276-/-actualites du Du Lundi 05 Octobre 2015
+++++++++++++++++++++++++++++++++++
++ الإثنين 05 أكتوبر 2015 م
الإثنين 22 ذو الحجة
|
|
Lundi 05 Mars 2015
|
|
|
|
Événements du 5 Octobre 198827 ans après, la démocratie reste à construirele 05.10.15 | 10h00 27 longues années séparent le 5 Octobre 1988 du 5 octobre 2015. 27 ans se sont écoulés depuis ce mouvement qui se voulait porteur d’espoir d’une Algérie libre et démocratique. Les émeutes d’Octobre 1988, qui ont fait près de 500 victimes, avaient redonné un tant soit peu espoir aux Algériens, qui aspiraient à un cadre de vie meilleur. Le sacrifice des «enfants du 5 Octobre» a permis à l’Algérie d’entamer une nouvelle ère politique. Le sacrifice des «enfants du 5 Octobre» a ouvert la voie au pluralisme politique, associatif, aux luttes syndicales et à la naissance de la presse indépendante… Mais cette brèche a été de courte durée. Cette ouverture a été vite refermée par un pouvoir qui ne se soucie que de sa pérennité au détriment des revendications du peuple. Nombre d’observateurs et de politologues estiment que l’ouverture a surtout servi l’opportunisme et l’islamisme. L’Algérie a régressé au lieu d’avancer ; elle a vécu une décennie noire, sombré dans le chaos pendant dix longues années, replongé dans une nouvelle crise économique due à l’effondrement du prix du pétrole. Aujourd’hui, 27 ans après, quelle leçon peut-on tirer du soulèvement des jeunes du 5 Octobre ? Force est de constater que nous vivons actuellement le même climat et dans les mêmes conditions qui prévalaient dans les années 1980. Les facteurs ayant poussé au déclenchement des émeutes d’Octobre 1988 sont de mise : l’Algérie, dont les revenus extérieurs proviennent à 99% de la vente d’hydrocarbures, est frappée de plein fouet par le contrechoc pétrolier. La chute des cours du pétrole a mis à nu les échecs successifs des politiques menées par le système, basées sur la fuite en avant et l’achat de la paix sociale au lieu d’une véritable stratégie politique, économique et sociale. Le malaise est prévisible avec les émeutes du logement, du pain, du gaz, le chômage et la hogra, sans oublier la bureaucratie et les scandales de corruption. Certains acquis les plus élémentaires arrachés en Octobre 1988 sont remis en cause en 2015 par un pouvoir qui donne rarement, sinon jamais, la parole au peuple. Les manifestations et les attroupements publics sont interdits, les grévistes sont souvent malmenés, on remet en cause le droit syndical, on verrouille le champ d’activité des associations… Les ingrédients d’une explosion sociale sont d’actualité, avec une crise politique et institutionnelle caractérisée par une démission de la gestion des affaires publiques et des institutions souffrant de manque de légitimité populaire et de crédibilité. Pour éviter un octobre-bis, des partis de l’opposition réclament l’ouverture d’un débat et le recours à une période de transition. Le pouvoir a répondu niet. L’association Rassemblement action jeunesse (RAJ), née dans la foulée des émeutes d’Octobre 1988, pense qu’en promulguant un arsenal de lois en 2012 «pour étouffer et asphyxier la vie politique et associative, en violant les droits de la personne humaine, avec le chômage, la cherté et la précarité de la vie, sans oublier la bureaucratie, la corruption à grande échelle, le faussé entre le gouvernant et le gouverné s’élargit de plus en plus». Le RAJ, qui rend aujourd’hui hommage aux victimes du mouvement d’Octobre 1988 en organisant un rassemblement pacifique, pense que «le contexte national et régional impose une véritable et sérieuse ouverture démocratique, avec l’implication de tous les Algériens et Algériennes, pour poser les premiers jalons d’un Etat de droit, de justice et de démocratie, où la souveraineté chèrement arrachée sera restituée au peuple algérien». Hommage aux victimes du 5 OctobreFidèle aux idéaux d’Octobre 1988 et aux luttes démocratiques menées depuis l’indépendance, pour la mémoire et contre l’oubli, pour le respect des libertés démocratiques et pour la justice sociale, le RAJ organise un rassemblement pacifique, aujourd’hui à partir du 12h30 sur la place devant le Théâtre national algérien (TNA). R. P. Nabila Amir
L'info en continu
++Le petit Anes retrouvé mort à Mila
Affaires Rebrab, Hassan et Benhadid : Benflis dénonce une épuration politique des opposants Marche du RCD à Tizi Ouzou : «Libérez l'investissement !» Les marcheurs ont revendiqué, à travers cette action, «l’officialisation de tamazight» et dénoncé «la... Mères célibataires : Condamnées sans recours Certaines femmes, en dépit de tout, décident d’élever seules leur enfant, d’autres se battent afin de le garder.... Actualité Les avocats plaident pour une «réforme des mentalités» Sports Qualification historique en finale de l'USMA Economie Sonelgaz face à la crise International Le makhzen se met au chantage économique Culture 1er Festival du film médical pédagogique +
Nouvelles rumeurs sur la mort de Belmokhtarle 05.10.15 | 18h58 La plus grande confusion règne à nouveau autour du sort de Mokhtar Belmokhtar, le cerveau de la prise d’otages d’In Amenas en janvier 2013. Annoncé mort à plusieurs reprises – la dernière fois, c’était en juin dernier, le gouvernement libyen l’avait officiellement déclaré tué lors d’un raid américain – le chef du groupe armé Al-Mourabitoune était jusqu’à peu, encore vivant et localisé à Derna, dans l’est de la Libye. Sur son compte Twitter, Abderraouf Hossam, un cadre d’Al Qaïda, a publié il y a quelques jours un message audiode l’organisation, datant de début juillet. Il y dénonce « les campagnes médiatiques des ‘’spécialistes du terrorisme’’ qui « utilisent » la mort de deux chefs : Abou Bassir (le numéro 2 d’Al Qaïda dans la Péninsule arabique, ndlr)alias Nasser al Wahichi, et Khaled Abou Al-Abbas, pour affaiblir Al Qaida. » Or en août dernier, dans sa guerre contre Al Qaïda au Maghreb islamique, la section libyenne de l’organisation de l’Etat islamique, avait diffusé un avis de recherche contre celui que chef terroriste algérien. « S’il était déjà mort en juillet, pourquoi l’EI chercherait à le tuer en août ? », s’interroge une source sécuritaire algérienne. Une autre piste permet de douter de sa mort : les confidences d’un des combattants de Majliss Echourra el Moudjahidine de Derna, Abou Safa Djabri, au site Dzayerinfo, selon lequel Mokhtar Belmokhtar aurait été blessé dans l’explosion d’une bombe près de son véhicule. Pour l’instant, ni Al Qaïda, ni Al-Mourabitoune n’ont confirmé sa mort. Aziz. M et Mél. M++++++++++++++++++++++++++++++++++++
Monday,JANUARY 05 2015
|
Ligue des champions d’Afrique
Qualification historique en finale de l’USMA
le 05.10.15 | 10h00
L’USM Alger s’est qualifiée samedi soir en finale d’une Coupe d’Afrique dans son histoire, devant ainsi le sixième club algérien à avoir atteint ce stade après le MCA, le NAHD (Coupe des coupes), la JSK, l’ESS et le MCO (dans l’ordre chronologique).
Désormais, les Rouge et Noir de Soustara veulent devenir le deuxième club algérien à décrocher le titre de cette prestigieuse compétition dans sa nouvelle version, après l’ES Sétif, la saison passée. Cette qualification intervient après le nul vierge (0-0) face à Al Hilal du Soudan au stade Omar Hamadi de Bologhine. A l’aller, les Algérois l’avait emporté sur le score de 2 buts à 1. Samedi, dans un stade plein à craquer, les Usmistes n’ont pas fourni un grand match, mais ont su gérer leur avance avec une bonne disposition tactique et des joueurs déterminés à ne pas rater ce rendez-vous avec l’histoire.
L’USMA avait échoué à deux reprises aux portes des demi-finales (1997 et 2004), malgré la qualité de son effectif de l’époque, mais cette fois, avec plus de moyens et de maturité, elle a exaucé le vœu des milliers de ses fans. Les hommes de Miloud Hamdi auraient pu prétendre à un résultat meilleur samedi avec un peu de réussite devant les bois, notamment par Aoudia qui a raté deux occasions nettes en première période.
Les visiteurs, qui se devaient de gagner pour espérer renverser la vapeur, n’ont pas été convaincants en attaque, ce qui a facilité la tâche aux camarades de Zemmamouche, toujours impérial dans ses bois. En seconde période, le jeu devient plus intense, les Soudanais se lancèrent en attaque dans un dernier sursaut d’orgueil. Ils ont eu quelques occasions de scorer, mais Zemmamouche et la défense ont annihilé toutes leurs tentatives au grand bonheur des supporters. L’USMA affrontera en finale TP Mazembe (RD Congo), vainqueur d’Al Merrikh (Soudan), sur le score de 3 buts à 0 dans l’autre demi-finale retour qui s’est jouée hier.
A l’aller, les Soudanais l’avaient emporté sur le score de 2 buts à 1. La finale aller aura lieu le 30 octobre au stade du 5 Juillet (Alger), sans Meftah et Andrea (suspendus), et la manche retour une semaine après (le 6 novembre). L’entraîneur Miloud Hamdi, qui est devenu le premier entraîneur à avoir permis à l’USMA d’accéder à ce stade de la compétition, a déclaré à la fin du match : «Je savais que la manche retour allait être difficile, mais nous avons bien su gérer notre avance du match aller.
Je suis très fier du comportement de mes joueurs et de cette qualification en finale. C’est un moment historique pour moi, pour l’équipe et pour le football national. Nous allons savourer cette qualification avant de préparer la finale qui sera encore plus difficile.» Son homologue d’Al Hilal, Nabil El Kouki, avait reconnu que la qualification s’était jouée à l’aller : «Nous avons beaucoup tenté, en vain.»
A. B.
|
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
L'actualité DERNIERE HEURE en photos |
|
A découvrir aussi
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 5 autres membres