279-/-actualites du jeudi 8 octobre 2015
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MALGRÉ LE DÉMENTI DES AUTORITÉS, REBRAB CONFIRME AU SOIR D’ALGÉRIE : Le nom d’Issad Rebrab va-t-il s’ajouter à la liste des personnes arrêtées pour avoir critiqué la gestion des tenants du pays ? Le patron de Cevital nous a déclaré hier être en possession d’informations sûres faisant état de l’intention du pouvoir de procéder à son arrestation dès son Suite... |
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Actualité
La Présidence s'explique sur les changements au sein du DRS
La confusion persiste malgré les démentis : A-t-on voulu mettre Rebrab en prison ?
Habitat : Colère des souscripteurs au LPP
Le groupe arcelormittal : Une renationalisation et des zones d'ombre
Nouvelles mesures liées à l’investissement : Le patronat satisfait
Maintien des investissements publics et des niveaux de transferts sociaux : Quand la raison politique prime sur les réalités économiques
Repère : Le pari tardif de la fiscalité ordinaire
Il poursuit en justice une chaîne TV suite aux propos de Mezrag : Grine se trompe de cible
La Défense française prétexte une erreur matérielle : L’arrêté incluant l’Algérie dans l’opération Barkhane retiré
Il concerne 182 postes : Mouvement partiel des chefs de daïra
Sports
Fifa : Blatter et Platini suspendus 90 jours
Algérie – Guinée (demain à 18h) : Les Verts renouent avec l’ambiance du 5 Juillet
FIFA – corruption : La commission d’éthique réunie pour statuer sur les cas Blatter et Platini
USMBA : Le joueur Jessy Mayele obtient sa libération
Sétif : Mokhtar Arribi et l’histoire offensés
Coupes africaines : Le tirage au sort le 15 décembre
Economie
Exportations : Les entreprises appelées à élaborer une stratégie
Logistique : Gefco acquiert le néerlandais IJS Global
Propriété intellectuelle : L’expérience américaine en exemple
Hôtellerie : Le groupe Carlson Rezidor ouvrira un hôtel haut de gamme à Tipasa
AMPTA de Annaba et les mines de Tébessa renationalisées
Créances impayées et surconsommation d’énergie : Sonelgaz face à la crise
International
Un Palestinien grièvement blessé en Cisjordanie occupée : Israël jette de l’huile sur le feu
Le général Diendéré arrêté et inculpé pour attentat à la sûreté de l’état : Le Burkina Faso tourne la page Compaoré
En bref…
Conflit israélo-palestinien : Tel-Aviv redouble de violence en Cisjordanie
irak : L’Italie participera aux raids contre Daech
Guerre contre l’état islamique : La Russie veut étendre ses opérations à l’Irak
Culture
Agence Algérienne pour le rayonnement Culturel : Plusieurs activités pour une double célébration
Maison de la culture Mouloud Mammeri (Tizi Ouzou) : Journée d’étude sur l’œuvre de Saïd Boulifa
La chronique de Maurice Tarik Maschino : La grande illusion
Théâtre régional de Constantine : Deux distinctions pour «Nissa El Madina»
Clôture du festival national du théâtre comique de Médéa : La Grappe d’or pour la pièce El Hattab de Batna
Fibda 2015 : Coups de «bulles»
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Fifa : Blatter et Platini suspendus 90 jours
le 08.10.15 | 13h12
Joseph Blatter, président de la Fifa démissionnaire, et Michel Platini, président de l'UEFA et candidat à la présidence de la Fifa, ont été suspendus 90 jours jeudi par la commission d'éthique de la Fifa, alors que l'instance suprême du foot est cernée par les scandales en tout genre.
Par ailleurs Chung Mong-joon, ex-vice président de la Fifa et candidat à la présidence de la Fifa, a été suspendu pour six ans de toute activité liée au football, tandis que Jérôme Valcke, secrétaire général de la Fifa déjà relevé de ses fonctions mi-septembre, a été suspendu provisoirement 90 jours.
AFP
La confusion persiste malgré les démentis
A-t-on voulu mettre Rebrab en prison ?
le 08.10.15 | 10h00
La polémique enfle sur ce qui s’apparente à une affaire Rebrab. Le patron de Cevital accuse le pouvoir de vouloir le mettre en prison afin de le «faire taire». Les autorités ont réagi sans tarder à la déclaration de l’homme d’affaires à succès et un démenti sur l’existence d’un mandat d’arrêt contre lui a été publié. La confusion demeure totale.
Le conflit qui oppose l’homme d’affaires Issad Rebrab au pouvoir prend de nouvelles proportions. Le patron de Cevital accuse publiquement les autorités de vouloir l’arrêter pour le «faire taire». Après avoir mis en cause notamment le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, mais surtout le ministre de l’Industrie, de bloquer ses projets, il est revenu depuis deux jours pour accuser les autorités de vouloir le mettre en prison. Tout a commencé dans une interview accordée au site TSA.
Le patron de Cevital a déclaré, entre autres : «On cherche à me faire taire. Mais je ne vais pas me taire. Au lieu de prendre conscience de la gravité des choses, ils agissent ainsi.» La déclaration de M. Rebrab crée, dans le pays, une onde de choc. Le gouvernement, acculé, s’est senti dans l’obligation de répondre. Après s’être exprimé dans un premier temps sous le couvert de l’anonymat, le ministre de la Communication, Hamid Grine, a démenti «l’existence d’un mandat d’arrêt» contre Issad Rebrab. «A ma connaissance, il n’existe aucune plainte et je prends pour acquis qu’il n’y a aucun mandat d’arrêt contre l’homme d’affaires Issad Rebrab», a indiqué le ministre de la Communication.
Mais quelques lignes plus loin, Hamid Grine lâche une phrase énigmatique. Comparant l’affaire de Cevital à celle de la chaîne de télévision privée El Watan TV (à ne pas confondre avec notre journal), le ministre indique, selon ses propos rapportés par l’APS, que «ce qui s’appliquera à la chaîne TV, qui sera poursuivie en justice, le sera aussi à l’homme d’affaires étant donné qu’il est tout autant responsable de ce qu’il a dit». «S’il y a délit, M. Rebrab répondra de cela devant la justice», a-t-il ajouté.
Contacté par elwatan.com, Issad Rebrab, qui accuse Abdelmalek Sellal d’avoir saisi les services français de lutte contre le trafic financier, répond depuis le Brésil où il est en mission : «Ces gens-là n’ont pas besoin d’un mandat pour m’arrêter. J’ai eu des informations de source sûre qu’ils vont m’arrêter dès que je rentrerai en Algérie pour me faire taire.» Pis, au directeur général de la Sûreté nationale, Abdelghani Hamel, qui assure que «l’homme d’affaires ne risque rien», Rebrab enfonce un peu plus le clou. «J’ai énormément de respect pour le général Hamel.
Malheureusement, tout le monde sait que les véritables responsables sont le président de la République et le chef d’état-major Gaïd Salah», indique le patron de la plus grande entreprise privée algérienne sur TSA. En déplacement à Laghouat, le DGSN avait précisé qu’«aucune action n’a été intentée à l’encontre de l’homme d’affaires Issad Rebrab». Le DGSN a ajouté que Rebrab a «le droit, comme tout citoyen, d’agir en toute liberté».
Forcé à l’exil ?
L’affaire prend des proportions inattendues. Nous apprenons que des travailleurs du complexe agroalimentaire de Béjaïa, qui emploie plus de 3000 salariés, menacent de sortir dans la rue pour dénoncer «l’acharnement» qu’exercent les autorités politiques sur leur patron. Il y a quelques jours, le patron de Cevital avait accusé les autorités, dont le ministre de l’Industrie, Abdessalem Bouchouareb, de bloquer ses investissements.
Il reproche aux autorités leur double langage : «On va jamais avancer avec ces gens-là.» La réponse du ministre de l’Industrie a été violente, il reproche au patron de Cevital de vouloir «importer des pièces usagées» pour son usine d’électroménager de Sétif. «Bouchouareb est un menteur», réplique Issad Rebrab, qui invite le ministre et les journalistes à aller «constater» sur place, à Sétif, que les équipements acquis sont «ultramodernes».
L’affaire qui oppose l’homme d’affaires aux autorités risque donc de connaître de nouveaux rebondissements. Surtout que dans la crainte d’une arrestation, Issad Rebrab, qui possède des investissements en Italie, en France, au Maroc et au Brésil, a indiqué qu’il ne rentrera pas de sitôt au pays. Sera-t-il forcé à l’exil ? Ali Boukhlef © El Watan
L’armée algérienne annonce avoir tué un proche de Belmokhtar
le 07.10.15 | 17h31
Ali Bakari, connu aussi sous les noms de Ali Abou Hacen et Abou Souleimane, aurait été tué hier mardi 6 octobre, à Bir El-Atter, près de Tebessa, dans l’est du pays.
L’annonce a été faite par le ministère de la Défense qui parle d’une « opération » menée dans la soirée par « un détachement combiné relevant du secteur opérationnel de Tébessa/ 5ème Région Militaire ».
Selon des sources sécuritaires, Ali Bakari a été condamné à mort par le tribunal de Ouargla et à la prison à perpétuité par le tribunal de Tebessa en 2008. Les enquêtes des services de sécurité algériens indiquent qu’il était impliqué dans le rapt d’Allemands et d’Autrichiens en compagnie du terroriste Abderrezak el-Para dans le Sud-est algérien en 2003.
Il était aussi condamné à perpétuité en Mauritanie pour avoir participé au rapt de trois ressortissants espagnols en novembre 2009 dans le nord-ouest de la Mauritanie sur la route Nouadhibou-Nouakchott, au sein d'un convoi de véhicules acheminant de l'aide humanitaire depuis Barcelone.Enfin, il serait aussi impliqué dans le kidnapping de deux Autrichiens au nord du Mali.
Les services algériens lui attribuent plusieurs opérations contre des militaires algériens et maliens à l’époque où il avait été identifié aux côté d’Abdelhamid Abou Zeid et Djamel Okacha alias Yahia Abou al-Hammam, au nord du Mali. En 2013, il aurait rejoint Mokhtar Belmokhtar faisant plusieurs déplacements entre la Libye, la Tunisie, le nord du Mali et l’Algérie.
Toujours selon le ministère de la Défense, l'opération a permis de récupérer un pistolet mitrailleur de type kalachnikov, trois chargeurs, plus de 180 balles, des explosifs et des téléphones portables. Il était « un des premiers criminels à avoir rejoint les groupes terroristes en compagnie de sa femme en 1995 à Djebel Labiedh, avant de se rendre dans la région du Sahel en 2000, devenant l'un des acolytes du terroriste Mokhtar Belmokhtar. » Des informations contradictoires évoquent un possible ralliement à l’organisation de l’Etat islamique.
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Algérie – Guinée (demain à 18h)
Les Verts renouent avec l’ambiance du 5 Juillet
le 08.10.15 | 10h00
La sélection nationale de football disputera demain (18h) contre la Guinée son premier match amical de préparation pour les éliminatoires du Mondial 2018.
Le match aura lieu au stade du 5 Juillet, que les Verts n’ont plus foulé depuis trois années. Les joueurs se réjouissent de retrouver ce stade mythique qui a vu défiler plusieurs générations. Plusieurs joueurs de cette génération de mondialistes, habitués à jouer au stade Mustapha Tchaker de Blida, ne connaissent pas le stade du 5 Juillet.
Le sélectionneur national a convoqué 26 joueurs pour les deux matches amicaux, dont quatre nouveaux éléments : le gardien de but Mehdi Jeannin (Clermont Foot, France), les défenseurs Mehdi Tahrat (FC Paris, France) et Brahim Boudebouda (USM Alger), ainsi que l’attaquant Saïd Benrahma (Nice, France). L’autre défenseur de l’USMA, Nacereddine Khoualed, a été libéré par le staff technique pour blessure. Il est donc déclaré forfait pour les deux matches amicaux, tout comme Mehdi Zeffane et Ahmed Kashi, qui ont été signalés par le staff médical et autorisés à quitter le stage.
Le meneur de jeu algérien, Yacine Brahim qui souffre de quelques douleurs s’est contenté d’un entraînement en solo à Sidi Moussa. Sa participation au premier match n’est pas évidente. Malgré son caractère amical, le coach national insiste beaucoup sur le rendement et le résultat. «L’entraîneur a beaucoup insisté sur le résultat des deux matches amicaux contre la Guinée et le Sénégal. Contre le Lesotho, nous avons essuyé des critiques, malgré que nous ayons gagné, alors que plusieurs nations ont perdu leur match ce jour-là», a déclaré l’attaquant Sofiane Feghouli à Sidi Moussa.
La Tanzanie bat le Malawi (2-0)
La Tanzanie a battu hier sur le score de 2 à 0 le Malawi en match aller du tour préliminaire des éliminatoires de la Coupe du monde 2018. La manche retour est prévue dans une semaine au Malawi. Le vainqueur des deux nations lors de cette double confrontation affrontera l’Algérie lors du deuxième tour, prévu au mois de novembre avant de rentrer dans la phase des poules.
A. B.
Créances impayées et surconsommation d’énergie
Sonelgaz face à la crise
le 05.10.15 | 10h00
Après avoir été gelés pendant dix ans, les tarifs de l’énergie connaitront une hausse à partir de 2016 avec pour première cible les industriels et les gros consommateurs. Une mesure qui fera beaucoup de mécontents mais au moins deux heureux. L’Etat pourra récupérer à travers les taxes une partie des subventions aux prix de l’énergie et Sonelgaz renflouera une trésorerie qui en a plus que besoin pour des besoins d’investissement à court terme qui se chiffrent à 2800 milliards de dinars. En revanche, les entreprises du secteur industriel qui représentent moins de 20% de la consommation devront se préparer à payer plus.
Des factures un peu plus salées qu’ils ne manqueront sûrement pas de répercuter sur les prix des produits vendus aux consommateurs. Reste à définir l’identité de ceux que le ministre de l’Energie et des mines appelle «gros consommateurs». Un expert estimé qu’il peut tout aussi bien s’agir des gros industriels que des clients domestiques énergivores. En tout état de cause, en représentant plus de 90% des clients de Sonelgaz et en consommant plus de 50 de l’électricité et plus de 60% du gaz facturées, il serait étonnant que les ménages puissent éluder longtemps une hausse des tarifs.
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irak : L’Italie participera aux raids contre Daech
le 07.10.15 | 10h00
Les Italiens auraient accepté, sur une demande américaine, de passer à l’action en Irak, au sein de la coalition dont ils font partie. L’annonce de cette nouvelle coïncide avec la visite, en Italie, du secrétaire d’Etat américain à la Défense, Ashton Carter.
L’Italie voulait un rôle plus prestigieux pour son armée, en Irak, et des groupes d’intérêt comme le grand quotidien Corriere Della Sera, qui appartient au patronat, avaient tiré par la veste le gouvernement de leur pays, afin qu’il soit plus audacieux au sein de la coalition américano-européenne qui est engagée, depuis une année, dans une offensive aérienne contre les groupes armés de Daech. Après avoir tenté, en vain, de convaincre ses alliés de la nécessité d’une intervention militaire en Libye, la péninsule a tourné son ambition vers l’Irak.
Et même si le gouvernement de Matteo Renzi, vite interpellé par l’opposition, a précisé qu’il ne s’agissait «que d’une hypothèse», commentant la nouvelle de la participation italienne aux raids en Irak (information publiée hier par le Corriere Della Sera), les partis de l’opposition ont demandé respectivement aux ministres de la Défense et des Affaires étrangères de se présenter devant le Parlement pour expliquer les tenants et les aboutissants de cette nouvelle mission. Jusque-là, la présence militaire italienne en Irak se limitait à fournir des armes aux milices kurdes et à les entraîner.
En outre, l’Italie avait fourni 4 avions de chasse, stationnés dans une base américaine au Koweït, et des drones employés dans des missions de reconnaissance. Ce changement de cap pourrait contraindre l’Exécutif de centre-gauche à passer devant le Parlement pour obtenir une autorisation à agir, comme le prévoit la Constitution italienne. Les observateurs rappellent également la réaction du président du Conseil italien aux raids français en Syrie.
Ce dernier avait critiqué la position du pays voisin et réitéré que l’Italie «ne bombarde pas». Hier, les responsables italiens n’ont pas toutefois démenti l’information, mais ont laissé entendre que cette opération aérienne ne sera pas étendue à la Syrie, justifiant ce choix par le fait que c’est le gouvernement irakien lui-même qui en est le demandeur, contrairement à celui de Damas qui n’a autorisé que la Russie à faire joujou de ses bombardiers dans son ciel.
En réalité, en Irak, tout comme en Libye, l’Italie a investi beaucoup en matière d’exploration et d’exploitation des hydrocarbures, et compte bien, suivant l’exemple américain, protéger ses investissements… Et Daech, qui se porte très bien après une année de guerre aérienne de la coalition des alliés (américains, européens, arabes...), reste le meilleur leitmotiv à invoquer pour ne pas passer pour des néocolonialistes assoiffés de gaz et de pétrole.
Nacéra Benali
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