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Actualités : LES DESSOUS DU COUP DE FORCE AU FLN Saïdani sur un siège éjectable
Amar Saïdani a pris officiellement possession du siège du Front de libération nationale sis à Hydra, à Alger, depuis hier, au matin. Sans la moindre anicroche et sans surprise, d’ailleurs. Ce qui consacre définitivement le coup de force à l’origine de la cooptation de Saïdani à la tête du parti. Un putsch pour lequel Bouteflika avait mobilisé toutes les institutions de l’Etat.
Kamel Amarni - Alger (Le Soir) - telle enseigne que le ministre de l’Intérieur, Daho Ould Kablia, recevant le désormais ex-coordinateur national du parti, Abderrahmane Belayat, qui venait se plaindre de l’injustice dont il fut victime cause de la partialité de l’administration et de la justice, lui confiera sèchement «Monsieur Belayat, ne me parlez pas du volet juridique. Toi et moi savons que tu as entièrement raison !» Il lui aurait ajouté : «Toi comme moi, nous savons que les choses ne se passent pas de cette manière au FLN. Il y une instruction que nous appliquons, et c’est tout.» Cet invraisemblable aveu, fait à ce niveau, ne peut surprendre sous Bouteflika Depuis 2003 et le coup de force opéré contre Ali Benflis, contre lequel s’était liguée la justice «de la nuit», le ministère de l’Intérieur, la chefferie du gouvernement, etc., cela relève désormais de la banalité ! Mercredi dernier, en effet, ce scénario s’est reproduit presque à l’identique. Le Conseil d’Etat annulait une autorisation délivrée par la Wilaya d’Alger au profit du clan Saïdani pour la tenue d’une session du comité central à l’hôtel El- Aurassi. Une décision censée être sans appel et rendue publique en fin d’après-midi annulant de fait la session du lendemain, jeudi. Or, une autre décision, transmise par téléphone, fera que l’on passe outre une décision de la justice ! «L’on a tenu la session de l’hôtel El-Aurassi sans autorisation de la wilaya d’Alger ! Le directeur de l’établissement hôtelier, qui est étatique, faut-il le préciser, avait été appelé au téléphone pour laisser faire. Voilà comment les choses se sont réellement passées», nous révèle une source très bien informée. Un autre «coup de fil» fera actionner la chambre administrative qui, le jeudi matin, prend «l’initiative» de s’autosaisir pour prendre une autre décision, annulant… l’annulation prononcée par une juridiction supérieure, le Conseil d’Etat ! Une décision prononcée dans l’urgence et truffée de contradictions et même de fautes de langue et de dates. C’était juste pour «maquiller» le coup de force et sauver un tant soit peu les apparences. «Mais là où les gens se sont trompés de lecture, c’est lorsqu’ils accusent le Conseil d’Etat d’avoir renié sa propre décision. Non, il faut savoir que le Conseil d’Etat est resté sur sa décision, à savoir interdire la réunion du comité central convoquée par le groupe de Amar Saïdani. Et cette affaire-là remontera inévitablement à la surface le moment voulu. Car beaucoup ignorent qu’en fait d’affaire juridique, il y en a deux. L’une en référé et qui a finalement permis au groupe Saïdani de tenir sa rencontre avec la complicité de la chambre administrative et l’autre sur le fond de l’affaire qui va prendre beaucoup de temps. Elle prendra des mois. En général, les magistrats se donnent aussi le temps avant de revenir à la charge. En l’espèce, ils savent que le rapport de force en ce moment est en faveur de Amar Saïdani, sur le plan politique. Mais rien ne garantit que cela durera éternellement.» Autrement dit, une nouvelle situation politique défavorable à ceux qui ont parachuté Saïdani déclenchera de fait les foudres de la justice contre lui. «Tout cela, Bouteflika et les responsables qu’il avait mobilisés dans cette affaire le savent très bien. C’est pourquoi il n’y a pas eu d’autorisation écrite de la Wilaya d’Alger pour la réunion de jeudi dernier. C’est pour ne pas laisser de traces.» Tout simplement. K. A.
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Régions : 7e ÉDITION DE LA FÊTE DE LA FIGUE DE LEMSELLA Les promesses non tenues des pouvoirs publics
Rien de vraiment notable n’est venu améliorer les conditions des agriculteurs et agricultrices de Lemsella, dans la commune d'Illoula, à 65 km à l'est de Tizi-Ouzou, jaloux de leurs lopins de terre accrochés à la montagne et recelant des figuiers aux fruits généreux. Ce constat amer se lit sur les visages dépités des organisateurs abreuvés chaque année de promesses des pouvoirs publics comme cette unité de séchage destinée à huit agricultrices en 2012. Cette nouvelle fut accueillie avec satisfaction par les villageois qui ont tenu une AG extraordinaire pour désigner les huit bénéficiaires avant de déchanter. Car aucune suite n’a été donnée à ce projet qu’on dit dépendant de la Banque africaine. Ainsi en est-il des projets miroités des PPDRI et autres promesses qui s’évaporent le temps d’un festival. Pour l’heure, les villageois doivent se contenter de petites subventions destinées à maintenir l’événement figé dans son aspect festif en attendant des jours meilleurs pour les agriculteurs qui comptent sur leurs propres moyens pour préserver ce fragile patrimoine autrefois moyen incontournable de subsistance de nos ancêtres. La nouveauté dans cette 7e édition inaugurée par le sénateur M. Tamardataza, la présence de représentants de l’APW et de la Direction de la culture et du tourisme, des services agricoles, un recensement des variétés de figues de la région et une proposition d’un projet de réalisation d’une maison du terroir pour valoriser ce potentiel économique. Séduit par la volonté des organisateurs et prônant l’unité, le sénateur, qui a souligné «la dignité et la noblesse» de leurs actions, les a exhortés à persévérer dans leur «travail de résistance pour la culture». Outré par les engagements non tenus, il a promis de transmettre en haut lieu les doléances des organisateurs, arguant que les décideurs «n’ont pas le droit d’anesthésier leur volonté de réanimer ce patrimoine culturel et identitaire». La 7e édition, qui a reçu des exposants d’Alger, Béjaïa, Boumerdès, Ouargla et de Tissemsilt, ambitionne de bénéficier d’une auberge pour l’hébergement des visiteurs. L’on déplore par ailleurs que l’appel des organisateurs ait eu peu de répondant hormis leurs fidèles partenaires de Beni Maouche. Ce n’est pas pour autant que les agriculteurs de Lemsella baissent les bras puisque la figue connaît un regain d’intérêt avec les initiatives locales de plantation, de greffage et de sauvetage de figueraies en perdition. La fête vaudra aussi par la large gamme d’activités culturelles tissées autour de l’événement avec des quiz, des conférences, des concours de chant et de danse, des joutes théâtrales et autres récitals venus égayer ces majestueuses montagnes, heureuses de renouer avec la culture et les hommes. S. Hammoum
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Actualités : CONFÉRENCE NATIONALE DE L’ÉDUCATION Le discours de Sellal salué par le Satef
«Nous sommes soulagés d’entendre£ M. le Premier ministre parler sans tabou et sans langue de bois, contrairement à ce qu’on avait l’habitude d’entendre de nos anciens gouvernants depuis 1962», écrit, d’emblée le Satef dans sa déclaration, qualifiant de «courageuses et de scientifiques les orientations» du premier responsable du gouvernement dont le discours tranche avec le discours officiel habituel, selon le Satef qui se dit rassuré sur la justesse de ses revendications et du combat que ce syndicat dit avoir mené «pour une école publique, républicaine, de qualité et accessible pour tous. Nous avons revendiqué à réhabiliter les mathématiques dans la place qui est la leur dans notre système éducatif et encourager l’enseignement des langues étrangères», écrit le Satef qui se dit fier que le Premier ministre «reprenne et défende la même vision de l’école que nous». Mais là où le Satef met un bémol à son triomphalisme, c’est lorsqu’il évoque les problèmes structurels, logistiques et organisationnels inhérents au système éducatif. Les problèmes de l’année précédente sont toujours là : il y aura toujours la surcharge des classes, la non-ouverture des cantines scolaires dès le premier jour, la distribution des livres scolaires en retard, le manque d’enseignants malgré le recrutement effectué le 12 août dernier, le problème du logement, la médecine du travail et les postes aménagés, le problème des œuvres sociales qui sont toujours mal gérées, le problème du statut particulier qui reste toujours posé pour certaines catégories de travailleurs qui ont été lésées», écrit le Satef qui déplore l’abandon du dossier des rythmes scolaires «jeté à la poubelle depuis mai 2011». Mitigé est le constat du Syndicat autonome de l’éducation et de la Le Satef, Syndicat autonome de l’éducation et de la formation, s’est félicité des positions prises par Abdelmalek Sellal lors de son discours prononcé devant les cadres de l’Education réunis en conférence nationale, samedi dernier à Alger. formation au sujet de l’évaluation de la réforme du système éducatif, dénonçant «l’immobilisme» du ministère de l’Education au sujet de cette question «remise aux calendes grecques alors qu’il (le ministre) avait promis de tenir des journées d’étude durant la première semaine de juillet£ 2013 !», déplore le Satef, en conclusion de sa déclaration. S. A. M.
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Sports : LIGUE 1 (2e JOURNÉE) L’intensité pas encore au rendez-vous
En cette deuxième étape du championnat national de Ligue 1, force est de constater que la hiérarchie tarde à se mettre en place, que les nouveaux pensionnaires découvrent la vraie réalité technique de la compétition en ce palier et que les pronostics émis par les coaches et responsables de la majorité des équipes ne sont pas encore «palpables » et qu’ils étaient plus «fanfaronnants» qu’autre chose. Donc, pour le spectacle il faudra repasser.
Des confrontations attendues avec intérêt, rares étaient les présents qui ont gardé de bons souvenirs. Que ce soit lors des derbys ou des chocs, les spectateurs sont sortis déçus par les débats et l’évolution des acteurs. Nous pensons à ceux de Tizi Ouzou, du 5-Juillet, de Bordj Bou-Arréridj entre autres. Des formations ayant bien entamé la compétition, une seule a confirmé et il s’agit du Mouloudia d’Alger qui a su s’imposer et par là-même occuper en solo le fauteuil de leader avec, s’il vous plaît, deux longueurs d’avance sur un quatuor inédit. Cependant, bien que la partie ait été plaisante à suivre, les Mouloudéens ont gagné mais ils sont loin d’avoir été supérieurs à leurs adversaires venus d’Aïn Fekroune. Ces derniers, faisant leur apprentissage en ce palier n’ont pas été ridicules. Au contraire, ils auraient pu repartir chez eux avec un meilleur résultat. Ayant les regards des sportifs, des puristes braqués sur eux, les Tizi-Ouzéens et les Usmistes d’Alger ont excellé par un jeu plus physique que spectaculaire. Lors de ces débats, l’arbitre Abid Charef a passé plus de temps à «sanctionner» qu’à apprécier le beau jeu qui était attendu des 22 acteurs sur le terrain. Aussi le football était absent au grand dam des milliers de spectateurs. C’était plus du jeu terne, de l’engagement physique à la limite de la correction et de la nervosité. Des Sanafir métamorphosés Cette explication entre les Harrachis qui recevaient les Constantinois était attendue pour voir la réaction aussi bien des banlieusards d’Alger que des visiteurs après leur ratage de samedi dernier. Mais de là à enregistrer une victoire des visiteurs était inattendu et surprenant, engendrant un mini-«séisme» dans la maison des «Jaune et Noir». Loin d’être impressionnés par leurs adversaires qui les recevaient dans leur stade fétiche, les Sanafir l’ont rallié pour réussir un véritable «hold-up». Ainsi, les Harrachis qui nous avaient habitués à de meilleures entames de saison deviennent amorphes et devront se ressaisir. Ayant «corrigé» les Harrachis chez eux à l’entame de cet exercice, les gars de la Saoura se devaient confirmer leur allant victorieux et ils l’ont remarquablement fait à Béjaïa. Les locaux sont revenus de très loin pour égaliser en fin de partie, démontrant ainsi qu’ils sont en apprentissage en ce palier. Sous la férule de coachs revenant au bercail, que sont Meziane Ighil pour Chlef et Gamondi pour Belouizdad, ces deux formations ont animé, chacune à sa manière une mi-temps. Mais ce sont les locaux qui ont su matérialiser leurs essais et sortir vainqueurs sans que les visiteurs n’aient à rougir. Attendu comme un match très ouvert, ce derby des Hauts-Plateaux, entre Bordjiens qui accueillaient les Eulmis s’est caractérisé par un jeu fermé des deux camps. Sans doute, le caractère de cette partie a influé négativement sur le cours des débats. Aussi, les deux coachs devraient revoir leurs copies. Les Crabes se ressaisissent Encore «sonné» par son entame de la saison par la correction subie à Bologhine face à l’USM Alger, le Mouloudia de Béjaïa continue à faire son apprentissage en ce palier. Accueillant les Sudistes de la Saoura, les locaux, sous la houlette de Rahmouni ont été menés au score, la majeure partie du temps. Ils sont revenus de très loin en réussissant à égaliser en fin de partie. Aussi, ils ne doivent pas se décourager. Pour la Jeunesse de Béjaïa, la réaction a été plus positive, aux dépens du Chabab de Larbaâ contrainte, chez elle, à partager les points. Bien que les Béjaouis n’arrivent pas à retrouver leurs repères, du fait de la jeunesse de l’effectif, ils se sont secoués pour profiter de l’inexpérience des nouveaux pensionnaires de ce palier.
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Sports : JUDO MONDIAUX-2013 Teddy Riner est insatiable
Majestueux avec son 6e titre mondial, le Français Teddy Riner veut voir encore plus grand : il vise un deuxième titre olympique aux Jeux de Rio en 2016, voire un troisième en 2020, condition sine qua non pour entrer dans la légende.
Le champion olympique 2012 (+100 kg) a livré une journée titanesque samedi lors des Mondiaux-2013 à Rio pour coiffer sa sixième couronne planétaire. A 24 ans, il détient le record de médailles d'or mondiales chez les messieurs et pour s'adjuger le record absolu, il devra faire mieux que la Japonaise Ryoko Tani (-48 kg), sept fois championne du monde entre 1993 et 2007. Ce devrait être mission accomplie en 2015 alors que les Championnats du monde ont lieu tous les ans depuis 2009 (ce n'était que tous les deux ans sous l'ère Tani). Mais il n'en sera pas pour autant le plus titré de tous les temps. Chez les lourds, le Français David Douillet et le Japonais Hitoshi Saito sont encore) au-dessus de lui avec deux titres olympiques. Riner, qui domine outrageusement sa catégorie avec encore une belle marge de progression, devrait rejoindre en toute logique ses illustres prédécesseurs à Rio en 2016. Animé par l'envie d'être le plus grand de tous, le champion devra alors poursuivre encore sa route jusqu'en 2020. «Ce que Teddy veut, c'est vraiment entrer dans la légende. Et pour entrer dans la légende, il faut qu'il aille chercher trois titres olympiques. Sans parler des Championnats du monde ! C'est jouable. Il en parle, il le sait très bien», raconte à l'AFP l'entraîneur du champion en équipe de France, Franck Chambily.
Euro-2014 à Montpellier Dans toute l'histoire du judo, seul un athlète, toutes catégories messieurs et dames confondues, a réussi cet exploit. Il s'agit d'un poids léger (-60 kg), le Japonais Tadahiro Nomura, sacré trois fois à la suite 1996, 2000, 2004). Une performance exceptionnelle tout à fait à la mesure de l'ogre français, dont la gestion de carrière sera alors primordiale, prévient l'entraîneur national des messieurs. «Si un +60 kg a réussi, Teddy sera capable de le faire. Toute la difficulté sera pour la Fédération et les gens en place. Parce qu'à vouloir toujours l'aligner car on le considère comme l'homme qui ramène des médailles et qui sauve le truc à chaque fois, on va l'assécher», avertit Stéphane Frémont dans un entretien à l'AFP. «Si son ambition est de gagner un 3e titre olympique, il faudra qu'après les Jeux de 2016, s'il est champion olympique, il vaque à d'autres occupations pendant un an ou deux. Il sera toujours temps de revenir. Mais c'est possible», poursuit- il. Dans ce cadre, Riner pourrait s'inspirer de l'exemple Nomura, qui avait observé un break de deux ans après les JO de 2000 pour revenir en force le jour J. En 2020, Riner aura 31 ans, l'âge qu'avait Douillet lors de son 2e titre olympique (en 2000), décroché après un grave accident de moto. Riner a, d'ailleurs, fait la preuve lors des Mondiaux- 2013 qu'il pouvait s'imposer, qui plus est avec la manière, au terme d'une année parsemée de blessures. Une pubalgie en avril puis une blessure à l'épaule début juillet, qui nécessitera peutêtre une opération. «Il faudra voir dans quel état est son épaule. Une opération c'est trois mois d'immobilisation et il sera débarrassé. Il faudrait qu'il la fasse maintenant. Il ne faut pas que son épaule mette en péril sa conquête de titres», souligne Frémont. Car le prochain objectif pointe déjà à l'horizon : le titre continental en avril 2014 lors des Championnats d'Europe à Montpellier (France). Riner ne devrait pas pouvoir faire l'impasse.
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Culture : ACTUCULT
INSTITUT CULTUREL ITALIEN, ALGER Samedi 7 septembre, à partir de 10h : Journée portes ouvertes aux personnes souhaitant apprendre la langue italienne. Adresse : 4 bis, rue Yahia- Mizouni, El-Biar. COMPLEXE CULTUREL ABDELOUAHEB-SELIM, TIPASA Jusqu’au 14 septembre : Exposition de l’artiste peintre Samira Bouaziz. SALLE EL-MOUGGAR, ALGER Jusqu’au 14 septembre : Projection du film Camping à la fermede Jean-Pierre Sinapi (14h-16h-18h et 20h, sauf lundi 9 septembre). Du 16 au 30 septembre : Projection du film L’archipel des sablesde Ghaouti Bendeddouche (14h-16h-18h et 20h, sauf dimanche 22 septembre). PALAIS DE LA CULTURE, TLEMCEN Jusqu’au 15 septembre : Festival culturel local «Lire en fête» MAISON DE LA CULTURE, BIBLIOTHÈQUES ET LIBRAIRIES, MOSTAGANEM Jusqu’au 15 septembre : Festival culture local «Lire en fête». MAISON DE LA CULTURE MOULOUD-MAMMERI, THÉÂTRE RÉGIONAL KATEB-YACINE, TIZI-OUZOU, ET DANS DIFFÉRENTES LOCALITÉS DE LA WILAYA Jusqu’au 13 septembre : Festival culturel local «Lire en fête». CENTRE CULTUREL MUSTAPHA-KATEB (5, RUE DIDOUCHE- MOURAD, ALGER) Jusqu’au 10 septembre 2013 : Exposition des artistes peintres Eusebe Kenani (Burundi) et Asma Hamza. LE MUSÉE DANS LA RUE À LA GRANDE-POSTE, ALGER Jusqu’au 5 septembre : La grande manifestation «Le musée dans la rue» se tient à la place de la Grande-Poste. Les musées exposent leurs travaux, leur histoire et leurs activités. Des animations diverses pour enfants sont programmées : conte, initiation à la préhistoire, calligraphie, mosaïque... TIZI-OUZOU Tournée du cirque Amar, du mardi 27 août au samedi 14 septembre LIBRAIRIE LA RENAISSANCE (NIVEAU 112, RIADH-EL-FETH, EL-MADANIA, ALGER) En collaboration avec l’Office Riadh-El-Feth, la librairie La Renaissance organise une foire du livre durant les vacances d’été du 20/06/2013 au 21/09/2013, tous les jours de 9h à 20h au niveau 104. Cette foire vise un large public et sera enrichie par les livres pour enfants (contes, livres d’activités et d’apprentissage, livres parascolaires du niveau primaire au secondaire), de littérature, de médecine, de culture générale, des dictionnaires... INSTITUT FRANÇAIS D’ALGER (ALGER-CENTRE) L'Institut français d'Alger organise un atelier de danse hip-hop du 15 au 19 septembre. L'atelier sera animé par le chorégraphe Brahim Bouchelaghem. Vous êtes danseurs amateurs ou professionnels, âgés de 18 à 30 ans ? Vous résidez à Alger ? Inscrivez-vous à l'adresse suivante : atelierdansehiphop2013. alger@if-algerie.com. Avec nom, prénom, année de naissance, commune de résidence, tél portable et profession. INSTITUT CULTUREL ITALIEN D’ALGER Inscriptions aux cours de langue italienne. En prévision de la reprise des cours, prévue le samedi 5 octobre 2013, les inscriptions sont ouvertes du 7 au 30 septembre 2013, de dimanche à jeudi (9h — 16h). Adresse : Institut culturel italien, 4 bis, rue Yahia-Mazouni, El-Biar, Alger. Tél/fax : 21.92.51.91/021.92.38.73. Courrier : amministrazione.iicalgeri@esteri.it / www.iicalgeri.esteri.it
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