222-/-actualites du Mercredi 12 Août 2015
Mercredi 12 Août 2015
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L'info en continu
Le marché pétrolier selon la Banque mondiale : L'Iran va précipiter la chute des prix Le cours du baril de référence brent pourrait perdre environ 20%, par rapport à son niveau actuel, en 2016. |
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Économie informelle : L’opération de mise en conformité fiscale lancée
le 11.08.15 | 10h00
L’administration fiscale informe ses usagers et le public qu’un programme de conformité fiscale volontaire est mis en place à compter du 2 août 2015», indique la DGI dans une note publiée sur son site web, appelant les personnes concernées à se rapprocher des agences bancaires pour s’informer des modalités de mise en œuvre de ce programme.
En fait, l’article 43 de la LFC 2015 note qu’est institué un «programme de conformité fiscale volontaire», précisant que «les sommes déposées, dans ce cadre, auprès des banques, par toute personne, quelle que soit sa situation, font l’objet d’une taxation forfaitaire libératoire au taux de 7%»,. «Les sources de ces fonds ou les transactions qui en sont l’origine doivent être légitimes et ne correspondre à aucun acte incriminé par le code pénal et la législation régissant la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme», précise le même article.
La même disposition de la LFC 2015 fixe au 31 décembre 2016 la date limite de mise en œuvre de ce dispositif. «A l’issue de cette période, les personnes disposant de fonds éligibles à ce programme et n’y ayant pas souscrit, feront l’objet de redressements dans les conditions de droit commun avec l’application des pénalités et sanctions prévues en la matière», ajoute la LFC. L’article 43 ajoute que les modalités d’application de ces dispositions sont précisées par voie réglementaire.
Commentant ce dispositif d’assainissement de l’économie informelle, le ministre des Finances, Abderrahmane Benkhalfa, avait indiqué, dans un entretien accordé récemment à l’APS, qu’il s’agit d’intégrer les fonds informels dans la sphère bancaire et d’en faire profiter l’économie nationale. «A partir du 15 août, les banques vont commencer à recevoir ces fonds qui vont être progressivement intégrés dans la sphère économique», a assuré le ministre, indiquant que le gouvernement comptait sur l’inclusion de ces fonds pour diversifier ses sources de financement extrabudgétaires.
Soulignant que cette mesure allait engendrer un double impact positif pour ces détenteurs de capitaux et pour l’économie nationale, le premier argentier du pays a estimé que l’Etat devrait optimiser ces ressources et moins gaspiller celles déjà existantes. Selon le ministre des Finances, «en 2018, nous allons sortir d’une économie moins diversifiée à une économie diversifiée, et faire en sorte que les acteurs de la sphère réelle soient des acteurs qui travaillent en toute sécurité. Ils ne doivent pas cacher leur argent mais doivent en faire profiter l’économie du pays».
APS
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Le marché pétrolier selon la Banque mondiale : L’Iran va précipiter la chute des prix
le 12.08.15 | 10h00
Le cours du baril de référence brent pourrait perdre environ 20%, par rapport à son niveau actuel, en 2016.
C’est ce qui ressort d’un rapport publié, lundi dernier, par la Banque mondiale (BM) qui revient sur les récents développements survenus sur la scène internationale, à savoir la levée des sanctions liées au programme nucléaire de l’Iran.
Selon la BM, le retour plein et entier de l’Iran sur le marché du pétrole, dès la levée effective des sanctions occidentales, aura «une incidence considérable sur le marché mondial du pétrole, l’économie iranienne et les partenaires commerciaux du pays».
Concrètement, l’institution prévoit que ce retour aura pour effet, à terme, «d’accroître d’environ un million de barils la production journalière de pétrole, réduisant l’an prochain de 10 dollars le prix du baril».
Selon le bulletin trimestriel d’information économique des services Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA) de la Banque mondiale, intitulé Répercussions économiques de la levée des sanctions envers l’Iran, «l’accroissement de la capacité d’exportation de pétrole de l’Iran permettra au pays d’accélérer son redressement économique».
En revanche, d’après le même rapport, «les bénéfices et recettes d’exportation d’autres pays exportateurs de pétrole de la région MENA, tels que les Etats du Golfe et la Libye, vont diminuer» tandis que «les pays importateurs de pétrole de la région, tels que l’Egypte et la Tunisie, bénéficieront d’une baisse des prix sur les marchés mondiaux».
Jusqu’à présent, du fait des sanctions occidentales en vigueur depuis plusieurs années, Téhéran ne pouvait pas accueillir sur son sol des compagnies pétrolières américaines ou européennes ni exporter son or noir aux Etats-Unis ou à destination du vieux continent.
Mais, à en croire l’économiste en chef à la BM pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord, Shanta Devarajan, «il faut s’attendre à ce que la levée des sanctions stimule les exportations et relance l’économie» de la même façon que «le renforcement des sanctions en 2012 s’était traduit par une forte baisse des exportations iraniennes de pétrole et deux années de croissance négative».
L’Iran verra le coût de ses échanges commerciaux baisser, ce qui aura pour effet d’augmenter tant le volume que la valeur de ses échanges pétroliers et non pétroliers. Selon le rapport de la Banque, les exportations iraniennes finiront par augmenter d’environ 17 milliards de dollars, soit approximativement 3,5% du PIB.
La Grande-Bretagne, la Chine, l’Inde, la Turquie et l’Arabie Saoudite comptent parmi les pays qui enregistreront probablement la plus forte hausse de leurs échanges commerciaux avec l’Iran de la période post-sanctions. Mais, selon les prévisions de la BM, c’est surtout à partir de 2016 que l’Iran pourra véritablement exporter son pétrole aux Etats-Unis et en Europe.
L’on s’attend alors à une plus grande abondance d’or noir sur le marché, déjà déprimé par une baisse de la demande. Un déséquilibre croissant entre offre et demande devrait logiquement se traduire par une importante chute des cours.
Lyes Malk
Un séisme de magnitude 3,6 à Sétif
le 12.08.15 | 18h29
L'épicentre de la secousse a été localisé à 11 km au nord-ouest Des Babor, a précisé le Craag.
Une secousse tellurique d'une magnitude de 3,6 sur l'échelle ouverte de Richter a été enregistrée mercredi à 13h21 (heure locale) dans la wilaya de Sétif, a indiqué le Centre de recherche en astronomie astrophysique et géophysique (CRAAG).
L'épicentre de la secousse a été localisé à 11 km au nord-ouest Des Babor, a précisé la même source.
APS
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Des projets ne verront jamais le jour : Ces promesses que le gouvernement ne tient guère
le 12.08.15 | 10h00
Ligne maritime de transport de voyageurs, TGV et, plus récemment, un métro aérien : le gouvernement multiplie des promesses aussi fantaisistes qu’invraisemblables pour tenter de «gagner» le cœur des Algériens.
Le dernier chapitre de ce feuilleton qui ressemble à un conte de fées a été écrit, lundi, par le ministre des Transports. Boudjema Talai, surfant sur un populisme devenu un sport de prédilection chez les membres du gouvernement, a annoncé qu’un projet de métro aérien est à l’étude. Mieux, le nouveau membre du gouvernement a laissé entendre que les Algérois pourront bientôt emprunter ce moyen de transport aussi confortable qu’attirant.
Pourtant, le ministre ne peut ignorer que le gouvernement auquel il appartient est dans l’impossibilité de concrétiser les innombrables projets en cours.
Pis, à coups de notes et de circulaires, le Premier ministre demande, de manière pressante, à ses ministres de surseoir à «tous les projets non engagés». Et le métro aérien n’existe que dans les tiroirs de la société publique Cosider. Cette dernière a même pris le soin de préciser que le projet est juste une étude qui doit être laissée à l’appréciation des responsables politiques.
Avant Boudjema Talai, Amar Ghoul s’était avéré être un champion dans le domaine des promesses fantaisistes. Après avoir promis, en grande pompe, des navettes entre les principales villes côtières, l’ancien ministre des Transports s’était permis de promettre un pont aérien entre l’Algérie et le Brésil pour permettre aux supporters de l’équipe nationale d’aller assister aux rencontres de football lors de la dernière Coupe du monde. Fanfaronnade. Les propos du ministre ont vite été démentis par les responsables de la compagnie Air Algérie, qui ont précisé qu’une telle entreprise relève de la chimère.
TGV et bus à profusion
Les prouesses de Amar Ghoul en matière de promesses impossibles ne s’arrêtent pas là. En 2014, il annonçait, contre toute logique, l’étude de réalisation de deux lignes de train à grande vitesse (TGV). L’annonce en a surpris plus d’un, surtout que tous les autres responsables n’ont évoqué, jusque-là, que la construction de lignes ferroviaires au niveau des Hauts Plateaux et dans le sud du pays. Ces trains, dont certains circulent déjà, atteignent une vitesse maximale de 220 km/heure. Très loin de la vitesse du TGV – plutôt annoncé du côté marocain – dont les trains peuvent circuler à plus de 400 km à l’heure.
Dès la nomination de Abdelmalek Sellal en tant que Premier ministre, en septembre 2012, le ministre de l’Environnement d’alors, Amara Benyounès, lançait un défi : «Nous allons nettoyer l’Algérie.» En quelques jours, tout ce que possédait l’Algérie en termes de moyens est mis à contribution. Pelles, bulldozers et autres camions sont réquisitionnés.
Des associations engagent des bénévoles pour faire de l’Algérie «un paradis». Des tonnes de déchets sont ramassées. Mais au bout de quelques jours, l’Algérie retombe dans ses travers et le pays redevient sale. Les déchets s’amoncellent partout et les opérations de nettoiement se sont avérées conjoncturelles.
A la même période, l’ancien ministre de l’Intérieur lance une vaste opération de chasse aux vendeurs à la sauvette. Des places sont «expurgées» des petits trabendistes qui, impressionnés par un déploiement massif des forces de l’ordre, manifestent leur mécontentement. Cela a plutôt payé. Et les «étals» des petits marchands ambulants ont repris leur place habituelle, jetant un vrai discrédit à tout ce qu’entreprend l’Etat.
Ces frasques n’ont d’égales que les esbroufes de l’ancien ministre de la Solidarité. A force de promettre des bus partout où il passait, Djamel Oul Abbès a été affublé, au sein même de son parti politique, du sobriquet «M. Bus». Une caricature qui orne toujours les murs du gouvernement algérien.
Ali Boukhlef
الأربعاء 19 شوال 1436 ه
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