226-/-actualites du Dimanche 16 Août 2015
|
|
|
|
|
|
|
|
UN UNE DES |
+++
|
|
|
UN AN APRÈS LE LANCEMENT DE L’OPÉRATION Un an après le lancement de l'opération LPP, l'Entreprise nationale de logement promotionnel (ENPI), a récolté 42 000 inscriptions. Elle a promis les pré-affectations pour décembre prochain, mais on commence à semer le doute sur les capacités de l'ENPI à livrer les logements dans Suite... |
||||||||||||||||||||||||||
Consulter toute l'édition d'aujourd'hui
+++++++++++++++++++
|
|
|
|
|
ACTUALITÉ : LES AUTRES ARTICLES
Rahmani Abdelmalek. Coordinateur du Conseil national des enseignants du supérieur (CNES) : «Nos universités ne répondent pas aux critères de ces classements» Réagissez
Préparation de la campagne hadj 2015 : Les défaillants seront sanctionnés Réagissez
Feux de forêt : Enquête de la gendarmerie Réagissez
Mesures de Abdelmalek Boudiaf : Deux syndicats de la santé dénoncent Réagissez
Le groupe terroriste cherchait à rejoindre la frontière tunisienne : : Un terroriste blessé et un autre capturé à Skikda Réagissez
Traversée funeste de la méditerranée : 40 autres morts près des côtes libyennes Réagissez
Un nombre facilement absorbé par l’UE, estime l’OIM : Un quart de million de migrants arrivés en Europe Réagissez
Grèce : Des gardes- côtes tentent de faire couler un canotRéagissez
Arcelormittal Pipes and Tubes (AMPTA): Le syndicat appelle à un regroupement, la DG menace Réagissez
Première journée de Ligue 1 : Le MOB et le CSC créent la surprise
Scènes de violence à Bologhine : Le pire est à craindre
Ligue des champions d’Europe : Trois Algériens en lice
ASO : Bon début des Lions du Cheliff
Supercoupe d’Espagne (aller) : Rude retour sur terre pour le Barça
Musée et académie olympiques : Démarrage des travaux en septembre
ECONOMIE
Viande bovine Algérienne : Bolloré veut s’impliquer dans la filière
Yassine Benadda. Economiste : «L’heure est clairement aux solutions de rupture»
Hydrocarbures : Le gisement de Bir Sebaa entre en production
Conformité des produits industriels: L'Algérie s'inspire de l'expérience européenne
Excès d’offre sur le marché pétrolier : L’Irak et l’Arabie Saoudite mis en cause
Commerce extérieur : Baisse des prix à l’importation
INTERNATIONAL
Situation en libye L’EI a «décapité» : 12 personnes à Syrte
Yémen : Les forces progouvernementales confortent leur emprise sur le Sud
Syrie : Pilonnage de villes après la rupture du cessez-le-feu
USA : Un policier se vante de sa «prime Michael Brown»
Brèves
En bref…
CULTURE
Bouira : On devient «foot» contre le manque de loisirs
Candidature d’Oran aux Jeux Méditerranéens de 2021 : «Y a d’la joie» avec Zahouania, Khaled…
Festival international de danses populaires de Sidi Bel Abbès : Hissé au statut académique
El Khroub : Tlemcen et Béjaïa, «sœurs jumelles» de la ville
Festival culturel local de la chanson kabyle de Béjaïa : Massa Bouchafa en forme !
La pièce hadda ya hadda présentée au théâtre de Constantine : un hommage à la grande Beggar Hadda
|
|
Universités algériennes
Loin des normes internationales
le 16.08.15 | 10h00
Les universités algériennes ne répondent toujours pas aux normes universelles.
Le dernier classement annuel de Shanghai, relatif aux universités dans le monde, ne mentionne aucun établissement algérien dans la liste des 500 meilleures universités, contrairement à des pays comme l’Arabie Saoudite et l’Egypte qui y figurent.
Le classement de Academic ranking of world universities rendu public hier place dans le top 20 des universités américaines et britanniques. Le premier établissement européen en dehors du Royaume-Uni est suisse et se place à la 20e position. Sur le plan continental, seules trois établissements sud-africains figurent dans cette liste des 500 meilleures universités.
Plus étrange, la première université française arrive à la 36e place, bien loin des établissements anglo-saxons. Quatre universités saoudiennes et deux égyptiennes côtoient les mastodontes de l’enseignement supérieur dans le monde.
Au regard des critères que s’impose cette institution, il est très peu probable de trouver une université algérienne dans ce classement.
Ces institutions universitaires sont classées selon six critères : le nombre de prix Nobel et de médailles Fields obtenues par les anciens élèves et par les chercheurs ; le nombre de chercheurs les plus cités dans leur discipline ; le nombre d’articles publiés dans des revues scientifiques telles que Nature et Science ; le nombre d’articles indexés dans Science Citation Index et Arts & Humanities Citation Index.
Il prend enfin en compte la «performance académique» calculée en fonction de la taille de l’université. Ces critères font l’objet de sévères critiques de la part de plusieurs spécialistes, notamment des Français. Ces derniers considèrent que le classement ne prend pas en compte le système français qui s’appuie sur la coopération interuniversitaire.
Le classement de Shangai ne reflète pourtant pas d’anciennes classifications. En janvier dernier, l’organisme Webometrics avait cité plusieurs facultés algériennes dans le top 2000 des universités dans le monde. Le premier établissement algérien cité est celui de Sidi Bel Abbès à la 1781e place, suivi de celui de Ouargla qui a aussi fait ses preuves et a décroché la 1798e et, enfin, de Constantine 1 et Tlemcen.
Ce classement a fait réagir, pour la première fois, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique qui avait crié victoire.
Dans un classement réservé aux 100 meilleures universités d’Afrique du Nord, une trentaine d’établissements algériens ont trouvé leur place.
Ces classements peu reluisants des universités algériennes sont justifiés par les responsables par l’incohérence des critères choisis par l’institution chinoise.
Ainsi, en dehors de certains grands pays, il est impossible de trouver des chercheurs ayant obtenu des prix Nobel. Pis, les publications les plus prestigieuses sont souvent effectuées en anglais et relativement en français et en espagnol, les langues qui dominent la recherche dans le monde.
Pour d’autres institutions de classement, le nombre de doctorants et de chercheurs ainsi que la qualité des publications scientifiques sont des critères déterminants. Ce que les universitaires algériens ne réussissent toujours pas. Il faut dire que dans d’autres classements régionaux, les universités algériennes trouvent de plus en plus de place. Il faut cependant se demander si ces classements sont fiables.
Ali Boukhlef
|
Première journée de Ligue 1 : Le MOB et le CSC créent la surprise
le 16.08.15 | 10h00
La première journée du championnat de Ligue 1 a connu deux grosses surprises avec les victoires extra muros du MO Béjaïa à Blida face au RC Arbaâ sur le score de 2 à 0 et celle du CSC à Tizi Ouzou face à la JSK.
Les Béjaouis ont mis à profit le remaniement opéré au sein de la composante des Bleus de la Mitidja pour planter deux jolis buts et prendre provisoirement la tête du classement grâce à une meilleure différence de buts.
Les Crabes, qui n’avaient gagné aucun match amical en préparation, ont donc bien débuté la saison. Contrairement au RCA qui a besoin de temps pour permettre au jeune entraîneur Dziri de trouver l’équilibre entre les trois compartiments.
Tout comme les Sanafir de Constantine qui ont attendu le temps additionnel pour enregistrer une première victoire face à la JSK.Le match ayant opposé les deux nouveaux promus en Ligue 1, le DRB Tadjenanet et le RC Relizane, est revenu aux locaux qui ont su renverser la situation en fin de partie.
Les poulains de Belatoui ont mené d’entrée grâce à un but de Berramla avant que Malo égalise. Puis Amine Sayoud a donné la victoire aux siens.
L’autre nouveau promu, en l’occurrence l’USM Blida, est allé imposer le nul à l’ASM Oran à Bouakeul (0-0). Un nul qui lui donne plus de confiance en prévision de sa prochaine journée contre l’USM Harrach sur la pelouse du stade Mustapha Tchaker de Blida. Le derby algérois entre le NA Hussein Dey et l’USM Alger, privée de plusieurs joueurs, s’est soldé par la victoire des Sang et Or, au terme d’un match qui a connu la première expulsion de la saison, le portier Boussouf (NAHD) pour cumul de cartons. Il a été remplacé par l’ancien Usmiste Ahmed Gasmi, car les Husseindéens avaient consommé leurs trois changements.
Gasmi s’est bien acquitté de sa mission tant comme joueur — il a ouvert le score sur penalty — que comme gardien de but puisqu’il a maintenu sa cage vierge. L’autre derby algérois entre le MCA et le CRB, joué jeudi en ouverture de la saison, a accouché d’une souris. Le match s’est soldé par un nul vierge au grand dam des supporters qui ont fait le déplacement. Tout comme le match entre l’USMH et la JS Saoura qui a vu le jeune Harrachi Benkhelfallah inscrire le premier but de la saison.
Un autre nul a sanctionné les débats entre le champion en titre, l’ESS, et le MC Oran (1-1). Les poulains de Cavalli ont mené dès la 37’ grâce à un but de Zobya, mais à 9 minutes de la fin Benyettou a égalisé, évitant à son équipe une défaite d’entrée, à une semaine du match de la Ligue des champions contre l’USM Alger.
Lors de cette première journée, 13 buts ont été inscrits.
Slimane Mekhaldi
|
|
|
|
Chèque obligatoire : les Algériens réticents
le 16.08.15 | 15h49
L'obligation du paiement par chèque, en vigueur depuis plus d'un mois pour les grandes transactions commerciales, ne démarre pas sur les chapeaux de roue face aux usagers potentiels souvent enclins pour l'argent liquide.
"C'est que la majorité des gens se sont habitués au règlement en espèces", soulignent à l'APS des professionnels dont des banquiers, notaires, agents immobiliers et concessionnaires-véhicules. En vigueur depuis juillet dernier, un décret exécutif stipule, en effet, que les transactions doivent être effectuées par les moyens de paiements scripturaux pour l'achat d'un bien immobilier égal ou supérieur à cinq (5) millions de DA, et pour l'achat d'un véhicule neuf, d'équipement industriel neuf, de yacht ou bateau de plaisance, de biens de valeur auprès des marchands de pierres et métaux précieux, pour un montant égal ou supérieur à un (1) million de DA.
Mais cette obligation dépendrait d’une condition incontournable: la refonte de la relation banque-citoyens pour une plus grande confiance des Algériens dans leur système bancaire, estime la plupart des professionnels. "Chez la majorité de mes clients, soit ils ne font pas confiance au système bancaire, surtout après l'affaire de Khalifa bank, soit ils n'ont pas la culture d’utilisation du chèque, tandis que la plupart d’entre eux n’a même pas de compte bancaire. Comment les obliger, du jour au lendemain, à régler par chèque l'achat d'un bien immobilier ou une autre transaction?", s'interroge maître Aïssa B.
Selon ce notaire activant dans un quartier algérois, un de ses clients a même renoncé à vendre un bien immobilier d’une valeur de 100 millions de DA dès que l’obligation du règlement par chèque lui a été évoquée. Une application, quelque peu "brusque", de cette mesure, argue ce notaire, amènera les gens à chercher des "brèches" pour tenter de contourner la loi en inscrivant auprès du notaire, par exemple, une transaction immobilière au titre d'une opération de don alors que son règlement se fait "au noir" entre le vendeur et l’acheteur.
A en croire cet officier public en notariat, l'obligation du chèque pourrait engendrer une baisse du volume des transactions immobilières inscrites chez les notaires et porter, ainsi, préjudice au Trésor public. "En une année, je verse habituellement deux (2) milliards de centimes au Trésor au titre des frais d’enregistrement. Mais si le nombre des transactions devant le notaire se réduit, les versements au Trésor baisseront à leur tour", opine-t-il en tenant à préciser qu’il n’est pas contre l’obligation du chèque mais opte, plutôt, pour son application "progressive" en tenant compte de la réalité du terrain.
Ce point de vue n’est pas tout à fait partagé par maître B. Khadidja, également notaire: "Je pense que c’est une question de temps. C’est vrai que beaucoup de nos clients ne sont pas habitués au chèque, mais il faut un début à tout. Ils finiront par comprendre que c’est un moyen de paiement plus sécurisé que le cash".
Elle relève, cependant, que le chèque pose problème pour certains cas comme pour les héritiers d’un bien immobilier qu'ils mettent en vente alors que le chèque ne peut être émis qu’au nom d’une seule personne. Mais depuis juillet dernier, les notaires exigent systématiquement le règlement par chèque pour les transactions immobilières dont la valeur est supérieure à 5 millions de DA, assure-t-elle en expliquant que le notaire est tenu d'exiger, depuis, une copie du chèque faute de quoi le contrat de vente ne peut être signé et validé.
"Je suis un agent immobilier et je ne sais pas utiliser de chèque"
Du côté des agences immobilières, s'il est considéré que le paiement par chèque est une "action positive", elles n'en pensent pas moins que des actions de formation et de vulgarisation, sur l’utilisation du chèque et des autres moyens scripturaux, soient souhaitables. "Je suis un agent immobilier et je ne sais pas utiliser de chèque", avoue un jeune gérant d'une agence immobilière, alors qu'un autre constate que le marché immobilier est "gelé" depuis ces dernières années en raison de la flambée des prix des logements.
"Nous ne voyons pas de problème dans l’obligation du chèque. Mais depuis six mois, notre agence n’a enregistré aucune transaction de vente. A peine, nous en enregistrons deux ou trois par an. C’est le marché de location qui a pris la relève alors que les transactions y sont inférieures au seuil d'un (1) million de DA et qui ne sont, donc, pas soumises à cette obligation", signale-t-il.
Une virée à travers quelques bijouteries d'Alger laisse entrevoir, une nouvelle fois, les mêmes hésitations, voire des atermoiements. "Nous avons pris connaissance de l’obligation du chèque mais nous ignorons complètement les pratiques des banques en la matière. Mon comptable est, d’ailleurs, allé voir la banque pour nous en informer", dira un bijoutier.
"Je ne vois pas comment il nous est exigé de traiter par chèque alors qu’un simple virement bancaire met une semaine pour être effectué", s’indigne un autre bijoutier qui raconte qu'un de ses clients, résidant à Biskra, a été contraint, l’année dernière, de rester une semaine à Alger pour attendre le transfert bancaire de son argent vers une agence bancaire de la capitale afin de pouvoir acheter une parure de 60 millions de centimes. "Nos banques sont archaïques et mettent trop de temps même pour un simple virement. Il faut que l’Etat réforme d’abord ses banques avant d’exiger des gens de traiter avec ces dernières", lâche une jeune cliente venue acheter des bijoux.
|
|
|
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
L'actualité DERNIERE HEURE en photos |
|
Dimanche 16 Août 2015 Dimanche 16 Aout 2015 Dimanche 16 Août 2015 dimanche 01 Novembre 1436 e -
+
A découvrir aussi
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 5 autres membres