243-/-ACTUALITES DU JEUDI 28 AOÛT 2014
*****<
|
|
:-
|
الخميس 28 أوت 2014 م
الخميس 2 ذو القعدة 1435 ه
Abrogation de l’Article 87 bis : Réactions partagées des syndicats
Le commandant de l’Africom à Alger : L’Algérie est un partenaire «important»
Cession de 51% du capital de Djezzy: Les actionnaires de GTH approuvent la transaction
Education Nationale : Benghebrit reçoit tous les syndicats aujourd’hui
Mohamed El Ghazi, Ministre du travail : «Un nouvel article de loi redéfinira le SNMG»
Protection des femmes contre les violences conjugales : «Des mesures insuffisantes»
Dalila Djerbal. Sociologue, membre du réseau Wassila de lutte contre la violence faite aux femmes et aux enfants et responsable du centre d’écoute : «Il y a une clause dangereuse dans ce projet de loi»
Abdelaziz Rahabi à propos de la brutale éviction de Belkhadem : «Le Président prend l’Etat pour le parti»
Exportations algériennes : La tendance baissière s’aggrave
Smaïl Lalmas. Président de l’association Algérie Conseil Export (ACE) : «Les dérivés d’hydrocarbures représentent 60% des exportations hors hydrocarbures»
Eliminatoires CAN 2015, Algérie – Mali : Le match sera maintenu à Blida
Verts d’Europe : Brahimi s’illustre en Ligue des champions
Le Coin du reférée : La «vanité» en milieu footballistique a-t-elle des limites ?
Belhadj Mohamed. Karatman (6e DAN) : «J’ai formé une centaine de champions d’Algérie»
Sélection olympique algérienne : Premier stage avec Pierre-André Schurman
Soudani Djamel. Gloire du Basket-Ball : «Il faut revoir le système de compétition»
Fiscalité pétrolière : Baisse de 10% au premier semestre 2014
Cession de 51% de Djezzy à l’état : La décision sera prise aujourd’hui
Importations de blé : France, le mauvais fournisseur de l’année
Dégringolade des cours dU pétrole : La soutenabilité des budgets se lézarde
Indices
Téléphonie mobile : L’action de l’Etat dans Djezzy réévaluée
Libye : Une solution politique est-elle encore possible ?
Accord pour une trêve entre palestiniens et israéliens : Les Ghazaouis ont fêté leur victoire
Colombie : L’ancien bras droit de Pablo Escobar est sorti de prison
Tsunami : Risque de raz-de-marée de 23 m sur la côte ouest du Japon
Virus Ebola : Les pays victimes de l épidémie de plus en plus coupés du monde
France: Valls 2, le gouvernement de la dernière chance
Villégiature. Sousse (Tunisie) : La perle du Sahel
Festival du film africain de Cologne : Yemma et La preuve en compétition
Crépuscule des ombres nouveau film de Mohamed Lakhdar Hamina : Une fresque anticoloniale
Juliette Binoche. Actrice française : “Je veux tourner en algérie et dans le monde entier”
Casting : Mostra de Venise, Birdman lance la compétition
Tendance à Oran : Le vapotage fait un tabac
|
En Turquie, Erdogan entame son premier mandat de président
le 28.08.14 | 06h47 | mis à jour le 28.08.14 | 10h38
Le président islamo-conservateur turc Recep Tayyip Erdogan entame officiellement aujourd'hui un premier mandat de cinq ans à la tête du pays qui doit prolonger le règne sans partage qu'il y exerçait depuis 2003 en tant que Premier ministre.
Deux semaines après sa victoire sans bavure dès le premier tour du scrutin, M. Erdogan, 60 ans, doit prêter serment à 11h00 GMT devant le Parlement et succéder ainsi à son compagnon de route Abdullah Gül à un poste d'où il entend bien continuer à diriger la marche de la Turquie.
Pour s'assurer les coudées franches, l'homme fort de la Turquie a choisi un fidèle pour lui succéder à la tête du parti au pouvoir et du gouvernement, le chef de la diplomatie Ahmet Davutoglu.
La présence des chefs d'Etat et du gouvernement d'une dizaine de pays est annoncée à son investiture, dont le président ukrainien Petro Poroshenko, selon l'agence de presse gouvernementale Anatolie.
Sitôt en place, M. Erdogan doit charger jeudi son dauphin de former sa nouvelle équipe ministérielle, qui doit être présentée dès vendredi.
Les dirigeants des grands pays occidentaux, alliés de la Turquie au sein de l'Otan, se sont eux faits représenter, signe de leur défiance croissante envers un homme de plus en plus soupçonné de dérive autoritaire et islamiste.
Le chef du principal parti d'opposition, Kemal Kiliçdaroglu, a ainsi décidé de bouder la cérémonie de jeudi, au nom de la défense de la "démocratie".
- 'Aucun conflit' -
Malgré les critiques, les manifestations et les scandales qui l'ont éclaboussé, M. Erdogan a été élu chef de l'Etat avec 52% des suffrages le 10 août, dès le premier tour d'un scrutin disputé pour la première fois au suffrage universel direct.
De loin l'homme politique le plus populaire du pays depuis le fondateur emblématique de la Turquie moderne Mustafa Kemal Atatürk, il ne fait pas mystère de vouloir garder les rênes du pays jusqu'en 2023, date du centenaire de la République.
En lui remettant mercredi les clés de son Parti de la justice et du développement (AKP), Recep Tayyip Erdogan a clairement fait comprendre que M. Davutoglu poursuivrait la même voie politique que lui.
"Les noms changent aujourd'hui mais l'essence, la mission, l'esprit, les objectifs et les idéaux (que nous défendons) restent", a-t-il lancé dans son dernier discours de chef de parti.
"Ce n'est pas un adieu", s'est empressé d'ajouter le président Erdogan, qui a promis de "rester en contact" avec l'AKP, même si la Constitution lui impose de rompre tout contact au nom de sa nécessaire impartialité.
Déjà qualifié de "marionnette" par l'opposition, son successeur lui a clairement prêté allégeance.
"Nous allons construire la +nouvelle Turquie+ (le slogan électoral de M. Erdogan) main dans la main", a déclaré M. Davutoglu, "il n'y aura aucun conflit entre le président et son Premier ministre".
Dans la ligne des discours militants truffés de références religieuses de son prédécesseur, le futur Premier ministre a promis de poursuivre son combat contre les "ennemis de l'Etat", allusion au mouvement islamique de Fethullah Gülen honni par le régime, et accusé ceux qui ont manifesté en juin 2013 contre le gouvernement d'avoir voulu "détruire la confiance que nous avons rendue à notre peuple".
Comme le souhaite M. Erdogan, il a aussi fait sa "priorité" d'une réforme de la Constitution destinée à renforcer les prérogatives du président, jusque-là essentiellement protocolaires.
Un tel changement requiert une large victoire de l'AKP aux législatives prévues en juin 2015 afin d'obtenir la majorité des deux tiers (367 sièges sur 550) requise pour modifier la loi fondamentale. Le parti au pouvoir n'en détient que 313 aujourd'hui.
La composition de l'équipe ministérielle de M. Davutoglu fait l'objet de nombreuses spéculations.
Selon les indiscrétions parues dans la presse turque, l'actuel chef des services de renseignements (MIT) Hakan Fidan pourrait lui succéder à la tête de la diplomatie et les ministres en charge de l'économie et des finances devraient garder leurs portefeuilles pour rassurer les marchés financiers.
AFP
Protection des femmes contre les violences conjugales : «Des mesures insuffisantes»
le 28.08.14 | 10h00
Une injure, des intimidations, le viol. Face à un code pénal jugé permissif, la femme est devenue la cible privilégiée des violences en Algérie. Près de 12 000 Algériennes osent s’en plaindre chaque année. Beaucoup d’autres en souffrent en silence. Le projet de loi pour renforcer la lutte contre les violences faite aux femmes, adopté en Conseil des ministres, mardi, introduit quelques amendements «coercitifs» mais ne permet toujours pas de couper le mal à la racine.
Coups, brimades, viols… Dans 60% des cas, elles subissent la violence dans le cercle familial. Le projet de loi portant amendement du code pénal pour renforcer la lutte contre la violence à l’égard des femmes, examiné et adopté mardi par le Conseil des ministres, prévoit des sanctions envers l’époux coupable de violence, d’abandon, ou d’intimidations visant à priver l’épouse de ses biens.
Ce qui peut constituer une belle avancée. Mais, le texte prévoit, toutefois, que «dans toutes les situations évoquées ci-dessus, les poursuites sont abandonnées, si la victime décide de pardonner à son conjoint». C’est justement là que le bât blesse. Des membres du mouvement associatif dénoncent une clause «dangereuse», voire «vicieuse», qui banalise la violence conjugale et ne protège pas la femme contre toutes les pressions sociales et familiales qui l’empêchent souvent de porter plainte contre son mari.
«Ce projet de loi est un acquis, une avancée sur laquelle nous n’aimerions pas rechigner, mais cette clause pose un sérieux problème», explique Nouria Hafsi, secrétaire générale de l’Union des femmes algériennes (UNFA). «Déjà que la femme ne dépose pas plainte facilement contre son époux, elle attend que les violences atteignent leur paroxysme pour oser se plaindre par peur des représailles de la famille et du regard des gens dans la société.
Cette clause vient encourager la femme à pardonner alors que ça devrait être le contraire», ajoute-t-elle. Pour cette dernière, «si l’on veut réellement stopper les violences conjugales, la justice doit maintenir les poursuites même lorsque la femme pardonne». Elle est loin d’être la seule à le penser.
La justice ne doit pas pardonner !
Dans le domaine associatif, où les militantes sont quotidiennement confrontées à des femmes en situation de détresse, cette clause pose un problème de fond. La pression sociale qui normalise souvent la violence conjugale se trouve confortée par ce texte. «Le principe même du pardon en cas de violence conjugale me dérange», tranche Cherifa Kheddar, présidente de l’association Djazairouna et porte-parole de l’Observatoire des violences faites aux femmes (OVIF). «Je trouve cette clause vicieuse, c’est comme si on faisait un clin d’œil aux institutions de l’Etat pour leur dire de pousser les femmes à pardonner», dit-elle.
Elle note une avancée à travers l’adoption de ce projet de loi, mais ne manque pas de rappeler qu’il faut plus. «Le fait que la violence à l’égard des femmes soit devenue un débat public pris en charge par le gouvernement est une très bonne chose, mais il faut aller vers une loi-cadre pour lutter efficacement contre ce problème», explique-t-elle encore. L’adoption d’un arsenal juridique qui puisse protéger la victime et l’accompagner dans toutes ses démarches constitue la véritable attente de ces militantes.
Mais pas seulement. Il y a également la question de l’application de toutes les mesures adoptées. «Si cette loi est adoptée par le Parlement, il faut ensuite penser à des mesures d’application concrètes d’accès à la justice» note, pour sa part, Dalila Djerbal, membre du réseau Wassila de lutte contre la violence faite aux femmes et aux enfants. Pour elle, ce n’est pas qu’une affaire de loi. «Toutes les institutions de l’Etat doivent jouer le jeu pour que ces lois ne restent pas lettre morte», plaide-t-elle en citant de nombreux témoignages de femmes battues par leur mari et dissuadées de porter plainte dans des commissariats ou de se présenter dans les bureaux des médecins légistes.
Un constat partagé par Cherifa Kheddar, qui condamne le fait que «la violence conjugale soit acceptée dans notre société». Pour Nouria Hafsi, secrétaire générale de l’UNFA, l’école joue un rôle primordial puisque c’est aussi «une question de culture». Peut-être, est-ce le seul espace où l’on peut traiter le mal à la racine.
Bouredji Fella
|
Exportations algériennes : La tendance baissière s’aggrave
le 28.08.14 | 10h00
La tendance baissière des exportations algériennes, ressentie depuis 2012 et qui s’est accélérée durant l’année 2013, ne cesse de s’aggraver. En effet, leur montant global s’est contracté de 2,91%, à 22,035 milliards de dollars durant les quatre premiers mois de l’année 2014, contre 22,695 milliards de dollars à la même période en 2013, selon les chiffres qui nous ont été communiqués par l’Agence nationale de promotion du commerce extérieur (Algex).
Ce recul est attribué à une baisse des recettes des hydrocarbures (-3,83%). En revanche, les exportations hors hydrocarbures ont augmenté de 23%, pour atteindre 974 milliards de dollars pendant les quatre premiers mois de l’année en cours, contre 795 milliards de dollars à la même période en 2013. Peut-on se réjouir ?! «Cette progression, bien que positive, reste faible sachant que les exportations hors hydrocarbures ne représentent que 3% du total des exportations du pays», affirme Boukhalfa Khemnou, le directeur général d’Algex, ajoutant que la plupart des entreprises algériennes préfèrent écouler leurs produits sur le marché local et évitent de se lancer dans des opérations d’exportation qu’elles considèrent comme complexes et risquées.
Celles qui exportent sont au nombre de 900, sachant que seules 450 d’entre elles exportent de façon régulière. Les autres font des opérations d’exportations occasionnelles, elles écoulent généralement leurs produits lors des manifestations organisées à l’étranger (une vingtaine par an, réparties sur les 5 continents). «En dépit de l’évolution qu’ont connue le secteur agroalimentaire et certains secteurs de l’industrie, le plus gros de la production est consommé sur le marché intérieur. La capacité d’absorption de ce marché est très élevée, surtout avec l’augmentation des salaires et l’amélioration du niveau de vie des citoyens», renchérit notre interlocuteur.
L’Europe, premier client
Mais quelles sont ces entreprises qui exportent ? D’après Boukhalfa Khemnou, ce sont celles qui ont pu se placer sur le marché local et au fur et à mesure ont développé un savoir-faire qui leur a permis de maîtriser les outils nécessaires pour travailler à l’international, selon les normes. Ces entreprises ont pu placer leurs produits sur des marchés très normalisés et exigeants, tels que l’Europe, qui absorbe le plus gros des exportations algériennes hors hydrocarbures (1,757 milliards de dollars en 2013, soit 81%), suivie de l’Afrique (10%) et l’Asie (7%).
C’est le cas de Cevital, NCA Rouiba, Vitajus et d’autres qui sont de pures exportatrices car leurs produits ne sont pas consommés en Algérie, tels que la caroube (3 ou 4 entreprises algériennes l’exportent). «Le gros du chiffre d’affaires est fait par moins d’une dizaine d’entreprises, à savoir Sonatrach via ses filiales, Cevital, Fertial et Somiphos, l’essentiel de nos exportations va vers l’Europe, et quelques pays de la zone arabe de libre-échange (Zale)», indique Smaïl Lalmas, président de l’association Algérie Conseil Export (ACE).
Une réglementation des changes contraignante
S’agissant des difficultés rencontrées par ces entreprises exportatrices, nos deux interlocuteurs s’accordent à dire qu’elles sont nombreuses. Ils citent l’absence d’interlocuteur identifié et visible pour orienter et aider les opérateurs algériens, la bureaucratie qui persiste, malgré les mesures de facilitation prises par les pouvoirs publics. Mais aussi le fait que les banques algériennes n’accompagnent pas les exportateurs, elles préfèrent financer des opérations d’importation qui génèrent plus de ressources.
Il y a également la réglementation des changes qui est contraignante. «Jusqu’à présent, les revenus ne sont pas utilisés par les entreprises comme elles le veulent. La réglementation de la Banque d’Algérie fait que seule une infime partie générée par l’entreprise exportatrice peut être utilisée librement par celle-ci, une part doit être reversée à la Banque d’Algérie et ce qui reste est converti en dinars», explique le directeur général d’Algex.
Smaïl Lalmas, lui, constate que ces problèmes, déjà posés il y a 20 ans, sont toujours d’actualité. «Nous faisons du surplace et nous continuons malheureusement à gérer ce sujet de la même manière, donc il ne faut pas espérer de meilleurs résultats avec les mêmes méthodes et les mêmes personnes», déclare-t-il, ajoutant que vouloir se positionner à l’international requiert une politique d’exportation qui s’appuie avant tout sur un tissu industriel intense et diversifié, susceptible de proposer des produits concurrentiels avec une maîtrise parfaite des quatre paramètres de production, à savoir, la qualité, la quantité, les délais et les coûts.
La bureaucratisation des procédures et de ces mesures prises pas les pouvoirs publics a fini, selon notre interlocuteur, par rendre l’acte d’exporter si contrariant que beaucoup d’opérateurs se sont rabattus sur le marché domestique, limitant leur activité à satisfaire la demande intérieure. Il en est de même pour les procédures douanières, qui ne facilitent nullement un développement stable et pérenne à l’export, à cause des lenteurs pesant sur les délais de livraison, malgré les améliorations enregistrées depuis quelque temps.
Les exportateurs souffrent aussi d’un manque criant en termes de logistique, ce qui compromet la compétitivité des produits nationaux à l’international et rend les destinations, notamment les plus lointaines, difficiles à pénétrer. «Il faut aussi débureaucratiser le Fonds de soutien pour les exportations (FSPE) qui ne joue pas pleinement son rôle, il doit être réformé et géré de façon plus souple et le mettre au service de tous les exportateurs sans exclusive», préconise t-il.
Y a-t-il une volonté politique ?
Si les politiques «export» ont échoué en Algérie, cela ne s’explique pas par l’absence de volonté politique. C’est du moins ce que constatent nos deux interlocuteurs. «La volonté politique existe, mais la méconnaissance du sujet par nos responsables et le fait qu’ils s’entourent toujours des mêmes conseillers et des mêmes personnes donnent automatiquement les mêmes résultats depuis 20 ans», soutient le président de l’association (ACE). Boukhalfa Khemnou affirme pour sa part l’existence de plusieurs dispositifs juridiques et réglementaires qui encouragent les entreprises à exporter.
Certes, ces dispositifs sont à parfaire, car il y a eu des évolutions depuis le moment où ils ont été mis en place, mais ce qui manque à l’Algérie est, selon lui, une stratégie d’export avec des objectifs tracés qui permettrait d’avoir une vision claire à long terme. «Ce n’est que maintenant qu’on commence à en parler», regrette-t-il. Il convient également de revoir la politique d’importation. Celle-ci a augmenté de 9% pour atteindre 54,85 milliards de dollars en 2013, contre 50,37 milliards de dollars en 2012.
«Nous importons tout et n’importe quoi. Il faut importer uniquement les produits qu’on ne peut pas produire chez nous», dit-il, ajoutant : «L’exportation est l’affaire de l’entreprise avant tout. L’acte d’exporter ne concerne que les entreprises, les autres acteurs, tels le ministère du Commerce, Algex et la Safex, ne sont là que pour les sensibiliser, les encourager et les accompagner. Malheureusement, au niveau des entreprises algériennes, la culture d’exporter n’est pas bien ancrée.
Elles sont frileuses par rapport à la prise de risque lié à l’exportation. Pourtant risque et entrepreneuriat sont liés. D’autant plus qu’il s’agit d’un risque qui peut être mesuré moyennant une démarche constructive, en menant des études prospectives et des études de marché. En plus, il y a la Compagnie algérienne d’assurance et de garantie des exportations (Cagex) qui couvre ce risque.» «De toute façon, avec l’ouverture du marché algérien aux produits de l’UE et l’adhésion du pays à l’OMC, les entreprises algériennes n’auront pas le choix, elles devront s’orienter vers l’exportation», renchérit le directeur général d’Algex.
Hind Slamani
|
; |
|
******************************************************************************
Lorsque les anciens chefs de gouvernement passent à l’opposition Abdelaziz Belkhadem rejoindra-t-il les rangs de l’opposition ? Sans doute. Même si l’on ignore encore la forme que choisira le désormais ex-ministre conseiller, il va sans dire que ce ténor de la classe politique qui a occupé le devant de la scène depuis les années soixante dix, ne va pas Suite... |
||||||||||||||||||||||||||||
Consulter toute l'édition d'aujourd'hui
|
***************************************************************************************************************************************************************************************************************************************************
A découvrir aussi
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 5 autres membres