163-/-Actualites du Samedi 13 Juin 2015
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Samedi 13 Juin 2015
السبت 13 جوان 2015 م
السبت 26 شعبان 1436 ه
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Samedi 13 Juin 2015
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الثلاثاء 04 جوان 2015 م
الإثنين 13 شعبان 1436 ه
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L'info en continu
Les banques sous pression Face aux patrons des banques publiques, réunis jeudi au siège de la Banque d’Algérie, Mohamed Laksaci a insisté... |
Le dernier complot des Janissaires
L’après-Bouteflika se prépare depuis le 17 avril 2014 dans la confusion. Cette situation tendue est aggravée par les...
Smain Kouadria : « Haddad représente l'Etat parallèle »
Les barons de l’import-import sont en train d’instaurer, via le FCE et avec la complicité du gouvernement, un véritable Etat...
Libye : un groupe armé attaque le consulat de Tunisie à Tripoli
Une milice a investi vendredi le consulat tunisien à Tripoli où elle retient dix de ses fonctionnaires, a annoncé le...
Ahmed Ouyahia : Bouteflika n'est pas un monarchiste
Ahmed Ouyahia, secrétaire général par intérim du RND, est revenu hier, au lendemain de son plébiscite à la...
Actualité
Les banques sous pression
Face aux patrons des banques publiques, réunis jeudi au siège de la Banque d’Algérie, Mohamed Laksaci a insisté... Enième polémique en perspective
La polémique n’en finit pas d’enfler entre le Parti des travailleurs (PT) et le ministre de l’Industrie et des Mines. François Hollande lundi à Alger : Une visite et des interrogations
Une visite du chef de l’Etat français – qualifiée de visite de travail – qui, depuis qu’elle est connue, suscite... Ahmed Ouyahia répond à l'opposition : «Bouteflika ira jusqu'au bout de son mandat»
Ahamed Ouyahia a animé une conférence de presse, jeudi dernier, à l’issue de la 4e session ordinaire du conseil national du...
Sports
Entamer la compétition par une victoire
Les Verts entameront les éliminatoires de la CAN-2017 aujourd’hui, en débutant la compétition à domicile au stade de... ES Sétif : Malaise au sein du staff technique
L’ambiance au sein du staff technique du onze ententiste, qui entame sa deuxième semaine de préparation, est... FIFA Gate : INTERPOL suspend l'accord avec la FIFA
Interpol a suspendu son accord avec la FIFA dans le cadre de la lutte contre la corruption et l’arrangement des résultats des matchs de...
Culture
Réquisitoire contre le mariage précoce
Khadijda Essalami a défié tous les interdits au Yémen pour filmer son premier long métrage, Ana Noujoum, bintou al achira,... «Leila Aloui n'a jamais eu une attitude hostile envers l'Algérie»
Une rencontre des producteurs arabes de cinéma sera organisée en Algérie avant la fin 2015. L’annonce a été...
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Ahmed Ouyahia : Bouteflika n’est pas un monarchiste
le 12.06.15 | 10h00
Ahmed Ouyahia, secrétaire général par intérim du RND, est revenu hier, au lendemain de son plébiscite à la tête du parti sur plusieurs questions d’actualité.
Le directeur de cabinet de la Présidence a défendu l’armée, le DRS et également le Forum des chefs d’entreprises (FCE). Ouyahia hausse le ton en évoquant les commentaires de certains leaders de partis quant à la lettre de félicitations adressée par le vice-ministre de la Défense, Ahmed Gaïd Salah, au secrétaire général du FLN.
«Je qualifie de très graves et même d’inquiétants les propos tenus par un responsable politique et qui dit que la lettre de Gaïd Salah à Saadani est un viol de la conscience des soldats de l’ANP», a expliqué Ouyahia, allusion faite à Louisa Hanoune. Lors de cette conférence de presse, Ouyahia dit ne pas comprendre les insinuations de ces personnalités politiques qui disent que l’institution militaire est divisée sur ce message : «Que vise-t-on à travers cette campagne lorsque l’on sait que nos soldats sont à nos frontières sous un soleil de plomb.
Que l’on critique le président Bouteflika je comprends, mais s’acharner de la sorte contre l’armée c’est un précèdent grave», s’insurge Ouyahia qui a tenu à préciser que le président Bouteflika, qui est aussi chef suprême de l’armée, avait adressé un message au FLN à l’ouverture de son 10e congrès. «Pourquoi cela n’a pas suscité autant de réaction», se demande Ouyahia qui loue, dans sa lancée, les mérites du patron du DRS, le général «Toufik» : «Ce département que l’on veut transformer en un montre a assuré la sécurité des Algériens durant la décennie noire.
C’est, entre autres, grâce à cette institution que le pays est resté debout.» S’agissant de la revendication de l’opposition concernant une élection anticipée, Ouyahia tranche : «Il n’y aura pas d’élection anticipée, législative et encore moins présidentielle. L’élection présidentielle aura lieu comme prévue en 2017 et le président Bouteflika ira jusqu’au bout de son 4e mandat et il mettra progressivement à exécution les réformes politiques contenues dans son programme électoral.»
Dettes
Ouyahia confirme, de par son poste de chef de cabinet à la Présidence, que le Président a toutes ses capacités mentales et s’acquitte pleinement de sa fonction présidentielle. A une question relative à une guerre de clan au niveau du sérail et l’éventualité de voir Saïd Bouteflika succéder à son frère, Ouyahia dément catégoriquement : «Nous ne sommes pas une monarchie.
Le peuple algérien n’est pas monarchiste. Je ne crois pas que le président Bouteflika, qui s’est battu pour l’indépendance du pays et qui est à sa direction depuis 16 ans, ait des visions monarchistes. Saïd Bouteflika n’est pas inconnu de la scène publique. On sait qu’il ne joue pas dans cette direction.» «J’ai répondu à l’appel de la base militante pour redynamiser le parti et lui donner un nouveau souffle dans un contexte politique national particulier», affirme Ouyahia qui déplore la culture de la spéculation qui se généralise en Algérie.
Une spéculation qui se propage, reconnaît-il, en raison de la défaillance de la communication officielle. «J’ai toujours dit que notre point faible est la communication officielle qui est défaillante», admet Ouyahia. Revenant sur le projet de l’alliance présidentielle, Ouyahia ne nie pas que ce pôle sera créé pour contrecarrer le projet de l’opposition. «Je ne suis pas d’accord avec l’initiative de l’opposition concernant la transition démocratique.
L’opposition a constitué un bloc contre le régime. Les partis au pouvoir créeront leur front pour défendre et soutenir le programme du président Bouteflika», note Ouyahia qui regrette que le débat tourne uniquement autour de qui prendra la place du Président… Sur le plan économique, Ouyahia appelle les Algériens à «retrousser leurs manches et à serrer la ceinture, si les cours du pétrole se maintiennent à la baisse». «La conjoncture économique du pays est difficile», a-t-il affirmé.
Ahmed Ouyahia dit soutenir l’option de recourir à l’exploitation du gaz de schiste et accuse un pays, sans le nommer, qui veut vendre son énergie nucléaire à l’Algérie, de vouloir parasiter le projet du gouvernement. En outre Ouyahia déclare ne pas avoir honte d’avoir exécuté de «sales besognes». «Je ne fais que rembourser mes dettes à l’Algérie. En plus il faut bien que quelqu’un fasse ces sales besognes», conclut-il.
Nabila Amir
Elles sont instruites de financer l’économie
Les banques sous pression
le 13.06.15 | 10h00
Face aux patrons des banques publiques, réunis jeudi au siège de la Banque d’Algérie, Mohamed Laksaci a insisté longuement sur une inévitable démarche «proactive» que devront adopter les banques, le plus tôt possible, en vue de l’impulsion du financement productif.
Au sens du gouverneur de la Banque d’Algérie, la consigne est claire et non négociable, les banques doivent encourager l’investissement, à travers «des crédits sains et de qualité», en vue de permettre au pays de tendre le plus possible vers la croissance de 7% escomptée en 2015 par le gouvernement.
Un message délivré par M. Laksaci, sous forme d’une feuille de route, à appliquer dès les mois à venir, après une série de «stress test», au sein de chaque banque, dès le mois de juillet. Le gouverneur qui s’exprimait lors de la rencontre intitulée «La stabilité macroéconomique en Algérie et le financement bancaire de la croissance», n’y est pas allé par quatre chemins, intimant aux PDG des banques d’être plus offensifs et de faire en sorte que les ressources accumulées ces dernières années soient mises à profit pour impulser «l’investissement productif».
Sans se départir d’un ton parfois enjoué, le gouverneur de la Banque d’Algérie ne cachait pas pour autant sa forte détermination à mettre en branle la nouvelle dynamique censée faire, enfin, assumer aux banques publiques un rôle de moteur de la croissance.
Face à certaines remarques des banquiers concernant les règles prudentielles, le gouverneur a notamment fait remarquer que «cela n’était pas particulier à l’Algérie», soulignant que les règles en question revues en 2014, sont «universelles» et «ne handicapent pas outre mesure la prise de risque et l’octroi de crédits». «La loi est la loi, il ne faut pas chercher à se défaire des instruments universels, ce n’est pas bien.
Ce n’est pas faisable, il faut de‘‘l’ijtihad’’ pour essayer de faire bouger les choses», a notamment dit M. Laksaci, ajoutant qu’«il ne faut pas attendre de la Banque d’Algérie autre chose que d’appliquer la loi et de se conformer à la mission de veiller à la stabilité financière du pays, telle que prévue depuis 2010 par la loi sur la monnaie et le crédit».
Le plan d’attaque déroulé jeudi par le gouverneur de la Banque d’Algérie semble aller en droite ligne des directives gouvernementales prévues dans le cadre de la riposte imaginée par l’Exécutif pour faire face à la conjoncture difficile que traverse le pays.
D’ailleurs, M. Laksaci parle d’un «choc externe de nature durable» subi par le pays et presse les banques d’impulser une nouvelle démarche, tant il est important à ses yeux de trouver la riposte au plus vite. Le gouverneur l’a clairement dit et à plusieurs reprises, les banques doivent «reprendre l’initiative» et se montrer plus démonstratives face à leur clientèle.
En toile de fond, il a rappelé la prédominance de l’autofinancement dans l’investissement en Algérie, en dépit de l’épargne dormante dans les banques. Les chiffres assénés par M. Laksaci laissent apparaître ainsi que durant les neuf dernières années, 87% des investissements en Algérie ont été autofinancés, représentant essentiellement des investissements de l’Etat et du groupe Sonatrach.
Les investissements hors hydrocarbures ont également été fortement autofinancés à hauteur de 59,7% durant la même période, alors que l’épargne des entreprises privées et des ménages, qui devait financer ces projets, s’est accrue sans que le secteur économique en profite, selon Laksaci.
«L’État a suffisamment aidé les banques »
Il est à relever que M. Laksaci a pris le soin, dès l’ouverture du débat, de préciser que ce qu’il exposait aux banques n’était pas un début de réflexion, mais bien une vision clairement définie au plan macroéconomique et qui doit être suivie, dans les mois qui viennent, d’actions concrètes au niveau microéconomique, au sein de chaque banque. «Au niveau global, tout est visible, mais il faut qu’au niveau des banques les choses bougent», a affirmé M. Laksaci, estimant que «dans ce nouveau contexte de choc externe, il faut tirer profit des ressources accumulées jusqu’en 2013 pour converger vers un nouveau financement de l’économie».
Face aux PDG, dont quelques-uns paraissaient, malgré les explications données, un peu dubitatifs, le gouverneur s’est attelé à mettre en relief le fait que l’Etat a suffisamment aidé les banques publiques. Sans nuance aucune, le gouverneur de la Banque d’Algérie a rappelé à plusieurs reprises aux banques l’assistance dont elles ont profité de la part des pouvoirs publics. «Cela a coûté cher à l’Etat d’assainir les banques publiques et de leur donner les moyens dont elles avaient besoin, depuis 1991, grâce à l’argent de la collectivité.» Il a ajouté qu’aujourd’hui, c’est à elles de démontrer leurs capacités sur le terrain tout en tirant profit d’une série de mesures d’encadrement, telles que la prochaine mise en place de la centrale des risques et des possibilités de refinancement auprès de la Banque d’Algérie.
Il a écarté cependant toute idée de recours à l’endettement extérieur, tel que souhaité par un PDG de banque qui a rappelé que la LFC-2009 avait interdit aux banques de recourir à cette possibilité.
A ce propos le gouverneur a été tranchant, estimant que dans le contexte actuel, le recours à cet instrument n’est pas prévu dans la feuille de route, renvoyant encore et toujours les banques à la possibilité de refinancement par la Banque centrale. «Vous avez le guichet de refinancement.
Si vous cherchez à changer les instruments réglementaires, ce sera difficile de fixer un bon cap et de prendre un bon élan alors que c’est le moment opportun de le faire», a précisé M. Laksaci. Celui-ci estimera que les dépôts à terme «doivent augmenter absolument» au regard de la prédominance des dépôts à vue qui constituent 80% du total dans les banques publiques.
«Les investissements privés :un atout pour la croissance»
Pour Mohamed Laksaci, le secteur bancaire a les moyens nécessaires pour relever le défi. «Nous ne sommes pas sans outil ou sans arme», a affirmé le gouverneur, ajoutant qu’au regard des ressources accumulées, notamment au sein des banques, elles doivent jouer leur rôle et «développer leurs moyens d’action à terme, par la promotion de produits financiers attractifs, notamment en termes de rendements réels».
Le gouverneur a également estimé que «la réalisation du potentiel de croissance hors hydrocarbures devra être portée par des investissements productifs, notamment du secteur privé, en situation de poursuite du programme d’investissements publics à un rythme approprié».
Pour Laksaci, «dans ce nouveau contexte de gap entre épargne et investissement, à partir de l’année 2014, il est attendu une croissance à travers notamment la valorisation dès 2015 de l’important potentiel de diversification des exportations». Le développement des secteurs productifs hors hydrocarbures, notamment l’activité des PME, nécessite désormais des fonds prêtables plus conséquents au profit de l’investissement.
La convertibilité du dinar en préparation
«Les étapes suivantes en vue de la convertibilité courante du dinar sont en préparation», selon M. Laksaci, qui a par ailleurs indiqué qu’au cours de l’année 2015, la Banque d’Algérie prendra des mesures pour développer le marché interbancaire des changes dans l’objectif de favoriser la compétitivité externe et la stabilité. «Après les mesures de soutien des exportations hors hydrocarbures prises en 2011, la Banque d’Algérie prendra des mesures prochainement pour développer le marché interbancaire des changes et promouvoir la couverture à terme par les banques, au profit des opérateurs», a annoncé M. Laksaci.
La réactivation des opérations sur le marché monétaire interbancaire dans la perspective du retour des banques au refinancement auprès du prêteur en dernier ressort dès 2015 contribuera à cette dynamique, a ajouté le gouverneur.
Capter la masse monétaire informelle
La diminution de la monnaie fiduciaire, y compris celle du secteur informel, au profit d’une intégration au circuit bancaire est un des objectifs auquel doivent s’atteler les banques publiques, selon M. Laksaci.
Il a souligné que la démarche vise à diminuer le taux de 26% de monnaie fiduciaire par rapport au M2 (indice des progrès de l’intermédiation financière) et à capter les 3700 milliards de dinars circulant dans la sphère informelle. M. Laksaci a invité les banquiers à tout mettre en œuvre pour capter cette masse monétaire qui ne représente aucun risque, selon lui, en rendant plus attractifs les rendements sur les dépôts bancaires. «Cela relève du bon sens», a-t-il dit.
En arrivant à capter ces ressources, les banques pourront, au sens du gouverneur de la BA, développer des instruments de paiement et impulser un train baissier du ratio important de la monnaie fiduciaire, ce qui sera un indice de la stabilité monétaire, «le reflux de la monnaie fiduciaire vers les banques insufflera une dynamique aux opérations de crédit.
Ce reflux peut être stimulé au moyen d’épargne à terme bien rémunérée, ce qui sera extrêmement positif sur le moyen et long termes».
La centrale des risques bientôt opérationnelle
Le gouverneur de la Banque d’Algérie a souligné que la prochaine mise en œuvre de la nouvelle centrale des risques, qualifiée de «nouvel instrument universel au service de la stabilité financière», constituera un autre outil d’impulsion de l’investissement productif avant fin 2015 et d’aide à la gestion des risques qui vise à renforcer la stabilité du secteur bancaire en Algérie.
Il a expliqué que la centrale des risques n’est pas uniquement mise en place en perspective de l’ouverture du crédit à la consommation, mais qu’elle aura au contraire des fonctionnalités très développées. «Elle vient notamment pour consolider les instruments et préserver la stabilité financière», a souligné M. Laksaci, ajoutant que les règles prudentielles sont nécessaires pour calibrer les risques et que, dans ce cadre, la centrale des risques dotée d’instruments modernes, servira à amorcer une vraie dynamique en vue de mobiliser plus de ressources et contribuer positivement à financer l’économie nationale, Le temps que le marché financier puisse se mettre en place et jouer pleinement son rôle.
Zhor Hadjam
CAN-2017. Algérie – Seychelles aujourd’hui à 20h30 à Blida
Entamer la compétition par une victoire
le 13.06.15 | 10h00
Les Verts entameront les éliminatoires de la CAN-2017 aujourd’hui, en débutant la compétition à domicile au stade de Blida, face aux Seychelles.
Reversés dans le groupe J, Medjani et ses coéquipiers auront comme autres adversaires le Lesotho et l’Ethiopie. A priori, seul ce dernier pays pourrait présenter des difficultés pour l’équipe nationale, comme l’a d’ailleurs affirmé le sélectionneur national, Christian Gourcuff à maintes reprises. Néanmoins, pour leur première sortie, les Algériens devront faire très attention.
Plusieurs titulaires ne seront pas de la partie. Mercredi dernier, Sofiane Feghouli, le joueur de Valence (Espagne), a déclaré forfait pour blessure. Une absence qui s’ajoute à celles de Rafik Halliche (SC Qatar), Abdelmoumen Djabou (Club Africain), Djamel Mesbah (Sampdoria), Medhi Lacen (Getafe), du gardien Rais M’bolhi (Philadelphie) et Yacine Brahimi (Porto). Sept potentiels titulaires qui manqueront à l’appel.
Ce qui pourrait créer des difficultés pour le staff technique qui s’est penché, durant le stage qu’ont effectué les Verts cette semaine au Centre technique national de Sidi Moussa, sur le onze qui sera aligné ce soir à Blida.
A ce titre, il faut dire que le plus gros de l’effectif entrant face aux Seychelles s’est dessiné. C’est Doukha qui remplacera M’bolhi dans la cage. En défense, il y aura Ghoulem, Medjani, Mandi et Zeffane ou probablement Hachoud. Dans la récupération, Bentaleb et Taïder assumeront sans surprise ce rôle. Le compartiment offensif verra l’incorporation de Boudebouz.
Celui-ci évoluera aux côtés de Mahrez, Slimani et Soudani. En tous cas, c’est cette configuration, à un changement près, qui a été testée ces derniers jours lors des séances d’entraînement. Il faut rappeler que les Verts ont clos, avant-hier, leur stage à Sidi Moussa. Hier, ils ont effectué, à 18 h, une séance d’entraînement sur la pelouse du stade de Blida. La délégation des Seychelles est arrivée en Algérie mardi dernier. Cette équipe s’est entraînée hier à Blida vers 20 h.
Les Seychellois ont fait le déplacement en Algérie sans leur entraîneur en chef, Ulrich Mathiot. Ce sont les deux autres techniciens du staff, l’entraîneur adjoint, Cliff Nolin, et celui des gardiens de but, Danny Laurette, qui prépareront ce match. Les Verts visent ni plus ni moins la première place, synonyme de qualification à la phase finale. Il n’est donc pas permis de rater des points à domicile.
Abdelghani Aïchoun
MAZ |
L'info en continu
Libye : un groupe armé attaque le consulat de Tunisie à Tripoli
le 12.06.15 | 18h47
Une milice a investi vendredi le consulat tunisien à Tripoli où elle retient dix de ses fonctionnaires, a annoncé le ministère tunisien des Affaires étrangères.
"Le ministère des Affaires étrangères dénonce l'intrusion d'une phalange armée au siège du consulat tunisien à Tripoli et la détention de dix fonctionnaires de la mission", a indiqué le service de presse de la diplomatie tunisienne. "Tous les services de l'Etat suivent avec beaucoup d'intérêt et de préoccupation les développements de cet incident, en coordination avec les parties libyennes, régionales et internationales, afin de libérer dans les plus brefs délais l'équipe de la mission tunisienne et garantir leur intégrité physique", a souligné le ministère.
Il a par ailleurs dénoncé "une violation flagrante de la souveraineté nationale tunisienne et des lois et normes internationales et diplomatiques qui garantissent la sécurité des fonctionnaires et des missions diplomatiques et consulaires". La diplomatie tunisienne a une nouvelle fois appelé ses ressortissants en Libye à la prudence, à quitter le territoire "si possible", et à ne pas se rendre dans ce pays "dans les conditions actuelles sauf nécessité absolue".
Le ministère n'a pas identifié les assaillants, alors que Tripoli est sous le contrôle des milices de Fajr Libya. Les ressortissants et intérêts tunisiens sont régulièrement visés en Libye, comme d'autres représentations diplomatiques étrangères. En mai, Tunis avait ainsi négocié pendant une dizaine de jours la libération de 254 Tunisiens détenus par une milice de Fajr Libya en représailles à l'arrestation en Tunisie de l'un de ses chefs. Un diplomate et un employé de l'ambassade tunisienne à Tripoli avaient déjà été détenus en 2014 en Libye avant d'être libérés.
Un groupe se réclamant de la branche libyenne de l'organisation autoproclamée Etat islamique (EI, Daech), avait par ailleurs revendiqué en janvier l'assassinat de deux journalistes tunisiens.
APS
Liste des pays qui violent les droits des enfants : L’ONU se fiche des bambins de Palestin
le 11.06.15 | 10h00
Tuer plus de 540 enfants en 51 jours d’agression barbare, en blesser des milliers et laisser des dizaines de milliers d’autres sans abri n’a pas été suffisant pour convaincre le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, d’inclure Israël dans la liste de l’ONU comprenant les organisations et les pays qui violent les droits des enfants.
Les appels d’organisations de défense des droits de l’homme, dont Human Rights Watch, d’inclure Israël dans cette liste de la honte, de résister aux pressions politiques d’Israël et des Etats-Unis n’ont trouvé aucun écho auprès de l’establishment de l’ONU.
L’ONU, qui est supposée protéger les opprimés et rendre justice à tous ceux qui sont spoliés, a prouvé une nouvelle fois son incapacité de bouger lorsque l’Etat hébreu est directement mis en cause.
Israël doit donc une fière chandelle à Ban Ki-moon. Celui-ci lui a évité une situation bien embarrassante, particulièrement en cette période où l’Etat hébreu est soumis à des pressions énormes de la part de la société civile occidentale, via notamment le mouvement Boycott, désinvestissement, sanctions (BDS).
L’ambassadeur d’Israël auprès de l’ONU, Ron Prosor, a d’ailleurs exprimé sa joie, lundi, après la diffusion par l’ONU de sa liste : «M. Ban a eu raison de ne pas se soumettre au diktat d’organisations terroristes et d’Etats arabes dans sa décision de ne pas inclure Israël à cette liste de la honte, aux côtes d’organisations comme le groupe Etat islamique (EI), Al Qaîda ou les talibans.» La liste de l’ONU, de laquelle est absent Israël, a causé beaucoup d’émotion et de colère dans l’opinion publique palestinienne.
Elle comprend 51 entités, dont Boko Haram, l’Etat islamique et les armées de huit pays (Syrie, Yémen, RDC, Soudan du Sud...). Cette sortie de l’ONU a tellement scandalisé l’opinion que l’Algérienne Leila Zerrouki, représentante spéciale auprès de Ban Ki-moon pour le sort des enfants en temps de conflit armé, a exigé des explications.
Dans tous les cas, la décision de Ban Ki-moon est un double message, dont un est adressé aux Israéliens. Il leur dit : «Tuez autant d’enfants palestiniens que vous le voulez, notre institution ne vous demandera jamais des comptes.» L’autre message est pour les Palestiniens auxquels il signifie que leurs enfants ne sont pas comme ceux du reste du monde et les tuer ne nécessite pas d’intervention de l’ONU ni même de dénonciation. Scandaleux.
Aujourd’hui, c’est toute l’histoire noire et la longue liste des reniements de l’ONU qui défilent devant les yeux des Palestiniens.
C’est bien cette organisation, contrôlée par les Occidentaux et les Etats-Unis, le plus grand allié de l’Etat hébreu, qui est responsable de tous les maux des Palestiniens depuis 1948, avec l’imposition de l’Etat hébreu au dépens de leur pays. Israël est le seul pays au monde pouvant violer les lois et les chartes des Nations unies sans avoir peur d’être sanctionné. L’ONU a fait d’Israël un Etat au-dessus des lois universelles. Merci Ban Ki-moon, merci l’ONU !
Fares Chahine
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L’Algérie vue du ciel de Yann Arthus Bertrand : Beauté survolée
le 13.06.15 | 17h03
L’ouvrage L’Algérie vue du ciel du grand photographe Yann Arthus Bertrand a été adapté en documentaire coproduit par l'Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC) et Hope Production.
Il est réalisé par Yann Arthus Bertrand. Il sera diffusé mardi 16 juin sur France 2. L’Algérie vue du ciel a été réalisé en février dernier, avec l’aide de l’armée algérienne qui a mis des hélicoptères à la disposition du célèbre photographe et réalisateur français. Le pitch du documentaire : un Algérien de France s'adresse à un frère resté au pays pour raconter ce qu'est l'Algérie d'aujourd'hui, filmée depuis les airs par le célèbre photographe Yann Arthus Bertrand.
Le documentaire est construit autour d'un voyage en trois parties. Le nord, moderniste, est tourné vers la Méditerranée, tandis que le centre est fait de régions rurales et traditionnelles. Enfin, le grand sud est comme un autre monde, avec son immense désert. Ce périple permet de découvrir les côtes indentées de l'Oranais, les plaines agricoles de la Mitidja, les contreforts de l'Atlas, les falaises d'Alger, les plages, les cimes enneigées ou encore l'incroyable diversité minérale du Sahara.
« J’ai été soufflé par la beauté de l’Algérie. Je trouvais intéressant de valoriserce pays qui a des paysages incroyables, et de le faire découvrir aux gens…Ce séjour dans le sud s’est passé de manière formidable. L’armée algérienne a mis à notre disposition des hélicoptères pour que nous puissions réaliser nos images. Les personnes que nous avons rencontrées ont été très chaleureuses. Beaucoup savaient qui j’étais et connaissaient mes livres…Tout m’intéresse en Algérie. C’est un pays sublime, dont on entend tellement parler ! Tamanrasset et Lassekrem, où je me suis rendu cette fois-ci, font partie des plus beaux endroits du monde.
J’avais oublié combien c’était beau !..Mon message aujourd’hui est plus humaniste qu’écologiste. Parfois, dans notre monde basé sur le commerce et l’échange, l’écologie a du mal à passer…L’écologie doit passer par l’amour : aimer la nature, les oiseaux, mais aussi aimer les autres et s’aimer soi-même. L’écologie ne doit pas prendre les allures d’un combat : elle doit être portée par un discours joyeux, amoureux, respectueux. ». commentera le réalisateur Yann Arthus Bertrand dans le périodique Binatna.
France 2
Le Mardi 16 Juin 20h56
L'Algérie vue du ciel
Documentaire
Durée : 1h34minTous publics / 16:9 / mono
Rediffusion :
K.Smail
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