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199-/-ACTUALITES DU Dimanche 19 JUILLET 2015
Dimanche 19 Juillet 2015
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19 JUILLET 2015
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الأحد 19 جويلية 2015 م
19 juillet 2015
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Mercredi 1 Juillet 2015
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BOUDJEMAÂ TALAÏ, MINISTRE DES TRANSPORTS, AU SOIR D’ALGÉRIE : Propos recueillis par Salah Benreguia |
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Coup dur pour l'armée à Aïn Defla Le terrorisme a encore frappé. Dans la nuit de vendredi à samedi, un convoi de l’Armée nationale populaire (ANP) a... |
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Dans l’avion d’Air Algérie qui les amène d’Alger à Montréal, on peut reconnaître quelques-uns...
L'embuscade met à nu la stratégie de l'ANP
L’attaque terroriste a eu lieu avant-hier en plein Aïd dans la wilaya de Aïn Defla, dans la commune de Aïn Lechiakh. Un convoi...
Les bas revenus seront touchés
Le nouveau mode de calcul du Salaire national minimum garanti (SNMG) entre en vigueur, avec effet rétroactif à partir de janvier 2015.
Attentat de Ain Defla : Le MDN annonce neuf morts et deux blessés
Neuf (9) soldats ont été tués et deux autres blessés, vendredi soir par un groupe terroriste à Souk El Attaf...
Actualité
Attentat de Ain Defla : Le MDN annonce neuf morts et deux blessés
Neuf (9) soldats ont été tués et deux autres blessés, vendredi soir par un groupe terroriste à Souk El Attaf...
L'embuscade met à nu la stratégie de l'ANP
L’attaque terroriste a eu lieu avant-hier en plein Aïd dans la wilaya de Aïn Defla, dans la commune de Aïn Lechiakh. Un convoi...
Coup dur pour l'armée à Aïn Defla
Le terrorisme a encore frappé. Dans la nuit de vendredi à samedi, un convoi de l’Armée nationale populaire (ANP) a...
Immigration au Canada : Le québec attire toujours les algériens
Dans l’avion d’Air Algérie qui les amène d’Alger à Montréal, on peut reconnaître quelques-uns...
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Culture
L'ultime sacrifice du commandant Abdou
Rosala Pizzi, qui a survécu à la tragédie du crash de l’avion-cargo, habite le quartier de Besurica.
Mohamed S. Mazouzi et Kateb Yacine
Par Djilali Khellas
11 soldats tués dans une attaque terroriste
Coup dur pour l’armée à Aïn Defla
le 19.07.15 | 10h00 Réagissez
Le terrorisme a encore frappé. Dans la nuit de vendredi à samedi, un convoi de l’Armée nationale populaire (ANP) a été la cible d’une attaque terroriste meurtrière dans la wilaya de Aïn Defla.
En effet, un convoi de militaires est tombé dans une embuscade sanglante dans la commune de Djendel, située à une cinquantaine de kilomètres au nord du chef-lieu de wilaya. Selon des sources, le convoi de l’armée a été ciblé par un important groupe armé dans un guet-apens au lieudit Kerouche, une région fortement boisée et escarpée, située à cheval sur les wilayas de Médéa et Aïn Defla, souligne une source bien informée.
L’attaque a fait au moins 11 morts parmi les militaires, ont précisé nos sources. L’attaque s’est produite, selon toujours les mêmes sources, vers 23h, au moment où les troupes de l’ANP, engagées dans une opération de ratissage dans les maquis des communes de Djendel, El Hachania et Amrouna, connues pour être le fief des groupes armés au début des années noires, s’apprêtaient à regagner leur caserne située dans la localité de Tarik Ibn Ziad, sur les hauteurs de la wilaya de Aïn Defla.
Arrivés au lieudit Kerouche, les militaires ont été surpris par les feux nourris des terroristes embusqués aux abords de la route. Les échanges de tirs à l’arme automatique ont duré plusieurs minutes, précisent encore nos sources. Les sanguinaires ont réussi à prendre la fuite et plusieurs unités de l’armée ont été mobilisées dans le cadre d’une vaste opération de ratissage.
Notons qu’à l’heure où nous mettons sous presse, aucune source officielle n’a confirmé l’information relayée sur des sites électroniques. Cette attaque sanglante contre les militaires intervient deux jours après que l’organisation terroriste Daech ait diffusé un message vidéo promettant «une guerre inextinguible à l’Algérie».
Les groupes terroristes se replient à Aïn Defla
Depuis plusieurs mois, l’armée a intensifié ses opérations de ratissage visant surtout à nettoyer les maquis des wilayas du centre du pays. Ces opérations se sont soldées, rappelons-le, par l’élimination de plusieurs éléments armés. Dans un récent bilan du ministère de la Défense nationale, une soixantaine de terroristes ont été mis hors d’état de nuire uniquement dans les wilayas du Centre. Dans la wilaya de Bouira, 25 terroristes avaient été abattus le 19 mai dernier dans la région de Boukrem, sur les hauteurs de Lakhdaria.
Parmi eux figuraient des chefs terroristes dont celui de Jund El Khilafah, qui a prêté allégeance à l’organisation Etat islamique, responsable de l’assassinat du touriste français Hervé Gourdel, survenu en septembre dernier au cœur du massif du Djurdjura. La menace terroriste persiste. Il y a deux mois, un groupe terroriste avait fait allégeance à l’organisation terroriste Etat islamique dans la wilaya de Skikda.
L’embuscade met à nu la stratégie de l’ANP
L’attaque terroriste a eu lieu avant-hier en plein Aïd dans la wilaya de Aïn Defla, dans la commune de Aïn Lechiakh. Un convoi militaire est tombé dans une embuscade meurtrière dans cette région fortement boisée et escarpée qui se situe à cheval sur les wilayas de Médéa, Aïn Defla et Aïn Témouchent.
Selon nos informations, une opération de ratissage avait lieu dans la région depuis plus d’un mois, elle avait permis l’élimination de plusieurs terroristes. La veille de l’Aïd, trois soldats avaient été tués pendant l’opération de recherche, leurs cadavres avaient été piégés et disposés par les terroristes sur un chemin.
C’est l’opération de recherche et de récupération des corps qui a fait le plus de victimes dans les rangs des militaires, car la section, menée par Houssem M., un jeune lieutenant de 27 ans originaire de Khenchela, a été accueillie par un déluge de tirs.
Quelle que soit la raison, cette énième embuscade marque un double échec des autorités. Civil d’abord, avec cette stratégie du mensonge continu, entretenu depuis l’entrée en vigueur de la grâce amnistiante et qui voudrait que le terrorisme en Algérie soit résiduel et localisé en Kabylie et dans le Grand Sud. Militaire ensuite, qui se traduit par l’incapacité de l’état-major de l’ANP à placer le soldat au centre de ses préoccupations.
Le dixième importateur d’armes au monde, l’armée la plus moderne d’Afrique, l’une des meilleures armées arabes, l’ANP ne semble accorder aucune attention à ses soldats. Elle est aujourd’hui la seule armée au monde qui ne transporte pas ses troupes dans des engins blindés en zone d’opération.
Une des dernières armées modernes à encore utiliser des armes des années 1950 dépourvues de viseurs, de vision nocturne et dont la précision est très approximative. C’est l’une des dernières armées modernes à garder un système de santé de campagne assez archaïque.
Alors que dans les institutions militaires spécialisées, les soldats eux-mêmes sont formés et équipés pour prendre en charge et stabiliser les blessés par balles ou par explosifs et les médecins de campagne sont là pour procéder sur place à une chirurgie primaire avant l’évacuation, l’ANP continue d’adopter le schéma classique, un médecin pour une compagnie, un infirmier par section et un brancardier, une ambulance en attente à la lisière de la forêt pour l’évacuation vers un hôpital civil ou militaire.
Les centaines de millions de dollars investis dans la construction d’hôpitaux militaires dernier cri ne profitent pas toujours aux soldats blessés sur le terrain, faute de stabilisation et d’évacuation dans les normes.
Le retard accusé dans le renouvellement de la flotte d’hélicoptères d’attaque, qui avait grandement participé à la lutte antiterroriste à la fin des années 1990 et au début des années 2000, pénalise grandement le travail des services de sécurité sur le terrain.
En l’absence d’une couverture aérienne efficace, les soldats, déjà mal équipés et peu protégés, sont surexposés, ce qui donne un avantage décisif aux terroristes, lesquels connaissent le terrain et profitent de l’effet de surprise.
L’armée algérienne, qui fait face à des challenges venant de l’extérieur du pays, doit absolument revoir ses priorités et garder en tête que sa principale mission est la protection de tous les Algériens, y compris les appelés du contingent et les militaires de carrière, le prestige réel étant l’efficacité des hommes et non l’amoncellement d’équipements importés à coups de pétrodollars. Akram Kharief
Amar Fedjkhi
L’embuscade met à nu la stratégie de l’ANP
le 19.07.15 | 10h00
L’attaque terroriste a eu lieu avant-hier en plein Aïd dans la wilaya de Aïn Defla, dans la commune de Aïn Lechiakh. Un convoi militaire est tombé dans une embuscade meurtrière dans cette région fortement boisée et escarpée qui se situe à cheval sur les wilayas de Médéa, Aïn Defla et Aïn Témouchent.
Selon nos informations, une opération de ratissage avait lieu dans la région depuis plus d’un mois, elle avait permis l’élimination de plusieurs terroristes. La veille de l’Aïd, trois soldats avaient été tués pendant l’opération de recherche, leurs cadavres avaient été piégés et disposés par les terroristes sur un chemin. C’est l’opération de recherche et de récupération des corps qui a fait le plus de victimes dans les rangs des militaires, car la section, menée par Houssem M., un jeune lieutenant de 27 ans originaire de Khenchela, a été accueillie par un déluge de tirs.
Quelle que soit la raison, cette énième embuscade marque un double échec des autorités. Civil d’abord, avec cette stratégie du mensonge continu, entretenu depuis l’entrée en vigueur de la grâce amnistiante et qui voudrait que le terrorisme en Algérie soit résiduel et localisé en Kabylie et dans le Grand Sud. Militaire ensuite, qui se traduit par l’incapacité de l’état-major de l’ANP à placer le soldat au centre de ses préoccupations. Le dixième importateur d’armes au monde, l’armée la plus moderne d’Afrique, l’une des meilleures armées arabes, l’ANP ne semble accorder aucune attention à ses soldats. Elle est aujourd’hui la seule armée au monde qui ne transporte pas ses troupes dans des engins blindés en zone d’opération.
Une des dernières armées modernes à encore utiliser des armes des années 1950 dépourvues de viseurs, de vision nocturne et dont la précision est très approximative. C’est l’une des dernières armées modernes à garder un système de santé de campagne assez archaïque. Alors que dans les institutions militaires spécialisées, les soldats eux-mêmes sont formés et équipés pour prendre en charge et stabiliser les blessés par balles ou par explosifs et les médecins de campagne sont là pour procéder sur place à une chirurgie primaire avant l’évacuation, l’ANP continue d’adopter le schéma classique, un médecin pour une compagnie, un infirmier par section et un brancardier, une ambulance en attente à la lisière de la forêt pour l’évacuation vers un hôpital civil ou militaire.
Les centaines de millions de dollars investis dans la construction d’hôpitaux militaires dernier cri ne profitent pas toujours aux soldats blessés sur le terrain, faute de stabilisation et d’évacuation dans les normes. Le retard accusé dans le renouvellement de la flotte d’hélicoptères d’attaque, qui avait grandement participé à la lutte antiterroriste à la fin des années 1990 et au début des années 2000, pénalise grandement le travail des services de sécurité sur le terrain.
En l’absence d’une couverture aérienne efficace, les soldats, déjà mal équipés et peu protégés, sont surexposés, ce qui donne un avantage décisif aux terroristes, lesquels connaissent le terrain et profitent de l’effet de surprise. L’armée algérienne, qui fait face à des challenges venant de l’extérieur du pays, doit absolument revoir ses priorités et garder en tête que sa principale mission est la protection de tous les Algériens, y compris les appelés du contingent et les militaires de carrière, le prestige réel étant l’efficacité des hommes et non l’amoncellement d’équipements importés à coups de pétrodollars.
Akram Kharief
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Entrée en vigueur de l’article 87 bis réaménagé
Les bas revenus seront touchés
le 19.07.15 | 10h00
Le nouveau mode de calcul du Salaire national minimum garanti (SNMG) entre en vigueur, avec effet rétroactif à partir de janvier 2015.
Attendue depuis janvier 2015, l’entrée en vigueur de la définition des éléments constitutifs du Salaire minimum garanti est officielle depuis deux jours. Un nouveau décret complétant celui de février 2015 a été publié, jeudi dernier, au Journal officiel n°37 et précise que le réaménagement du SNMG sera exécutoire avec effet rétroactif depuis janvier 2015. Ainsi, le nouveau SNMG comprendra «le salaire de base, les indemnités et primes de toute nature, à l’exclusion de celles se rapportant aux remboursements de frais engagés par le travailleur, à l’expérience professionnelle ou toute indemnité rémunérant l’ancienneté».
Donc, les nouvelles primes seront ajoutées dans le calcul du salaire brut imposable. Le SNMG inclura par ailleurs «l’organisation du travail concernant le travail posté, le service permanent et les heures supplémentaires, les conditions d’isolement, le rendement, l’intéressement ou la participation aux résultats ayant un caractère individuel ou collectif».
Le SNMG comprenait, pour rappel, avec les dispositions de l’article 87 bis, avant cette révision, «le salaire de base, les primes et les indemnités, quelle que soit leur nature, à l’exception des indemnités versées pour payer les dépenses assumées par le travailleur». Ce réajustement salarial induira une augmentation certaine des bas salaires, comme affirmé par le Premier ministre lors de l’ouverture des travaux de la dernière tripartite.
Cette revalorisation salariale, annoncée il y a quelques mois et qui prendra effet dès aujourd’hui, est devenue possible avec la décision d’abrogation de l’article 87 bis du code du travail imposé au milieu des années 1990 par le Fonds monétaire international. Si l’on se réfère à d’anciennes déclarations des responsables de l’UGTA, pas moins de 3 millions de salariés seront touchés par cette révision. Les salariés du secteur public n’atteignant pas les 18 000 DA par mois, sans compter les primes, seront les premiers servis.
La hausse des salaires des travailleurs sera progressive et touchera donc en premier lieu les travailleurs défavorisés pour passer, dans une deuxième étape, à d’autres catégories sociales «pour ne pas impacter négativement le budget de fonctionnement de l’Etat et l’économie nationale», avait encore souligné M. Sellal. Des questions demeurent posées sur la nature et la date de la hausse devant toucher les salariés de plus 18 000 DA.
L’augmentation des salariés de moins de 18 000 DA induira inévitablement un tassement des catégories salariales, ce qui impliquera une révision générale des salaires. La situation financière actuelle, marquée par une chute importante des prix du pétrole engendrant une baisse de 50% des revenus, risque-t-elle de retarder la généralisation de cette révision salariale ?
L’annonce consignée au Journal officiel a de quoi contenter de nombreux salariés à très bas niveau de rémunération, mais elle ne dit pas tout sur le calcul des salaires de tous les travailleurs. Des négociations entre partenaires sociaux, patronat et gouvernement seront encore à l’ordre du jour afin de définir, pour chaque catégorie de salaire et chaque secteur privé ou public, la nature de l’application du nouveau SNMG.
Nadjia Bouaricha
De Camus à Dahmane El Harrachi
«Pour les initiés, la grandeur d’Alger, sa douceur c’est la plage des Sablettes»
le 16.07.15 | 10h00
Auteur et journaliste au Monde, Macha Séry évoque dans son livre Albert Camus à 20, Premiers combats, les journées passées par Albert Camus sur la plage des Sablettes. «Albert a son maillot de bain et un roman à lire. Envie de fraîcheur, aspiration à la langueur.
Le soleil blanchit et trouble l’horizon. La mer effrange le sable d’écume et lèche les corps d’une langue salée. Sur les jours, les gouttelettes d’eau succèdent à la sueur». A Alger, on dit «se taper un bain», écrit l’auteure, qui n’ignore pas que les romans de Camus (1913-1960) sont marqués par la passion du soleil et de la mer, mot qui était l’un des dix préférés de l’auteur belcourtois (Carnets, 1935 - 1959).
Accompagné de ses copains de jeu, le jeune Camus quitte sa maison de la rue de Lyon (Belouizdad) et traverse les rails des Ateliers à grandes enjambées. Une fois sur la plage, il se précipita vers la grande bleue. «Il se dévêtit, descendit quelques rochers et entra dans la mer. Elle était chaude comme un corps, fuyait le long de son bras, et se collait à ses jambes d’une étreinte insaisissable et toujours présente.
Lui nageait régulièrement et sentait les muscles de son dos rythmer son mouvement», écrit l’auteur lui-même dans un roman de jeunesse, La mort heureuse, paru à titre posthume (1971). Cette partie de la baie d’Alger était le domaine des pauvres Européens, mais aussi des «yawled» (mot dédaigneux des Européens pour apostropher les enfants loqueteux algériens). Le site des Sablettes s’est dégradé quelques années après l’indépendance du pays. L’installation de plusieurs usines au port tout proche a pollué gravement la plage, faisant fuir ses nombreux habitués vers d’autres plages.
L’endroit a fini par disparaître de l’imaginaire de l’Algérois, qui préfère faire bronzette dans d’autres plages de la côte ouest de la capitale. Les seules images d’époque de la plage des Sablettes sont celles montrées par le téléfilm Saha Dahmane (Salut Dahmane), du réalisateur Salim Ben El Qadi, où le chanteur chaâbi Dahmane El Harrach(1926-1980) a interprété son propre rôle quelques mois avant sa mort funeste à Aïn Benian.
Ayant lui-même vécu à Belcourt à la rue Maret, comme son «voisin» Camus, Dahmane El Harrachi, de son vrai nom Abderrahmane Amrani, a chanté la mer, mais contrairement à l’auteur de l’absurde, l’interprète au banjo a parlé du départ et de la souffrance. Kamel El Harrachi a repris une chanson de son illustre paternel Ila tebghi, où, nostalgique patenté, il évoque les heures heureuses passées en bord de mer.
Depuis ces années de l’insouciance sous le parti unique, cette partie du littoral algérois s’est transformée en lieu où ne s’aventurent que quelques pêcheurs à la ligne et des indécrottables adeptes de la marche à pied.
Ce décor rebutant devra changer à la faveur des travaux de réaménagement que l’administration de la wilaya a décidé de lancer. L’ancien wali d’Alger, Mohamed Kebbir Addou, a eu le mérite de donner le premier coup de pioche à ce projet inscrit dans le cadre du plan dit stratégique de la capitale (2019-2029). Les travaux confiés à Meditram avancent bon an, mal an. Ils devront être réceptionnés en 2016.
Nadir Iddir
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