194-/-ACTUALITES du Mardi 14 juillet 2015
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JUILLET 2015
Mardi 14 juillet 2015
Mardi 14 Juillet 2015
الثلاثاء 14 جويلية 2015 م
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La chute des prix risque de se poursuivre Les perspectives du marché mondial du pétrole étant loin d’être rassurantes, le pays devra ainsi se préparer... |
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La chute des prix risque de se poursuivre
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Marché mondial du pétrole
La chute des prix risque de se poursuivre
le 14.07.15 | 10h00
Les perspectives du marché mondial du pétrole étant loin d’être rassurantes, le pays devra ainsi se préparer à se prémunir contre les nouvelles menaces qui seront induites par la chute des prix.
La zone euro souffle. La Grèce est finalement parvenue à un accord avec ses créanciers et ses partenaires de la zone euro sur un troisième plan d’aide. La nouvelle n’a pas pour autant permis un rebond sur le marché pétrolier. Plombé par la surabondance de l’offre, la perspective d’un rééquilibrage qui s’éloigne, un dollar qui se revigore et un possible accord sur le nucléaire iranien, les marchés du pétrole ont ouvert hier en baisse. Vers 13h10 GMT, le cours du baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en août cédait 47 cents à 52,27 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).
A Londres, le baril de brent de la mer du Nord pour livraison en août valait 57,71 dollars en milieu de journée, en baisse de 1,02 dollar par rapport à la clôture de vendredi. L’Iran et le groupe P5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Royaume-Uni et Allemagne) tentaient de finaliser un accord, encore hier, sur le dossier du programme nucléaire iranien. Un accord qui permettrait à l’Iran de doubler ses livraisons de pétrole sur le marché, ce qui ne ferait qu’alimenter la surabondance de l’offre qui alimente le marché.
L’Agence internationale de l’énergie a d’ailleurs estimé que dans un contexte de demande atone et de légère reprise des forages de schistes américains, la perspective d’un rééquilibrage du marché s’éloigne. Un avis que l’Organisation des pays exportateurs de pétrole ne partage guère. Dans son rapport mensuel publié hier, l’OPEP dit s’attendre à un rééquilibrage du marché l’an prochain.
Le pool pétrolier table ainsi sur demande mondiale de brut cette année, et sur une nouvelle accélération en 2016 grâce à un rebond de la croissance mondiale. Pour 2015, l’OPEP prévoit une hausse de la demande de 1,28 million de barils par jour (mbj), soit 100 000 de plus que dans sa précédente estimation.
Pour 2016, la hausse de la demande doit s’accélérer à 1,34 mbj l’an prochain, en raison d’un rebond de la croissance mondiale à 3,5%, après 3,2% cette année. Cependant, note l’OPEP, «la hausse cette année s’accompagne également d’une progression prévisible de la production, ce qui laisse le marché en situation de surproduction structurelle dans un contexte de prix modérés, avant un début de rééquilibrage l’an prochain». Le rapport note aussi que la demande de pétrole OPEP baissera de 0,1 mbj à 29,2 mbj cette année, alors que le quota de production OPEP est de 30 millions de barils/jour. Cependant, cette même demande devrait passer à 30,1 mbj en 2016.
Salah Khebri, ministre de l’énergie : «La convocation d’une réunion extraordinaire de l’OPEP est possible»
Le ministre de l’Energie, Salah Khebri, a, selon l’APS, indiqué, hier à Oran, la possibilité de convoquer une réunion extraordinaire de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP).
S’exprimant à la presse, en marge de sa visite dans la zone pétrochimique d’Arzew (Oran), le ministre a déclaré que «face à la situation que connaît le marché pétrolier, notamment la baisse des prix, nous allons, si nécessaire, convoquer une réunion extraordinaire de l’OPEP».
«Malgré la complication de la question des prix du pétrole, liée beaucoup plus aux conditions géopolitiques internationales et à l’augmentation de l’offre, il faut qu’on table sur un prix supérieur et chercher les moyens pour parvenir à un niveau satisfaisant», a ajouté M. Khebri, affirmant que l’Algérie «suit de près le marché pétrolier qui atteindrait le prix de 67 dollars le baril dès 2016», selon les prévisions des organisations internationales spécialisées dans ce domaine.
Dans le même sens, le ministre a expliqué l’impact de l’offre excédentaire sur les prix au marché pétrolier, déplorant le fait «qu’un consensus des pays membres de l’OPEP autour d’une éventuelle baisse de production ne regèlera pas essentiellement le problème de la chute des prix, du moment qu’il existe des producteurs non-membres à cette organisation qui pourront toujours augmenter leurs offres sur le marché international». R. E.
Roumadi Melissa
Ghardaïa : Des armes et… des bombes artisanales récupérées
le 14.07.15 | 10h00
Après la tragédie de la nuit de jeudi à vendredi derniers, le calme semble revenir à Ghardaïa, notamment à Guerrara, Berriane et au centre-ville, secoués par des actes de violence qui ont fait plus d’une vingtaine de morts et une centaine de blessés. La vallée du M’zab est désormais placée sous commandement militaire.
En termes clairs, c’est l’état-major du secteur militaire opérationnel de Ghardaïa qui coordonne, sous le commandement du chef de la 4e Région militaire, le général-major Cherif Abderrazak, «toutes les actions menées conjointement par les forces de police et de la Gendarmerie nationale, qui ont été renforcées en moyens humains et matériels», expliquent des sources proches de la police. Ce dispositif, ajoute-ton, a permis l’arrestation de 30 personnes, placées dimanche dernier sous mandat de dépôt. «Ces mis en cause sont soupçonnés d’avoir pris part aux attroupements armés et de détention d’armes à feu», révèlent nos interlocuteurs.
Selon eux, «l’arsenal récupéré est constitué de fusils de chasse, de fusils à pompe mais aussi de fusils de fabrication artisanale, avec des canons assez larges pour provoquer d’importants dégâts. Les bombes saisies dans les sous-sols de certaines maisons sont elles aussi fabriquées localement avec de la poudre mélangée à des boulons, des écrous, des clous et toute sorte de produits métalliques, pour faire le plus de victimes sur une distance assez grande, par rapport au lieu de l’explosion».
Les enquêtes se poursuivent toujours, selon nos sources, précisant que des équipes de la police scientifique ainsi que de la Gendarmerie nationale ont été dépêchées sur place pour expertiser les armes saisies et remonter aux auteurs d’homicide. «Nous agissons dans une région qui a ses spécificités. Lors des perquisitions, nous faisons tout pour éviter de toucher aux susceptibilités des uns et des autres. Dans ces régions, la majorité des maisons ont des sous-sols qui peuvent être utilisés comme des caches ou des atelier de fabrication d’armes. Nous en avons découvert certains, mais il faut du temps et la compréhension de tous pour pouvoir passer au peigne fin tous les quartiers qui ont connu des affrontements armés. Il y a aussi cette forêt, qu’est la palmeraie, sur laquelle on a entendu beaucoup de choses.
De nombreuses descentes y ont été effectuées, mais le résultat est très maigre. Il faudra du temps mais aussi des investigations poussées pour aller vers des points précis.» Les résultats de ces opérations, nous dit-on, prouvent qu’il y a eu une préparation. «Nous ne sommes plus dans une situation de maintien ou de rétablissement de l’ordre public, mais plutôt dans une situation de confrontation armée, pour ne pas dire de guerre. Que peuvent faire des gendarmes ou des policiers armés de matraques au milieu de deux communautés qui se livrent bataille à coups d’armes à feu ?
Il fallait passer à une autre étape et mettre en place un dispositif à la hauteur de la gravité de la situation. Il fallait non seulement renforcer les troupes, mais aussi mettre à leur disposition les moyens militaires adéquats», révèlent nos sources. Pour elles, le conflit entre malékites et ibadites ne date pas d’aujourd’hui. Cela fait plus de 40 ans, disent-elles, que les deux communautés se confrontent et parfois à la suite d’une simple dispute entre deux enfants. «Mais cela ne les a pas empêchées de cohabiter. Jamais le conflit n’a atteint ce degré de violence.
Des facteurs exogènes se sont greffés, comme par exemple le trafic de drogue, le terrorisme, la contrebande, dont le terreau est l’insécurité, mais aussi, les idéologies extrémistes, véhiculées aussi bien par les salafistes que par certains courants rigoristes de l’une des trois écoles ibadites qui a pignon sur rue à la vallée du M’zab. A ces éléments, s’ajoutent d’autres facteurs, comme le recours aux réseaux sociaux, souvent pour attiser la violence et la haine entre les deux communautés. Le terrain est devenu favorable aux ingérence et manipulation étrangère.
Il faudra trouver les solutions adéquates à cette crise et éviter qu’elle déborde, ou qu’elle soit utilisée pour frapper la cohésion du pays. Aujourd’hui, il y a une réalité toute nouvelle. Les jeunes se démarquent davantage des institutions organisationnelles de la société mozabite. Ils sont de plus en plus nombreux à ne pas respecter l’autorité spirituelle, religieuse et sociétale. Il faudra peut-être revoir nos méthodes de communication et faire en sorte qu’elle ne se limite pas uniquement aux notables, mais soit plutôt élargie aux autres composantes de la société», soulignent nos sources.
Elles estiment que les dernières mesures «peuvent constituer une sortie de crise», parce qu’elles concernent le volet sécuritaire, mais également social. «Les mesures sécuritaires sont importantes pour une période, mais elles ne peuvent constituer la solution, qui doit être multisectorielle. Le président de la République l’a compris. Dans le dernier communiqué, il est fait état de la mise en place d’un programme d’urgence de développement pour la région. Cela est très important.
La situation de violence a poussé de nombreux opérateurs économiques à quitter Ghardaïa. Les projets sont à l’arrêt. Le marché du travail a chuté considérablement. Une fois l’ordre rétabli, il faudra encourager l’investissement dans cette wilaya qui a trop souffert. Cette mission incombe en premier lieu aux politiques», notent nos sources. Pour l’instant, affirment-elles, «les mesures sécuritaires commencent à porter leurs fruits.
Les arrestations parmi les fauteurs de troubles ont permis le retour au calme. Nos équipes de la police scientifique travaillent sans relâche pour identifier les auteurs des tirs ayant causé mort d’homme. Ce n’est pas facile. L’information est difficile à avoir. Il reste beaucoup à faire. Nous ne pensons pas avoir tout récupéré. La fabrication de cet armement n’est pas fortuite. Cela veut dire qu’il y a eu préparation et donc préméditation».
Dans quel objectif ? La réponse est difficile à obtenir, déclarent nos sources. «Il est certain qu’un événement a dû précipiter le passage à l’acte, qui n’était pas à l’ordre du jour, du moins, pour cette période. A ce stade de l’enquête, nous n’avons toujours pas de réponse. Cependant, il est certain que les perquisitions ciblées effectuées ont donné des résultats. L’enquête se poursuit, il n’est pas exclu que d’autres caches d’armes puissent être découvertes. Cela va prendre du temps, mais surtout nécessitera la collaboration de la population. Il y a une prise de conscience sur la gravité des faits et la confiance commence à être rétablie.»
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Concours de caricatures pour «venger» Le Prophète à Aïn Beïda (Oum El Bouaghi)
le 14.07.15 | 10h00
Une mosquée fait le procès de Charlie Hebdo Le ministère de tutelle se retrouve avec une nouvelle affaire, qui risque de connaître des dérapages.
Le département de Mohamed Aïssa a du pain sur la planche. En dépit des assurances du ministre des Affaires religieuses qui minimisait la «radicalisation» de certains imams et la surveillance des lieux de culte par l’Etat, ainsi qu’il l’avait mentionné récemment, des dérives touchant à l’image de l’islam sont malheureusement légion. Avec plus de 17 000 mosquées (chiffre avancé par l’ex-ministre des Affaires religieuses, Bouabdallalh Ghlamallah) répartis à travers le territoire national, l’Etat ne peut visiblement pas avoir l’œil sur tout ce qui émane de ces lieux de prière et de recueillement.
Mohamed Aïssa a-t-il eu vent du concours de caricatures visant à «venger et rendre justice» au prophète Mohamed (que le salut soit sur lui) organisé par une mosquée située à Aïn Beida, commune de la wilaya d’Oum El Bouaghi ? Rien n’est moins sûr. En effet, la mosquée Aïcha Oum El Mouminine de cette localité a lancé un concours de la meilleure caricature, sur fond de campagne publicitaire, conviant les Algériens à transmettre leurs œuvres, soit directement à la mosquée soit par email, afin de rendre justice au prophète, comme réponse aux dessins jugés «inacceptables et blessants», publiés en janvier dernier par Charlie Hebdo, journal hebdomadaire satirique français et peu avant dans la presse danoise.
Le concours, ouvert à tous, a duré un mois et a pris fin le 5 juillet 2015 et les résultats devaient être communiqués aux participants, hier, veille du 27ème jour du Ramadhan. Une date hautement symbolique puisque elle correspond à la nuit au cours de laquelle le Coran a été révélé au prophète. Des sommes d’argent ont été promises aux auteurs des cinq meilleures caricatures, oscillant entre 100 000 DA et 20 000 DA. De plus, les organisateurs du concours envisagent de publier les caricatures retenues dans la presse.
Cela dit, il est clair que ces caricatures pro-Mohamed pourraient facilement virer en une campagne hostile aux deux autres religions monothéistes comme ce fut le cas lors d’un concours organisé en Iran. Car, comme il est interdit de reproduire le prophète, les caricatures s’orienteraient aisément vers un procès du judaïsme et du christianisme. Tout cela reflète la poussée inquiétante du radicalisme et son corollaire l’intégrisme.
Lors de son passage au début de ce mois sacré au Forum de Liberté, Mohamed Aïssa a évoqué «une forte pression exercée sur les imams en Algérie» et s’est engagé à sanctionner «tout égarement et toute radicalisation» constatée dans l’exercice d’un imam avant l’expiration de son autorisation. A partir de là, une question s’impose: comment le département de Mohamed Aïssa jugera-t-il cette initiative de la mosquée Aïcha Oum El Mouminine ? Faut-il rajouter de l’huile sur le feu ou plutôt éclairer les esprits phagocytés par les obscurantistes, surtout en ce mois du Ramadhan, celui de la purification spirituelle? N’est-ce pas une parfaite illustration de l’antithèse de la tolérance prônée par l’Islam ?
Lydia Rahmani
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Mardi 14 Juillet 2015
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