques, en termes de nombre de comptes ouverts, est en nette amélioration par rapport à l'année précédente. Fin janvier dernier, le ministre des Finances, Karim Djoudi, annonçait déjà que les banques enregistraient un rebond du nombre d’ouvertures de comptes bancaires après l’application des nouvelles facilitations. De même, l’on note que les délais d’octroi de crédits d’investissements, tant pour les particuliers que pour les PME, ont été réduits sensiblement, générant des gains de temps et de coût aux entreprises. Interrogé, par ailleurs, sur les conclusions du groupe de travail chargé de la question de la dépénalisation de l'acte de gestion, M. Trabelsi s'est contenté d'informer que le texte élaboré par les banques, la Banque d'Algérie et le ministère de la Justice dans l'objectif de consacrer cette dépénalisation, se trouvait au niveau du gouvernement. C. B.
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Actualités : À L’INITIATIVE DU SYNDICAT UGTA Les travailleurs des ministères haussent le ton
Pas de répit sur le front social. Après le secteur de la santé, c’est au tour de la Fonction publique de renouer avec la contestation sociale. En effet, une coordination des syndicats d’une dizaine de ministères est montée au créneau, décidant de l’organisation d’un sit-in de protestation devant la Direction générale de la Fonction publique.
Abder Bettache - Alger (Le Soir) - Dans un communiqué rendu public hier, la coordination des syndicats des ministères de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement, de la Santé, du Travail et de la Sécurité sociale, de la Poste et des Technologies de l’information et de la Communication, de la Solidarité et de la Famille, de l’Energie et des Mines ainsi que la Fédération nationale des travailleurs de la jeunesse et des sports et les syndicats nationaux des transports et de la solidarité nationale ont fait état de la tenue d’un sit-in par les membres des conseils syndicaux de la coordination devant la Direction générale de la Fonction publique (DGFP) lundi du 3 juin prochain. Selon le même communiqué, cette action de protestation a été décidée lors de la réunion du 29 mai dernier au siège de la Fédération de la jeunesse et des sports affiliée à l’UGTA. La protestation prévue pour le 3 du mois en cours a pour principal objectif «d’ouvrir les négociations entre la DGFP et le partenaire social, représenté par la Coordination des sections syndicales et syndicats nationaux des ministères sous l’égide de l’UGTA, en vue de la révision des statuts». Il s’agit notamment de la «refonte du décret 05-08 portant statut particulier des ouvriers professionnels, des conducteurs automobiles et des appariteurs, la refonte du décret 04-08 portant statut particulier des fonctionnaires appartenant aux corps communs, aux institutions et administrations publiques, l’abrogation de l’article 87 bis, la révision du décret 10-134 instituant le régime indemnitaire des fonctionnaires et administrations publiques». Les animateurs de cette coordination rejettent par ailleurs, et ce, d’une manière «catégorique», «la dernière augmentation de 10% attribuée aux fonctionnaires» et demandent à ce qu’elle «soit remplacée par une augmentation similaire aux ministères dits de souveraineté ». Cette montée au créneau coïncide avec la dernière mesure prise par le Premier ministère en faveur des travailleurs des corps communs des secteurs de l’éducation nationale et de la santé. En effet, Abdelmalek Sellal a, dans une instruction adressée au ministère des Finances, ordonné la mise en application d’une nouvelle augmentation salariale au profit des travailleurs de l’éducation, notamment les régimes indemnitaires des corps communs, des travailleurs des corps communs, des ouvriers professionnels, des chauffeurs, des appariteurs et des agents contractuels. Le Snapap a jugé cette augmentation «dérisoire». Dans un communiqué rendu public à cet effet, le Snapap estime que ce personnel n’a eu droit qu’à 10% du taux global des régimes indemnitaires des institutions et administrations publiques, comme le stipule l’instruction du Premier ministre sous le n°535 du 25 février 2013. D’ailleurs, cette organisation syndicale n’a pas hésité à qualifier cette augmentation de «décevante » pour les travailleurs qui l’attendent depuis des années. Elle estime que «la décision du Premier ministre ne répond pas aux attentes des travailleurs». A. B.
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Actualités : Le Bonjour du «Soir» Les gamins chahuteurs
Par Maâmar Farah Oui, je suis subjectif et je le revendique ! Oui, je ne suis pas impartial, ni neutre, ni poli ! L'irrespect, l'irrévérence, le courroux, c'est ce qui caractérise peut-être les voyous mais c'est aussi, parfois, le fait d'hommes qui veulent dire leur colère et vomir leur haine d'un ordre bâti sur l'injustice, la répression et le mensonge. Gavroche et les enfants du 5 Octobre n'étaient pas polis et n'avaient point de roses dans les bras... Que les tchi-tchi et les fils à papa m'excusent, mais je fabrique des billets d'humeur, pas des cours pour majorettes de l'action civique. Et j'aurai toujours le même plaisir à défendre les trouble-fêtes et les gamins chahuteurs surtout lorsqu'ils ne cassent pas la propriété d'autrui et qu'ils revendiquent un emploi, des loisirs et un peu de dignité... Le «hanoutisme» de l'actuel président a fait son temps. Il faut une politique plus hardie, un véritable Plan Marshall en direction des jeunes ! Nous avons le fric, des matières premières à gogo et une main-d'œuvre marginalisée. Devinez ce qui manque ? Envoyez vos réponses à la commission de candidature pour les prochaines élections présidentielles. Ce «billet d’humeur», je l'écris chaque jour en ayant à l'esprit cette définition signée Pierre Méra : «Le billet d'humeur ne s'interdit rien, y compris la mauvaise foi. C'est donc le genre transgressif par excellence, le seul à ne pas toujours respecter (…) les règles qui s'imposent à tous les autres genres journalistiques : recoupement des informations, impartialité dans l'analyse des faits, modération des propos, langue soutenue...» maamarfarah20@yahoo.fr «Ta tante est objective, impartiale, neutre et polie... sauf quand il s'agit des fréquentations féminines de qui tu sais !» (Tata Aldjia)
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Sports : COUPE DE LA CAF (8es DE FINALE-BIS, RETOUR) : CET APRÈS-MIDI (16H30) À SOUSSE, ES SAHEL-JSM BÉJAÏA Les Béjaouis en quête d’exploit
À pied d’œuvre en terre tunisienne depuis jeudi pour disputer la manche retour des 8es de finale bis de la coupe de la Confédération africaine de football (CAF), les gars de Béjaïa tenteront cet après-midi, à partir de 16h30, au stade olympique de Sousse, de réaliser l’exploit pour arracher le ticket de passage à la phase des poules, face à l’Etoile sportive du Sahel.
Malgré le semi-échec concédé sur leur terrain de Béjaïa (deux buts partout), au match aller, devant les hommes de Lavagne qui semblent ainsi prendre une sérieuse option pour la qualification, les Kabyles de la Soummam préfèrent voir le bon côté des choses. Les deux buts tunisiens, s’ils compliquent quelque peu, certes, leur tâche pour revenir avec le billet qualificatif, les Béjaouis ne comptent pas pour autant baisser les bras. Les capés de Solinas sont décidés à se battre jusqu’au bout pour tenter de damer le pion aux Tunisiens de Sousse chez eux. C’est en tout cas avec cet état d’esprit de réussir la prouesse de renverser la vapeur et de revenir avec le billet qualificatif aux poules que les capés de Solinas livreront la bataille au Onze de l’Etoile du Sahel. Une bataille qui s’annonce très rude pour les Béjaouis qui enregistrent la défection de l’homme du match aller, le gardien Djabaret et fort probablement également du capitaine de l’équipe, Brahim Zafour, souffrant d’une blessure. «On s’est bien débrouillés jusque-là. Je pense que malgré ces défections, l’envie de se surpasser affichée par le groupe peut faire la différence. L’Etoile du Sahel est une bonne équipe qui nous a posé d’énormes problèmes chez nous, mais je continue croire que tout est possible. Et puis, je ne vois pas pourquoi on se présentera en victime expiatoire», a indiqué le coach italien de la JSMB, Solinas. Dans l’entourage du club, on veut aussi continuer à croire en une issue heureuse. «Notre équipe a prouvé qu’on peut compter sur elle dans ce genre de rendez-vous. A Sousse, on jouera sans aucune pression contrairement à notre adversaire. Ce qui constituera un atout non négligeable dans ce genre de confrontation. Face aux Tunisiens qui vont certainement se découvrir pour tenter d’inscrire le but de la victoire, nos joueurs par des contres rapides pourront réussir à les surprendre», commentent des fans vert et rouge en parlant du déplacement de leur équipe fétiche à Sousse. Il convient de noter qu’en remplacement de Djabaret, le staff technique a fait appel au jeune portier Samer Yaâkoub qui aura ainsi à faire son baptême du feu chez les séniors à l’occasion d’une aussi importante confrontation de coupe d’Afrique. «Le hasard fait que Samer fasse son entrée pour ce match retour face à l’Etoile du Sahel. Malgré l’importance du rendez-vous, on a évité de lui mettre la moindre pression. Le soutien de ses partenaires, des supporters et des deux gardiens titulaires, Djabaret et Cedric, lui ont fait beaucoup de bien. Je sens qu’il est prêt à assumer cette responsabilité. Il a, en tout cas devant lui, une belle opportunité pour s’affirmer», a confié l’entraîneur des gardiens, Sebaâ. A. K.
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Sports : FOOTBALL : MATCH AMICAL INTERNATIONAL, CET APRÈS-MIDI (17H30) AU STADE MUSTAPHA-TCHAKER DE BLIDA : ALGÉRIE-BURKINA FASO Répétition générale en mode intra
Après les tests d’évaluation, la régénération, l’épreuve du terrain attend les Verts de Vahid Halilhodzic. Dès cet après-midi, ils se mesureront aux Etalons du Burkina Faso, vice-champions d’Afrique en début d’année à Johannesburg. Une édition durant laquelle les Algériens ont flopé avant de se remettre en course dans les éliminatoires du Mondial-2014, suite à leur victoire devant le Bénin, en mars dernier à Blida.
Photos : DR Trois mois plus tard, il s’agira, pour les équipiers de Bougherra de relancer la mécanique en vue de poursuivre l’aventure. Continuer à rêver d’une qualification au Mondial du Brésil, durant l’été 2014. Le test de ce dimanche affranchira certainement le sélectionneur bosnien de l’EN. Coach Vahid, qui n’a pas apporté de grands changements dans sa liste appelée à disputer les deux plus importants matches de ce tour de chauffe des éliminatoires du CM-2014, saura exactement quel niveau de forme ses joueurs ont atteint depuis le début de ce stage de fin de saison, le 26 mai dernier. Une semaine durant laquelle le groupe a vécu au rythme des arrivées. Ce n’est, en fait, que jeudi que le chiffre 21 a été atteint quand le meneur des gars de Bab Djdid de Tunis, Djabou, a mis les pieds dans l’enceinte du Centre technique de la FAF à Sidi Moussa. Le match de ce dimanche sera édifiant concernant la forme du moment des 21 joueurs mais également le niveau d’intégration de quelques «bleus» à l’instar de Laurent Agouazzi, Berrefane et autre Khoualed. En attendant l’apport des «Espagnols», Lacen, Brahimi et Feghouli, qui terminaient hier soir leur saison en Liga, Halilhodzic devra affiner une première stratégie en vue de la rencontre de Porto-Novo, le 9 juin prochain, contre les Ecureuils du Bénin. S’il est admis qu’il aurait été préférable pour la sélection de disputer le test d’aujourd’hui face au Bénin dans les conditions du match de dimanche prochain, surtout que nombre de joueurs découvriront l’environnement des batailles continentales à l’occasion de cette sortie au Bénin (Taider, Brahimi et Agouazzi), il n’en demeure pas moins que l’explication face aux Burkinabés donnera un aperçu de ce que peut être le visage de l’EN non seulement contre les Béninois mais aussi le 16 juin devant les Guêpes du Rwanda. Aussi, il n’est pas exclu que Halilhodzic mette en place une stratégie tournée vers le renforcement des lignes arrière et médiane se contentant, sur le plan offensif, des éléments connus pour leur vivacité et leur explosivité. Certes, ces éléments ne sont pas légion au sein de la composante et si telle était l’option préconisée par le Bosnien, il faudrait s’attendre à ce que le rôle soit confié à des milieux de terrain, et non à des attaquants de métier. Dans ce registre, un joueur comme Saphir Taider semble disposé (il a prouvé sous le maillot de son club, Bologne) à faire le ratisseur, le catalyseur et le finisseur. Sa force de pénétration et sa mobilité sur la longueur du terrain offrent une garantie suffisante à Coach Vahid. Outre Taider, les armes algériennes du contre peuvent venir des lignes arrière. Le couloir gauche en particulier où Mesbah et Ghoulam semblent assez affûtés pour servir la ligne d’attaque des Verts. Seront-ils complémentaires, eux qui ne se connaissent que depuis décembre dernier et qui n’ont pas évolué côte-àcôte ne serait-ce en match d’application ? La question est entière. Le match devant le Burkina Faso, adversaire qui a mené à bien sa campagne en Afrique du Sud grâce notamment à ses «fléchettes» sur les couloirs défensifs (Mady Panandetiguiri et Djakaridja Kone) et la force de pénétration de Jonathan Pitroipa et Wilfried Sanou, pourrait être, somme toute, mis à profit par Halilhodzic et ses troupes aux fins d’apporter les réglages nécessaires en prévision des deux prochaines sorties officielles. M. B.
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Culture : LANCEMENT HIER DE DJURDJURA TV Une chaîne pour les enfants algériens
Hier, samedi, a eu lieu le lancement officiel de la chaîne de télévision pour enfants, Djurdjura TV, lors d’une cérémonie qui s’est déroulée à l’hôtel Hilton d’Alger.
«La chaîne émet ses émissions à partir de Bahreïn, en attendant la nouvelle réglementation algérienne sur l’audiovisuel», nous a confié M. Mohamed Mouloudi, directeur général de Djurdjura TV. «Nous avons commencé nos émissions, il y a environ un mois et demi. Mais, nous avons voulu faire coïncider son lancement officiel avec la Journée internationale de l’enfance », poursuit le DG de cette chaîne privée (fréquences : sur NilSat 11680H 27500) émettant 24 h/24. La grille des programmes de la nouvelle chaîne consacre une large place au travail de proximité. «La caméra va suivre l’enfant algérien partout : dans la rue, au théâtre, à l’hôpital, au stade, etc. Notre objectif est aussi de préserver l’identité et les valeurs de la société algérienne et de l’enfant algérien dans son environnement», expliquera encore Mohamed Mouloudi. Le programme de cette chaîne pour enfants comporte également des émissions de divertissement et des dessins animés sous forme de séries ou de films, ainsi que des clips de chansons pour enfants. Les responsables de Djurdjura TV ont insisté sur «l’algérianité» de cette chaîne à travers ses émissions culturelles et son programme en général. «Le choix du nom de notre chaîne est cette montagne, symbole de la fierté et de la grandeur de l’Algérie», nous dira en conclusion M. Mouloudi. Un producteur du secteur audiovisuel indépendant, partenaire de Djurdjura TV, a indiqué que les émissions seront en arabe algérien, avec la possibilité d’inclure prochainement le tamazight. Dans un paysage audiovisuel déjà saturé, les TV spécialisées et thématiques sont certainement un créneau qui aura toujours ses fidèles téléspectateurs. Kader B.
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François nous cache des choses ! |
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Par Hakim Laâlam Email : hlaalam@gmail.com |
Un examen du bac sans la main de Benbouzid dans les cheveux des candidats ? C’est comme un shampooing antipelliculaire pour chauves.
Allô, quoi !
François Hollande, Président de la France et du Val-de-Grâce, a dit souhaiter que Abdelaziz Bouteflika, Président de l’Algérie et de Aïn-Naâdja, regagne au plus vite son pays. Alors, soit Hollande en a trop dit, soit pas assez. Il ne peut pas se contenter de cette formule expéditive «j’espère qu’il regagnera l’Algérie le plus vite possible». Il faut qu’il nous explique. Est-ce que le visa de Abdekka est arrivé à expiration pour que l’urgence d’un retour soit ainsi signalée ? Boutef’ serait-il déjà en situation irrégulière sur le sol français et encourrait des mesures de reconduite s’il ne repart pas de son plein gré consentant ? Manuel Valls a-t-il programmé une descente à six heures du matin, heure légale, au centre de convalescence des Invalides pour saisir au collet Abdekka et le conduire sous escorte dans un avion en partance pour l’Algérie ? Hollande dispose-t-il d’informations de première main révélant que le «départ de Boutef' vers son pays, c’est maintenant» ? Pour éviter tout changement, bien sûr. François envoie-t-il ainsi subtilement un message à son ami Abdelaziz lui signifiant qu’il a tout intérêt à se magner le train et à regagner El Mouradia avant que les carottes ne soient cuites ? Hollande sait-il réellement qui cuit les carottes chez nous ? Plus crûment (crues, les carottes c’est mieux !) et plus brutalement, pourquoi le chef de l’Etat français est-il si pressé de voir son homologue algérien repartir à Alger ? Des tas de personnes passent leur convalescence sur le sol français sans que cela ne provoque ce genre de réaction si particulière. Des chefs d’Etat africains sont restés des mois durant à se faire dorloter le bobo à Paris sans qu’aucun officiel français, encore moins le Président de la France, ne leur indique avec une telle insistance le chemin de l’aérodrome. François ne nous dit pas tout ! Il nous cache des choses. Et quand un porte-parole français de l’actualité algérienne se met ainsi à cacher des choses, la rumeur enfle ! A Alger. Une seule façon d’éviter cette dérive : revenir aux fondamentaux. Et le fondamental de tous les fondamentaux, c’est de demander pardon à Sellal de ne pas l’avoir cru lorsqu’il nous jurait que Boutef’ allait mieux, beaucoup mieux, très beaucoup mieux, bien beaucoup mieux que certains d’entre nous. Sellal, lui, est né chez nous, on peut lui faire confiance. François Hollande est né à Rouen. Combien d’Algériens savent que Rouen, c’est le département de Seine-Maritime ? Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H. L.
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