176-/-ACTUALITES DU VENDREDI 26 JUIN 2015
Vendredi 26 Juin 2015
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Jeudi 26 Juin 2015
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La blacklist des mosquées salafistes Les 55 mosquées que le ministère des Affaires religieuses a classées comme «salafistes» ne seraient que la partie... |
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Actualité
La blacklist des mosquées salafistes
Les 55 mosquées que le ministère des Affaires religieuses a classées comme «salafistes» ne seraient que la partie... On vit tous à côté d'une mosquée salafiste
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Médicaments : Les restrictions budgétaires créent la pénurie
Une centaine de médicaments est actuellement en rupture de stock dans les pharmacies. Une situation inquiétante résultant des coupes... Il ne s'agit pas de réduction, mais de maîtrise de la facture à l'importation
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Les penseurs islamiques ont-ils fait évoluer la philosophie ? Peut-on être croyant et réfléchir à Dieu ? Dans...
Médicaments : Les restrictions budgétaires créent la pénurie
le 26.06.15 | 10h00
Une centaine de médicaments est actuellement en rupture de stock dans les pharmacies. Une situation inquiétante résultant des coupes budgétaires du ministère de la Santé.
«Avez-vous appelé le ministère de la Santé ? Que vous a-t-on dit ?» Ce sont les premières phrases des pharmaciens rencontrés un après-midi de carême à Alger. Mais bien vite le ton réticent laisse place à l’angoisse : «Il nous manque beaucoup de médicaments, dont certains concernent des maladies chroniques.»
Une inquiétude partagée par le Syndicat national algérien des pharmaciens d’officine (SNAPO) qui a publié, il y a deux jours, un communiqué qui dénonce l’indisponibilité de médicaments pour l’hypertension artérielle. Aujourd’hui, plus de 100 médicaments sont en rupture de stock dans les pharmacies. Des médicaments pour la tension artérielle, aux antibiotiques comme l’ordinine.
De l’insuline, de la ventoline également, indispensable aux personnes souffrant d’asthme, dont la marque la plus abordable est actuellement introuvable. Une situation catastrophique, pour les malades concernés, qui ne touche pour l’instant pas les médicaments anti-cancéreux. Ce sont, en effet, des produits hospitaliers qui sont directement importés par la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH) qui possède un stock de sécurité.
Bras de fer
Chaque année, lors du dernier trimestre de l’année, le ministère de la Santé étudie les demandes d’importation de matériel médical et de produits pharmaceutiques. Au mois de juin 2015, certains programmes d’importation ne sont toujours pas signés. La raison ? «Un bras de fer» entre multinationales pharmaceutiques et le ministère de la Santé. Selon un cadre d’une société d’importation de médicaments, «le ministère nous a demandé de réduire nos prix de manière significative, jusqu’à 60%. Nous avons été obligés d’abandonner l’importation de plusieurs produits».
Mohamed Achouri, directeur de rédaction du mensuel Santé Mag affirme que «le ministère de la Santé a voulu que les laboratoires réduisent leurs prix, car ils vendent plus cher ici qu’au Maroc ou qu’en Tunisie. Ils ont trouvé cela illogique, car l’Algérie représente un plus gros marché que ces deux pays».
En conséquence, l’Etat a imposé aux laboratoires étrangers de baisser les prix des médicaments importés. «C’est un chantage aux labos», assène M. Achouri. Selon lui, la pénurie actuelle est vouée à se prolonger, voire à s’aggraver. Les raisons avancées seraient l’«impunité» des fonctionnaires du ministère de la santé qui ont toute la latitude pour faire baisser la facture des importations. Les opérateurs économiques, de leur côté, ont peur de perdre d’autres licences d’importation et se taisent sur cette situation.
Vide médical
Une autre raison avancée pour expliquer la pénurie est la volonté du gouvernement de privilégier la production nationale de médicaments. Ainsi, de nombreux produits pharmaceutiques ont vu l’arrêt de leur importation, car une entreprise algérienne s’est engagée à le produire dans un délai convenu avec l’Etat.
Le problème survient lorsque l’entreprise ne parvient pas à produire la molécule dans les délais impartis. Avec l’arrêt de l’importation du produit, le médicament devient introuvable et le citoyen malade se retrouve face à un véritable vide médical. C’est le cas, par exemple, du Carbamazepine, médicament soignant l’épilepsie. L’entreprise qui importait cette molécule s’est vu demander une diminution de son prix de 50%, ce qui a eu pour effet de bloquer son importation. Parallèlement, un laboratoire algérien a promis sa production pour le deuxième trimestre 2015.
La production n’ayant toujours pas débuté, le produit est en rupture de stock chez les distributeurs locaux. «L’intention était bonne», note Mohamed Achouri, «mais en voulant réduire la facture des médicaments, le ministère de la santé a créé la pénurie.» Conséquence néfaste de cette pénurie, le circuit informel se développe. «Des individus apportent des sacs de l’étranger contenant 20 boîtes de comprimés ou de sirop, et les vendent aux officines pour pallier la demande», s’inquiète le professionnel de santé. Ce qui a pour effet d’augmenter les prix, mais aussi de mettre sur le marché des produits non contrôlés, donc potentiellement dangereux pour le consommateur.
Samir Amar-Khodja
La blacklist des mosquées salafistes
le 26.06.15 | 10h00
Les 55 mosquées que le ministère des Affaires religieuses a classées comme «salafistes» ne seraient que la partie immergée de l’iceberg. En 2011, une enquête des Renseignements généraux de la police a classé les mosquées des 48 wilayas selon les courants auxquels elles appartiennent.
Elles seraient, selon les conclusions, 5% à suivre les préceptes des Frères musulmans, 10% sans orientation (les imams y sont d’abord des fonctionnaires), 20% à représenter le courant salafya «scientifique», 20% à suivre le courant malékite nouveau, et 45% le courant malékite traditionnel. On les trouve surtout à l’est du pays, puis au centre et un peu à l’ouest. «On sait aussi qu’il existe dans certaines mosquées un courant ‘‘qutbi’’, qui s’inspire de l’idéologie de Sayed Qutb, ces partisans du djihad sont en fait l’aile salafiste djihadiste, mais du côté des Frères musulmans, explique une source sécuritaire.
On sait que ce sont des radicaux, mais ils ne le proclament pas officiellement parce qu’ils se savent surveillés.» Adda Fellahi, islamologue et ancien cadre des Affaires religieuses, s’interroge d’ailleurs sur le nombre de moquées évoquées par Mohamed Aïssa, lundi, au Forum de Liberté, et sa décision de sanctionner les imams en leur retirant leur autorisation d’exercice. «La directive du ministre concerne-t-elle seulement la capitale ? s’interroge-t-il.
Pourquoi ne pas généraliser cela aux mosquées de tout le pays ? Ce n’est pas un secret, les salafistes ont la main sur plusieurs mosquées à Blida, Boumerdès, El Oued, Constantine et Oran. Depuis quatre ans, je n’ai pas arrêté de tirer la sonnette d’alarme, mais personne ne voulait me prendre au sérieux. Aujourd’hui, la bataille sera difficile. Il fallait agir bien avant. L’Etat doit préserver sa souveraineté. La responsabilité est partagée.» La responsabilité, Belmokhi Lalaoui, chargé des relations avec la presse au parti Ennahda, en parle aussi. «Qui a introduit la mouvance salafiste ? Certainement le pouvoir ! Le ministre des Affaires religieuses n’est qu’un commis de l’Etat. On malmène le rite malékite. Il faut qu’il y ait plus de transparence et de responsabilité.
Le problème relève de la compétence du pouvoir en place, qui a déjà pris ce genre de décision sans jamais passer à l’acte. Malheureusement, on manipule les valeurs et la religion. Cela dénote de la faiblesse du pouvoir politique qui gère le pays.» Toujours selon une source sécuritaire, les Affaires religieuses mènent aussi leur enquête, mais leurs informations «sont moins précises, car les rapports se basent sur des considérations subjectives, essentiellement des réactions de comités de quartier ou des conseils des mosquées.»
Récitants
Le député MSP Naâman Laouar estime qu’il est «inacceptable» de «diviser la société en jugeant de ses composantes sur la base de leur obédience». «Ce qu’on demande, poursuit-il, c’est l’application de la loi dans tous les secteurs.» Youcef Khababa, député et chef du groupe parlementaire de l’Alliance verte, doute quant à lui du chiffre annoncé : «Je ne pense pas qu’il reflète la réalité, puisque la quasi-majorité des mosquées sont encadrées aujourd’hui par des jeunes salafistes.
Le problème dont parle le ministre aujourd’hui est dû au cumul des années de mauvaise gestion de ce dossier et de la marginalisation des universitaires. On ne peut pas continuer avec des mosquées tenues par de simples récitants de Coran.» Le porte-parole d’El Islah, Akouchi Hamlaoui, trouve qu’il y aurait aussi beaucoup à redire sur la compétence des imams. «Le ministère ne peut certainement pas encadrer et combler le vide par des imams non compétents et non universitaires, s’emporte-t-il.
Certains imams ne sont que des charlatans. Alors que la mosquée devrait être loin de toute connotation politique. A l’instar de l’école, il faut qu’elle soit le symbole de la stabilité. Mais je suis d’accord avec le ministre. Il faut respecter la référence religieuse de notre pays qui est le rite malékite. Le problème, c’est que ce secteur est abandonné.»
Les internautes pas d’accord avec le ministre
«Il faut mener une campagne pour pousser les autorités à faire marche arrière, ou carrément demander la démission du ministre». Le commentaire de Youcef, un lecteur, à un article sur la décision de Mohamed Aïssa de contrôler les mosquées salafistes illustre l’état d’esprit général des lecteurs et des internautes. «Ils ne peuvent rien faire, car on suivra nos imams où qu’ils soient.
De plus, les mosquées sont construites grâce à nos dons et on y met qui on veut, ce n’est pas à l’Etat de décider», écrit encore un lecteur. Fella commente aussi : «Ce ministre ne sait même pas que le hidjab est un devoir pour les femmes musulmanes. Comment voulez-vous qu’il sache ce qu’est le rite sunnite ?
Il vaut mieux qu’il disparaisse de la scène politique !» Zakaria y voit une provocation : «Ils veulent une autre décennie noire !», écrit-il. «Via une telle décision, ce ministre a démontré qu’il n’est qu’un commis désigné par le calife Abdelaziz Bouteflika, ce qui est désolant», souligne encore un internaute. Sofia Ouahib
Nassima Oulebsir
On vit tous à côté d’une mosquée salafiste
le 26.06.15 | 10h00
- Lakhdar Benkhelef. Front pour la justice et le développement : C’est l’Etat qui les a favorisés
L’Etat a fait appel à ces salafistes dans les années 90’, il a fermé les yeux en les utilisant, et maintenant il veut reprendre le contrôle. Aujourd’hui, il se réveille et décide de s’en débarrasser. C’est au ministère des Affaires religieuses de gérer ces mosquées, c’est à lui de prendre des décisions, que ce soit sur les moyens qui laissent à désirer ou les activités. Nous savons tous que les salafistes sont proches des hauts responsables de l’Etat et des chefs de parti, mais il est temps de les gérer.
- Idriss Rebouh. Front du changement : Un danger pour notre société
La profession d’imam, stratégique puisqu’elle oriente des fidèles, manque beaucoup d’encadrement. Les instituts forment très peu d’imams, comparé au nombre de mosquées qui augmente. Du coup, des bénévoles sont souvent admis à ce poste sensible. Le courant salafiste qui est sous influence saoudienne est bien entendu un danger qui infiltre notre société et menace notre patrimoine religieux. Nous soutenons donc la démarche du ministre. En améliorant leurs conditions, l’intrus extérieur ne pourra pas les corrompre.
- Adda Fellahi. Islamologue : C’est Aïssa qui les a amenés là
Les salafistes ont connu une décennie d’or à l’époque où Mohamed Aïssa était le directeur central des mosquées de tout le pays. C’est lui qui délivrait les autorisations pour les imams salafistes. Il avait besoin d’eux pour convaincre les terroristes de déposer les armes et espionner les mouvements des islamistes dans les mosquées. Mais les salafistes ont tout de suite mis la main sur plusieurs mosquées. A qui incombe alors aujourd’hui cette responsabilité de faire tomber des mosquées entre les mains des salafistes ?
- Djamal Ghoul. Conseil national indépendant des imams : Des cours, mieux que la suspension
Cette décision est en contradiction avec la réalité du terrain : on veut arrêter des imams sans avoir personne pour les remplacer. On sait tous que le secteur manque de budget et ne peut plus recruter. Le ministre devrait plutôt faire pression au sein du gouvernement pour que des fonds soient débloqués et que l’on puisse doter les mosquées de véritables imams, que l’on ne soit pas obligé de les laisser aux bénévoles. Ces imams salafistes devraient plutôt bénéficier de cours dans les conseils scientifiques.
Tunisie : 27 morts dans une attaque terroriste à Sousse
le 26.06.15 | 13h40
Vingt-sept personnes, dont des touristes étrangers, ont été tuées vendredi lorsqu'un homme armé a ouvert le feu dans un hôtel de Sousse, au sud de Tunis, a annoncé à l'AFP le ministère de l'Intérieur.
Le bilan est passé à "27 morts et parmi eux figurent des touristes", a déclaré le porte-parole du ministère, Mohamed Ali Aroui, sans pouvoir fournir de précision pour l'instant sur leur nationalité. "C'est une attaque terroriste contre l'hôtel (...) Marhaba à Sousse. L'assaillant a été abattu", avait-il auparavant déclaré à la télévision nationale.
M. Aroui n'a toutefois pas écarté l'existence d'un ou plusieurs autres assaillants. Un bilan précédent faisait état de 19 morts. La télévision nationale avait auparavant annoncé que des tirs avaient éclaté sur une plage devant un hôtel de la zone touristique de Sousse, à environ 140 km au sud de Tunis.
L'an dernier, un kamikaze s'était fait exploser sur une plage de Sousse, sans faire de victimes. Cette nouvelle attaque est survenue un peu plus de trois mois après l'attentat sanglant contre le musée du Bardo à Tunis revendiquée par le groupe jihadiste Etat islamique (EI). 21 touristes et un policier tunisien avaien péri dans cette attaque menée le 18 mars.
Après cet attentat, le secteur stratégique du tourisme a enregistré en avril de très mauvais résultats, avec un recul sur un an de 25,7% du nombre de touristes et de 26,3% des recettes touristiques en devises.
AFP
Le décret sur les transactions obligatoirement payables par chèque publié au JO
le 26.06.15 | 10h00
Un décret exécutif sur le seuil applicable aux paiements devant être effectués par les moyens de paiement scripturaux (chèques), à travers les circuits bancaires et financiers, a été publié au Journal officiel n°33, précisant que les dispositions de ce texte prennent effet à partir du 1er juillet 2015.
Le décret note que les moyens de paiement scripturaux sont tous les instruments qui permettent le transfert de fonds à travers les circuits bancaires et financiers, notamment le chèque, le virement, la carte de paiement, le prélèvement, la lettre de change, le billet à ordre et tout autre moyen de paiement scriptural prévu par la loi. Ainsi, pour l’achat de biens immobiliers, tout paiement égal ou supérieur à cinq millions de dinars doit être effectué par des moyens de paiement scripturaux à travers les circuits bancaires et financiers.
Ce seuil est fixé à un million de dinars pour l’achat de véhicules neufs, de matériels roulants neufs et d’équipements industriels neufs, de motocyclettes et de cyclomoteurs (soumis à immatriculation, auprès des concessionnaires automobiles ou autres distributeurs et revendeurs agréés), de yachts ou bateaux de plaisance, de biens de valeur auprès des marchands de pierres et métaux précieux, d’objets d’antiquité et d’oeuvres d’art ainsi que de meubles et effets mobiliers corporels aux enchères publiques.
Les dispositions du décret s’appliquent également aux opérations de paiements partiels d’une même dette volontairement fractionnée et dont le montant global est supérieur aux seuils fixés. Le décret stipule que les administrations publiques, les organismes publics, les entreprises gérant un service public ainsi que les opérateurs publics et privés sont tenus d’accepter les règlements des transactions, des factures et des dettes par les moyens de paiement scripturaux.
Signé le 16 juin en cours par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, le décret avise que le non-respect de ses dispositions entraîne l’application de l’article 31 de la loi n° 05-01 correspondant au 6 février 2005, modifiée et complétée, relative à la prévention et à la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.
APS
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