325-/-ACTUALITÉS Du Mercredi 16 Novembre 2016
*******
****
الأربعاء 16 صفر 1438 ه
Mercredi 16 Novembre 2016
2016م الأربعاء 16 نوفمبر
م الأربعاء 16 نوفمبر 2016
|
|
|
|
|
|
|
1 2 |
|
*
|
|
|
++++++++++++++++++++
|
|
Â
Â
L'info en continu
..... |
L'info en continu
Projet de loi de finances 2017 : Absence de débat à l'APN Les députés, ceux de la majorité en particulier, ont boudé les débats ouverts depuis deux jours à l’APN,... |
Ces Algériens qui se soignent en Turquie
De nombreux Algériens, souffrant de pathologies complexes et qui n’obtenant pas de prise en charge de la CNAS, se débrouillent comme...
Seule source de financement de quatre caisses
Dans le cadre de l’exécution d’un cycle de formation initié en juillet dernier, la direction générale des Caisses...
«Le Maroc veut provoquer une fissure au sein de l'Union africaine»
Le représentant du Polisario au Moyen-Orient, Mustapha Mohamed Lamine, expose tous les arguments trahissant les mensonges marocains.
Médicaments : Une vingtaine de produits sous tension à la PCH
La Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH) connaît actuellement une forte perturbation dans l’approvisionnement et la...
Actualité
Projet de loi de finances 2017 : Absence de débat à l'APN
Les députés, ceux de la majorité en particulier, ont boudé les débats ouverts depuis deux jours à l’APN,...
Plus de 1800 étudiants marchent pour exiger de l'emploi
Malgré une formation de qualité reconnue par tous, les étudiants de la faculté des hydrocarbures peinent à trouver un...
L'inquiétant faux barrage de Aïn Defla
La population de Aïn Defla a été secouée, hier, par la triste nouvelle de l’assassinat de deux militaires et d’un...
L'énergie et l'investissement au coeur des discussions
Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, est en visite officielle en Arabie Saoudite pour deux jours. Plusieurs ministres, dont celui des Affaires...
Sports
L'occasion ratée de prolonger le stage
Onze sélections africaines ont disputé, hier, des rencontres amicales. Seule la Côte d’Ivoire a affronté une...
MO Béjaïa : Attia encourt deux ans de suspension
L'ACBM privé de compétition
Plus de 300 jeunes joueurs de l’Athlétique Club de Bordj Menaïel (ACBM) risquent d’être privés de compétition...
Economie
Vers la création d'un marché à terme des devises
Le gouverneur de la Banque d’Algérie évoque la possibilité d’un certain «dégel du contrôle des...
Logistique : Des plateformes pilotes bientôt en exploitation
Trois plateformes logistiques pilotes à Alger, Oran et Sétif entreront en exploitation au cours du premier trimestre 2017 et serviront de...
Intenses efforts diplomatiques
L’Algérie, le Qatar et le Venezuela mènent une dernière offensive diplomatique pour concilier les positions divergentes au...
International
«Le Maroc veut provoquer une fissure au sein de l'Union africaine»
Le représentant du Polisario au Moyen-Orient, Mustapha Mohamed Lamine, expose tous les arguments trahissant les mensonges marocains.
Repère : Bonnes et mauvaises colonies ?
Culture
L'Algérie en compétition avec Chroniques de mon village
Le monde du cinéma arabe pleure la perte du grand comédien égyptien Mahmoud Abdelaziz, disparu samedi 12 novembre.
Générale de Nuit de sang : Un procès théâtral de la réconciliation
Ne vous fiez pas au discours en prélude de la pièce, Nuit de sang fait le procès de la politique de réconciliation
Projet de loi de finances 2017 : Absence de débat à l’APN
le 16.11.16 | 10h00
Les députés, ceux de la majorité en particulier, ont boudé les débats ouverts depuis deux jours à l’APN, sur le projet de loi de finances 2017.
C’est dans un hémicycle quasiment vide que se sont poursuivis, hier, au deuxième jour, les débats autour du projet de loi de finances 2017. Plus de la moitié des membres de l’APN n’ont pas jugé utile d’assister au débat autour du plus important texte de loi du pays. Mieux, sur les 220 députés FLN (sur les 462 que compte l’APN), il n’y avait qu’une dizaine présents à cette plénière. Tout porte à croire que la situation financière du pays constitue le dernier souci de la grande majorité des députés. Le phénomène de l’absentéisme n’est certes pas à son début, mais vu la crise de légitimité et de crédibilité qui frappe cette assemblée, les députés devaient en cette fin de mandat et à l’approche les prochaines élections se rattraper auprès de leurs électeurs.
Ce ne fut pas le cas. Pourtant la nouvelle Constitution, votée à l’unanimité ou presque par les formations politiques détentrices de la grande majorité parlementaire, interdit l’absentéisme… Où est, dans ce cas, la responsabilité des partis politiques. Jamais un projet de loi de finances n’a connu un tel désintérêt. Le ton d’ailleurs a été donné lors de son traitement par la commission finances. A en croire la députée FFS Hayat Tayati Meziani, membre de la commission finances, le projet a été traité avec une légèreté inégalée.
Selon elle, seuls trois ministres ont été auditionnés par la commission finances alors que par le passé la majorité du gouvernement défilait devant la commission pour débattre du projet de loi de finances. «Seulement trois ministres, ceux de l’Education nationale, de l’Agriculture et des TIC ont été entendus par la commission dans le cadre du débat autour de la loi de finances. Est-ce que vous trouvez cette situation normale», s’est interrogée Mme Tayati, qui qualifie ce projet de replâtrage conjoncturel qui pourrait provoquer des crises politique et sociale.
Un projet suicidaire
«Nous revendiquons des réformes structurelles avec un minimum de consensus politique et une économie sociale du marché. En s’attaquant au contenu du projet de loi 2017», a ajouté Mme Tayati en critiquant les avantages offerts au patronat d’un côté et l’augmentation de la TVA qui va toucher tous les produits de consommation. «Les nouvelles taxes introduites sur le passeport, les constructions, la location, le domaine énergétique et le carburant constituent une atteinte aux acquis sociaux.
C’est carrément un suicide», observe-t-elle. De leur côté, les députés PT et de l’Alliance de l’Algérie verte (AAV) ont sévèrement critiqué l’indifférence des députés et aussi le contenu du projet, notamment le recours aux «solutions de facilité» dans la gestion de la crise financière et économique, à travers les taxes supplémentaires prévues dans le projet de loi de finances 2017, appelant à la libération de l’économie des entraves bureaucratiques et de la corruption.
Djelloul Djoudi estime que ce projet de loi constitue un danger pour la cohésion du pays, puisqu’il touche de plein fouet les couches sociales. «Au lieu d’aller vers des mesures de facilité, il faut des solutions exceptionnelles pour des mesures exceptionnelles», plaide-t-il. Du même parti, Nadia Chouitem trouve scandaleux les mesures prises par le gouvernement et pense que ce texte de loi est «inhumain», faisant référence à l’augmentation de la TVA et autres taxes. La députée s’insurge contre la «multitude de taxes» prévues par le texte de loi concomitamment avec l’arrêt de plus de 5000 projets et le gel du recrutement et des augmentations de salaires. Selon elle, le projet ne favorise nullement la croissance espérée.
Pour le parti de Louisa Hanoune, si l’Assemblée accepte que le gouvernement lui fasse adopter des mesures d’une extrême brutalité, c’est que cette APN ne peut pas être l’émanation du peuple. «Une assemblée qui se respecte doit avoir un minimum de respect envers la population. L’Exécutif est dans son rôle et le Parlement doit aussi jouer son rôle et accomplir sa mission. Malheureusement, nous ne sommes pas dans cette logique», regrette Taazibt, du PT. Notons que les débats se poursuivront aujourd’hui avec l’intervention des présidents des groupes parlementaires et la réponse du premier argentier du pays.
Nabila Amir
Faculté des hydrocarbures de Boumerdès
Plus de 1800 étudiants marchent pour exiger de l’emploi
le 16.11.16 | 10h00
Malgré une formation de qualité reconnue par tous, les étudiants de la faculté des hydrocarbures peinent à trouver un emploi dans le secteur.
Les étudiants de la faculté des hydrocarbures et de la chimie de l’université M’hamed Bougara de Boumerdès s’inquiètent de plus en plus pour leur avenir. Hier, ils étaient plus de 1800 à participer à une marche organisée au centre-ville pour dénoncer la politique de recrutement jugée «discriminatoire» à leur égard.
La marche s’est ébranlée à partir de l’ex-INH. Escortés par quelques véhicules de police, les étudiants ont arpenté le boulevard de l’Indépendance et la rue attenante au siège de la wilaya en brandissant des banderoles et en scandant des slogans réclamant «la révision des conditions de recrutement dans les wilayas du Sud». «La quasi-totalité de nos camarades qui ont obtenu leurs diplômes ces deux dernières années sont au chômage.
Les entreprises qui exercent dans les wilayas du Sud exigent de nous une résidence et une carte bleue pour nous embaucher. Elles ne recrutent que les étudiants qui ont suivi des études à la faculté des hydrocarbures de Ouargla», dénonce Houcine, étudiant en 2e année mastère. Natif de Skikda, il se dit très sceptique quant à ses chances de trouver un emploi à la fin de ses études. «Notre faculté forme annuellement une moyenne de 400 étudiants.
S’ils ne sont pas recrutés par Sonatrach ou les firmes pétrolières, où iront-ils travailler», se demande-t-il. Comme ses camarades, Houcine revendique le renouvellement de la convention de recrutement signée entre l’ex-INH et le ministère de l’Energie, gelée en 1998 pour des raisons inconnues. Ils demandent également que l’accès à l’IAP soit réservé aux étudiants des hydrocarbures et non à ceux des filiales techniques ayant réussi les deux premières années d’université.
Les étudiants affirment que leur faculté est très connue pour la qualité des formations prodiguées dans le domaine des hydrocarbures. «Ici, 15 spécialités sont enseignées. On exige 15/20 au bac pour y accéder alors qu’au niveau de la faculté de Ouargla, on ne dispense que trois spécialités. Cependant, quand il s’agit de recrutement, ce sont eux qui sont favorisés», déplore un étudiant en 1re année mastère. «A quoi sert de laisser une faculté former 400 étudiants par an dans un domaine aussi sensible pour le pays que les hydrocarbures si les diplômés ne trouvent pas d’emploi après ?
Je pense qu’on ferait mieux de la fermer», soutient-il avec amertume. Selon lui, ce problème s’est posé juste après le mouvement de révolte qui a soufflé en 2013 sur certaines wilayas du Sud. Un mouvement qui a incité, pour rappel, le gouvernement à réviser les modalités de recrutement dans la région pour calmer les populations locales. Après la fin de la marche, les étudiants se sont rassemblés devant l’Institut national des hydrocarbures (IAP). Ils se disent décidés à ne plus reprendre les cours jusqu’à la signature d’une convention garantissant leur recrutement à l’avenir.
Kebbabi Ramdane
Le "Paracétamol" fabriqué localement est sûr et soumis à un contrôle strict
le 16.11.16 | 15h28
Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf, a affirmé mercredi à Alger, que le médicament "Paracétamol" fabriqué localement, était sûr et soumis à un contrôle strict.
Dans une déclaration à l'APS, M. Boudiaf a tenu à rassurer le citoyen consommateur que ce médicament "est sûr et soumis à un contrôle strict", rappelant qu'il figurait sur la liste des médicaments interdits d'importation car il y a trois fabricants locaux qui couvrent largement le marché national.
Il avait indiqué en marge des interventions des présidents des groupes parlementaires à l'Assemblée populaire nationale (APN) autour du projet de loi des Finances 2017, que le directeur de la santé de la wilaya de Mila qui est à l'origine de l'information sur la commercialisation d'un Paracétamol importé dangereux, s'était hâté dans sa déclaration.
Le ministre de la Santé a précisé que ce produit n'existait pas au niveau des officines pharmaceutiques, démentant également que le directeur de la santé ait adressé une correspondance à la tutelle à ce sujet.
Le directeur de la santé de la wilaya de Mila assumera ses responsabilités quant aux rumeurs qui ont circulé autour de la commercialisation de ce produit, a-t-il encore dit le qualifiant d'"exagéré".
D'autre part, le président du Conseil de l'Ordre des pharmaciens, Dr. Lotfi Ben Bahmed, a affirmé que ce médicament douteux n'était pas en vente dans les pharmacies mais pourrait se vendre dans les boutique de médecine alternative, appelant le citoyen à acheter ses médicaments au niveau des officines tout en s'assurant des vignette sur les boites.
L'Etat veille à la protection du citoyen à travers des lois fermes et des instances chargées de cette mission, a t-il poursuivi. Il a ajouté enfin, qu'en cas de dépassement dans les officines pharmaceutiques, le Conseil retirera la certification de manière définitive.
APS
POUR FAIRE FACE, «ENSEMBLE», À LA GRAVE CRISE ÉCONOMIQUE Au MSP, on est convaincu que la crise financière aiguë à laquelle fait face le pays et que le projet de loi de finances pour l’année 2017 dévoile «on ne peut plus clairement», de par l’arsenal de mesures d’austérité qu’il charrie, ajoute de «l’eau à son moulin» dans sa revendication d’une «transition démocratique négociée et apaisée» portée, par ailleurs, par de grands pans de Suite... |
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Consulter toute l'édition d'aujourd'hui
+++++++++++++++++
|
++++++++++++++++++++++++++++++++++
A découvrir aussi
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 5 autres membres