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Actualités : Affaire SNC Lavalin et Farid Bedjaoui La prudence des Canadiens
Le gouvernement canadien tente de se prémunir des incidences négatives que les scandales de corruption ayant impliqué à l’international SNC Lavalin pouvaient produire sur l’image des entreprises canadiennes. «Le cas Lavalin n’est pas représentatif des entreprises canadiennes», a affirmé hier le ministre canadien des Affaires étrangères, lors d’une conférence de presse conjointe avec son homologue algérien, le tout nouveau ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra.
Sofiane Aït Iflis - Alger (Le Soir) La déclaration sonne comme un gage d’assurance quant à la probité économique des entreprises canadiennes. C’est, entre autres, ce que le chef de la diplomatie canadienne est venu plaider auprès des autorités algériennes. John Blaird, qui s’est interdit de commenter l’affaire en elle-même, sur laquelle la justice canadienne enquête pourtant, a choisi de mettre en exergue ce que son pays a pris comme mesures pour que pareille pratiques ne soient pas reproduites par les entreprises canadiennes à l’international : «La Chambre des communes et le Sénat ont promulgué en juin une loi pénalisant la corruption des entreprises canadiennes à l’étranger. Les responsables de SNC Lavalin, impliqués dans l’affaire, sont entendus par la cour. SNC Lavalin a un nouveau président et un nouveau vice-président et un nouveau manager général.» Interrogé si Farid Bedjaoui, présenté par les diverses enquêtes comme l’homme par qui les commissions et les pots-de-vin transitaient et objet d’un mandat d’arrêt international lancé par l’Algérie, se trouve encore sur le sol canadien, le ministre des Affaires étrangères canadien a choisi la réponse la moins engageante : «Je vais voir.» Le ministre algérien des Affaires étrangères s’est, lui, gardé de s’exprimer sur ces deux questions, n’ayant pas été sollicité directement. En revanche, il a longuement évoqué la coopération bilatérale entre l’Algérie et le Canada et les perspectives positives qui s’offrent à elles, que ce soit en matière de lutte contre le terrorisme et le crime organisé qu’en matière de partenariat économique. Coprésidant le groupe de travail sur le Sahel, dans le cadre du Forum mondial de la lutte contre le terrorisme, l’Algérie et le Canada ont renouvelé à l’occasion de la visite de John Blaird leur engagement à renforcer la coopération sécuritaire. Au plan de la coopération économique, l’Algérie plaide pour le dépassement du seul échange commercial pour le transformer en partenariat économique productif. S’agissant de la crise syrienne, les deux diplomates ont affiché des positions convergentes. Lamamra comme Blaird ont salué l’interaction positive entre les diplomaties américaine et russe qui évitent l’usage de la force militaire contre Damas. «L’accord russo-américain est prometteur. La décision de la Syrie d’adhérer à la convention internationale contre les armes chimiques est positive», a affirmé Lamamra qui a réitéré la position algérienne, constante, pour une solution politique à la crise. S. A. I.
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Actualités : Il a été nommé au gouvernement, Mohamed Ghazi fait ses adieux aux Annabis
C’est le mess des officiers, faisant face à la grande bleue, qui a accueilli, hier dimanche, la cérémonie d’adieu aux citoyens de la wilaya de Annaba du désormais ex-wali, Mohamed El Ghazi, nommé dans le récent remaniement ministériel au poste de ministre auprès du Premier ministre, chargé de la Réforme du service public.
Du simple citoyen aux notabilités de la ville, il y avait du monde qui tenait à féliciter le nouveau membre du gouvernement et lui souhaiter du succès dans sa nouvelle et ardue tâche. Tout le personnel de la wilaya, de la femme d’entretien au secrétaire général, était également présent à cette cérémonie en signe d’estime pour un chef d’exécutif qui a géré la wilaya durant plus de cinq ans. Ses relations de travail avec tous ses subordonnés, chefs de daïra, directeurs de l’exécutif, présidents d’APC, cadres et employés de la wilaya ont été marquées par le respect. Les témoignages recueillis auprès de ces derniers, mais également ceux de nombreux Annabis sont unanimes à reconnaître la qualité de l’homme, son dévouement et sa solidarité envers tous ceux qui l’ont sollicité pour le règlement d’un problème qui soit de ses prérogatives. Pendant sa présence à la tête de cette collectivité locale, et de l’avis de beaucoup d’habitants de la quatrième ville du pays, Mohamed El Ghazi, a marqué sa présence dans divers secteurs socio-économiques de la wilaya de Annaba. Habitat, hydraulique, travaux publics, santé, agriculture et emploi, entre autres, ont été boostés ces cinq dernières années. Il n’hésitait pas à se déplacer à Alger pour solliciter au niveau central des financements afin de faire avancer tel ou tel projet au profit des citoyens de sa wilaya. Ainsi, la construction d’une nouvelle ville, pôle urbain d’excellence de 50 000 logements avec toutes les commodités pour une vie moderne à Draa Errich, a été lancée au printemps dernier par le Premier ministre Abdelmalek Sellal, lors de sa visite à Annaba. Il y a eu également, pour la même période, la réalisation et l’attribution d’une vingtaine de milliers de logements, principalement dans le segment des logements publics locatifs (LPL) destinés aux familles démunies et à la résorption de l’habitat précaire. Dans les travaux publics, trémies, viaducs, tunnels, dédoublements de voie et ouverture de nouvelles routes ont été concrétisés ou en voie de l’être. Comme la mise en service d’un hôpital de 240 lits à El Hadjar, le lancement d’un nouveau centre hospitalier universitaire de 450 lits à El Bouni et plusieurs polycliniques et salles de soins dans les communes de la wilaya. La création aussi, ces dernières années, de plus de 50 000 emplois permanents et le double dans les différents dispositifs de l’emploi et de l’aide à l’emploi des jeunes dont 10 000 en trois mois seulement. L’extension des superficies agricoles, l’accompagnement d’investisseurs et la facilitation de projets dans le tourisme sont parmi les autres initiatives prises par le chef de l’exécutif de la wilaya de Annaba. En réponse aux nombreuses marques de sympathie et présents offerts par les cadres et employés de la wilaya, les élus locaux et membres de la société civile de Annaba, Mohamed El Ghazi, a tenu à remercier tous les Annabis estimant qu’il n’a fait que son devoir pour faire avancer cette région de l’Algérie. Certains présents à la cérémonie d’adieu ont estimé qu’ayant passé plus de vingt ans comme commis de l‘Etat dans prés d’une demi-douzaine de wilayas, Mohamed El Ghazi saura apporter une nouvelle dynamique dans les lourdes charges qui lui ont été confiées pour la réforme du service public, l’une des priorités pour la République. A. Bouacha
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Actualités : DERNIERS CHANGEMENTS DANS L’INSTITUTION MILITAIRE ET AU GOUVERNEMENT Les «explications» de Amar Saïdani
Le tout nouveau secrétaire général du FLN «explique» tout ce qui a caractérisé ces derniers jours la scène politique nationale, faite, notamment, de changements notables dans l’institution militaire avant que la boucle ne soit bouclée avec le remaniement ministériel, mercredi dernier.
Mohamed Kebci - Alger (Le Soir) Au forum du quotidien arabophone Echourrouk dont il a été l’invité avant-hier, Amar Saïdani pense tout de go que Abdelmalek Sellal est l’homme du moment pour guider le gouvernement. Chose qui ne semble pas déranger le parti majoritaire, arguant que la phase actuelle a besoin d’un «gouvernement de technocrates et pas de politiques». D’où, poursuivra-t-il, «la présence dans la nouvelle équipe de pas moins de six walis dont quatre nouveaux». Et d’exclure toute influence «extérieure» dans le dernier remaniement, le Président ayant, expliquera-t-il, «usé de ses prérogatives constitutionnelles». Saïdani s’en lavera presque les mains du sort qui a été celui de bien de ministres du FLN. Et de soutenir : «Je ne pense pas que l’exclusion de certains noms du parti du gouvernement ait un quelconque lien avec leurs agissements à mon élection à la tête du parti ou aux changements qui y sont intervenus.» D’ailleurs, ce remaniement à propos duquel Saïdani avouera n’avoir pas été avisé au préalable par le président de la République, dira-t-il, n’aura aucune influence dans le choix des futurs membres du bureau politique du parti. Ceci dit, Saïdani ne fera pas l’économie d'une attaque frontale contre les opposants à l’intérieur du FLN qui empêche toute réconciliation entres les frères ennemis», considérant que la question de la légitimité «a été réglée à l’hôtel El-Aurassi». Saïdani déniera au frère cadet du Président «toute influence dans les affaires internes du parti, pas plus, d’ailleurs, que le Président lui-même qui, soit dit en passant, est le président d’honneur du front, ou encore une quelconque partie sécuritaire». Et de réfuter tous les scénarios tissés ici et là qui «n’existent que dans la tête et l’esprit de certains journalistes et autres analystes». Saïdani invitera, dans ce sillage, la classe politique dont l'opposition à l’effet de consacrer la stabilité du pays. Au sujet des changements opérés par le président de la République dans l’institution militaire, le nouveau premier responsable du FLN les confirmera en les qualifiant d’«importants» et relevant de ses seules prérogatives en sa qualité de chef suprême des forces armées et de ministre de la Défense nationale. Saïdani inscrira ce remaniement dans l’institution militaire dans le sillage de l’impérative professionnalisation de cette dernière, au vu des dangers allant crescendo à nos frontières, avec, notamment, l'attaque de la base pétrolière de Tiguentourine au début de l’année en cours. Ceci en sus de la nécessité de «séparation entre les pouvoirs». D’où, selon lui, le bien-fondé de la démarche portant passage de certains services relevant jusque-là du DRS sous la chapelle du commandement général de l’état-major de l’ANP. Des mesures à même, estimera encore l’ancien président de l’APN, d’«éloigner l’institution militaire de la sphère politique et des affaires de justice». «Elles sont de nature à protéger l’institution militaire et pas l’isoler» surtout, dira-t-il, que «le pays est sorti du «qui-tue-qui ?». Et elles n’ont «aucun lien avec la prochaine présidentielle et des calculs purement personnels, réfutant tout rôle de «faiseur de présidents» de l’institution sécuritaire. «Si on admet cela, cela voudra dire que les partis politiques et les organsinions de la société civile ont échoué dans leurs missions.» A propos des affaires de corruption qui rythment l’actualité nationale, le successeur de Belkhadem à la tête du vieux parti a dénoncé le fait qu’elles soient exploitées à des fins politiques à l’approche des rendez-vous électoraux. «A chaque fois qu’une élection présidentielle pointe du nez, la scène politique s’anime et s’enflamme avec ces informations distillées au sujet d’affaires de corruption contre tel clan ou tel autre. Et de rappeler la campagne contre le général Mohamed Betchine, conseiller de l’ex-président Liamine Zeroual, et en 2004, le scandale Khalifa avec le candidat Ali Benflis et tout ce qui s’en est suivi jusqu’à maintenant.» Et Saïdani se dira pour que la justice traite ces dossiers loin de toute exploitation politique. «Car s’il est vrai qu’il y a des dossiers de corruption, il y a également des interrogations qui doivent bien prendre fin», soutiendra-t-il encore. Il plaidera pour que «les vrais dossiers de corruption soient traités par la justice en leur temps, soit à leur éclatement, et dans un cadre réglementaire avec le respect de la présomption d’innocence». Autre sujet abordé par le nouveau SG du FLN, les islamistes dont il exclut toute ascension au pouvoir, ceci «même en cas d’élections libres et transparentes». Et d’expliciter sa sentence en soutenant que «le pouvoir au nom de la religion est un mensonge dont la majorité du peuple a pris conscience. Ceci avant de s’interroger : si les islamistes veulent gouverner au nom de l’islam, que ferons-nous, nous au niveau du reste des partis dont notamment le FLN ? Ne sommes-nous pas religieux ?» Saïdani, qui exclura toute capacité de la famille islamiste à s’entendre sur une candidature unique à l’occasion de la présidentielle prochaine, répondra à ceux qui, parmi principalement les partis islamistes et nationalistes, revendiquent la mise au musée du FLN. «Une démarche qui contredit la diversité politique et partisane que garantit et protège la Constitution», affirmera-t-il, s’interrogeant de nouveau sur «où mettre les militants, les élus alors que c’est le parti de la majorité et le peuple qui a voté pour le FLN si on venait à mettre ce dernier au musée». Evoquant le printemps arabe, le secrétaire général du FLN qualifie ce concept de mensonge, refusant de considérer que ce qui s’est passé en Égypte est un coup d’Etat militaire en même temps qu’il prend le soin de ne pas considérer ce qui caractérise la scène égyptienne comme une révolution. Saïdani considère tous les protagonistes en Égypte, armée et Frères musulmans, comme étant victimes d’un complot comme dans le reste des pays de la sphère arabe. Un complot que le nouveau patron du FLN met sur le compte des Américains dont l’ancien président Bush père avait considéré il y a longtemps que l’anarchie leur permettrait de faire main basse sur le monde arabe, allusion à l’Islam politique dont les courants sont les plus grands bénéficiaires de ce pseudo-printemps arabe. Et de relever que l’Algérie est le seul pays de cette sphère arabe qui est stable, se référant à ce qui se passe dans les pays voisins avec une Libye qui ne peut, selon lui, même pas vendre 8% de son pétrole. M. K.
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Sports : Football Ligue 1 (4e journée) Un trio en tête, l'USMH lanterne rouge
La JS Kabylie, le MC Alger et le CS Constantine partagent la première place du championnat d'Algérie de Ligue 1 professionnelle de football à l'issue de la quatrième journée disputée vendredi et samedi, et marquée par trois victoires en déplacement, tandis que l'USM El-Harrach est lanterne rouge après sa quatrième défaite de rang en autant de rencontres. Le MC Alger a profité de la réception du CR Belouizdad pour engranger trois précieux points (2-1) grâce notamment à un joli second but de Hachoud sur une balle arrêtée à un quart d'heure de la fin d'un derby algérois tout juste moyen. De son côté, la JS Kabylie, qui restait sur un succès en déplacement contre le promu le CRB Aïn Fekroune (1-0) a signé sa première victoire de la saison à domicile contre le MC Oran (2-0). Les protégés d’Azzedine Aït Djoudi ont souffert face à une bonne équipe oranaise qui a manqué un penalty par Aouedj avant la pause. Les deux buts des Canaris ont été inscrits par Aouedj (16’) et Beziouene dans le temps additionnel. Le CS Constantine est revenu avec les trois points de la victoire de son déplacement à Béchar face à la JS Saoura (3-0) grâce notamment à un doublé de Boulemdaïs. Les Sanafir confirment ainsi leur succès de la semaine dernière contre le nouveau promu le MO Béjaïa (2-1), tandis que la JS Saoura, invaincue lors des trois premières journées a concédé sa première défaite de la saison . La journée a été marquée également par la victoire de l'USM Alger contre l'USM El-Harrach (2-1) confirmant ainsi la mauvaise passe des hommes de Boualem Charef désormais seuls lanterne rouge avec un zéro pointé. Le CA Bordj Bou-Arréridj qui demeurait sur un succès retentissant en déplacement contre l'USM Alger (3-1) a été une nouvelle fois incapable de s'imposer à domicile contre le CRB Aïn Fekroune (0-0). Le CRB Aïn Fekroune sous la conduite de son nouvel entraîneur Saïd Hamouche a réussi à remporter son premier point en Ligue 1 et quitte la dernière place du classement. En revanche, les affaires ne s'arrangent guère pour l'autre promu le MO Béjaïa, qui s'est incliné sur sa pelouse face au MC El Eulma (2-1). L'ASO Chlef emmenée par son buteur Noureddine Deham, auteur de son troisième but cette saison, a enregistré sa deuxième victoire de la saison en disposant du promu le RC Arbaâ (2-0). La rencontre ES Sétif-JSM Béjaïa a été reportée à une date ultérieure, en raison du déplacement du champion d'Algérie en titre au Congo pour affronter le TP Mazembe en Coupe de la Confédération.
Classement
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Pts
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J
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1. JS Kabylie --. MC Alger --. CS Constantine 4-. ES Sétif --. USM Alger --. JS Saoura --. ASO Chlef 8. CABB Arréridj 9-. MC Oran 10. RC Arbaâ --. MC El-Eulma 12- CR Belouizdad 13. JSM Béjaïa 14-. MO Béjaïa --. CRB Aïn Fekroune 16. USM El-Harrach
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10 10 10 7 7 7 7 6 5 4 4 3 2 1 1 0
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4 4 4 4 4 4 4 4 4 4 4 4 4 4 4 4
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Résultats
- USM El Harrach-USM Alger 1-2
- CABB Arréridj-CRB Aïn Fekroune 0-0
- JS Kabylie-MC Oran 2-0
- MC Alger-CR Belouizdad 2-1
- ASO Chlef-RC Arbaâ 2-0
- JS Saoura-CS Constantine 0-3
- MO Béjaïa-MC El-Eulma 1-2
- *Le match ES Sétif-JSM Béjaïa a été reporté au 24 septembre.
- Prochaine journée (5e)
- Vendredi 20 septembre (18h)
- A Alger 20-Août : CR Belouizdad-JS Kabylie.
- Samedi 21 septembre (18h)
- A Aïn M’lila (16h) : CRB Aïn Fekroune-JS Saoura
- A Blida Brakni (16h) : RC Arbaâ-MO Béjaïa
- A Alger Omar-Hamadi : USMA-MC Alger
- A Oran Zabana : MCO-CS Constantine
- A El-Eulma : MCEE-USM Harrach
- A Béjaïa UMA : JSMB-CA Bordj Bou-Arréridj.
- Mardi 1er octobre (18h)
- A Chlef Boumezrag : ASO-ES Sétif.
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Sports : Handball : Championnat national, division Une Messieurs (1re journée) La reprise de tous les espoirs
C’est avec plaisir que la famille handballistique algérienne a constaté le déroulement correct de la première étape du championnat national, division une Messieurs comptant pour la saison sportive 2013-2014. En dehors des résultats techniques enregistrés avant-hier, c’est le retour à la normalité qu’il faut mettre en exergue, augurant ainsi, un horizon calme et plein d’espoir. Les faits à mettre en exergue sont les deux victoires extra-muros et le non-déroulement d’une rencontre à cause de l’absence des arbitres.Dans le groupe A, les Pétroliers, en champions sortant, ont évolué sur du velours face aux Sudistes de Ouargla tout comme les El Biarois devant les Tizi-Ouzéens lors d’un match choisi d’ailleurs par Bouamra Saïd, le nouveau président de la FAHB pour l’ouverture solennelle de cette saison. N’oublions pas d’évoquer le succès étriqué des Rouibéens aux dépens des nouveaux pensionnaires qui sont les Blidéens, pas encore familiarisés avec l’ambiance et le rythme de ce palier. Revenons à ce match non joué entre le HC Béjaïa et l’ES Arzew pour déplorer que des arbitres internationaux ne se soient même pas inquiétés sur leurs désignations à ce match, causant déjà des problèmes aux commissions d’arbitrage et de l’organisation sportive. C’est décevant ! Pour le deuxième groupe, les Boufarikois ont profité de l’inexpérience des nouveaux promus, à savoir les Mouloudéens d’Oran pour s’imposer largement alors que les Auréssiens de Barika ont souffert pour battre les visiteurs venus de M’sila. Par contre les gars de Chelghoum Laïd ont été contraints au partage des points par les Touggourtis. Dans la troisième poule, la première surprise du jour a eu lieu à Zéralda où les gars de Souk Ahras sont venus s’imposer avec brio face aux Algérois de Bab El-Oued. Pendant ce temps-là, les Saïdis et les Milléviens ont profité de l’avantage du terrain pour venir à bout, respectivement des représentants de Tadjenanet et de Maghnia. Pour la seconde surprise du jour, elle a eu pour cadre le quatrième groupe et plus exactement la ville de Sétif où les locaux ont été surpris par la détermination des Algérois du Centre, chers à Djelamid. Quant aux Skikdis et Bordjiens, la venue, respective des Sudistes d’Ouargla et des Arrouchis ne les a pas empêchés d’engranger les deux points de la victoire. H. C.
Résultats
Groupe A WO Rouiba-MAJD Blida 26-24 HBC El-Biar-JS Kabylie 32-20 GS Pétroliers-IRC Ouargla 29-19 HC Béjaïa-ES Arzew (N.J. pour absence des arbitres).
Groupe B GS Boufarik-MC Oran 29-20 AB Barika-O M’sila 19-17 C Chelghoum Laïd-NRB Touggourt 19-19. Exempt : CRB Baraki.
Groupe C MC Saïda-MB Tadjenanet 26-23 CRB Mila-O Maghnia 25-31 TRB Bab El-Oued-HC Souk Ahras 21-26 Exempt : ES Aïn Touta
Groupe D JSE Skikda-WAB Ouargla 29-21 TR Sétif-CRBEE Alger Centre 25-30 CR Bordj Bou-Arréridj-R El Arrouch 40-31. Exempt : O El-Oued.
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Le mystère de la décision qu’il aurait dû prendre et qu’il n’a pas prise ! |
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Par Hakim Laâlam Email : hlaalam@gmail.com |
La seule question qui vaille d’être posée : se présentera-t-il à un…
… 5e mandat ?
Je ne comprends pas qu’il ne l’ait pas fait ! C’est absurde d’avoir entrepris et réalisé tout ça, tout en n’accomplissant pas ce qui pourtant tombait sous le sens, était le pendant logique. Qu’est-ce qui aurait empêché Abdekka de le faire ? Rien ! Absolument rien ! Il est libre de tout faire, de tout entreprendre et de tout faire gober, œuf et coquille dedans. D’ailleurs, le fait qu’il n’ait pas procédé à ce truc-là précisément, à ce machin en particulier m’inquiète un peu, et gâche même le plaisir immense de le voir retrouver toute sa verve et son entrain légendaire. Au moment où mes camarades du Soir s’interrogent sur la succession aux commandes du Conseil constitutionnel – mais qu’est-ce qu’on s’en fout mon Dieu ! — moi ce qui me turlupine au plus haut point, c’est de savoir ce qui a bien pu brider le génie de Boutef’ et sa capacité inouïe à aller au-delà des tabous. S’il avait fait ce à quoi je pense, là, maintenant, qui se serait opposé à sa décision ? Personne, bien évidemment ! S’il avait sauté le pas, aurait-on crié au scandale ? Peuchère ! Si dans l’ensemble des décisions annoncées et claironnées lors du dernier remaniement, il en avait profité pour glisser cet acte-là, paraphé de sa belle plume cette option, personne n’aurait tiqué dans les chaumières, encore mois dans les palais qui comptent. Qui comptent nos sous, bien sûr. Alors pourquoi diable s’est-il abstenu d’inscrire par cet acte son nom dans l’Histoire, définitivement ? Peut-être veut-il réserver à cette décision un statut spécial, un cadre exceptionnel. C’est possible. Au lieu de noyer cette décision dans un remaniement profond, le châtelain pourrait avoir opté pour une démarche plus glorifiante, plus «distinguante». Consacrer à la chose un jour unique, entièrement dédié à l’événement. Auquel cas, je comprendrais. S’il ne le fait pas, par contre, cela doit nous amener à nous poser des questions. Comme celle de savoir si Abdekka a réellement repris totalement la main, est maître du jeu. En fait, tant qu’il n’aura pas officialisé la nomination de Chakib Khelil comme proche conseiller au Palais, comme ministre d’Etat ou carrément comme vice-président, mon plaisir ne sera pas complet. J’attends cette décision ! Tout en fumant du thé pour rester éveillé au cauchemar qui continue. H. L.
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