260-/-actualites du Samedi 19 septembre 2015
5 |
|
|
--
|
|
-- http://www.abcompteur.com/configuration.php
/********
5 |
|
5
5 |
|
5 |
5 |
5 |
|
|
|
|
|
|
|
|
Samedi 19 Septembre 2015
السبت 19 سبتمبر 2015 م
السبت 05 ذو الحجة 1436 ه
|
L'info en continu
Le Burkina Faso dans l'incertitude L’annonce, hier, par la junte militaire au pouvoir de la réouverture des frontières aériennes et terrestres n’a pas... |
Migrants en Algérie : Sortir de la clandestinité
Ils sont plusieurs milliers installés dans les villes du nord du pays. Migrants, venus des pays subsahariens, ils tentent de se faire une place....
La vraie légende du général «Toufik»
Que cache le mythe Toufik qui vient de quitter ses fonctions après 25 ans à la tête du DRS ? Un homme, un soldat, un...
Ali Haddad : «On ne peut plus accepter l'importation d'un produit fabriqué localement»
Inscrite dans le cadre du redéploiement du Forum des chefs d’entreprises (FCE), la section de Sétif a été...
Réconcilation nationale : Ces propositions qui font polémique
Le projet de l’avocat Merouane Azzi, par lequel il appelle à la «reconnaissance» et l’«indemnisation» des...
Actualité
L'Accord d'association prochainement renégocié
Depuis la conclusion de cet Accord, la position commerciale de l’UE n’a eu de cesse de se renforcer au détriment de... L'Algérie présentera une demande d'extradition
Rachid Mesli a été arrêté en août dernier sur la base d’un mandat d’arrêt international lancé... «Le sort des généraux ne se confond pas avec celui de la nation»
Le président du RCD revient, dans la foulée, sur la situation dans la wilaya de Ghardaïa où, dit-il, «la mort de... Le gouvernement promet de ne pas toucher aux subventions
En évoquant les subventions alimentaires ou celles touchant les carburants, l’eau et l’électricité, le ministre des...
Sports
L'USM Alger à Khartoum vendredi prochain
L’USM Alger, le seul club algérien dans le dernier carré de la Ligue des champions africaine, se prépare activement à... FIFA : Game over pour Valcke
Jérôme Valcke, secrétaire général de la FIFA, a été prié de vider les lieux par le patron de... MCA : Le diplôme présenté par Valdo rejeté par la DTN
La direction technique nationale (DTN) de la Fédération algérienne de football (FAF) ne semble pas fléchir pour ce qui est de...
Economie
Pétrole : Le marché plus optimiste
Jeudi, le baril de brent de la mer du Nord pour livraison en novembre valait 49,08 dollars sur l’ICE de Londres, en baisse de 67 cents par rapport... La LFC 2015 adoptée
Le projet de loi portant approbation de l’ordonnance relative à la loi de finances complémentaire (LFC) 2015 a été... «Protéger la zone euro des chocs financiers extérieurs»
Benoît Cœuré, membre du directoire de la Banque centrale européenne (BCE), a fait savoir hier que l’institution entendait...
International
Les enjeux d'une visite de «réconciliation»
Entre Paris et Rabat, la brouille diplomatique, qui a duré toute l’année 2014, est définitivement réglée.... Libye : Le groupe Etat islamique frappe à Tripoli
Le groupe Etat islamique (EI) a revendiqué une attaque menée hier contre la base aérienne de Mitiga, à Tripoli, qui, selon un... Rpère : Burkina, deux putschs en un an
Culture
El Khalifa... ou l'épreuve du pouvoir
Le pouvoir, sa vacance et l’alternance sont autant de problématiques auxquelles s’attaque la pièce théâtrale El... «Il faut s'emparer de la culture et ne pas attendre les institutions»
Elsa Anaïs Hemnane a réalisé la mise en scène de la pièce théâtrale El Khalifa, (Le gouverneur),
Perturbation dans l’approvisionnement en sucre
A qui profite la «pénurie» ?
le 19.09.15 | 10h00
Depuis une dizaine de jours, des perturbations et une hausse soudaine du prix du sucre ont été constatées dans plusieurs wilayas du pays, notamment du Sud et de l’Est.
Le spectre de la pénurie des produits de première nécessité de janvier 2011, qui avait provoqué des émeutes, risque de refaire surface. Depuis une dizaine de jours, des perturbations de l’approvisionnement et une hausse soudaine du prix du sucre ont été constatées dans plusieurs wilayas du pays, notamment celles du Sud et de l’Est. En plus des rumeurs sur la rareté de ce produit, les prix ont augmenté de 5 DA dans la capitale et les wilayas du Centre et de 10 DA dans les Hauts-Plateaux et au Sud.
Pour mettre fin à la polémique sur une éventuelle pénurie de sucre sur le marché, le ministre du Commerce, Bakhti Belaïb, a réfuté toute pression sur le stock national, reconnaissant néanmoins une perturbation de l’approvisionnement. Dans une déclaration à l’APS, Abdelaziz Aït Abderrahmane, directeur général de la régulation et de l’organisation des activités au ministère, confirme les déclarations de son responsable et affirme que les quantités de sucre disponibles sur le territoire national sont largement suffisantes pour les 871 jours à venir, soit jusqu’à début 2018.
Le même responsable appelle les consommateurs à ne pas céder à la panique et surtout à éviter de constituer des stocks. Pour l’Union générale des commerçants et des artisans algériens (UGCAA), il n’y a aucune raison valable pour cette perturbation, encore moins l’augmentation du prix. «Depuis fin mai, les cours du sucre sont en baisse, du fait d’une production mondiale qui ne cesse d’atteindre de nouveaux records, explique Boulenouar Hadj Tahar, porte-parole de l’UGCAA.
Nous avons pris attache avec les distributeurs et les fournisseurs de ce produit de base et nous avons été rassurés quant à sa disponibilité en quantité ssuffisante. Même le président du groupe Cevital, principal producteur de sucre en Algérie, a confirmé ce constat et a infirmé la présence d’une quelconque pénurie.»
Selon son porte-parole, l’UGCAA aurait saisi les ministères du Commerce et des Finances pour diligenter une commission d’enquête afin de déterminer les causes de cette perturbation. «Nous craignons que cette perturbation soit voulue par des spéculateurs. Si les causes ne sont pas dévoilées et les responsables sanctionnés, cette perturbation persistera et touchera d’autres produits importés, dont le café ou l’huile. Une augmentation des prix est alors automatique, comme cela a été le cas pour le sucre ces derniers jours. Les instigateurs de cette inflation la justifieront par la dévaluation du dinar», affirme-t-il. Et d’insister sur l’importance de lancer une enquête et d’appeler à la révision du prix du sucre non pas à la hausse, mais à la baisse.
Le principal producteur de sucre au niveau national, le groupe Cevital, a fait savoir par ailleurs, par la voix de son premier responsable s’adressant à des médias, qu’il ne voyait pas de raison à la pression actuelle en dehors de la spéculation. Il a ajouté que son groupe allait «inonder» le marché pour contribuer à y remédier. Signalons que la consommation nationale de sucre est estimée à 1,2 million de tonnes par an, selon les données du ministère.
Asma Bersali
Algérie - Union Européenne
L’Accord d’association prochainement renégocié
le 19.09.15 | 10h00
Depuis la conclusion de cet Accord, la position commerciale de l’UE n’a eu de cesse de se renforcer au détriment de l’économie nationale. La démarche d’évaluation réclamée par l’Algérie «ne vise nullement à remettre en cause l’Accord d’association, mais à l’utiliser pleinement».
Le processus de révision de l’Accord d’association sera lancé dans les semaines à venir», a déclaré, jeudi, la Haute Représentante de l’UE pour les affaires étrangères et la politique de sécurité et vice-présidente de la Commission européenne, Federica Mogherini, au cours d’une conférence de presse conjointe avec le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra, tenue à l’issue des entretiens entre les deux parties.
L’Algérie a déjà saisi la Haute Représentante de l’UE pour demander officiellement l’ouverture de discussions sur une évaluation conjointe objective de l’Accord d’association, signé en 2002 et mis en œuvre en septembre 2005. «Il est temps d’évaluer cet Accord pour mieux l’adapter au contexte nouveau dans lequel évoluent les relations bilatérales et aux attentes des deux parties», a affirmé, de son côté, Ramtane Lamamra.
La démarche d’évaluation réclamée par l’Algérie «ne vise nullement à remettre en cause l’Accord d’association, mais au contraire à l’utiliser pleinement dans le sens d’une interprétation positive de ses dispositions permettant un rééquilibrage des liens de coopération», a confié une source proche du dossier à l’APS.
Dix ans après l’entrée en vigueur de ce nouveau cadre de coopération qui a instauré un dialogue ouvert et une collaboration globale incluant les dimensions politiques, sécuritaires, économiques, commerciales, financières, culturelles et humaines, l’Accord d’association n’a pas pour autant permis d’atteindre les résultats escomptés par la partie algérienne. Depuis la conclusion de cet Accord, la position commerciale de l’UE n’a eu de cesse de se renforcer au détriment de l’économie nationale. En 2010, cette situation a amené le gouvernement algérien à procéder au gel unilatéral des concessions tarifaires accordées à l’UE en vertu de l’Accord d’association. Après huit rounds de laborieuses négociations, un compromis sur le report de la zone de libre-échange, prévue en 2017, à 2020 a été trouvé.
Cependant, la tendance à l’accroissement du déficit commercial hors hydrocarbures s’est poursuivie, en témoignent les chiffres des sept premiers mois de 2015. Sur 30,560 milliards de dollars d’importations globales de l’Algérie, 15,67 milliards proviennent de l’UE, soit 50,62%, selon les Douanes algériennes. En même temps, un faible afflux d’investisseurs de l’UE vers l’Algérie a été constaté. Selon les données de l’ANDI, seuls 316 projets d’une valeur de 7,7 milliards d’euros ont été réalisés par des investisseurs européens de 2002 à 2014.
Le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra, estime que «cette visite va nous encourager à densifier la coopération entre l’Algérie et l’UE et réaliser des objectifs encore plus ambitieux». «Nous avons des relations qui se portent bien avec la volonté de les développer et de les renforcer davantage», a-t-il ajouté, soulignant que «les résultats en matière de coopération politique sont appréciables». Dans le même sillage, le chef de la diplomatie algérienne a relevé que l’Algérie et l’UE «ont des réalités qu’il faut prendre en charge en matière de partenariat économique».
Federica Mogherini, a eu également un entretien avec le chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika. A l’issue de cette rencontre, Mme Mogherini a qualifié sa visite en Algérie de «très positive» et «très utile». «Nous avons eu (avec le président Abdelaziz Bouteflika) un bon échange de points de vue et je pense que c’est une bonne manière de conclure une visite que je considère très positive et très utile pour relancer le partenariat entre les deux parties dans différents domaines», a déclaré Federica Mogherini, qui a indiqué également avoir évoqué avec le chef de l’Etat la situation régionale et internationale et les projets communs «que les deux parties peuvent développer pour soutenir les efforts de solution politique des crises, notamment en Libye, en Syrie et au Yémen».
D’autres questions liées au travail que peuvent faire ensemble l’Algérie et l’UE pour faire face au problème de migration, la lutte contre le terrorisme international, à la stabilisation de la région ainsi que les questions de la paix et du développement en Afrique ont été évoquées, a ajouté Mme Mogherini, qui a rencontré également le Premier ministre, Abdelmalek Sellal.
S. R.
|
En vue de maintenir la paix sociale
Le gouvernement promet de ne pas toucher aux subventions
le 19.09.15 | 10h00
En évoquant les subventions alimentaires ou celles touchant les carburants, l’eau et l’électricité, le ministre des Finances reste
sur ses gardes et ne s’avance pas, contre toute logique économique, sur un calendrier qui permettrait à l’Exécutif de se délester
d’un poids qui pèse lourdement sur les équilibres budgétaires.
Malgré son discours sur l’austérité, le gouvernement ne compte pas effectuer de changement immédiat dans sa démarche économique et sociale, préférant s’accrocher encore au système de subventions et de dépense publique. Il se refuse ainsi, selon les déclarations du ministre des Finances, Abderrahmane Benkhalfa, à rogner sur les subventions malgré les recommandations du FMI, estimant, selon ce que déclare le ministre, que cela pourrait constituer «un grand danger».
Un risque social que le ministre ne nomme pas, mais que le gouvernement n’est apparemment pas prêt à prendre, au vu des répercussions qu’il pourrait avoir sur la stabilité politique du pays dont se targuent depuis des années les pouvoirs publics. Une stabilité qui a été maintenue à maintes reprises à coups de milliards de dinars de subventions, notamment lors des différents épisodes de ce que l’on nomme le Printemps arabe ayant touché les pays voisins.
Le gouvernement veut maintenir la paix sociale ainsi achetée grâce à la rente pétrolière malgré la pression économique dont il est l’objet depuis plus d’une année, suite à l’effondrement des cours du baril. En évoquant les subventions alimentaires ou celles touchant les carburants, l’eau et l’électricité, le ministre des Finances reste sur ses gardes et ne s’avance pas, contre toute logique économique, sur un calendrier qui permettrait à l’Exécutif de se délester d’un poids qui pèse lourdement sur les équilibres budgétaires.
La politique des subventions des carburants a d’ailleurs été évoquée avec insistance par le gouvernement, avant qu’il ne décide, en fin de compte, de faire l’impasse sur les mesures annoncées et prévues dans la loi de finances complémentaire pour 2015, à l’image de la carte de consommation plafonnée des carburants. Selon M. Benkhalfa, «le changement doit être progressif».
Evasif, il a déclaré jeudi, en marge de son passage à l’APN, lors de l’adoption de l’ordonnance portant loi de finances complémentaire pour 2015, que la définition d’une échéance précise n’est pas possible. La dépense publique est maintenue à moyen terme. Par ailleurs, le ministre parle de garder le cap et insiste sur un passage graduel de la politique économique actuelle à une nouvelle approche, plus rationnelle.
Il a souligné, selon l’APS, que le gouvernement va passer graduellement, dans sa politique budgétaire, d’une dépense publique massive à des financements basés sur les ressources du marché, même si le cap de ces dépenses «sera maintenu» à moyen terme afin d’atteindre les objectifs de croissance hors hydrocarbures.
«L’ordonnance portant loi de finances complémentaire pour 2015 s’inscrit dans les orientations du Conseil des ministres de décembre 2014 (…). Nous allons maintenir le cap pour les trois ou quatre années à venir», a indiqué M. Benkhalfa à l’APN, lors de la séance consacrée au vote de cette ordonnance. «Ce cap s’articule autour de trois orientations : la valorisation des ressources, l’encouragement des entreprises créatrices de valeur ajoutée et la sauvegarde des progrès en termes de politique sociale», a-t-il précisé. Cette politique sociale «ne sera en aucun cas secouée de manière brusque» en dépit de la baisse des prix du pétrole et des revenus extérieurs de l’Algérie, a-t-il promis.
Le passage d’une économie basée quasi-exclusivement sur la dépense publique vers une économie financée par les ressources extrabudgétaires se fera donc «de manière progressive», selon le ministre. Pour ce faire, «l’Algérie a besoin d’une mobilisation soutenue des ressources internes», a-t-il ajouté dans une déclaration à la presse, en insistant de nouveau sur le fait que le programme de mise en conformité fiscale volontaire, lancé en août dernier pour tenter de bancariser l’argent informel, «ne représente ni une amnistie fiscale ni un encouragement du blanchiment d’argent».
Par ailleurs, évoquant le projet de loi de finances pour 2016, approuvé récemment par le gouvernement, il a avancé que ce texte révisera à la baisse le prix du marché du baril de pétrole, établi à 60 dollars dans le cadre de la LFC 2015. La poursuite de l’assainissement des comptes d’affectation spéciale (CAS) se fera dans le cadre de ce texte qui introduira, en outre, «un retour à la taxe intérieure sur la consommation (TIC) dans l’objectif d’encourager la production nationale», a-t-il dit, sans fournir plus de détails.
Zhor Hadjam
Libye : Le groupe Etat islamique frappe à Tripoli
le 19.09.15 | 10h00
Le groupe Etat islamique (EI) a revendiqué une attaque menée hier contre la base aérienne de Mitiga, à Tripoli, qui, selon un responsable de la sécurité de l’aéroport libyen, a fait trois morts parmi les forces de l’ordre.
«Un groupe armé a mené ce matin une attaque contre la prison située dans la base aérienne de Mitiga, pour tenter de libérer des détenus», a déclaré ce responsable cité par l’AFP. Et d’ajouter : «Au début il y a eu une explosion (...) et ensuite un accrochage à l’arme automatique (…). Trois gardiens ont été tués ainsi que tous les assaillants, il y en avait au moins huit.» La Libye compte actuellement deux autorités rivales : l’une à Tripoli dirigée par Fajr Libya, une coalition de milices qui a pris le contrôle de Tripoli en août 2014, et l’autre ,reconnue par la communauté internationale, à Tobrouk (est).
Par ailleurs, le Parlement libyen reconnu par la communauté internationale a mis fin à ses divisions sur un projet d’accord présenté par l’Organisation des Nations unies (ONU) pour former un gouvernement d’unité nationale et va reprendre les pourparlers de paix. C’est ce qu’a a annoncé hier l’émissaire de l’ONU pour la Libye. Bernardino Leon. «Il y a eu un accord» entre la délégation du Parlement qui rejetait le texte proposé par l’ONU et voulait cesser les discussions et la délégation qui voulait aller de l’avant, a déclaré l’émissaire onusien à Skhirat, au Maroc, où se tiennent des pourparlers de paix entre les deux autorités rivales qui se disputent le contrôle de la Libye.
Il a toutefois souligné que le Parlement basé à Tobrouk et son rival à Tripoli, le Congrès général national (CGN), devaient encore donner leur feu vert définitif à ce texte. Une partie des députés du Parlement de Tobrouk ont rejeté le projet à cause de l’intégration au texte initial de certains amendements réclamés par les rivaux de Tripoli. Malgré la fin des divisions au sein du Parlement reconnu, B. Leon a souligné qu’«aucun accord final» n’est encore sur la table. Les discussions devraient donc se poursuivre au Maroc où doivent arriver les représentants du Parlement de Tripoli après des consultations dans la capitale libyenne. L’émissaire de l’ONU a indiqué qu’il espère signer un accord avant le 20 septembre.
R. I.
|
+
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
L'actualité DERNIERE HEURE en photos |
|
+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ + +
|
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 5 autres membres