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Actualités : Remaniement ministériel Un gouvernement pour le 4e mandat ?
Abdelaziz Bouteflika a procédé, hier, à un vaste et profond remaniement du gouvernement Sellal comprenant, notamment, les portefeuilles-clés de souveraineté comme la Défense nationale, l’Intérieur, la Justice et les Affaires étrangères. Ce grand changement, prévu depuis quelques semaines, aura, par ailleurs, été fatal aux ministres du FLN, cinq en tout, qui avaient «osé» ne pas soutenir «l’option Saïdani», comme ordonné par Bouteflika.
Kamel Amarni - Alger (Le Soir) Abdelmalek Sellal, qui souhaitait vivement ce remaniement, lui qui avait hérité d’une équipe qu’il n’avait pas du tout choisie, aura désormais deux super-ministres à ses côtés. D’abord, le général de corps d’armée, Ahmed Gaïd Salah, nommé vice-ministre de la Défense nationale tout en gardant son statut de chef d’état-major de l’armée, ce qui en fait, avec en plus les derniers réaménagements qui ont concerné les services de sécurité, l’homme le plus en vue de l’exécutif. Autre poids lourd, Tayeb Bélaïz. Président du Conseil constitutionnel jusqu’à hier, cet autre homme de confiance de Abdelaziz Bouteflika prend le très sensible ministère de l’Intérieur en remplacement de Daho Ould Kablia avec le statut de ministre d’Etat. Un autre fidèle parmi les fidèles au patron d’El-Mouradia, à savoir Tayeb Louh, se voit, lui aussi, promu ministre de la Justice, garde des Sceaux. En quelque sorte, il sauve l’honneur du FLN qui perd pas moins de cinq ministres à l’occasion : Amar Tou, Rachid Harraoubia, Abdelaziz Ziari, Rachid Benaïssa et Moussa Benhamadi. Au moins deux parmi eux, Ziari et Benhamadi, avaient été dans le collimateur de Abdelmalek Sellal, depuis des mois. Autre changement d’envergure dans le gouvernement, l’arrivée d’un diplomate de haut rang au ministère des Affaires étrangères en remplacement de Mourad Medelci, à savoir Ramdhane Namamra. Ancien ambassadeur et diplomate chevronné et spécialiste des missions «délicates», il avait comme dernier poste, jusqu’à hier mercredi, celui de président de la Commission de sécurité auprès de l’Union africaine. Dans les portefeuilles de souveraineté, d’où est, par ailleurs, écarté le général Abdelmalek Guenaïzia, l’on compte deux «rescapés» : Youssef Yousfi à l’Energie et Karim Djoudi aux Finances, cela, certainement pour rassurer les partenaires économiques de l’Algérie. Ce dernier sera toutefois assisté par un «ministre délégué auprès du ministre des Finances, chargé du Budget», un nouveau poste qu’occupera Mohamed Djellab. Un choix qui s’explique par les problèmes de santé dont souffre Karim Djoudi. Mohamed Djellab était jusque-là, directeur général du Crédit populaire d’Algérie (CPA). Ce remaniement consacrera aussi les promotions respectives de deux ministres présidents de partis politiques : Amara Benyounès du MPA qui passe de l’Environnement au ministère du Développement industriel et de la Promotion de l’investissement, et Amar Ghoul du TAJ qui quitte, lui, les Travaux publics pour le ministère des Transports. En revanche, deux partis, le PLJ et l’ANR, seront écartés du gouvernement à travers les limogeages de leurs présidents respectifs : Mohamed Saïd qui est remplacé à la Communication par Abdelkader Messahel et Belkacem Sahli, dont le ministère délégué à la Communauté nationale à l’étranger sera tout bonnement supprimé. Aussi, et comme demandé par Abdelmalek Sellal, tous les ministères délégués ou secrétariats d’Etat ont été supprimés. A l’exception du ministère délégué à la Coopération maghrébine et africaine qu’occupe désormais Abdelmadjid Bouguerra, l’actuel ambassadeur d’Algérie à Berlin. Au moment où Belkacem Mellah est limogé tandis que ses «homologues» Dalila Boudjemaâ et Mohamed Amine Hadj Saïd sont promus respectivement ministres de l’Environnement et du Tourisme. Par ailleurs, quatre walis sont promus ministres : le wali de Tlemcen, Abdelwahab Nouri, à l’Agriculture ; le wali d’Oran, Abdelmalek Boudiaf, à la Santé ; le wali de Constantine, Nouredine Bedoui, à la Formation professionnelle, et le wali de Annaba, Mohamed El Ghazi, nouveau ministre auprès du Premier ministre, chargé de la Réforme du service public. Autre «technocrate» à faire son entrée au gouvernement, Farouk Chiali, directeur du Cned, un bureau d’étude rattaché au ministère des Finances, qui se voit nommé ministre des Travaux publics. Autres remarques à relever sur ce remaniement, celle des reconductions de «vieux» membres du gouvernement comme Mohamed Cherif Abbès, Ghoulamallah ou Khalida Toumi, et Mustapha Benbada, d’un revenant comme Tebboune, de «nouveaux» comme Hocine Necib mais, surtout, le limogeage du plus ancien des ministres algériens, Cherif Rahmani. Ce dernier était ministre en 1987 déjà ! Autre fait, curieux celui-là, le limogeage de Mourad Medelci alors qu’il se trouvait, hier, en mission officielle en sa qualité de ministre des Affaires étrangères au Tchad. Tout cela, côté «technique» de la chose. Quant à la lecture politique, il est tout à fait clair que le noyau dur de la composante du gouvernement trahit la volonté désormais manifeste de son architecte de lancer une bataille électorale ! Avec Tayeb Bélaïz à l’Intérieur, Tayeb Louh à la Justice et Gaïd Salah comme chef de l’armée, Bouteflika aura complété le dispositif pour lui assurer le contrôle, de bout en bout, de la prochaine élection présidentielle dont il sera, évidemment, l’acteur principal. Comme candidat. K. A.
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Actualités : Bouteflika blinde les pouvoirs de Gaïd Salah
L’on n’aura pas mis beaucoup de temps pour savoir la trame des entrevues répétées entre le Président Bouteflika et le binôme composé du Premier ministre Abdelmalek Sellal et du chef d’état-major de l’ANP, Gaïd Salah. Ce dernier, reçu en audience autant de fois que Sellal, était destiné à hériter de la fonction de vice-ministre de la Défense nationale, charge qu’il devra cumuler avec sa fonction de chef d’état-major de l’ANP.
Sofiane Aït Iflis - Alger (Le Soir) La nomination du chef d’état-major de l’ANP, le général de corps d’armées Ahmed Gaïd Salah en qualité de vice-ministre de la Défense nationale reste de loin le fait saillant dans le remaniement ministériel opéré hier par le président de la République. En ce que, d’abord, nul n’a pronostiqué de cette éventualité et parce qu’ensuite, le chef de l’Etat, malade mais toujours accroché au pouvoir, confie, pour la première fois, deux charges importantes au même homme. Jusqu’ici les tâches à ce niveau de la hiérarchie militaire étaient partagées, Gaïd Salah officiant en tant que chef d’état-major de l’ANP et Abdelmalek Guenaïzia assumant la charge de vice-ministre de la Défense nationale. En plus d’être l’expression publique d’une confiance éprouvée entre les deux hommes, «l’ajout» au grade de Gaïd Salah en ce moment précis de la vie politique nationale situe, à tout le moins, les nouveaux points d’appui aux futures actions présidentielles, notamment dans les deux perspectives non exclusives : la révision de la Constitution et l’élection présidentielle d’avril 2014. Commandant des forces terrestres sous l’état-major de feu Mohamed Lamari, Ahmed Gaïd Salah était quasiment déclaré bon pour la retraite en 2002, disait-on. Le Président Bouteflika, réinvesti dans ses fonctions en 2004, l’a non seulement maintenu dans le circuit mais a surtout fait sa promotion. Il le nomma chef d’état-major de l’ANP, en remplacement du général de corps d’armées Mohamed Lamari ayant, officiellement, fait valoir son droit à la retraite. De cela, Ahmed Gaïd Salah en est redevable. Du fait, il vouera à Bouteflika une fidélité qui n’a jamais été démentie, profil déterminant pour qui voudrait rester dans les bonnes grâces d’un président que la crainte du complot tient toujours en alerte. Surpris par la maladie qui le contraint à une convalescence durable, le Président Bouteflika, qui avait retenu de rempiler pour un quatrième mandat de suite, devait, à mesure qu’approche l’échéance d’avril 2014, consolider les vecteurs sur lesquels s’articulera la perspective qu’il s’est fixée. Aussi a-t-il fait de blinder son homme de confiance qu’il nomme vice-ministre de la Défense nationale, tout en le maintenant à la tête de l’état-major de l’ANP et non sans avoir pris soin au préalable de lui rattacher les services les plus névralgiques du DRS, en l’occurrence la sécurité de l’armée, le service de la police judiciaire et département de la communication et de la presse. S. A. I.
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Actualités : Jamais ils n’ont été aussi massivement promus Quatre walis font leur entrée au gouvernement
Le profond remaniement ministériel opéré hier par le président de la République se caractérise par la promotion de nombre de walis qui se sont, ainsi, vu confier des postes dans l’exécutif.
M. Kebci - Alger (Le Soir) Ils sont quatre désormais ex-responsables des exécutifs de wilaya à faire partie de la nouvelle équipe à Sellal. Trois d’entre eux ont eu à gérer les trois autres métropoles du pays, Oran, Constantine et Annaba en sus de leur collègue de Tlemcen. Ainsi, Abdelmalek Boudiaf, ex-wali de la capitale de l’Ouest du pays, s’est vu intronisé ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, en remplacement de Abdelaziz Ziari qui quitte ainsi le navire gouvernemental. Tout comme c’est le cas de son collègue de Constantine, Nouredine Bedoui, nommé ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnel, succédant à Mohamed Mébarki qui remplace Rachid Harraoubia au ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Ceci au moment où le wali de Annaba, Mohamed El Ghazi, a été nommé ministre auprès du Premier ministre, chargé de la Réforme du service public, et son collègue de la capitale des Zianides, Abdelwahab Nouri, s’est vu confier la succession de Rachid Bénaïssa à la tête du ministère de l'Agriculture et du Développement rural. Cette promotion «massive» de walis, puisque jamais désignation ou remaniement de gouvernement n’ont concerné, jusqu’ici, autant de responsables d’exécutifs de wilaya, supposera inévitablement leur remplacement dans les postes qu’ils occupaient jusqu’à hier mercredi. Ce qui obéirait soit à une simple opération de leur succession restreinte ou à un vaste mouvement de remaniement des walis. Ou à leur remplacement temporaire que dicte la conjoncture faite d’une rentrée sociale des plus incertaines et de la perspective de la présidentielle d’avril prochain dans l’attente d’une plus grande opération de renouvellement et de mutations dans le corps des walis. Mais au-delà de ces considérations «secondaires», ce sont les critères qui ont prévalu dans la promotion de ces walis et pas d’autres qui doivent, à coup sûr, susciter des interrogations parmi, notamment, la corporation des walis. M. K.
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Sports : Ligue 2 (4e journée) USC-CAB en tête d'affiche
Le derby des Aurès entre l'US Chaouia et le CA Batna dominera demain la 4e journée du championnat d'Algérie de Ligue 2 de football au cours de laquelle le leader, le WA Tlemcen, devrait évoluer sur du velours en accueillant la lanterne rouge, l'AB Merouana. L'occasion est propice donc pour les Zianides pour empocher leur 3e victoire en 4 matches et se positionner ainsi en force pour un retour express en élite après l'avoir quittée il y a quelques mois seulement. De son côté, le CAB sera appelé à effectuer sa 3e sortie depuis le début de la saison, cette fois-ci à Oum El-Bouaghi où il n'a plus remis les pieds depuis plus de dix ans en championnat. Il n'aura pas la tâche facile face à un promu qui a bien entamé sa saison (4 points) et ne se laisse pas faire à domicile où il a remporté son unique succès contre l'USM Bel-Abbès (2-1). Cette dernière, 2e au classement avec son buteur du championnat Hocine Achiou (6 réalisations), rendra visite à un autre promu, l'Amel Bou-Saâda, toujours invaincu (1 victoire et 2 nuls) et qui se plaît à poser pas mal de soucis aux professionnels de la Ligue 2. L'autre dauphin l'O Médéa, battu pour la première fois de la saison le week-end dernier sur le terrain du CAB (0-1), tentera de se racheter en accueillant l'ASM Oran, 7e et un des candidats à l'accession sous la houlette de l'entraîneur Kamel Mouassa qui veut conduire les Asémistes en Ligue 1. Deux autres derbies sont au programme de cette 4e journée : celui de l'Est entre le MSP Batna (4e, 5 pts) et l'USM Annaba (15e, 1 pt) et celui de l'Ouest opposant l'ES Mostaganem (7e, 4 pts) au MC Saïda (14e, 2 pt) avec un avantage certain pour les locaux. Le NA Husseïn-Dey du coach Zoheir Djelloul sera mis à rude épreuve à l'occasion de sa sortie sur le terrain de l'AS Khroub qui reçoit pour la seconde fois de suite avec l'objectif d'effacer ses deux revers consécutifs lors des 2e et 3e journées. La dernière rencontre au programme verra la confrontation entre l'USMM Hadjout et l'USM Blida, soit un vaincu et un vainqueur vendredi dernier mais qui se partagent la 7e place au classement.
Start Vendredi 13 septembre (16h) A Batna : MSPB-USM Annaba Au Khroub : ASK-NA Husseïn-Dey A Médéa : OM-ASM Oran A Oum El-Bouaghi : US Chaouia-CA Batna A Hadjout : USMMH-USM Blida A Bou-Saâda : A BS-USM Bel-Abbès A Mostaganem : ESM-MC Saïda A Tlemcen : WAT-AB Merouana.
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Sports : Football éliminatoires de la Coupe du Monde-2014 (zone Afrique) Tout a commencé à Marcoussis…
La seconde phase des éliminatoires africaines au Mondial-2014 a pris fin mardi, journée marquée par deux rencontres (Egypte- Guinée et Algérie- Mali). Des joutes qui ont fini par consacrer la suprématie des formations hôtes qui parachevaient, à l’occasion de cette sixième levée des qualifications leur suprématie dans leurs groupes respectifs (G et H). Les Pharaons ont rendu une copie parfaite (six victoires en autant de matches) alors que nos Verts n’ont pas été loin de la perfection en signant, mardi soir contre le Mali, leur cinquième succès durant ce second tour. Une sacrée performance pour un ensemble national qui, avant l’entame de ces éliminatoires, sortait d’une crise de confiance (limogeage de deux sélectionneurs, Saâdane et Benchikha) et de résultats (élimination de la CAN-2012) qui a failli remettre tout en question…Quand, le 4 juin 2011 à Marrakech, le «Général Benchikha» et ses troupes se faisaient découper en quatre par des Lions de l’Atlas, pas forcément les pires adversaires connus par l’Algérie ces dernières années, personne ou rares étaient ceux qui croyaient en la résurrection d’un Onze qui, un an plus tôt, côtoyait, en Afrique du Sud, la crème du ballon rond à l’échelle planétaire. Mais la magie du football est telle qu’il ne fallait jurer de rien. Surtout quand le «sorcier» avait pour nom Vahid Halilhodzic qui venait, dans des circonstances rocambolesques, de manquer «sa» Coupe du monde sous la bannière des Eléphants de la Côte d’Ivoire. Une «injustice» que le Bosnien n’a jamais acceptée à telle enseigne que son éviction de la barre technique de la sélection ivoirienne devenait une sorte de flamme motivante pour sa nouvelle aventure à la tête des Fennecs.Sa première «entreprise» chez les Verts eut lieu dans un centre d’entraînement dédié au Rugby (Marcoussis) où il allait réunir les joueurs qui avaient encore faim pour remettre l’EN au-devant de la scène. C’est lors de ce rassemblement que l’ancien coach du PSG comprit que l’œuvre n’est pas si allègre et qu’il fallait ramener du sang neuf et imposer un nouvel état d’esprit pour remédier à la léthargie qui s’emparait des Mondialistes post-Saâdane.
Rajeunissement et changement de cap Il aura suffi quelques séances d’entraînement et une approche thérapeutique du groupe pour que Halilhodzic comprenne le manque d’ambitions de la plupart des soldats qui ont fait les précédentes campagnes et entame aussitôt son «œuvre de salubrité publique». Un tour de vis qui a mis du temps pour se concrétiser étant donné la résistance affichée par certains foyers de nostalgiques, aussi, parmi les acteurs que les spectateurs, qui pensaient que l’épopée d’Omdourman avait encore de beaux jours devant elle. Les Ziani, Antar Yahia, Belhadj, Ghezzal, Matmour etc. s’effaçaient graduellement de l’écran où de nouvelles têtes apparaissaient. Certains ont rapidement imposé leur talent et leur caractère (Feghouli, Slimani et Soudani), d’autres allaient briller au fil des matches et des victoires. Et l’an 2012, au cours duquel la sélection a disputé 8 matches, s’avérera une référence (6 victoires et deux défaites face au… Mali et la Bosnie) sur laquelle il fallait poursuivre le chantier de reconstruction. L’efficacité offensive retrouvée (17 buts en 8 sorties), Halilhodzic assurait pourtant que l’œuvre était inachevée et qu’il lui fallait d’autres moyens (humains surtout) pour faire de cette équipe «un conquérant pour les titres» en Afrique et dans les grandes manifestations internationales. L’échec de Rustenberg, le Bosnien l’appréhendait même s’il a toujours revendiqué du temps pour que son groupe arrive à maturation. L’orage passé, Halilhodzic voit arriver du renfort (Brahimi, Taider puis Belfodil) et, réussite aidant, les portes du Mondial brésilien deviennent accessibles au bout d’un parcours remarquable agrémenté par deux victoires en déplacement que l’EN peinait à enchaîner depuis belle lurette. M. B.
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Culture :ACTUCULT
ESPLANADE DU PALAIS DE LA CULTURE MOUFDI-ZAKARIA, ALGER Du 12 au 19 septembre à 19h: 5e édition du Festival culturel international de musique symphonique. Jeudi 12 septembre : Inauguration du festival avec Suk Chamber Orchestra (Tchéquie) et l’Orchestre symphonique national (Algérie). Vendredi 13 septembre : Concerts avec les Délices de Suzy (Suisse), l’Orchestre symphonique national syrien et Suk Chamber Orchestra (Tchéquie).
MUSÉE PUBLIC NATIONAL DE L’ENLUMINURE, DE LA MINIATURE ET DE LA CALLIGRAPHIE, ALGER Jusqu’au 28 septembre : Exposition de l’artiste peintre Farah Laddi, sous le thème «Algérielle, une pluralité singulière».
Librairie internationale Aurassi Omega, hôtel El-Aurassi, Alger Samedi 14 septembre de 15h à 18h : Vente-dédicace du livre La martingale algérienne, du docteur Abderrahmane Hadj-Nacer. Dar Abdeltif, chemin Kechkar-Omar, El-Hamma, Alger Du 15 septembre au 9 octobre : Résidence du photographe allemand Andréas Rost, en collaboration avec l’institut Goethe. Du 28 septembre au 10 octobre : Résidence du photographe belge Jim Symkay.
Palais dES Raïs, Alger Du 18 septembre au 3 octobre : Exposition photos de l’artiste Sarah Bellache.
ESPLANADE DU JARDIN DU PALAIS DE LA CULTURE, ORAN Jusqu’au 15 septembre : Festival culturel local «Lire en fête».
COMPLEXE SPORTIF DU 1er NOVEMBRE, DJELFA Jusqu’au 14 septembre, à 21h : Cirque Amar. Entrée : entre 900 et 1500 DA.
MUSÉE NATIONAL D’ART MODERNE ET CONTEMPORAIN, ALGER Du 21 septembre au 21 novembre : Exposition de Djamel Tatah.
MUSÉE PUBLIC NATIONAL CIRTA, CONSTANTINE Jusqu’au 30 septembre : «Aouchem», prolongation de l’exposition de l’artiste Mustapha Adane.
Théâtre RÉGIONAL D’ORAN Jeudi 19 septembre à 18h : Générale de la pièce Aourak hayati de Malika Youcef.
Librairie la renaissance (niveau 112, Riadh-El-Feth, El-Madania, Alger) En collaboration avec l’Office Riadh-El-Feth, la librairie La Renaissance organise une foire du livre durant les vacances d’été du 20/06/2013 au 21/09/2013, tous les jours de 9h à 20h au niveau 104. Cette foire vise un large public et sera enrichie par les livres pour enfants (contes, livres d’activités et d’apprentissage, livres parascolaires du niveau primaire au secondaire), de littérature, de médecine, de culture générale, des dictionnaires...
Complexe culturel Abdelouaheb-Selim, Tipasa Jusqu’au 14 septembre : Exposition de l’artiste peintre Samira Bouaziz.
Galerie Asselah-hocine, Alger Jusqu’au 14 septembre : Exposition d’arts plastiques intitulée «Trait d’union».
Salle Ibn-Khaldoun, Alger Vendredi 13 septembre à 21h30 : Soirée musicale avec Massa Bouchafa. Jeudi 19 septembre à 21h30 : Soirée musicale avec le groupe Caméléon. Vendredi 20 septembre à 21h30 : Soirée musicale avec Naïma Ababsa.
Salle El-Mouggar, Alger Jusqu’au 14 septembre : Projection du film Camping à la ferme de Jean-Pierre Sinapi (14h-16h-18h et 20h, sauf lundi 9 septembre). Du 16 au 30 septembre : Projection du film L’archipel des sables de Ghaouti Bendeddouche (14h-16h-18h et 20h, sauf dimanche 22 septembre).
Palais de la culture, Tlemcen Jusqu’au 15 septembre : Festival culturel local «Lire en fête»
Maison de la culture, bibliOthèqueS et librairies, Mostaganem Jusqu’au 15 septembre : Festival culture local «Lire en fête».
Maison de la culture Mouloud-Mammeri, Théâtre régional Kateb-Yacine, Tizi-Ouzou, et dans différentes localités de la wilaya Jusqu’au 13 septembre : Festival culturel local «Lire en fête».
Institut français d’Alger (Alger-Centre) L'Institut français d'Alger organise un atelier de danse hip-hop du 15 au 19 septembre. L'atelier sera animé par le chorégraphe Brahim Bouchelaghem. Vous êtes danseurs amateurs ou professionnels, âgés de 18 à 30 ans ? Vous résidez à Alger ? Inscrivez-vous à l'adresse suivante : atelierdansehiphop2013.alger@if-algerie.com. Avec nom, prénom, année de naissance, commune de résidence, tél portable et profession.
Institut culturel italien d’Alger Inscriptions aux cours de langue italienne. En prévision de la reprise des cours, prévue le samedi 5 octobre 2013, les inscriptions sont ouvertes du 7 au 30 septembre 2013, de dimanche à jeudi (9h — 16h). Adresse : Institut culturel italien, 4 bis, rue Yahia-Mazouni, El-Biar, Alger. Tél/fax : 21.92.51.91/021.92.38.73. Courrier : amministrazione.iicalgeri@esteri.it / www.iicalgeri.esteri.it
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Une reprise au poil ! |
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Par Hakim Laâlam Email : hlaalam@gmail.com |
Remaniement. Abdekka…
… maintenu à son poste !
Il aurait pu recevoir le Président du Lesotho. Le leader de la coalition au pouvoir aux Philippines. Ou le pionnier de la littérature engagée aux îles Maldives. Non ! Parce qu’il n’est pas homme à recevoir au hasard, comme ça, pour sa première entrevue officielle en tant que chef d’Etat depuis son AVC, mini, moyen ou méga. Non ! Lui adore envoyer des messages et surtout savoir que les messages envoyés ont bien été reçus. Reçu cinq sur cinq, cheeef ! On a compris. Premier responsable politique étranger à partager les petits-fours et les murmures de Abdekka, l’intégriste tunisien Ghannouchi. C’est quoi l’urgence de recevoir le «frère barbu» en premier ? Il y a un gros problème sur le feu avec les autorités tunisiennes ? Dans ce cas-là, ce pays a un Président, que je sache ! Il a aussi un Premier ministre. Mais non ! C’est le patron d’Ennahda qui est invité à admirer la garde-robe d’intérieur du châtelain. Il n’y a que Schtroumf Rêveur pour croire aux hasards des calendriers de reprise de travail, à ce niveau-là de responsabilité. Plus clairement, la machine s’est remise en branle. Certes, avec beaucoup de sparadrap autour. Certes avec des tôles cabossées par endroits. Certes avec des grincements horribles aux jointures et des ahanements émanant des amortisseurs. Certes avec plus de lenteur dans un dispositif déjà fort lent avant. Mais elle reprend. Et elle ne veut pas reprendre de manière banale, anodine, comme un quidam repartirait au bureau après un long congé. Non ! Je vais reprendre habillé d’un tee-shirt sur lequel est inscrit au gros feutre indélébile «Je n’ai pas changé d’un poil». «Mon cœur a peutêtre souffert, mais il bat toujours aussi fort pour les frères barbus.» Et si, malgré cet affichage monstrueusement voyant, des aveugles passent à côté du programme des festivités à venir, alors j’en rajoute une bonne grosse couche ruisselante de guimauve verte en invitant Ghannouchi à s’asseoir sur mon sofa. Ce comportement porte un nom en com’. Le surlignage ! Un surlignage mâtiné de «taghenent» estampillé «AOC du Palais». Il est comme ça. La maladie ne l’a pas changé. Et je dois dire que c’est tant mieux. Ça présente au moins un avantage à mes yeux. Faire taire tous ceux qui s’étaient déjà installés dans le scénario d’après. Ceux qui commençaient allègrement à jeter des poignées de terre dans le trou. A trop vous agglutiner autour de la tombe, vous n’avez même remarqué que le corbillard était revenu au garage. Doucement camarades, doucement ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H. L.
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