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EN RÉACTION À LA DÉCLARATION DU GÉNÉRAL TOUFIK Violente attaque de Saâdani
Décor surréaliste ! L’inénarrable secrétaire général du Front de libération nationale, Ammar Saâdani, se «défoulera» sans retenue sur le général de corps d’armée, Mohamed Mediene dit Toufik, qu’il évoquera en des termes insolents , lors d’une rencontre avecSuite...
France. Régionales 2015. Scandale électoral à Grenoble. Fraude et disparition de plusieurs urnes. J’ai bien ma petite idée sur…
… l’auteur, mais vous allez encore m’accuser de faire une fixette !
Je songe à la démarche ! Je ne sais pas encore comment, par quel canal, en utilisant quelle méthode, mais j’y songe. Alerter le TPI, le Tribunal pénal international sur un cas grave de séquestration et de maltraitance. L’avantage de mon initiative, c’est qu’elle permettrait au TPI de varier un peu son menu quotidien, de juger «autre chose» que de vulgaires juntes militaires. Avec moi, et avec ceux qui adhéreraient à ma démarche, le TPI pourrait se farcir un Etat civil. Un Etat qui porte fièrement et ostensiblement, avec fracas, le fracas conjugué du Bendir et de la Derbouka, l’estampille «Civil». C’est un avantage pour des magistrats que de montrer aux yeux du monde qu’ils ne sont pas seulement à la poursuite des bidasses, qu’ils traquent aussi les pouvoirs civilement despotes. Moi, militaires ou civils, peu m’importe ! Il se trouve qu’aujourd’hui, ceux qui sont incriminés sont des civils, des personnes se revendiquant du statut «civils pur jus» ! Et ces civils autoproclamés retiennent en otage un homme, un civil. Mais qui a été militaire. Y a longtemps. Dans une vie antérieure, jurent certaines mauvaises langues. Les mauvaises langues se répartissant entre militaires et civils, au demeurant. Mais là, présentement, c’est au… grade de civil que cet homme est retenu à l’insu de son plein gré consentant. Pis ! Ce malheureux détenu est aussi soumis à des sévices. Je l’ai vu de mes yeux vu embarqué de force, du très peu de force que sa détention lui laisse, transféré en avion vers une clinique française, laissé aux manipulations d’un certain Docteur Monségu, puis ramené à nouveau en détention à Alger où on l’a traîné sans répit ni temps de repos face à des caméras amies pour qu’il fasse «bonne figure». Ces dépassements inhumains durent depuis des mois – que dis-je ? – depuis des années. Si le TPI ou une quelconque autre instance internationale ne réagit pas, cet homme va mourir. Il ne pourra pas résister plus longtemps à ce traitement de bourreaux spécialisés et à ces sévices d’un autre temps. Mobilisons-nous autour de cette noble cause totalement désintéressée. Et fumons du thé pour rester éveillés à ce cauchemar qui continue. H. L.
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Selon une étude du Snapap sur la consommation des ménages
62 000 DA pour couvrir les besoins minimums
le 09.12.15 | 10h00
Les salaires des fonctionnaires algériens et des travailleurs en général ne suffisent pas, pour la plupart, de satisfaire les besoins de base.
Une enquête menée par le Syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (Snapap) indique que pour répondre aux besoins relevant du minimum vital d’une famille composée de cinq membres, il faut un salaire mensuel de 62 000 DA. Or, relève la même étude, la moyenne des salaires de près de 10 millions de travailleurs se situe autour de 25 000 DA.
Les ménages ont du mal à couvrir même le minimum vital. Cette étude, publiée hier, a été menée par les bureaux du Syndicat à travers les 48 wilayas et s’est basé sur les prix réels des produits achetés par les consommateurs algériens à travers le territoire national, explique Abdelkader Fatmi, membre du conseil national de cette formation syndicale, contacté hier par El Watan.
La liste des courses de référence est constituée d’un poulet et un kilo de viande par mois, de légumes, d’un plateau d’œufs, de lait en sachet subventionné, de pain, de pâtes alimentaires, de l’huile de table, de féculents, de sucre, de légumes et de quelques produits laitiers. Les fruits, le poisson et les desserts relèvent du luxe, puisque ils ne sont pas inclus dans le panier de référence. La facture de ces produits alimentaire est de 18 000 DA/mois, selon les auteurs de l’enquête, qui estiment que l’alimentation constitue le gros des dépenses ainsi que le loyer.
«L’alimentation est la part qui exige le plus de dépenses puis les parts de logement et d’habillement ainsi que la part dédiée à la santé.» L’étude ne prend en compte qu’une consultation annuelle et n’évoque donc pas le cas des malades chroniques ou les dépenses en analyses, radios et autres suppléments à la consultation médicale.
Pour M. Fatmi, «si le calcul semble exagéré puisque rares sont en Algérie ceux ou celles qui bénéficient de cette rentrée d’argent (62 000 DA), c’est parce que des besoins théoriquement incompressibles sont réduits au strict minimum (nutrition, santé, habillement, scolarité, énergie), alors que d’autres ne sont même pas pris en compte vu la difficulté sinon l’impossibilité de les satisfaire, comme c’est le cas des loisirs et de la détente devenus carrément inabordables sinon interdits».
Pour ce responsable syndical, «cet état de fait nous explique que le visage de l’Algérien, sur lequel disparaissent les traits du bonheur de vivre, porte en lui les stigmates de la misère, comme il nous renseigne sur l’état d’esprit de la majorité qui reste confrontée quotidiennement aux contraintes liées aux besoins nécessaires mais non assouvis».
Le Syndicat interpelle les plus hautes autorités du pays sur la nécessité de la révision de la politique des salaires. Les augmentations obsolètes effectuées dans certains secteurs ont vite été rattrapées par l’inflation galopante. Notre interlocuteur rappelle que le ménage doit débourser plus de 7000 DA pour les mêmes produits que l’an dernier. Le Snapap tire la sonnette d’alarme sur le quotidien des salariés touchant moins du SNMG.
«Le salaire minimum garanti n’est pas revalorisé dans l’article 87 bis qui est modifié et non pas annulé, mais sur les conséquences de l’augmentation de l’indemnité forfaitaire complémentaire (IFC) et, par voie de conséquence, non seulement que cette modification touche d’une manière dérisoire que les basses catégories mais aussi elle a exclu les catégories 11et plus, chose contraire aux principes de l’équité du moment qu’une catégorie large des travailleurs n’aura pas les mêmes avantages que les autres, sachant que l’impact du pouvoir d’achat touche tous les travailleurs en Algérie», indique M. Fatmi qui dément ainsi les affirmations officielles concernant la prétendue hausse du SNMG l’été dernier. Le Snapap qui réclame une justice fiscale propose comme alternative de revoir la grille des salaires et le taux du point indiciaire.
«Le calcul de l’impôt sur le revenu global (IRG) sur 15000 DA et non sur 18000 DA, depuis 2012, constitue un point noir dans le calcul des salaires en Algérie. Le principe de la justice fiscale est bafoué», soutient le même Syndicat. Les auteurs de l’étude proposent la révision du montant des allocations familiales, resté inchangé depuis 1996 et reste donc dérisoire. A rappeler que le Snapap est un syndicat national représnté dans la Fonction publique, à travers les fédérations de secteurs et unions de wilaya. Le Snapap est également membre de la Confédération autonome des travailleurs algériens.
Fatima Arab
L’algérie dans le rouge : Le pétrole sous la barre des 40 dollars
le 09.12.15 | 10h00
Pour la première fois depuis près de sept ans, le prix du baril de brent de la mer du Nord, la référence du brut européenne et pour le pétrole algérien, a chuté hier sous la barre des 40 dollars, atteignant 39,81 dollars vers 14h GMT, son plus bas depuis le 20 février 2009.
Le cours du brent échangé à Londres, qui avait franchi à la baisse, la veille de ce «record», son précédent plus bas atteint fin août, a ainsi creusé ses pertes en réaction à la décision prise par l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) de maintenir sa production inchangée malgré la surabondance d’offre pesant sur le marché. Il en est de même pour la référence new-yorkaise, le light sweet crude (WTI) dont le cours pour livraison en janvier est tombé, hier vers la même heure, à 36,64 dollars, son niveau le plus faible depuis le 19 février 2009. «Le marché du pétrole est en train de rendre un verdict clairement défavorable sur l’issue de la réunion de vendredi de l’OPEP», résument les analystes.
Certains d’entre eux estiment même que la chute risque d’être encore plus sévère lorsque l’Iran arrivera sur le marché. Le Times a averti, dans son édition de lundi dernier, sur le risque de «panique totale» qui pourrait enclencher une «chute libre» des cours à des niveaux avoisinant les 20 dollars. Le directeur général du groupe français Total, Patrick Pouyanné, a estimé qu’en 2016, «la croissance de la capacité sera plus forte que la croissance de la demande».
Selon lui, il y a ainsi très peu de chances pour que les prix augmentent durant la prochaine année, surtout que le marché pétrolier est désormais «livré à lui-même». Le quota de production de l’OPEP était de toute façon théorique, puisque la production réelle de ses pays membres «se situe actuellement aux alentours de 32 millions de barils par jour (mbj), soit nettement plus que l’objectif de 30 mbj maintenu lors de ses précédentes réunions».
C’est ainsi que les cours ont perdu plus de 60% de leur valeur depuis juin 2014, un phénomène accentué par l’offensive commerciale de l’Arabie Saoudite qui inonde le marché d’or noir pour contrer l’essor des hydrocarbures de schiste aux Etats-Unis. L’ancien ministre algérien de l’Energie, Noureddine Aït Laoussine, a indiqué, il y a quelques semaines, qu’un redressement rapide des cours «ne peut provenir que d’une réduction de l’ordre de 2 millions de barils/jour de la production actuelle de l’OPEP, et donc au retour au plafond officiel de l’Organisation de 30 mbj».
Les perspectives pour un redressement des prix sont donc quasiment nulles. «La combinaison d’un marché saturé d’offre et d’une demande mondiale molle semble être favorable à un nouveau déclin des cours vers les 35 dollars le baril (pour le brent) et 32 dollars le baril (pour la référence new-yorkaise), soit le niveau atteint durant la crise financière de 2008», a observé O. Ipek, analyste chez London Capital Group, cité par l’AFP. En résumé, «il y a une perte de confiance dans le marché et les gens s’attendent à voir les prix rester bas pendant longtemps», note pour sa part le directeur général de Strong Petroleum.
L’Algérie, dont l’économie est secouée de plein fouet par le plongeon des prix du pétrole, aura certainement à ressentir l’impact négatif de cette chute des prix sur ses équilibres budgétaires. Selon le FMI, le pays a besoin d’un baril de plus de 110 dollars pour maintenir ses équilibres budgétaires et préserver sa position financière extérieure, désormais dans une situation critique. Les réserves de change de l’Algérie ont baissé de près de 28 milliards de dollars depuis fin 2014, qui coïncide avec le début de l’effondrement des prix du pétrole, selon des chiffres officiels. Des projections estiment qu’avec une moyenne de 50 dollars le baril, les réserves en devises chuteront à 9 milliards de dollars dans quatre ans, contre quelque 151 actuellement.
Lyes Mechti
http://www.france2.fr/direct
Les entraves se multiplient : Le pouvoir sort ses griffes
le 09.12.15 | 10h00
Des députés malmenés, un syndicat empêché de tenir une réunion et une association interdite de célébrer une Journée mondiale de lutte contre la corruption.
A force d’être acculé par la crise économique et la situation chaotique que vit le pays à tous les niveaux, le pouvoir devient agressif. Face aux revendications de la société civile qui réclame plus d’espaces d’expression, il brandit le sabre. Alors que l’enceinte parlementaire est jusque-là épargnée par la répression, elle a connu, en une semaine, deux événements majeurs. Le premier a eu lieu lorsque des parlementaires de la «majorité» et des membres du gouvernement ont usé d’un langage presque menaçant envers les députés de l’opposition qui ont tenté de perturber l’adoption de la loi de finances 2016. Le second, plus grave, s’est produit hier.
Les responsables de l’Assemblée populaire nationale (APN) ont tenté d’empêcher une conférence de presse animée par des députés de l’opposition. Après avoir fait pression sur les parlementaires à travers des restrictions faites aux journalistes venus couvrir l’événement, le secrétaire général de l’APN a fait irruption dans la salle afin de perturber les travaux. Le fait est inédit. C’est une pratique qui ne s’est pas produite «même sous le régime du parti unique», rappelle la sénatrice et moudjahida Zohra Drif.
La dame évoque un autre coup de force du pouvoir : le président du groupe parlementaire FLN, Mohamed Djemaï, a fait irruption, en pleine nuit, dans la salle où étaient réunis les membres de la commission des finances de l’APN. Le député de Tébessa, qui n’est pas membre de la commission, impose la réintroduction dans le projet de loi de finances d’un article controversé. Les griffes du pouvoir ne s’acharnent pas que sur les députés de l’opposition. La semaine dernière, les syndicalistes affiliés au Conseil national des enseignants du supérieur (CNES) ont été tout simplement empêchés de tenir une réunion de leur conseil national.
Pourtant, l’organisation syndicale n’a rien de «subversif» ; ses membres ne cherchent qu’à se concerter pour défendre leurs «intérêts socioprofessionnels». Et à cause notamment de cette interdiction, un mouvement de grève va être entamé la semaine prochaine. Toujours à l’université, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a annoncé, à travers une circulaire, l’interdiction de toute activité «partisane» dans les campus et résidences qui dépendent de lui. Une manière de signifier aux partis politiques de l’opposition de ne plus s’adresser directement aux étudiants.
Le mouvement associatif n’échappe pas à la main lourde des autorités, a fortiori lorsqu’il s’agit d’aborder des sujets qui fâchent. C’est le cas de l’Association algérienne de lutte contre la corruption. Cette dernière est tout bonnement empêchée de célébrer la Journée mondiale de lutte contre la corruption, qui coïncide avec le 9 décembre de chaque année.
Ces actes de répression s’ajoutent à ceux qui sont devenus désormais une pratique courante : l’interdiction des manifestations publiques, le refus d’attribuer des autorisations pour des conférences partisanes et les pressions multiples qui sont exercées sur les médias pour restreindre la liberté d’expression. Et ce n’est pas fini. Puisque chaque jour, le pouvoir perd davantage son sang-froid.
Le refus de l’OPEP de baisser sa production, afin de réduire les excédents, a renforcé la déprime du marché. Les cours du brut sont repartis à la baisse dès vendredi.
La réunion de l’OPEP à Vienne, vendredi dernier, n’a finalement réussi qu’à accroître encore plus la pression sur l’ensemble des marchés pétroliers et sur les prix du brut. Hier à 16h (heure algérienne), en cours d’échanges européens, les prix du pétrole poursuivaient leur déclin, notamment sur le New York Mercantile Exchange (Nymex) où le baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en janvier valait 38,50 dollars, en baisse de 80 cents par rapport à la clôture de vendredi. Sur l’InterContinental Exchange (ICE) de Londres, le baril de brent de la mer du Nord, pour la même échéance, perdait près d’un dollar à 41,82 dollars à la même heure.
Le refus de l’OPEP de baisser sa production, afin de réduire les excédents, a ainsi renforcé la déprime du marché, en ce sens que les cours du brut étaient repartis à la baisse dès vendredi. Quelques jours auparavant, dans un marché anticipant un statu quo du cartel, le cours du brent était même tombé, mercredi déjà, à 42,43 dollars, son niveau le plus faible depuis fin août, tandis que le WTI avait clôturé sous la barre des 40 dollars, pour la première fois depuis fin août.
Selon la société de trading ForexTime, «le WTI reste fondamentalement orienté à la baisse et les indications persistantes selon lesquelles l’OPEP souhaite laisser ses niveaux de production inchangés, malgré une surabondance d’offre continue, dans l’espoir de regagner des parts de marché, vont rendre les prix vulnérables à de nouvelles pertes».
Il convient de rappeler, à ce propos, que l’OPEP, tout en reconnaissant que le niveau réel de sa production dépasse le quota qui avait été approuvé par ses membres, a jugé lors de la dernière réunion que «réduire ce niveau n’allait pas avoir beaucoup d’effet sur le marché». Pourtant, les analystes affirment que la chute des cours du brut, qui ont perdu plus de 60% de leur valeur depuis la mi-2014, est en grande partie «imputable à l’offensive commerciale de l’Organisation, notamment de son chef de file, l’Arabie Saoudite, qui inonde le marché d’or noir pour contrer l’essor des hydrocarbures de schiste aux Etats-Unis».
Les mêmes analystes précisent, cependant, que si le Venezuela et l’Algérie, qui souffrent particulièrement de la baisse des cours du pétrole, appellent à des réductions de production, ce n’est pas le cas de l’Iran, de l’Irak ou encore de l’Arabie Saoudite, «qui ont tout intérêt à maintenir une production élevée car celle-ci leur permet de s’assurer des parts de marché plus importantes quand les prix repartiront à la hausse, et de vendre davantage car les cours sont très bas».
Pour les analystes de la Commerzbank, même si les prix ne pourront trouver aucun soutien virtuel du côté de l’OPEP dans les mois à venir, «le pessimisme des investisseurs devrait toutefois prendre fin à moyen ou long terme, dans le mesure où le marché a déjà prix en compte dans les prix la plupart des risques pesant sur les cours». Et de préciser aussi que l’éventuelle hausse des prix du pétrole, l’an prochain, «ne dépendra pas du fait que l’OPEP parvienne à un accord immédiat ou à un retour au contrôle des prix, mais plutôt d’une solide croissance continue de la demande et du déclin de la production pétrolière hors-OPEP».
Total exclut un rebond des prix en 2016
Le directeur-général du groupe pétrolier français Total, Patrick Pouyanné, a exclu hier au Qatar un rebond significatif des prix du pétrole en 2016. «Nous ne nous attendons pas à une reprise en 2016», a déclaré Patrick Pouyanné en marge d’une conférence internationale sur les technologies liées au pétrole.
«Cela dit, je ne sais pas si le prix (du baril) sera à 40, 45, 50, 60 dollars» , a-t-il ajouté. En 2016, la croissance de la capacité sera plus forte que la croissance de la demande, d’après M. Pouyanné. Les cours du brut ont chuté d’environ 60% depuis la mi-2014 et se situent aujourd’hui sous les 40 dollars le baril. R. E.
La sélection nationale espoir de football (U23) a rendez-vous avec l’histoire, ce soir, à l’occasion de la demi-finale de la 2e édition de la CAN-U23 qu’abrite le Sénégal, en donnant la réplique à l’Afrique du Sud, au stade Léopold Sédar Senghor de Dakar,
dans un match a double objectif: celui de disputer une finale de la CAN de la catégorie, une première pour les Verts après avoir échoué au premier tour de la première édition, disputée il y a quatre ans au Maroc, tout en assurant son billet pour les Jeux olympiques de l’été prochain à Rio de Janeiro.
Absente du plus grand événement sportif planétaire depuis 36 ans, soit depuis son unique participation aux JO de Moscou 1980, la sélection algérienne de football n’est plus qu’à 90 minutes de réaliser son rêve. Les poulains du Suisse Pierre-André Shurmann sont d’ailleurs décidés à ne pas rater cette occasion en or à assurer leur présence à Rio, mais aussi l’opportunité de disputer une finale de la CAN et de viser un premier titre africain dans cette catégorie, dénotant ainsi l’importance majeure de cette confrontation face aux Bafana Bafana.
Bien que cette demi-finale ne soit pas décisive pour décrocher l’un des trois billets qualificatifs de ce tournoi aux JO de Rio, puisque les perdants en demi-finales, se disputeront le 3e et dernier billet de ces JO, samedi prochain, à l’occasion de la petite finale, les Algériens ne veulent prendre aucun risque, en visant un succès, ce soir face aux Sud-Africains, leur assurant une présence à Rio l’été prochain, en sus de cette possibilité de gagner le titre africain.
Les Verts en favoris !
Une équipe nationale qui devrait se présenter avec tous ses atouts en main, puisque tout les poulains de Shurmann, même l’avant-centre Oussama Darfalou, qui était donné incertain, devrait être de la partie, contrairement à son adversaire, qui sera privé de sa force de frappe, son buteur Gift Motuba, atteint à la cheville vendredi dernier lors du match face à la Tunisie.
Une absence qui devrait faire les affaires des Verts, elle qui possède la meilleure défense de ce tournoi africain, et même de l’attaque, qui ne devrait pas peiner face à une défense sud-africaine, qui a peiné durant ce tournoi, encaissant même 5 buts lors de ses deux premiers matchs de poules, poussant les observateurs à donner l’Algérie comme favorite pour passer ce cap des demi-finales et animer la finale de cette seconde édition. Même le sélectionneur des Bafana Bafana, Owen De Gamma, reconnaît cette «supériorité» des Verts, en déclarant à l’issue du match de vendredi dernier face à la Tunisie : «L’équipe algérienne est difficile à manier.
C’est une formation forte qui pratique un football technique et possède une défense solide et des ailiers rapides et très percutants.» Et de préciser : «L’Algérie a beaucoup de points communs avec la Tunisie que nous avons battue au 1er tour. Nos joueurs doivent rester vigilants», a-t-il conclu, dans une déclaration qui sonne comme un avertissement pour les coéquipiers du portier Abdelkadir Salhi, qui doivent prendre aux sérieux leur adversaire, pour donner enfin vie à ce rêve des JO qui hante les Algériens depuis 36 ans.
Les unités sécuritaires algériennes ont réussi, ce mardi 01 décembre 2015, à déjouer un plan terroriste sanglant visant l’un des aéroports du sud du pays, rapporte le journal algérien Annahar.
Selon la même source, la brigade terroriste « Al Mourabitoun », dirigée par le dangereux terroriste Mokhtar Bel Mokhtar est derrière ce plan terroriste.
Le dispositif sécuritaire a été renforcé dans tous les aéroports du pays, sur les frontières, et dans les institution sécuritaires et pétrolières, ajoute la même source.++++
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