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Actualités : 3G Que cachent les contradictions de Benhamadi ?
Et une contradiction de plus pour Benhamadi ! Le ministre de la Poste et des TIC s’emmêle une nouvelle fois les câbles dans la gestion du dossier du lancement des licences de téléphonie mobile de troisième génération. Moussa Benhamadi a réussi l’exploit d’exclure puis de remettre en course Djezzy en l’espace de 24 heures. Les raisons de ce revirement restent inconnues.
Tarek Hafid - Alger (Le Soir) Le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication maîtrise-t-il réellement les dossiers dont il a la charge ? La question s’impose encore une fois après le cafouillage sur la participation de l’opérateur Djezzy à l’avis d’appel d’offres d’octroi de la licence de téléphonie de 3e génération. «Djezzy relevant d'Orascom Telecom Algérie (OTA) a été pénalisé et il doit régler son dossier avec la Banque d'Algérie pour pouvoir soumissionner pour une licence de téléphonie mobile de 3e génération (3G)», a déclaré jeudi, Moussa Benhamadi à l’agence officielle APS lors d’une visite d’inspection dans la wilaya de Aïn Defla. Le ministre a mis en avant le fait que le cahier des charges contient «des dispositions qui exigent des soumissionnaires, l'obtention d'un quitus de la part de la Banque d'Algérie pour pouvoir bénéficier d'une licence d'exploitation». La dépêche est publiée à 15h 59. Le lendemain, à 20h 35, le site Tout sur l’Algérie met en ligne un article dans lequel le ministre dément formellement avoir tenu de tels propos au journaliste de l’APS. «Mes propos ont été déformés (…) j’ai dit que rien n’empêche Djezzy de participer à la 3G. Les trois opérateurs ont retiré le cahier des charges. Ils vont déposer leurs offres à l’ARPT. S’ils sont acceptés, ils recevront des licences provisoires. Après, ils vont remettre des attestations de la Banque d’Algérie, des Impôts et de la Sécurité sociale pour prouver qu’ils n’ont pas de contentieux avec ces institutions», a-t-il précisé. Etrange retournement de situation. Rien n’explique une telle situation. Il est possible que le ministre de la Poste et des TIC ait eu droit à une «réprimande» pour avoir abordé un aspect du dossier qui ne concerne pas son département mais plutôt le ministère des Finances, la Banque d’Algérie et l’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications ? Ou alors, a-t-il commis un impair en «sabordant» par sa déclaration le processus de négociations entre les représentants de l’Etat et le groupe GTH/Vimpelcom ? Une chose est sûre, Moussa Benhamadi n’a même pas eu la possibilité d’apporter un rectificatif sur le fil de l’APS. A défaut de l’agence de presse officielle, ce ministre de la République a dû réagir via un site Internet. A la tête de ce département depuis 2010, Benhamadi a toujours dérapé dès qu’il s’agit d’évoquer la question du développement de la 3G. En trois années d’exercice, il a annoncé à maintes reprises le lancement de cette technologie sans que ses engagements ne se concrétisent. Une approche qui a porté un coup à son capital crédibilité, tant auprès des opérateurs que de l’opinion publique. Et pendant que les officiels algériens se perdent en palabres, contradictions et autres négociations obscures, le reste du monde s’engage vers la 4G… T. H.
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Actualités : RENTRÉE SCOLAIRE Les fournitures, la hantise des parents
Les occasions se suivent et les dépenses s’enchaînent. Après le mois de Ramadhan et la fête de l’Aïd El Fitr, c’est au tour de la rentrée scolaire de «dépouiller» davantage les parents. Rym Nasri - Alger (Le Soir) - La rentrée scolaire pointe son nez. Pourtant, les parents ne se bousculent pas encore dans les magasins de fournitures scolaires. «Ce n’est pas encore le rush. La foule sera au rendez-vous dès le premier jour de la rentrée scolaire», explique Brahim, gérant d’un magasin à la rue Nécira-Nounou, Belouizdad (Alger). Dans son commerce, les rayons débordent de marchandises. Des piles de cahiers, de classeurs et de protège-cahiers, des lots de stylos, de crayons et de règles, des boîtes de crayons de couleur, des gommes et des taille-crayons sont exposés. Selon ce commerçant, les prix n’ont pas changé. «Ce sont les mêmes prix que ceux de l’année précédente. Le coût des cahiers varie selon l’épaisseur : entre 20 et 120 DA ; les stylos valent de 10 à 30 DA, les crayons entre 10 et 75 DA, les boîtes de crayons de couleur sont cédées entre 150 et 450 DA, et les compas entre 35 et 170 DA», détaille Brahim. Ainsi, remplir un cartable pour un élève du cycle primaire coûtera près de 600 DA. Pour lui, les prix sont donc très accessibles. «A l’exception des fournitures techniques, qui sont très chères car il s’agit de produits de marques, françaises et allemandes notamment», a-t-il ajouté. Côté parents, on préfère rester prudents. «Nous attendons les listes des affaires scolaires de nos enfants pour ne pas faire de dépenses inutiles. Nous voulons acheter uniquement ce dont les enfants ont besoin», nous dit une mère de famille. Surtout que les prix des cartables font fuir les clients potentiels. Rue Hassiba-Ben-Bouali, par exemple, un magasin spécialisé dans la vente de cartables, sacs-à-dos, sacs en bandoulière, affiche des prix variant entre 3 000 et 7 000 DA. Même si l’échoppe ne désemplit pas, les clients trouvent ces prix «exagérés». «C’est inaccessible !», lance Malika, la quarantaine. Obligée de dénicher un cartable neuf pour son fils qui passe au lycée et à sa toute petite Melissa qui prend le chemin de l’école pour la première fois, cette mère de famille se retrouve désemparée. «Après les dépenses du mois de Ramadhan et les vêtements pour l’Aïd El Fitr, voilà celles des fournitures scolaires qui arrivent. Nous ne savons plus à quel saint se vouer», dit-elle un peu abattue. Encore une fois, les parents doivent faire face à de nouveaux frais, alors que l’Aïd El Adha est déjà dans les esprits. Place à des dépenses beaucoup plus lourdes, notamment le fameux mouton. R. N.
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Actualités : Textile Vers la relance du secteur
Un plan de relance du secteur national du textile sera lancé prochainement, annonce le ministre de l’Industrie, Cherif Rahmani. Ce plan permettra-t-il, ce faisant, aux fabricants publics et privés algériens de reconquérir les 95% de parts de marché perdues durant les décades écoulées ?
Chérif Bennaceur - Alger (Le Soir) Inscrit dans le cadre de la relance des filières industrielles manufacturières, le développement du secteur national du textile bénéficie d’une nouvelle impulsion. Jeudi dernier, le ministre de l’Industrie, de la Pme et de la Promotion de l’investissement qui était l’hôte de M’sila a indiqué qu’un plan de relance de la filière textile sera lancé prochainement. «L’Algérie annoncera dans les prochaines semaines, le départ effectif et réel de l’industrie dans le domaine du textile», déclarait Cherif Rahmani. Ainsi, le gouvernement donne le starter à la relance effective sur le terrain d’un secteur, naguère l’un des pivots avec les hydrocarbures du développement économique du pays mais qui a cependant enregistré un déclin avéré durant les trois dernières décades.
Une dynamique a été déjà lancée Certes, un dispositif de relance du textile et des cuirs a été impulsé depuis plus de deux ans, en termes d’appui à la modernisation, assainissement financier et encouragement de l’investissement productif et du partenariat. Des tentatives, des moyens ont été mobilisés en ce sens, la filière bénéficiant d’une enveloppe de plus de 2 milliards de dollars dont 40 à 45% seulement ont été consommés à l’heure actuelle. Comme des projets de partenariats avec des opérateurs étrangers notamment turcs ont été lancés. Néanmoins, des projets attendent d’être concrétisés réellement sur le terrain, relève le secrétaire général de la Fédération nationale des travailleurs du textile et du cuir (FNTT/UGTA), Amar Takdjout, rétif aux effets d’annonce. Exprimant une satisfaction mesurée, relativement optimiste quant à la dynamique évoquée par Cherif Rahmani, le dirigeant de la FNTT ne manque pas toutefois d’exprimer son inquiétude quant à la concrétisation effective sur le terrain des engagements annoncés, à la possibilité de dépasser le stade des intentions. Tant les pouvoirs publics que les opérateurs nationaux du secteur pourront-ils, s’impliqueront-ils effectivement, volontairement ? Un enjeu majeur, d’autant qu’il s’agit pour les opérateurs publics et privés de reconquérir quelque 95% de parts de marché national perdues durant les décades écoulées, note Amar Takdjout, au profit de l’importation.
L’enjeu en question Pour un marché de 500 millions de mètres linéaires, les fabricants nationaux ne transforment actuellement que 25 millions de mètres linéaires seulement. Notons ce faisant que les industriels algériens transformaient 200 millions de mètres linéaires durant les années 1970 et 1980, dominant le marché domestique à plus de 70%. Notons également qu’une centaine d’entreprises ont été «détruites» durant les dernières décades, soit des pertes tant infrastructurelles qu’en termes de ressources humaines. Actuellement, l’Algérie ne dispose que d’une cinquantaine d’entreprises publiques et quelques sociétés privées dont certaines d’envergure grande ou moyenne. Relevons également que les capacités de formation qualifiante, notamment dans l’ingénierie et la maintenance, font défaut depuis plus de 30 ans, nombre d’instituts ayant été fermés selon Amar Takdjout. Au-delà des difficultés, des contraintes logistiques et financières (bancaires, fiscales et parafiscales) dont certaines ont été surmontées pour nombre d’entreprises, le problème de la relance du textile nécessite cependant une approche, une démarche optimisée.
Quelle approche idoine ? En ce sens, le dirigeant de la FNTT estime opportun de mettre en place une cellule d’experts, composées notamment des compétences mises à la retraite et des cadres des entreprises fermées, en vue d’accompagner le processus de relance, dresser l’état des lieux, définir des actions... Il ne s’agira pas de confier le management, la gestion entrepreneuriale à ces retraités, ces «anciens», précise M. Takdjout, mais de profiter de leur expertise, leur technicité. Il s’agira également pour les entreprises du textile de s’engager résolument à relever le défi de la reconquête du marché, les «obliger» à améliorer leurs performances au moins sur le moyen terme. «Si elles (les entreprises du textile) arrivent à récupérer 20% de parts de marché, ce serait un résultat appréciable», considère ce syndicaliste. Il s’agirait en effet pour les opérateurs domestiques d’arriver, à terme, à transformer quelque 100 millions de mètres linéaires et créer quelque 25 000 postes d’emploi. Comme il s’agira pour les fabricants de chaussures, le marché domestique consommant 70 millions de paires, d’arriver à fabriquer 20% au moins à moyen terme. Ce qui permettrait de réduire considérablement le recours à l’importation et de relancer l’activité domestique, relève-t-on. Notons ainsi que les fabricants locaux ne produisent actuellement que moins d’un million de paires de chaussures. L’opportunité également de créer encore 25 000 postes d’emploi dans cette sous-filière. Soit 50 000 emplois directs nouveaux dans le secteur du textile, une activité qui employait quelque 250 000 travailleurs durant les années fastes. Autre condition, mettre en place des dispositifs d’évaluation, développer «la culture du bilan», dira Amar Takdjout, soucieux d’une démarche basée sur l’évaluation, la fixation d’objectifs et de résultats à atteindre. En ce sens, le représentant syndical interpelle les pouvoirs publics sur la nécessité d’être «regardant sur ce qui se fait sur le terrain», d’œuvrer à bien prendre en charge l’élément humain... La dynamique annoncée par Cherif Rahmani répondra-t-elle à ces considérants, ces conditions ? Attendons que l’ouvrage s’achève. C. B
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Régions : APRÈS DES VACANCES À ANNABA Émotion des jeunes émigrés à la cérémonie d’adieu
Il y avait beaucoup d’émotion, ce dernier jeudi, au salon d’honneur de la wilaya de Annaba, lors de la réception d’adieu organisée à la fin du séjour d’une délégation de jeunes garçons et filles issus de la communauté algérienne de Saint-Etienne (France). «J’espère que vous avez passé un agréable séjour parmi vos frères et sœurs d’une des plus belles régions d’Algérie. Ce grand pays riche en histoire, culture et en fraternité, n’oublie jamais ses enfants vivant à l’étranger. Nous serons toujours heureux de vous accueillir dans votre pays», a souligné le secrétaire général de la wilaya de Annaba, qui representait le wali, en s’adressant au groupe. Les jeunes, âgés de 12 à 19 ans ne se sont pas contentés des remerciements de leurs encadreurs à l’adresse des autorités locales de Annaba (wilaya, commune et DJS); ils ont tenu à exprimer les leurs. L’une des jeunes filles, la quinzaine, n’ayant pu contenir ses larmes, dira : «Nous sommes tristes de quitter aujourd’hui l’Algérie ; un beau pays réputé également par l’hospitalité de ses habitants que nos parents ont toujours vantée. Nous avons été très heureux de découvrir des gens très attachants. Ils étaient aux petits soins pour nous». Pendant deux semaines, ces jeunes qui visitent pour la première fois l’Algérie ont pu découvrir leur pays d’origine, celui où sont nés leurs parents. Les jeunes nationaux de Saint-Etienne en visite à Annaba sont des lauréats du concours portant sur le thème : «Connaître l’Algérie », organisé par le consulat d’Algérie dans cette ville de l’Hexagone, jumelée avec Annaba. Concocté par l’infatigable directeur du protocole à la wilaya de Annaba, Bachir Laraba, le programme de la visite du groupe a englobé des secteurs culturel, sportif, économique, de loisirs et autres sites touristiques de la wilaya de Annaba, mais également d’autres curiosités situées dans les wilayas de Guelma et d’El Tarf. Véritable homme orchestre, Bachir Laraba veillait à ce que les hôtes de l’Antique Lalla-Bouna ne manquent de rien. Ainsi, ils ont pu visiter les ruines romaines d’Hippone, la basilique Saint-Augustin, la mosquée Abou Marouane, plus que millénaires. Ils se sont rendus au complexe thermal de hammam Debagh à Guelma, et au parc animalier de Brabtia dans la commune d’El Kala, wilaya d’ El Tarf. Leur séjour à Annaba a coïncidé avec la commémoration du double anniversaire du 20 Août 1955 (offensive de l’ALN dans le Nord-Constantinois) et 20 Août 1956 (Congrès de la Soummam). A cette occasion, Ils se sont recueillis devant la stèle des martyrs et déposé une gerbe de fleurs au pied de celle-ci. Comme ils ont été reçus par le secrétaire d’Etat chargé de la Communauté nationale à l’étranger, Belkacem Sahli, lors de sa visite à Annaba pour s’enquérir de leur séjour. Il a d’ailleurs exprimé aux autorités de Annaba sa satisfaction concernant les conditions de ce séjour. Hébergés dans un magnifique complexe hôtelier de la corniche annabie, l’hôtel Rym El Djamil, avec une vue panoramique sur la baie de Annaba, les hôtes de la wilaya, outre les baignades quotidiennes dans la piscine de l’hôtel, ont fait trempette dans les meilleures plages telles que celles du club Ibiza et Bouna Beach à Belvédère, ou de la magnifique baie ouest de Chetaïbi. Par ailleurs, des sorties ont été programmées chaque soirée en ville sur l’emblématique cours de la Révolution pour des dégustations de glaces et autres rafraîchissants chez Benrabah de la crémerie «l’ours polaire» ou pour des dîners dans des restaurants chics de la coquette et même des virées à Berrahal, réputée pour ses succulentes brochettes. A la crêperie de Benyagoub, on a fêté, avec le sympathique D&J Hichem, le bac obtenu en France par l’une des invités, Mlle Lina. A l’issue de la cérémonie d’adieu, des cadeaux, œuvres de l’artisanat national, et d’autres présents symboliques, représentant l’emblème national sur un socle en cuivre, et la géographie de l’Algérie ciselée au milieu d’un plateau, également en cuivre, ont été offerts à chaque membre de la délégation de la communauté nationale à Saint-Etienne. A. Bouacha
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Sports : Football Championnat Ligue 2 (1re journée) Bel Abbès affiche ses prétentions et les promus s’illustrent
Plusieurs faits sont à mettre en exergue, au soir de cette première journée de la Ligue 2 algérienne de football, disputée vendredi dernier. D’abord, le bon comportement des trois promus; ensuite, la participation de Batna après sa menace de forfait et enfin, le jeu dur lors de certaines rencontres. Entamons notre épilogue avec le baptême du feu des trois nouveaux pensionnaires de ce palier professionnel. Deux d’entre eux, en l’occurrence, l'USMM Hadjout et l'A Bou Saâda n’ont pas été dépaysés par le niveau technique de leurs adversaires respectifs et aussi par l’ambiance prévalant chez eux. Aussi, ils ont très bien négocié leurs sorties extra-muros. Ainsi, les gars de Hadjout sont allés dammer le pion aux Auressiens de Merouana, tandis que les Bou Saâdis ont contraint les Annabis au nul. Pour les troisièmes nouveaux sociétaires de cette division, à savoir les Chaouias, c’est avec le point du nul de la rencontre arraché à Hussein Dey qu’ils ont regagné le bercail. Des trois malheureux relégués de la Ligue 1, seuls les Belabessiens ont réussi la belle entame victorieuse et ils l’ont obtenu aux dépens des autres relégués du palier supérieur qu’étaient les Batnéens. Ces derniers, après avoir menacé de déclarer forfait pour une histoire de match truqué, l’ayant opposé durant le précédent exercice, à la JS Saoura en Ligue 1, a finalement repris la compétition. La mort dans l’âme, ils se sont déplacés au stade du 24-Février-1956 de Bel Abbès et s’y sont fait «corrigés». Quant aux Tlemcéniens, eux aussi relégués, ils n’ont pas trouvé de difficulté en retournant chez eux avec le point du nul ramené de Batna. Il ne faut pas oublier de signaler le démarrage victorieux de Médéa qui s’est imposé à Saïda. Pour les autres confrontations, il y a le succès retentissant des Khroubis aux dépens des visiteurs Mostaganémois et le nul arraché par les Oranais de l’ASMO chez les Blidéens. Au total, 16 buts ont été inscrits pour le retour des pensionnaires de la Ligue 2 sur les terrains, soit une moyenne de 2 buts par match. Parmi les buteurs, Achiou et Bengorine ont réussi des doublés pour leur formation Belabessienne. H. C.
Résultats techniques :
MSP Batna - WA Tlemcen
|
0-0
|
AS Khroub - ES Mostaganem
|
3-0
|
USM Annaba - A Bou Saâda
|
0-0
|
AB Merouana - USMM Hadjout
|
0-1
|
NA Husseïn-Dey - US Chaouia
|
1-1
|
MC Saïda - O Médéa
|
1-2
|
USM Blida - ASM Oran
|
0-0
|
USM Bel-Abbès - CA Batna
|
5-2
|
Classement
|
Pts
|
J
|
1. AS Khroub
|
3
|
1
|
USM Bel-Abbès
|
3
|
1
|
O Médéa
|
3
|
1
|
USMM Hadjout
|
3
|
1
|
5. NA Husseïn-Dey
|
1
|
1
|
US Chaouia
|
1
|
1
|
MSP Batna
|
1
|
1
|
WA Tlemcen
|
1
|
1
|
USM Annaba
|
1
|
1
|
A Bou Saâda
|
1
|
1
|
USM Blida
|
1
|
1
|
ASM Oran
|
1
|
1
|
13. AB Merouana
|
0
|
1
|
MC Saïda
|
0
|
1
|
CA Batna
|
0
|
1
|
ES Mostaganem
|
0
|
1
|
|
|