234-/-ACTUALITÉS Du Lundi 24 Août, 2015
الإثنين 09 ذو القعدة 1436 ه
الإثنين 24 أوت 2015 م
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International
Pyongyang et Séoul à la recherche d'un compromis
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Crise de la péninsule coréenne
Pyongyang et Séoul à la recherche d’un compromis
le 24.08.15 | 10h00
La Corée du Nord et la Corée du Sud ont repris hier leurs pourparlers, entamés la veille, en vue d’éviter un conflit armé, rapporte l’AFP. Les discussions se déroulent dans le village frontalier de Panmunjom, où a été signé le cessez-le-feu de la guerre de 1950-1953. Elles ont été suspendues après une rencontre de dix heures infructueuse qui s’est achevée dans la nuit de samedi à dimanche.
Le ministère sud-coréen de la Défense a indiqué que le Nord a doublé ses unités d’artillerie à la frontière et déployé 50 sous-marins hors de leurs bases militaires.
«Le Nord adopte une attitude hypocrite alors que les discussions se poursuivent», a déclaré un responsable du ministère. De son côté, la présidence sud-coréenne a indiqué que les deux parties «continueraient de réduire leurs divergences». Les armées des deux pays sont en alerte et déploient leurs armes le long de la frontière, où des échanges de tirs d’artillerie ont déjà eu lieu auparavant.
Pyongyang menace le Sud d’une attaque armée, si Séoul n’éteint pas ses haut-parleurs à la frontière, qui diffusent, depuis une semaine à plein volume, des messages de propagande vers le Nord. Séoul exige au préalable des excuses de Pyongyang pour l’explosion d’une mine antipersonnel qui a mutilé deux soldats sud-coréens lors d’une patrouille à la frontière début août.
Le Nord dément toute implication dans ces explosions, tandis que le Sud n’acceptera pas un compromis qui pourrait donner l’impression de céder à la belligérance de Pyongyang.
Le Nord a repositionné des unités d’artillerie, tandis que avions de chasse sud-coréens et américains ont effectué des exercices de simulation de bombardement. Les négociations à Panmunjom sont dirigées par le conseiller sud-coréen à la sécurité nationale, Kim Kwan-Jin, et son homologue nord-coréen, Hwang Pyong-So, un proche collaborateur de Kim Jong-Un.
Le secrétaire général de l’Organisation des Nations unies (ONU) Ban Ki-moon, a salué la décision de reprise des négociations. Il a appelé les deux pays à «redoubler» d’efforts et «à faire en sorte que la reprise des discussions ouvre la voie à une désescalade», dans un communiqué des Nations unies.
Un héritage de la guerre froide
Les deux pays sont en conflit depuis 65 ans, car la guerre de Corée (1950-53) a pris fin avec un simple cessez-le-feu qui n’a jamais été formalisé par un traité de paix. La situation actuelle est surveillée de près par la communauté internationale, notamment les Etats-Unis et la Chine dont les intérêts géopolitiques sont importants, voire imbriqués. Washington, qui dispose de quelque 30 000 militaires en Corée du Sud, leur allié dans la région, a invité Pyongyang à la retenue. De son côté, Pékin, principal soutien de la Corée du Nord, a appelé au calme.
De 1910 à 1945, la péninsule coréenne est colonisée par le Japon. Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, les deux Grands, à savoir les Etats-Unis et l’URSS voient en la péninsule coréenne une région importante pour élargir leurs zones d’influence. Dans ce contexte, sont instaurées en 1948 deux entités opposées : la République de Corée, avec pour président Syngman Rhee, sous influence américaine, et la République populaire démocratique de Corée du Nord, pro-soviétique, dirigée par Kim Il-sung.
En juin 1950, la Corée du Nord déclenche une offensive le long du 38e parallèle. Ses troupes entrent dans Séoul. L’ONU, qui a décidé de soutenir la Corée du Sud, confie le commandement des troupes aux Etats-Unis. L’offensive américaine débute en août avec d’intenses bombardements.
En octobre de la même année, l’armée sud-coréenne franchit le 38e parallèle. L’armée chinoise, qui soutient le régime du Nord, entre dans le conflit. L’offensive chinoise oblige les forces internationales à évacuer Séoul et à reculer de 100 km au sud du 38e parallèle.
Le 27 juillet 1953, est signé l’armistice de Panmunjom qui met fin à la guerre. Aucun traité de paix n’est signé. Une zone est instituée le long de la frontière. Le texte fixe aussi la ligne de limite nord, dans la mer Jaune.
Pyongyang ne la reconnaît pas comme frontière maritime, car elle a été décidée par le commandement des Nations unies, mené par les Etats-Unis. Des accrochages meurtriers se sont produits, entre autres, en 1999, 2002 et 2009.
En janvier 2002, le président américain, George W. Bush, évoque dans son discours l’«axe du mal» dans lequel il inclut la Corée du Nord. En décembre de la même année, Pyongyang annonce la reprise de son programme nucléaire.
Comme il annonce, en janvier 2003, son retrait du Traité de non-prolifération nucléaire et en juin est lancée la zone économique spéciale intercoréenne de Kaesong, en Corée du Nord, qui ambitionne d’accueillir, d’ici à 2020, au moins 2000 entreprises et d’employer plus de 500 000 travailleurs nord-coréens. En août 2003, est tenue la première rencontre à Six sur la dénucléarisation de la Corée du Nord.
Elle a réuni la Corée du Nord, la Corée du Sud, les Etats-Unis, la Chine, le Japon et la Russie. Dans le cadre de ces négociations à Six, la Corée du Nord accepte de «désactiver» son programme nucléaire en février 2007 en échange de la fourniture d’énergie et de garanties de sécurité par les Etats-Unis. Mais après avoir montré des signes de bonne volonté en 2008, Pyongyang claque la porte des négociations à Six et annonce avoir effectué «avec succès » un deuxième essai nucléaire souterrain en mai 2009.
Ceci dit, plusieurs actes belliqueux et période de paix ont marqué les relations entre les deux pays. Pyongyang reste isolé sur la scène internationale. Quant au projet de réunification des deux pays, il demeure un vœu pieux.
Amnay idir
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Turquie : L’opposition accuse le Président d’organiser un «coup d’Etat civil»
le 24.08.15 | 10h00
Le chef du principal parti de l’opposition en Turquie a accusé, hier, le président turc Recep Tayyip Erdogan de préparer un «coup d’Etat civil», rapporte l’AFP.
«Nous sommes face à un coup d’Etat civil», a lancé le président du parti social-démocrate (CHP), Kemal Kiliçdaroglu, dans une allusion aux trois coups d’Etat militaires qui ont émaillé l’histoire récente de la Turquie (en 1960, 1971 et 1980).
«Aucune loi n’est respectée en ce moment en Turquie, la démocratie est suspendue, tout comme la Constitution», s’est insurgé le leader du CHP lors d’une conférence, qui s’est tenue au siège du parti.
Au pouvoir depuis treize ans, le Parti de la justice et du développement (AKP) du président Recep Tayyip Erdogan a perdu sa majorité absolue lors du scrutin législatif du 7 juin, le contraignant à négocier avec l’opposition pour la formation d’un gouvernement de coalition. Négociations qui se sont soldées par un échec.
Le CHP et le Parti de l’action nationaliste (MHP, droite), qui ont respectivement rassemblé 25% et 16,3% des suffrages, ne sont pas parvenus à un accord avec l’AKP. Pour le CHP, Recep Tayyip Erdogan a délibérément fait échouer les négociations pour mener le pays vers un nouveau scrutin dans l’espoir d’obtenir de meilleurs résultats. Le président turc, qui doit rencontrer le président du Parlement aujourd’hui pour déterminer les conditions d’un nouveau scrutin, a d’ores et déjà appelé à des législatives anticipées pour le 1er novembre. Les sociaux-démocrates disent être prêts à une coalition avec l’AKP, à condition d’opérer trois changements majeurs en matière de politique étrangère, qui a fait «un changement à 180 degrés», d’économie qui a un «gros problème» et de système éducatif «qui ne satisfait aucun parent».
Rédaction Internationale
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la loi contre les violences faites aux femmes bloquée au Sénat
Une dizaine d’organisations exigent sa promulgation
le 24.08.15 | 10h00
L’enfermement de la loi sur criminalisant les violences faites aux femmes dans les tiroirs de la Chambre haute du Parlement inquiète les associations féministes qui luttent depuis des années contre les violences infligées aux femmes.
Une année après son adoption par l’Assemblée nationale avant d’être mystérieusement «bloquée» au Sénat, pas moins de 13 organisations de défense des droits des femmes, de prévention et de lutte contre les violences exigent la promulgation de cette loi pour stopper le drame de la brutalité contre les femmes. Il est urgent de mettre un terme à cette spirale.
Dans une déclaration rendue publique hier, ces associations regroupées au sein du Collectif pour la promulgation de la loi contre les violences faites aux femmes, trouvent inadmissible le blocage d’une loi jugée comme une avancée considérable en matière de protection juridique des femmes.
«Cette loi était attendue des victimes et demandée depuis des années par les associations de femmes, témoins quotidiennement des dégâts occasionnés par cette violence aux victimes directes comme à leurs enfants.» Les organisations signataires de la déclaration — on retrouve les plus actives : réseau Wassila, Rachda, Ciddef, SOS femmes en détresse, Tharwa n’Fadhma n’Soumer, AFAD, Femmes en communication et bien d’autres — estiment que la loi en question est «nécessaire, car elle doit redire haut et fort que les
Ligue 1 (2e j) : Le plein pour les Sanafir
le 24.08.15 | 10h00
Le CS Constantine a été le grand bénéficiaire de la deuxième journée du championnat de Ligue 1, disputée samedi, en décrochant sa deuxième victoire d’affilée.
Ainsi, après sa victoire à l’extérieur face à la JS Kabylie, les poulains de Velud s’étaient imposés face au MC Oran à domicile. A la faveur de cette victoire, les Sanafir s’installent seuls en tête du classement, suivis de sept équipes. Le MC Alger et l’USM Harrach se sont imposés à l’extérieur respectivement face aux deux nouveaux promus, l’USM Blida (1-0) et le RC Relizane (2-1). Cette dernière vient d’enregistrer sa deuxième défaite consécutive.
Tout comme le RC Arbaâ qui s’est incliné face au CR Beloizdad sur le score de (3-1) dans un match à huis clos. Le RCR et le RCA ferment la marche avec zéro point au compteur. Le derby kabyle n’a pas connu de vainqueur. Les deux formations se sont séparées sur un nul vierge qui n’arrange aucune équipe. Les Canaris ont eu les meilleures occasions de scorer et auraient pu revenir à Tizi Ouzou avec le gain du match. Le NA Hussein Dey et le DRB Tadjenanet qui ont bien entamé la saison par une victoire ont été battus hors de leurs bases, respectivement par l’ASM Oran et la JS Saoura. Ces deux dernières se partagent la deuxième place.
A.B.
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Fortes averses à l’est du pays
Dégâts matériels et familles sinistrées
le 24.08.15 | 10h00
Plusieurs wilayas de l’est du pays ont connu, ces dernières 48 heures, de fortes précipitations ayant occasionné des dégâts matériels.
A Bordj Bou Arréridj, Khenchela ou Batna, des quartiers ont été inondés et des familles se sont retrouvées sans toit. La ville de Batna et ses environs ont frôlé, samedi soir, la catastrophe naturelle.
A cause d’une averse saisonnière qui a duré quelques heures, plusieurs quartiers de la ville étaient sous les flots, notamment ceux de Bouzourane et Selsabil, où les sapeurs pompiers ont effectué plusieurs opérations de pompage d’eau.
En effet, selon un communiqué de presse de la Protection civile, le rez-de-chaussée de cinq blocs à Bouzourane ont été inondés, l’eau atteignant parfois 1,5 mètre, selon des témoins.
«Quatre familles sont maintenant sinistrées à cause de deux entreprises qui ont fait des travaux dans le quartier avec des engins. Elles ont fermé les avaloirs et les regards d’assainissement et écrasé les buses. L’eau n’avait pas où aller et a inondé tout le quartier», a dit un habitant de ce quartier.
Des propos étayés par ceux de Abdelkrim Maroc, président de l’APC de Batna, qui s’était déplacé sur les lieux avec les moyens matériels dont dispose la commune. Il pointe du doigt les entreprises de réalisation, notamment Cosider, qui a laissé derrière elle des tas de terre bloquant l’écoulement de l’eau.
«La responsabilité d’entretenir les avaloirs incombe à l’Office national de l’assainissement (ONA), qui a entamé une opération de nettoyage des avaloirs avec l’aide des services de l’APC»,
a affirmé Abdelkrim Maroc.
Les eaux se sont aussi engouffrées dans trois habitations du quartier Parc à fourrage, dans quatre autres maisons dans la commune d’Ayou Laassafir, au centre de formation professionnel de la commune d’El Mader, au nord-est du chef-lieu de wilaya.
A Bordj Bou Arréridj, les oueds Bourji et Benharoune n’ont pas supporté le flux d’eau et ont débordé sur la chaussée et dans les champs.
Plusieurs routes, dont la RN103, la RN103A et le CW141, ont été coupées à la circulation, gênant la mobilité des personnes.
Le trafic routier a été totalement paralysé, causant l’isolement de la ville de Ras El Oued.
L’intervention rapide et en force des éléments de la Protection civile a permis de sauver 19 personnes coincées dans
11 véhicules.
«Aucune victime», selon le commandant Abdellah Benkhelifa de la Protection civile, mais des dégâts matériels importants ont été enregistrés.
A Khenchela, au moins vingt habitations ont été infiltrées par les eaux et des familles sont sans abri après la pluie qui s’est abattue sur plusieurs communes, notamment Babar, N’sigha et Tamza.
Selon des témoins, dans le douar Tmagra, dans la commune de Tamza, à 30 km au chef-lieu de wilaya, plusieurs maisons ont subi des dégâts considérables. Il est aussi recensé d’importantes pertes de récoltes agricoles et des dizaines de têtes de cheptel emportées par les eaux.
S. Methni, M. Taïbi et A. B.
Lundi 24 Août 2015
الإثنين 24 أوت 2015 م
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