UN TERRORISTE CAPTURÉ ET 7 AUTRES ENCERCLÉS L’ANP frappe à Aït Amrane
A la suite d’un ratissage déclenché jeudi à l’aube à la périphérie de la ville d’Aït Amrane, centre de la wilaya de Boumerdès, par les éléments de l’ANP, un terroriste activant au sein de la katibat El Arkam a été capturé.Il s’agit selon nos informations, de B. Mustapha, originaire du ...Suite
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Actualités : UN TERRORISTE CAPTURÉ ET 7 AUTRES ENCERCLÉS L’ANP frappe à Aït Amrane
A la suite d’un ratissage déclenché jeudi à l’aube à la périphérie de la ville d’Aït Amrane, centre de la wilaya de Boumerdès, par les éléments de l’ANP, un terroriste activant au sein de la katibat El Arkam a été capturé. Il s’agit selon nos informations, de B. Mustapha, originaire du village Hadj Ahmed, petite localité située sur le bord de la RN 24 (Alger-Azeffoun) et à la lisière de la grande forêt marine de Souichette au nord de Zemmouri. Ce village est réputé comme étant un lieu où le GSPC, par la suite Aqmi, ont installé «leur service commercial qui délivre les autorisations de pillage de sable». Les services de sécurité ont saisi chez ce terroriste capturé un fusil de type kalachnikov, diverses munitions et explosifs. Par ailleurs, notre source fait état de l’encerclement d’un groupe comprenant 7 à 8 terroristes. Les forces de l’ANP qui mènent cette opération, déclenchée jeudi à l’aube, pas loin du lycée d’Aït Amrane, établissement scolaire situé à la sortie sud-est de la ville citée plus haut, ont mobilisé, depuis samedi, des engins de génie militaire pour ouvrir des voies d’accès dans un terrain accidenté et boisé. Les forces de l’ordre sont à la recherche d’une casemate qui aurait été creusée pas loin du CW 26 reliant le chef-lieu communal d’Aït Amrane aux archs des Aït Khelifa, situé sur les montagnes. Dans la journée de samedi, les responsables de cette opération ont fait intervenir des hélicoptères qui ont largué des bombes. A noter que ce lieu, objet de cette opération est situé à quelques encablures de la fameuse forêt Djerrah, véritable base arrière des éléments d’Aqmi. Il n’est pas non plus loin de celui où les services de sécurité ont déclenché début février de cette année une foudroyante attaque contre le noyau dur de la katibat El Arkam. 9 terroristes ont été abattus et des casemates ont été détruites. Abachi L.
Taoufik Makhloufi, le sauveur inespéré
Au beau milieu de toute cette «déconvenue» du sport algérien à Londres, a surgi heureusement le nouveau porte-drapeau du sport algérien, le jeune Taoufik Makhloufi qui a réussi à sauver la face grâce à sa brillante victoire en finale du 1 500 m. Le jeune natif de Souk Ahras, discret et inconnu pour beaucoup d’observateurs avant les JO-2012, s’est révélé au grand jour comme la nouvelle star mondiale du 1 500 m. «J’ai souffert le martyre lors des sept derniers mois, j’ai travaillé dur pour la médaille et Dieu merci je suis récompensé par cette victoire», s’est-il réjoui. Une médaille en or, la quatrième sur le 1 500 m après celles de Hassiba Boulmerka en 1992, Noureddine Morceli en 1996 et Bénida Nouria Merah en 2000 qui a permis à l’Algérie de figurer au tableau des médailles des JO- 2012 et d’éviter ainsi le zéro pointé d’Athènes-2004. Mais cette consécration de Makhloufi ne doit en aucun cas cacher la réalité du sport algérien, malade et confronté à de problèmes sérieux qui nécessitent une discussion franche et sincère autour d’une table de toute la famille sportive algérienne, pour sortir de cette situation qui dure depuis des années, selon la presse nationale et les spécialistes.
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