198-/-Jeudi 17 Juillet 2014
Jeudi 17 Juillet 2014
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Vu à la télé : Le rire qui fait mal
Forte influence des milieux d’affaires : L’argent à l’assaut du pouvoir politique
le 16.07.14 | 10h00
Argent et pouvoir, rapport parfois conflictuel, jamais discutable. La résurgence des scandales politico-financiers au sein des grandes démocraties occidentales nous rappelle d’ailleurs, à chaque fois, la promiscuité entre milieux d’affaires et centres de décision politiques. La série de scandales qui a ébranlé l’un des plus importants partis de France illustre cet état de fait. Serait-ce néanmoins une spécificité des systèmes politiques assis sur l’économie de marché ? Quand il s’agit d’argent, tout le monde a la même religion, disait Voltaire.
L’Algérie ne peut en aucun cas échapper à un phénomène qui a de tout temps fait partie de la dynamique de pouvoir. Il fut un temps où les rapports entre argent et politique étaient marqués par le sceau du secret, transitant par des réseaux souterrains et informels, dont l’opinion n’avait vent que par d’intermittentes rumeurs. 2014 a toutefois marqué un tournant en la matière. Les soutiens financiers du clan présidentiel sont sortis de leur traditionnelle réserve pour s’afficher et opérer un coup de force dans l’organisation patronale la plus importante du pays. Levée de fonds obligatoire, motion de soutien au président-candidat et pressions étaient d’ailleurs le lot des membres du Forum des chefs d’entreprises, à la veille de l’élection présidentielle d’avril.
De ces soutiens, un homme se démarquera comme étant le chef de file des pro-Bouteflika au sein du patronat algérien : Ali Haddad, dont la proximité avec le frère du président de la République est passée de supposée à certaine. Chef de file d’un bataillon de businessmen dont la survie ne dépend que du bon vouloir du système. Symptôme d’une cohorte de rentiers versant dans la cooptation avec zèle ou reflet de l’inquiétude de ceux-ci à voir arriver la fin d’un système qui leur permet un enrichissement sans limite ? Les explications diffèrent.
Si certains hommes d’affaires que nous avons contactés ont refusé de répondre à nos questions sur le sujet, à l’image de Ali Haddad ou encore Réda Hamiani, nombreux sont les observateurs du milieu des affaires algérien qui n’ont pas hésité à commenter la situation. Nos interlocuteurs s’accordent ainsi à dire que les soutiens financiers du clan au pouvoir partagent un seul et même profil. Celui des produits finis, soit des prête-noms pour toutes les transactions dans lesquelles il serait hasardeux pour un décideur de s’impliquer directement.
Pouvoir informel
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Rupture du jeûne avec les policiers
Immersion dans des barrages de police durant l’iftar
le 17.07.14 | 10h00
La DGSN est l’une des plus imposantes institutions du pays. Une organisation tentaculaire. Tant d’hommes qui remplissent les rues quotidiennement mais qui demeurent si difficiles d’approche.
Soyons clairs, dès le départ, dans ce reportage, il ne sera pas question d’arrestations sensationnelles ou de filatures intrépides, il ne sera pas question non plus d’immersion palpitante dans un Alger pseudo-chaotique. A priori, c’est une histoire ordinaire, la rupture du jeûne dans un barrage de police, pour en savoir un peu plus sur ces hommes en bleu souvent inaccessibles. Rencontres.
Vendredi 13, à 19h. ramadhan 1435 : Barrages de police d’ouled ouchayeh
Les visages ne sont pas crispés, malgré l’inéluctable fatigue d’une fin de journée de travail dans les conditions ramadhanesques. Une ambiance plutôt décontractée règne. A 1 heure 30 de la relève et à 1 heure 13 de la rupture du jeûne, le lieutenant Mouhfid, 42 ans, supervise aujourd’hui 66 barrages de police établis sur Alger. Il arbore une mine sereine, un sourire contagieux et une disponibilité sans faille, ce sera notre hôte pour ce reportage. «Le citoyen, est au centre de notre préoccupation, notre méthode passe par la prévention, la sanction dans le cadre de la loi et le dernier recours», rassure le lieutenant Mouhfid. Il se dirige vers Achraf, le chef du barrage, qui lui fait son rapport : «RAS» - «Tout va bien ?» - «Oui, chef, rien à signaler.» - «On vous a apporté le f’tour ?» - «Oui, chef, ils viennent de le déposer.» - «Les rations sont complètes et chaudes, tout va bien, donc ?» - «Oui, chef, tout va bien, rien à signaler !» - «Pouvons-nous contrôler ?» - «Oui, chef, bien sûr !» C’est dans le fourgon de police garé en amont du barrage que se trouve le précieux f’tour. Un plateau-repas composé de boulettes de viande, une salade, une chorba, du riz, une banane, du pain et une bouteille d’eau, tout ça conditionné par un traiteur. Le f’tour contrôlé, l’action continue. Le lieutenant propose de se rendre à un autre barrage : «nous allons voir le barrage de Aïn Naadja, c’est un grand point de contrôle». Vous l’aurez compris, l’immersion est rigoureusement téléguidée.
Un tour dans le 4X4 de la police nationale
Dans les quartiers, on l’appelle lem’wechma (la tatouée) en référence aux insignes sur la tôle des 4x4 de la police, de leur couleur bleue qui rappelle les tatouages faits en prison. A bord, les hublots proposent une autre vision de la ville, une fascinante sensation de supériorité se propage dans le véhicule, les routes s’ouvrent, les automobilistes cèdent le passage. «Parfois, ils le forcent, ils créent le désordre sur leur passage» lance une automobiliste rencontrée à quelques mètres du barrage d’El Mouradia, quelques heures plus tôt. Une automobiliste pressée et pas très conciliante avec les forces de l’ordre.
Pourtant, face à des embouteillages interminable
Vendredi 13, à 20h 13. Ramadhan 1435 : Rupture du jeûne au barrage 5 juillet
Déshydratations et hypoglycémie font du jeûne de Ramadhan l’une des raisons principales de nervosité aussi bien chez les citoyens qu’au sein de la police. Derrière leurs uniformes, les hommes en bleu n’échappent pas aux lois de la nature, ni aux joies de l’iftar. Une ambiance bonne enfant plane dans la khaïma, le policier sert le citoyen attablé. Couverts, eau, pain, rien ne manque. Quelques citoyens de passage dégustent. Le travail du policier continue, allant inlassablement dans le sens des besoins d’un citoyen en quête de considération légitime d’une police désormais à son service. Et si, et si seulement ce moment pouvait s’extrapoler et s’étendre au-delà d’une campagne ramadhanesque !
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L'ONM prévoit des températures de 40° à 43 ° à partir de vendredi
le 17.07.14 | 16h43
L'Office national de météorologie (ONM) prévoit "une hausse sensible" des températures maximales à partir de vendredi pouvant atteindre 40° dans les régions côtières du centre et dépasser les 43° dans les régions intérieures de l'ouest.
"Une hausse sensible des températures maximales pouvant atteindre 40° est prévue dans les régions du centre notamment dans les wilayas d'Alger, de Blida, de Tipasa, de Médéa et de Tizi-Ouzou", a indiqué jeudi à l'APS la chargée de la communication à l'ONM, Houaria Benretka.
Les régions intérieures de l'ouest du pays à l'instar de Chlef, Relizane, Mascara et Sidi Bel Abbes connaîtront une hausse sensible des températures pouvant dépasser les 43°.
Les villes de l'est du pays enregistreront à partir de samedi prochain des températures pouvant dépasser les 40° notamment au niveau des wilayas d'Annaba, de Skikda, de Mila, de Constantine, de Souk Ahras et de Tébessa.
Les températures observeront une légère baisse dans les régions de l'ouest et du centre du pays, à partir de dimanche prochain, pour atteindre la normale saisonnière à partir de lundi prochain dans les régions de l'est.
Le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière avait appelé mercredi, dans un communiqué, la population la plus vulnérable à prendre les précautions nécessaires permettant d'éviter la forte canicule annoncée.
Le ministère avait relevé, à cet effet, l'importance de la fermeture des volets et des rideaux des façades des logements exposées au soleil, du maintien des fenêtres fermées tant que la température extérieure est supérieure à la température intérieure et de boire suffisamment, et ce, tout en évitant les boissons très sucrées ou à forte teneur en caféine.
Il a également recommandé d'éviter de sortir aux heures les plus chaudes, de prendre dans la mesure du possible plusieurs douches par jour et d'éviter les activités extérieures (sports, jardinage...).
APS
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Maître Laïd Sabeg. Avocat. Vice-Président de la ligue algérienne des droits de l’Homme
«La loi algérienne protège les non-jeûneurs»
le 17.07.14 | 10h00
-La non-observance du jeûne relance, à chaque Ramadhan, le débat sur la liberté de croyance en Algérie. Celle-ci est garantie par la Constitution, pourtant la menace d’arrestations plane, chaque année. Quel état des lieux en faites-vous?
L’Islam est religion d’Etat en Algérie mais la liberté de culte est spécifiée dans la loi algérienne et la Constitution préserve la liberté de croyance. La Constitution algérienne, en son article 36, prévoit que la liberté de conscience et d’opinion sont inviolables. C’est dans la pratique de la loi que des problèmes se posent. Dans la réalité du terrain, on constate que cette liberté n’est pas toujours préservée, en témoignent d’ailleurs de nombreuses affaires d’arrestations de non-jeûneurs ayant eu lieu ces dernières années, en Kabylie, à Oum El Bouaghi, à Blida et dans plusieurs autres régions du pays.
A chaque Ramadhan, cette question se pose effectivement. L’ordonnance n° 06-03 du 29 Moharram 1427 correspondant au 28 février 2006 et fixant les conditions et règles d’exercice des cultes autres que musulman est à l’origine de ces affaires. Dans son article 2, cette ordonnance explique que «L’Etat algérien dont la religion est l’islam garantit le libre exercice du culte dans le cadre du respect des dispositions de la Constitution, de la présente ordonnance, des lois et règlements en vigueur, de l’ordre public, des bonnes moeurs et des droits et libertés fondamentaux des tiers.» C’est dans cette ordonnance que se pose la question du trouble à l’ordre public et des bonnes mœurs.
-Que prévoit exactement la loi concernant la non-observance du jeûne et pourquoi est-elle considérée comme un trouble à l’ordre public ?
Il n’existe aucun texte juridique concernant la non-observance du jeûne mais la justice algérienne applique maladroitement l’article 144 bis du code pénal. L’article 144 bis 2 stipule qu’est puni d’emprisonnement quiconque offense le Prophète et les envoyés de Dieu, ou dénigre le dogme ou les préceptes de l’islam. Il y a confusion entre ordre moral et ordre public. Juridiquement, l’article 144 bis 2 ne peut pas être appliqué à des cas de non-jeûneurs. Puisque cela impliquerait que toute personne qui ne fait pas la prière et qui se promènerait dans la rue un vendredi durant salate el djoumou3a (ndlr : prière du vendredi) peut tomber sous le coup de cette loi. Cela a, d’ailleurs, été l’un de mes arguments de défense lors du procès du non-jeûneur d’Oum El Bouaghi en 2010. Il n’y a pas d’offense à l’islam dans le fait de ne pas observer le jeûne.
Manger publiquement durant Ramadhan peut être considéré comme un trouble à l’ordre moral de la société mais, en aucun cas, un trouble à l’ordre public ou une atteinte au Prophète ou une offense à l’un des préceptes de l’islam. Aucun texte de loi ne réprime l’atteinte à l’ordre moral. Cette confusion entre ordre moral et ordre public découle de l’ordonnance de 2006. La police n’a pas le droit d’arrêter les non-jeûneurs qui mangent dans la rue. L’application de l’article 144 bis est en contradiction avec l’article 1 du code pénal algérien qui stipule qu’«il n’y a pas d’infraction, ni de peine ou de mesure de sûreté sans loi». J’irai plus loin. L’application de cet article contre les non-jeûneurs est contraire à la logique islamique qui est faite de tolérance. Seul Dieu peut juger d’une telle offense, en témoigne ce hadith qudsi (ndlr : paroles du Prophète Mohamed) où il est clairement dit : «Koulou amaline li beni adam, illa syam, fahoua li wa ana adjzi bihi (Je suis seul juge du jeûne, et je suis le seul à récompenser)». Les versets 182, 183 et 184 de la sourate el Baqara témoignent également de la tolérance du Coran. Ces seuls principes, au-delà de ce que prévoit la loi algérienne qui protège en théorie la liberté de culte, suffisent pour ne pas traquer, arrêter et punir les non-jeûneurs.
-L’Algérie a ratifié des conventions internationales qui sont en contradiction avec ces pratiques (arrestations de non-jeûneurs, etc.). Est-ce normal ?
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الخميس 17 جويلية 2014 م
الخميس 19 رمضان 1435 ه
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DIPLOMATIE - Elle ne durera que cinq heures, ce jeudi...
Un répit de courte durée. Le Hamas a annoncé jeudi avoir donné son accord à un cessez-le-feu temporaire demandé par l'Onu pour des raisons humanitaires. «Le groupe donne son accord à un cessez-le-feu de cinq heures» commençant jeudi à 10H00 (9h00 en France), a déclaré le porte-parole du Hamas, Sami Abu Zukhri dans un communiqué.
>>Revivez les événements de mercredi
Plus tôt, l'armée israélienne avait déclaré qu'elle avait accepté une demande des Nations unies d'arrêt de ses attaques sur la bande de Gaza, qu'un responsable de l'ONU a qualifié de «pause humanitaire». Mais elle a prévenu que si le mouvement islamiste palestinien «Hamas ou d'autres organisations terroristes exploitent cette fenêtre humanitaire», elle y «répondrait fermement».
L'annonce d'Israël intervient après une nouvelle journée sanglante, l'armée bombardant massivement Gaza et le Hamas tirant des dizaines de roquettes sur le territoire israélien, au lendemain de l'échec d'un cessez-le-feu proposé par l'Egypte, accepté par l'Etat hébreu mais rejeté par le mouvement palestinien.
Au moins 25 Palestiniens dont huit enfants ont été tués mercredi, selon les secours palestiniens. Quatre des enfants ont péri dans un bombardement qui a détruit une cahute de pêcheurs sur une plage de la ville de Gaza, près du port, où se trouvait un groupe d'enfants, tout près d'un hôtel utilisé par les journalistes.
Israël ouvre une enquête
L'armée israélienne a indiqué enquêter «consciencieusement» sur l'incident «tragique» tout en notant que «selon les résultats préliminaires, les cibles de la frappe étaient du Hamas, une organisation considérée comme «terroriste» par Israël, Washington et l'Union européenne.
Au total 222 Palestiniens ont été tués et plus de 1.600 blessés, en neuf jours d'offensive, selon un dernier bilan des services d'urgences palestiniens. Côté israélien, un civil de 37 ans a été tué par un tir de roquette près de la frontière de Gaza. Selon Israël, plus d'un millier de roquettes ont atteint son sol en neuf jours et plus de 250 ont été détruites par le système de défense Iron Dome.
Médiation égyptienne
Pour tenter de trouver un compromis afin de mettre fin au bain de sang, de nouvelles négociations entre Palestiniens et Egyptiens, les médiateurs traditionnels, ont eu lieu au Caire.
Le numéro deux du Hamas, Moussa Abou Marzouk, a réclamé des modifications à la première mouture de l'initiative égyptienne que le mouvement avait rejetée mardi, a précisé à l'AFP Azzam al-Ahmed, un responsable du Fatah du président Mahmoud Abbas.
Il souhaite notamment que la proposition de trêve inclut l'ouverture des points de passage entre Israël et Gaza et la libération de dizaines de Palestiniens. Abbas devait lui aussi rencontrer les dirigeants égyptiens, alors que le secrétaire d'Etat américain John Kerry a indiqué que son pays «fait tout» pour arracher un accord de cessez-le-feu.
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AFFAIRE DU TRAFIC DANS LES EXAMENS DE PASSAGE DE GRADE
Pendante devant la Cour suprême depuis quatre années, l’affaire de l’ex-directeur de l’Ecole supérieure de police de Châteauneuf sera de nouveau rejugée. La décision a été prise par les magistrats de la cour criminelle, près la Cour suprême qui ont donné une suite favorable au pourvoi de cassation de la défense, en renvoyant l’affaire de Suite... |
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