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Actualités : Marché informel de l’or La fausse monnaie entre en jeu
Le marché informel de l’or d’Oued Kniss, à Alger, a pris ces derniers temps des proportions plutôt inquiétantes. En plus de la multiplication des revendeurs d’un or souvent douteux, la fausse monnaie y circule dans l’impunité totale, selon des témoignages recueillis sur place.
Mehdi Mehenni - Alger (Le Soir) Dimanche 25 août 2013. Il est 10h30. En bas du Ravin de la Femme sauvage, il est presque impossible de circuler sur le trottoir jouxtant le jardin public de Oued Kniss, où une centaine de revendeurs de l’or agressent des citoyens de passage. Même les automobilistes n’y échappent pas, puisque des jeunes forcenés, en mal de clients leurs coupent carrément la route pour vendre ou acheter de l’or. «Avez-vous quelque chose à vendre ?», c’est la phrase qui fuse de partout, souvent sur un ton vulgaire. Celui qui refuse de répondre à l’appel de ces jeunes déchaînés, visiblement drogués, a droit à toute sorte d’insultes. Certains fument de la drogue sans même prendre le soin de se cacher. «Ils défient l’Etat», murmure un passant qui ne comprenait pas comment l’autorité publique permet de tels dépassements. Mais l’image la plus choquante est, sans doute, celle de ces femmes d’un certain âge, assises à même le sol, le regard fuyant, drapées dans de déplorables habits, pour la plupart d’une odeur insupportable, portant des chaînes d’or autour du cou, des bracelets aux avant-bras et des bagues aux doigts. Difficile de croire qu’il s’agit d’une scène se produisant dans la capitale. «Voilà la carte postale d’Alger», ironise un autre passant. Ceci, côté trottoir. Côté jardin, c’est encore plus repoussant. Un espace vert, censé être celui du repos et de la détente, s’est vu transformé en un lieu de trafic en tous genres et bien évidemment de débauche. Ce n’est pas seulement l’or souvent douteux qui est proposé, mais aussi de jeunes femmes vulnérables présentées à la carte par de vieilles entremetteuses. Histoire de joindre l’utile à l’agréable ! Traînant leurs Hidjabs sur un sol pouilleux, d’un pas lourd à faire monter une poussière allergisante, ces vieilles femmes escortées de gros bras, ne se gênent pas pour lancer à ceux qui veulent l’entendre : «Or ou chair !». La dérive de trop Comme l’impunité continue, ouvre la voie à toutes les dérives, il y a un phénomène plutôt inquiétant qui a fini par gagner ce point noir de la capitale. La fausse monnaie. Les revendeurs comme les acheteurs d’or vérifient par deux fois les billets de banque qui circulent à Oued Kniss. C’est carrément une atmosphère de paranoïa qui plane sur les lieux. Chacun a une petite mauvaise expérience à raconter, dans ce cadre, mais ce sont souvent les femmes qui sont victimes de cette arnaque. Jamais personne n’est coupable, tous s’en lavent les mains et pourtant, les complicités sont à tous les niveaux. «J’ai une voisine qui a vendu une parure d’or d’une valeur de 150 000 DA de centimes. Plus de la moitié de la somme était en faux billets de 1 000 DA», jure par tous les saints une femme âgée la cinquantaine, interrogée sur place. Un jeune serveur dans une cafétéria, à vingt pas du jardin dit public de Oued Kniss, affirme que plusieurs personnes viennent par jour, l’air enragé, à la recherche d’arnaqueurs qui leur ont remis de faux billets. «Il fallait s’y attendre. Dans un endroit de trafic d’or et de prostitution, la fausse monnaie trouve tout simplement son milieu naturel, puisque toutes les caractéristiques lui sont favorables, à commencer par l’absence de l’Etat et l’impunité», dira un monsieur sexagénaire qui n’a pas pu s’empêcher de répliquer aux confidences du jeune serveur en question. Mais ce qui semblait le plus l’intriguer, c’est cet air de quiétude totale des revendeurs d’or qui ne prennent même pas de mesures de précaution. Ce qui l’amènera à dire : «Il y a anguille sous roche !». M. M.
Le mutisme des concernés Contactés, plus d’un représentant et professionnel du monde des bijoux ont refusé de s’exprimer sur la concurrence déloyale, à savoir les marchés informels de l’or qui affectent gravement cette profession. Quand bien même beaucoup sont contraints de mettre la clé sous le paillasson, d’autres dans la difficulté de joindre les deux bouts, préfèrent subir cette triste réalité dans le silence. C’est le cas d’un représentant qui n’a pas caché sa peur d’évoquer ce sujet : «Si vous voulez m’interviewer sur le problème des taxes douanières je suis disponible, mais celui de l’informel me dépasse. Cela relève des prérogatives de l’autorité publique.» Après insistance, il finira par lâcher le morceau : «J’ai déjà évoqué ce sujet, ce qui m’a coûté insultes et menaces venant de certaines parties que je ne citerai pas…». Un autre professionnel du secteur avoua quant à lui son choix de se retirer du monde de l’artisanat des bijoux sans faire trop de bruit. D’autres n’ont même pas daigné donner des explications, alors qu’il s’agit d’abord et après tout de leur propre intérêt. M. M.
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Actualités : Algérie poste Mahloul minimise l’impact du conflit
Le directeur général d’Algérie Poste s’est exprimé hier sur le mouvement de grève d’une semaine déclenché par les travailleurs, mercredi 14 août. Mohand Laïd Mahloul écarte toute éventuelle crise au sein de son entreprise. Il s’agit, selon lui, d’un arrêt de travail et non d’un mouvement de grève. Mieux, l’entreprise, dit-il, a généré une croissance d’activité de 11 millions de dinars par jour durant cette période.
Salima Akkouche - Alger (Le Soir) «Les postiers n’ont pas fait grève», affirmait hier le premier responsable d’Algérie Poste. M. Mahloul a été contraint de s’exprimer pour expliquer la situation qui prévaut au sein de son entreprise. Le 14 août dernier, les travailleurs ont déclenché une grève illimitée pour demander l’application de la convention collective de l’entreprise et la nouvelle grille des salaires. Une décision de justice déclarant ce mouvement de protestation illégal a contraint les travailleurs à reprendre le travail, jeudi, 22 août. Pour calmer les esprits, l’entreprise a procédé dès dimanche, 25 août, au versement de la deuxième tranche des rappels. Soit 30 000 dinars pour chaque salarié. Le Syndicat national autonome des postiers (SNAP) réagissait le lendemain. Qualifiant l’opération des versements d’«anarchique», il menace de paralyser à nouveau les bureaux de poste. Pour mettre les choses au point, le directeur général d’Algérie Poste a pris hier la parole. Selon lui «il n’y a pas eu de grève dans les bureaux de poste». Mahloul qualifie le mouvement déclenché sans préavis et qui n’a pas touché plus de 12 wilayas, «d’un arrêt de travail» qui a fini par se propager au niveau national suite à des informations «erronées». Il a souligné que 99% des bureaux de poste ont fonctionné. «Mardi et mercredi nous avons enregistré 330 établissements à l’arrêt et nous avons fait appliquer la loi», a indiqué le premier responsable d’Algérie Poste qui donne un taux de moins de 5% de suivi. Mahloul qui minimise l’impact de ce mouvement sur l’entreprise a indiqué que la croissance de l’activité enregistrée durant cette période a atteint les 11 millions de dinars par jour contre 7 millions de dinars enregistrée habituellement. Les transactions effectuées durant la même période ont dépassé les 500 000 retraits. Selon ce responsable, la plateforme de revendications ayant été formulée par le syndicat de l’entreprise affilié à l’UGTA a été traitée et réglée. La nouvelle grille des salaires avec effet au premier juillet 2013 contenue dans la convention collective des travailleurs d'Algérie Poste, signée le 10 juin dernier, sera appliquée à partir du mois d’octobre prochain. Pour les rappels avec effet rétroactif de janvier 2008, le DG d’Algérie Poste a expliqué que l’ensemble des travailleurs ayant travaillé au sein de l’entreprise durant la période allant du 1er janvier 2008 au 30 juin 2011 bénéficieront d’un effet rétroactif de 25% sur leur salaire de base. Deux tranches de ce rappel, de 30 000 DA chacune, ont été versées aux travailleurs et le reste leur sera versé en fonction de la situation financière de l'entreprise. Cette décision concerne aussi bien les retraités que les familles des travailleurs décédés dont la situation, explique le responsable, est en train d’être étudiée au cas par cas. Par ailleurs, concernant la santé d’Algérie Poste, l’entreprise reprend la forme petit à petit. Le premier responsable de l’entreprise a indiqué que le déficit de 1,5 milliard de dinars enregistré en 2010 a été réduit de moitié en 2011. «Aujourd’hui nous sommes équilibrés», a-t-il indiqué. Et de souligner : «Cet équilibre nous ne permet cependant pas de verser des sommes astronomiques aux salariés.» S. A.
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Actualités : EN VISITE D’INSPECTION Ziari veut un nouvel hôpital pour M'sila
Lors de la visite effectuée dans la journée de lundi dernier, et après avoir vu et écouté les griefs des citoyens sur la situation de l'hôpital Zehraoui du chef-lieu, le ministre de la Santé M. Abdelaziz Ziari a été convaincu que la ville de M'sila a besoin d'une nouvelle structure sanitaire digne d'une ville chef-lieu de wilaya, cette ville d'une capacité de 200 000 habitants. Dans sa déclaration au représentant de la presse nationale, M. Ziari a dit : «Si j'avais où mettre les malades hospitalisés, j'ordonnerai immédiatement sa fermeture et s'il y avait des inspections médicales cet hôpital serait fermé en 24 h.» Aucune chose n'a été faite depuis le départ du DSP et l'arrivée de celui qui est en poste actuellement, il en est de même pour l'actuel directeur de cet EPH. Toujours les mêmes problèmes d'insalubrité et le système défectueux de la canalisation du vide sanitaire, des toilettes bouchées, les eaux usées inondent la cave, les rats, les cafards et les moustiques côtoient les malades, le repas froid et inapproprié servi aux malades notamment aux pensionnaires du service d'hémodialyse. Pour le responsable de la santé, il s'agit d'un problème de gestion et non de moyens. Le ministre s'est interrogé sur l'achat d'un scanner hors de service depuis 5 ans, avant de continuer ses remarques sur la mauvaise gestion: «Il ne faut pas attendre une décision ou l'arrivée d'un haut responsable pour colmater un trou de souris dans le mur. Pour prendre le frottoir et la serpillière, ça ne demande pas des études supérieures», a-t-il ajouté. Pour le ministre de la Santé, un directeur de la santé de wilaya doit s'intéresser uniquement au travail de la santé. Il ne doit pas être un chef de chantier, «ça y est c'est fini le bricolage, prenez vos responsabilités». M. Ziari a accordé beaucoup d'importance au chef-lieu et a ordonné aux responsables de prendre leurs responsabilités et agir pour faire face aux insuffisances. Le ministre de la Santé a reconnu que l’hôpital de M'sila enregistre un manque flagrant de spécialistes. A cet effet, M. Ziari a déclaré qu'il «faut revoir la durée de service civil pour encourager les médecins à venir dans les wilayas des Hauts-Plateaux et au Sud, sachant que les médecins passent deux ans de service civil à Bou Saâda et trois à M'sila. Comme il a déclaré que 17 médecins seulement ont rejoint leurs postes de travail parmi les 45 affectés par le ministère et celui qui ne veut pas travailler, il ne sera affecté nulle part ailleurs», a-t-il ajouté. Le ministre de la Santé a ordonné la mise à disposition d’un catalyseur à l'instar de tous les hôpitaux du pays pour l'hôpital de Bou Saâda après avoir écouté un citoyen voisin de cet EPH qui s'est plaint de la fumée de l'incinérateur. A. Laïdi
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Actualités : APRÈS UNE BRÈVE ACCALMIE Vers une grève générale à El Hadjar
La filiale algérienne du groupe mondial de l’acier, ArcelorMittal Annaba, est confrontée ces derniers mois à une crise sans précédent du fait d’une intransigeance de sa direction générale concernant une réponse satisfaisante aux revendications des travailleurs contenues dans la plateforme datant, pour certains points, de plusieurs années. Devant cette situation, le syndicat désigné a appelé les travailleurs à une assemblée générale pour aujourd’hui, afin de se prononcer pour une grève générale illimitée. Le cas échéant, un préavis de grève sera émis pour une durée de huit jours. Lors de cette réunion, les travailleurs seront informés en détail sur les points de désaccord et sur l’échec des procédures de conciliation entamées avec l’employeur sous la supervision de l’inspection du travail d’El Hadjar. Les négociations entre les deux parties avaient été entamées au siège de cette dernière la semaine écoulée et se sont poursuivies le début de la présente semaine, mais se sont soldées par un échec. Pourtant, le syndicat avait porté sa principale revendication salariale de 30% à 24% tout en maintenant celles relatives à la prime de la femme au foyer à 3 000 dinars et du panier à 550 dinars/jour. En face, l’employeur n’a pas été au-delà de 10% d’augmentation pour les salaires et de 50 dinars/jour de plus dans la prime de panier qui est de 250 dinars actuellement. Ce qui représente deux points seulement de la plateforme de revendications comprenant neuf points liés à la situation socioprofessionnelle au sein du complexe. Outre l’augmentation salariale, les travailleurs, à travers leur syndicat, ont exigé la réintégration de leurs onze collègues licenciés abusivement. Et ce n’est pas le recours à l’ancien P-D.G d’ArcelorMittal Annaba, Vincent le Gouic, aujourd’hui responsable du groupe au Maghreb, avec résidence au Maroc, qui fera revenir les travailleurs sur leurs revendications qu’ils estiment justes. En effet, Vincent le Gouic est depuis ce lundi à Annaba où il se démène pour désamorcer la crise dans laquelle s’est empêtrée la filiale algérienne de son groupe. Par ailleurs, le partenaire étranger qui détient 70% du capital social de la filiale de Annaba contre 30% pour le groupe étatique Sider, ne fait que tergiverser ces dernières années pour le renouvellement et/ou la réhabilitation des installations du complexe. Celles-ci, ayant dépassé largement leur durée de vie, sont dans un état de vétusté avancé. Celles qui n’ont pas été fermées comme la cokerie, se trouvent présentement dans une situation dangereuse pour les travailleurs, mais aussi pour les habitants des agglomérations avoisinantes. A ce sujet, des sidérurgistes citent, entre autres, la détérioration de la couche réfractaire du haut-fourneau n° 2, et qui est rafistolée à chaque fois sans plus. Autre méfait pour l’économie nationale et que souligne le syndicat dans son communiqué, dont une copie a été adressée au Soir d’Algérie, c’est la volonté de la direction d’importer massivement des produits sidérurgiques de ses autres filiales au détriment de celle de Annaba. Sachant que la production d’acier liquide du complexe d’El Hadjar a été quantifiée officiellement pour toute l’année 2012 à 580 000 tonnes, alors que ses capacités théoriques sont de l’ordre de 2 millions de tonnes/an et que l’Algérie en consomme annuellement plus de 5 millions de tonnes. A. Bouacha
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Sports : Athlétisme / 11e Championnats d'Afrique juniors Plus de 300 athlètes attendus à Maurice
Plus de 300 athlètes issus de trente-deux pays dont l'Algérie sont attendus à Maurice pour participer aux 11e championnats d'Afrique des nations juniors, dont le coup d'envoi sera donné jeudi au stade Germain Commarmond à Bambous, pour trois demi-journées et une journée complète de compétitions, a rapporté, hier, le journal Le Mauricien. Outre l'Algérie, la compétition verra la participation d'athlètes d'Afrique du Sud, d'Angola, Bénin, Botswana, Burkina Faso, Burundi, les Comores, Egypte, Erythrée, Ethiopie, Gabon, Gambie, Ghana, Kenya, Lesotho, Liberia, Libye, Madagascar, Maroc, Maurice, Mozambique, Nigeria, Ouganda, RD Congo, Rwanda, Sénégal, Seychelles, Swaziland, Tunisie, Zambie et Zimbabwe. Au départ, le comité d'organisation pensait regrouper entre 20 et 25 pays, en raison de la courte durée de préparation (deux mois seulement), après le désistement de l'Afrique du Sud d'abriter l'événement. «Lorsque nous avons accepté d'organiser ces 11ès championnats d'Afrique d'athlétisme juniors en juin dernier (après le retrait de l'Afrique du Sud), nous étions à exactement deux mois de leur tenue. Nous sommes aujourd'hui fiers d'avoir pu relever ce défi», a déclaré le président du Comité d'organisation, Vivian Dinan. «Aujourd'hui, nous avons atteint le chiffre de 32 pays ayant confirmé leur participation. Ceci dépasse les espérances. Nous sommes vraiment très heureux», a tenu à souligner le président du COCAJ. Les 11ès Championnats d'Afrique des nations juniors d'athlétisme (29 août-1er septembre 2013) sont qualificatifs (réalisation des minima) aux Championnats du monde, prévus en 2014 aux Etats-Unis. En plus des journées de compétitions, d'autres événements sont programmés parallèlement, notamment la signature d'un protocole d'accord de partenariat entre l'Union Africaine (UA) et la CAA, en plus de l'organisation d'une cérémonie pour marquer les 100 ans de l'athlétisme qui ont été célébrés l'année dernière.
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Actualités : Le Bonjour du «Soir» Plus royaliste que...
Par Maâmar Farah Si j'ai bien compris, Sonatrach, tout petit actionnaire d'un groupe espagnol qui traite souverainement avec tous les pays du monde, aurait dû être vigilante lors d'une transaction entre ledit groupe et Israël. D'abord, quand on prend une participation dans une société étrangère, on ne peut pas l'obliger à suivre une ligne politique quelconque qui se traduirait inévitablement par des pertes de marchés suicidaires au moment où la crise frappe de partout, surtout si l'on n'est pas actionnaire majoritaire ! «Les affaires sont les affaires», dit-on et il n'y a vraiment pas de quoi être effarouché par une banale affaire commerciale impliquant deux sociétés étrangères dont l'une est espagnole et l'autre israélienne ! Quand on ambitionne d'accéder à l'OMC, on doit savoir qu'il ne s'agit plus d'un match de handball contre une équipe israélienne qu'on peut boycotter mais de régles économiques aux antipodes des petites coquetteries politiciennes d'un autre âge. Et d'ailleurs, il serait bon de rappeler que les premiers clients d'Israël sont les... Palestiniens ! maamarfarah20@yahoo.fr
«Du gaz israélien ? Ah bon ! Ils ont même du gaz... en plus des idées !» (Tata Aldjia)
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Culture : ACTUCULT
CENTRE CULTUREL MUSTAPHA-KATEB (5, RUE DIDOUCHE-MOURAD, ALGER) Exposition des artistes peintres : le brondi Kanani Eusebe et Asma Hamza.
Office Riadh-El-Feth, Alger mercredi 28 août à 21h : Concerts de cheba Yamina, Rabah Asma, Groupe El Hodna, Diwane El Waha (Béchar) et Abdelhamid Bouzaher. Salle Ibn-Zeydoun, dans le cadre du festival de «L’Eté en musique».
Casif de Sidi-Fredj, Alger Mercredi 28 août à 22h : Concerts de Zakia Mohamed, Abdelouahab El Bechari, Nadia Baroud, Hakim El Ankis, Naïma Ababsa.
Musée national des arts traditionnels et populaires Jusqu’au 31 août de 10h à 18h : Projection des films Musée national des arts et traditions populaires, La Broderie algérienne et le tissage en Algérie, de Bachir Yellès, témoin et acteur des arts et traditions populaires.
CENTRE CULTUREL MUSTAPHA-KATEB (5, RUE DIDOUCHE-MOURAD, ALGER) Exposition des artistes peintres : le brondi Kanani Eusebe et Asma Hamza.
Mostaganem, Maison de la culture Abderrahmane-Kaki 46e édition du théâtre amateur
Centre culturel de Haïzer et maison de jeunes Clôture de la 4e édition du Festival des montagnes, organisé par l’association Mimouna. Egalement à la piscine semi-olympique et la salle omnisports de Bouira.
Tizi-Ouzou Tournée du cirque Amar, du mardi 27 août au samedi 14 septembre
Librairie la renaissance (niveau 112, Riadh-El-Feth, El-Madania, Alger) En collaboration avec l’Office Riadh-El-Feth, la librairie La Renaissance organise une foire du livre durant les vacances d’été du 20/06/2013 au 21/09/2013, tous les jours de 9h à 20h au niveau 104. Cette foire vise un large public et sera enrichie par les livres pour enfants (contes, livres d’activités et d’apprentissage, livres parascolaires du niveau primaire au secondaire), de littérature, de médecine, de culture générale, des dictionnaires...
Musée National d’Art Moderne et Contemporain d’Alger (25, rue Larbi-Ben-M’hidi, Alger) Jusqu’au 30 août : Dans le cadre du 50e anniversaire de l’indépendance de l’Algérie, le Musée public national d’art moderne et contemporain d’Alger et l’Institut culturel italien d’Alger présentent l’exposition «Les photographes de guerre», avec les photographies Algérie 59 de Vittorugo Contino.
Institut français d’Alger (Alger-Centre) L'Institut français d'Alger organise un atelier de danse hip-hop du 15 au 19 septembre. L'atelier sera animé par le chorégraphe Brahim Bouchelaghem. Vous êtes danseurs amateurs ou professionnels, âgés de 18 à 30 ans ? Vous résidez à Alger ? Inscrivez-vous à l'adresse suivante : atelierdansehiphop2013.alger@if-algerie.com Avec nom, prénom, année de naissance, commune de résidence, tél portable et profession.
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