215-/-actualites du Mercredi 05 Août 2015
Mercredi 05 Août 2015
الأربعاء 19 شوال 1436 ه
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L'info en continu
18 chefs d'inculpation à Ghardaïa : Le M'zab, la crise et les boucs émissaires Condamnés par le Premier ministre puis par le chef du RND avant la justice. Avant même d’être arrêtés. |
107 assassinats en deux mois : D'abominables crimes commis par des proches
Entre le 1er juin et le 31 juillet, plus d’une centaine de personnes ont été tuées par des membres de leur propre famille.
Situation désastreuse de la santé : Les premières mesures d'urgence
Gaïd Salah promet d'assainir le pays du terrorisme
Nouvel marque de reconnaissance du vice-ministre de la Défense nationale, chef d’état-major de l’ANP, au peuple algérien.
La CLTD compte reprendre ses actions à la prochaine rentrée
Préparer des actions en prévision de la prochaine rentrée politique et sociale.» C’est la principale décision des...
Actualité
18 chefs d'inculpation à Ghardaïa : Le M'zab, la crise et les boucs émissaires
Condamnés par le Premier ministre puis par le chef du RND avant la justice. Avant même d’être arrêtés. Situation désastreuse de la santé : Les premières mesures d'urgence
Ce qui va changer dans les hôpitaux
Gaïd Salah promet d'assainir le pays du terrorisme
Nouvel marque de reconnaissance du vice-ministre de la Défense nationale, chef d’état-major de l’ANP, au peuple algérien.
Sports
Ligues 1 et 2 : Plusieurs stades non homologués
La Ligue de football professionnel (LFP) a publié, hier, sur son site internet, un nouveau programme de passage des commissions de wilaya... 13e Championnat arabe de volley-ball : (U19) Les Verts à Rabat
Sport d'exhibition : Le championnat de freestyle reporté
Economie
Selon les chiffres de British Petroleum : Hausse de 12% de la consommation interne en gaz
L’accélération de la croissance de la demande interne en produits énergétiques est en passe de poser de réels... Filière avicole : Une feuille de route pour appuyer les éleveurs
Pétrole : Le marché sous pression
Le marché pétrolier est toujours maussade suite à la dégringolade des prix qui sont repassés, hier, sous la barre des...
International
Les Occidentaux appellent Ankara à une «réponse appropriée»
La «guerre contre le terrorisme» menée par la Turquie depuis le 24 juillet simultanément contre le Parti des travailleurs du... Après des attaques contre l'armée : le président malien annule sa visite en Egypte
Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta, qui devait se rendre hier en Egypte, a annulé son déplacement pour «raisons... La Russie revendique officiellement plus d'un million de kilomètres carrés
La Russie a officiellement soumis hier aux Nations unies une revendication portant sur plus d’un million de kilomètres carrés dans...
Culture
Rush des vacanciers sur Jijel : cap sur la corniche
Telle une femme séduisante, la corniche jijelienne est décrite comme naturellement splendide. A Jijel, Dame nature a tout donné. Ne... Birmanie : Angelina Jolie prend la défense des victimes de violences sexuelles
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257 véhicules Mercedes-Benz sortis de l’usine de Tiaret
le 05.08.15 | 18h37 Réagissez
110 véhicules Mercedes-Benz livrés à la DGSN.
La Société algérienne de fabrication des véhicules (Safav) a produit 275 véhicules tout-terrain de marque Mercedes-Benz, depuis l’inauguration de son usine basée à Bouchakif (Tiaret) en octobre 2014, selon un communiqué du ministère de la Défense.
Un lot de 110 véhicules 4x4 a été livré, aujourd’hui mercredi, à la Direction général de la sûreté nationale (DGSN), a annoncé le MDN.
L’usine prévoit une production annuelle de 2000 véhicules 4X4 et 6.000 véhicules de type "Sprinter".
SAFAV est une société mixte créée en 2012. L’Etat algérien détient 51 % de son capital, dont 34 % pour l’Etablissement de développement de l’industrie des véhicules (EDIV) de l'armée et 17 % pour la SNVI. Le reste du capital, soit 49 %, est détenu par le fonds émirati Aabar.
Elwatan.com
Ce qui va changer dans les hôpitaux
le 05.08.15 | 10h00 Réagissez
Amélioration de la signalisation à l’extérieur et à l’intérieur des établissements ; aménagement d’espaces verts et ouverture d’espaces d’animation dédiés aux enfants hospitalisés ; création de bureaux d’accueil et d’orientation ; ouverture de registres de doléances ; port de la tenue réglementaire et du badge d’identification ; organisation des horaires de visite aux malades ; aménagement des espaces de parking ; amélioration de la restauration, de l’hébergement et des conditions de séjour des malades et de leurs accompagnateurs, ainsi que des conditions d’hospitalisation au niveau des services des urgences.
Dans les services de garde, il y aura une présence effective des équipes médicales, la réhabilitation de la majorité des services des urgences au niveau national, le renforcement matériel et humain des unités des urgences, la tenue régulière des réunions des comités des urgences, la réception et la mise en fonctionnement de dix nouveaux services d’urgences médico-chirurgicales, la disponibilité permanente des médicaments, l’amélioration des conditions de travail et de restauration des équipes de garde notamment, le renforcement de celles-ci en agents de sécurité, l’installation de systèmes de surveillance dans ces unités.
Pour ce qui est du renforcement de la santé de proximité, il est prévu la réalisation de 437 polycliniques, la réception de 28 autres, l’élargissement des horaires de travail dans ces centres, l’ouverture de nouveaux points de garde, la dotation des polycliniques en moyens d’exploration radiologique et de laboratoires.
Dans le secteur privé, il est décidé de mettre fin à toutes les dérives et à l’anarchie en intensifiant les opérations de contrôle et à œuvrer à l’intégration définitive de ce secteur dans le réseau de soins et de la carte
sanitaire.
Salima Tlemçani /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
La Turquie face aux djihadistes et aux kurdes
Les Occidentaux appellent Ankara à une «réponse appropriée»
le 05.08.15 | 10h00 Réagissez
La «guerre contre le terrorisme» menée par la Turquie depuis le 24 juillet simultanément contre le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) et l’Etat islamique (EI) dans le nord de la Syrie inquiète ses alliés occidentaux. D’autant que les raids ont visé en très grande majorité la rébellion kurde.
Ainsi, l’Union européenne (UE) et les Etats-Unis ont appelé hier la Turquie à adopter une «réponse appropriée» dans ses attaques aériennes contre la rébellion kurde du PKK, rapporte l’AFP, citant un communiqué de Bruxelles et le département d’Etat américain.
Dans le communiqué de Bruxelles, le commissaire européen à l’Elargissement, Johannes Hahn, s’est dit «très préoccupé» par l’escalade de la violence. «L’UE reconnaît que la Turquie a le droit de se prémunir et de réagir à toute forme de terrorisme, qui doit être condamné sans ambiguïté», a déclaré J. Hahn dans un communiqué publié, après un entretien avec le ministre turc chargé des Affaires européennes, Volkan Bozkir.
Et de poursuivre : «La réponse doit toutefois être proportionnée, ciblée et elle ne doit en aucun cas mettre en danger le dialogue politique démocratique dans le pays.» De son côté, Washington, par la voix du porte-parole du département d’Etat, Mark Toner, va dans le même sens. «Nous voulons que le PKK renonce à la violence et reprenne les discussions avant le gouvernement turc (...) et nous voulons voir ce dernier répondre de manière proportionnée aux attaques», a-t-il déclaré.
L’attentat survenu le 20 juillet à Suruç (sud), qui a fait 32 morts parmi de jeunes militants kurdes, a déclenché un cycle de représailles entre la guérilla et l’armée turque, celle-ci étant accusée de ne pas avoir protégé la population locale. La guérilla a rompu un cessez-le-feu unilatéral datant de 2013 et le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a mis fin au processus de paix.
Les opérations de sabotage contre des objectifs économiques se multiplient en Turquie, parallèlement aux attaques de la guérilla contre les forces de l’ordre. Hier, une explosion a endommagé un gazoduc entre l’Azerbaïdjan et l’est de la Turquie et l’acheminement de gaz a dû être suspendu.
Sur le plan politique, la situation semble toujours bloquée en Turquie, qui attend la formation d’un gouvernement de coalition depuis les élections du 7 juin ayant privé le parti AKP de R. T. Erdogan de la majorité absolue au Parlement. Des discussions entre l’AKP et le parti social-démocrate CHP se poursuivent, mais sans succès, d’où l’hypothèse de la convocation de législatives anticipées par le président turc.
Rattrapée par le conflit syrien
Avec l’attentat de Suruç, la Turquie est rattrapée par le conflit en Syrie, qui se déroule depuis plus de quatre ans à ses frontières. Le président Erdogan dénonce une «attaque terroriste» et Ankara évoque un attentat-suicide qu’il attribue à l’EI. Suivent des manifestations pour dénoncer la politique syrienne d’Erdogan, accusé de complicité avec les djihadistes. Le 22 juillet, le PKK a revendiqué le meurtre de deux policiers retrouvés morts à leur domicile de Ceylanpinar (sud-est), présentant son opération comme une «action punitive». Et le jour suivant, des djihadistes ont ouvert le feu à partir de la Syrie sur un poste frontière de l’armée turque dans la région de Kilis, tuant un sous-officier.
Des chars turcs tirent aussitôt sur des positions tenues en Syrie par l’EI. Le 24 du même mois, l’aviation turque lance des frappes sur des positions djihadistes en Syrie. En parallèle est déclenchée par les autorités d’Ankara une vague d’arrestations visant des rebelles du PKK, des membres présumés de l’EI et des militants d’extrême gauche.
Quelque 1300 personnes ont été arrêtées depuis. Dans la soirée, premières frappes turques contre des positions militaires du PKK en Irak. «Les conditions de maintien du cessez-le-feu ont été rompues», a déclaré le lendemain la branche armée du PKK. A la fin juillet, Erdogan a indiqué «impossible» la poursuite du processus de paix avec les Kurdes tant que les rebelles du PKK continuent à procéder à des attaques meurtrières contre policiers et militaires. L’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) assure son allié turc de sa «forte solidarité face au terrorisme».
Et Ankara donne aux Américains l’autorisation d’utiliser la base aérienne d’Incirlik (sud) afin de mener des frappes en Syrie contre l’EI. De son côté, le 1er août, le président de la région autonome du Kurdistan irakien, Massoud Barzani, qui entretient de bonnes relations avec le pouvoir turc qui convoite son pétrole, demande au PKK de partir «pour que les civils ne deviennent pas des victimes de cette guerre». L’agence gouvernementale Anatolie affirme que 260 combattants du PKK ont été tués dans les raids de l’aviation turque. Selon des sources kurdes, ces raids auraient aussi tué une dizaine de civils, accusations démenties par l’armée.
Dimanche dernier, une attaque suicide au tracteur piégé contre une gendarmerie a fait au moins deux morts côté turc. Elle est revendiquée par le PKK, qui fait état «de dizaines de soldats tués». Lundi, le président Erdogan a indiqué que son pays «conduira des opérations militaires tant qu’elle le jugera nécessaire».
Le Parlement turc a autorisé, le 2 octobre 2014, une intervention militaire en Syrie et en Irak, mais les forces turques positionnées à la frontière face à la ville frontière syrienne au nord, Kobane, brillent par leur inertie.
La Turquie a accueilli avec méfiance la création en 2013 d’une administration autonome par le Parti de l’union démocratique kurde (PUD) dans trois cantons du nord-est de la Syrie abandonnés par Damas. Elle exige des Kurdes syriens, qui lui réclament l’ouverture d’un couloir entre Kobane et la Turquie pour y faire transiter des armes, qu’ils renoncent à cette autonomie. L’immobilisme des autorités turques face à la situation à Kobane suscite la colère des Kurdes de Turquie, qui ont manifesté par milliers à travers le pays.
Le président Erdogan a posé une série de conditions très strictes à une éventuelle opération militaire, notamment la création d’une zone tampon doublée d’une zone d’exclusion aérienne dans le nord de la Syrie. Aussi, il a rappelé que l’objectif essentiel de toute intervention doit être la chute du président syrien Bachar Al Assad.
Comme il a qualifié de «terroriste» le principal parti kurde de Syrie (PYD), à la pointe du combat contre l’EI, au même titre que le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) qui mène depuis 1984 la guérilla sur le sol turc. Ankara a essayé de prouver sa bonne volonté en autorisant 160 Peshmergas irakiens, envoyés par le PDK, à franchir la frontière turque pour rejoindre Kobane.
Mais le PYD souhaite conserver le commandement des opérations. La ville de Kobane est contrôlée par le PYD, branche syrienne du PKK. Le gouvernement syrien a accepté de retirer ses troupes de cette région et de déléguer son contrôle au PYD, en échange de sa loyauté à Damas. Ce faisant, il a contribué à la consolidation de la filiale syrienne du PKK, qui a acquis un statut d’acteur politique de première importance dans la région. Pour le gouvernement turc, l’implantation de ce groupe en Syrie comporte le risque sur le long terme d’une remilitarisation du PKK.
Arroseur arrosé, Ankara se retrouve aujourd’hui en guerre face à l’EI, longtemps toléré et la rébellion kurde alors que la chute du régime de Damas tant souhaitée est loin d’être acquise.
Amnay idir
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