313-/-ACTUALITÉS Du Lundi 09 novembre 2015
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Lundi 09 Novembre 2015
الإثنين 09 نوفمبر 2015 م
لالإثنين 26 محرم 1437 ه
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Lundi 09 Novembre 2015
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VACANCE DU POUVOIR ET SUCCESSION DE BOUTEFLIKA Elles ont beau s’en défendre, les 19 personnalités qui sollicitent une audience au président de la République pour s’assurer de la paternité des dernières décisions prises, la vacance du pouvoir est bel et bien au cœur de leur démarche qu’elles veulent pourtant distinguer d’une Suite... |
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es aveux troublants du ministre du Commerce
Transfert illicite de devises à grande échelle
le 09.11.15 | 10h00
Le ministre du Commerce, Bakhti Belaïb, a lancé un pavé dans la mare hier en dévoilant le secret d’une des tares de notre système économique qui permet de saigner l’Algérie avec un trafic à grande échelle de transfert de devises. Pas moins de 20 milliards de dollars, soit l’équivalent de 30% du montant des importations des biens et services, sont transférés annuellement à l’étranger, via le circuit bancaire, par le moyen répréhensible de la surfacturation.
Le ministre du Commerce, Bakhti Belaïb, a employé l’arithmétique pour dire toute l’ampleur des transferts illicites de devises annuels. Selon lui, l’écart entre la facture des importations et leur valeur réelle dégage un différentiel de 30%, ce qui correspond au montant annuel des transferts illicites de capitaux vers l’étranger par le moyen de la surfacturation.
En décodé, la majoration de la facture des importations coûte à l’Etat 20 milliards de dollars par an, transférés illégalement, mais par le canal bancaire. Bakhti Belaïb estime que le phénomène a pris une dimension inquiétante, tout comme le taux de «délinquance» dans la sphère marchande. «Ce sont souvent les nationaux qui sont impliqués dans ces transferts ; des gens qui ont créé des sociétés écran ; finalement, ce sont eux-mêmes qui déterminent les prix des vendeurs et des acheteurs en même temps», tente-t-il de décrypter les origines d’un mal trop bien ancré dans les mœurs économiques algériennes.
Le ministre du Commerce, qui semble avoir la langue bien pendue, a pointé du doigt les importateurs algériens, épargnant le châtiment aux capitaux privés étrangers. «Le phénomène des transferts illicites est un fléau que connaissent quasiment tous les pays en développement. Généralement, on rend responsables de ces transferts illicites les entreprises étrangères. Sauf que chez nous, les entreprises étrangères sont moins impliquées dans ces transferts», souligne le ministre, comme s’il était saisi subito presto d’un besoin pressant de faire appel à la précision.
Les statistiques de Bakhti Belaïb constituaient les meilleurs arguments de certains partis de l’opposition qui, s’en servant, dénonçaient la perversion des mœurs économiques. En effet, au mois de février dernier, Ali Benflis, ancien candidat à l’élection présidentielle de 2014, avait lancé un pavé dans la mare en évaluant à 20 milliards de dollars le coût de la fraude dans les importations. «Les importations ont atteint le montant record de 60 milliards de dollars à cause d’un véritable crime économique, en l’occurrence la fraude dans les opérations de commerce extérieur sous toutes ses formes qui aurait atteint le seuil de 30%», avait-il indiqué.
Délinquance et perversion
Bakhti Belaïb ne fait qu’apporter de l’eau au moulin d’un Ali Benflis que l’on a traité de schizophrène. Venant cette fois d’un officiel, dont la mission première est d’en découdre avec les contrevenants, sa position contraste clairement avec l’inaction du gouvernement qui, à coups de restrictions bancaires et administratives, peine à inverser la courbe des importations et des fléaux qui y gravitent autour. La facture a baissé d’à peine 4 milliards de dollars durant les neuf premiers mois de l’année comparée à la même période de 2014.
Les importations se sont chiffrées à 39,19 milliards de dollars de janvier à fin septembre 2015, contre 44,2 à la même période de l’exercice écoulé. Le ministre du Commerce, qui s’agace de la tournure alarmante qu’a pris le fléau de la surfacturation, précise néanmoins que son franc-parler ne signifie aucunement «une diabolisation» du métier et de la fonction d’importation.
Mais il semblait bien décidé à pousser le constat au plus loin, relatant des crimes non moins nocifs dont souffre l’économie, liés notamment à la fraude et à l’évasion fiscale. «Dans la sphère marchande en général, le taux de délinquance est très élevé ; durant le premier semestre 2015, il a été relevé plus de 24 000 constats d’infraction, plus de 40 milliards de chiffre d’affaires dissimulé, 24 000 tonnes de marchandises ne répondant pas aux normes bloquées aux frontières et une centaine d’importateurs indélicats poursuivis en justice», fait-il constater. Et là non plus, il ne se prive pas d’égratigner l’Exécutif qui n’en finit pas de multiplier les actions de séduction au profit des mauvais contribuables.
Le ministre du Commerce a plaidé, par la même occasion, pour que l’on en finisse avec le crédoc, un mode de paiement des importations qui, selon lui, ne sert pas l’intérêt du pays. «Je suis un militant pour le démantèlement le plus rapide de ce mode de paiement. Si je prends cette position, c’est que je ne suis pas en rébellion contre mon Premier ministre», dit-il. Une flèche décochée plutôt à l’adresse d’un Ahmed Ouyahia qui, en 2009, sous de pareils cieux de crise, avait décidé d’instituer le crédoc comme moyen de paiement des importations.
Ali Titouche
Doutes et polémique sur les détenteurs du pouvoir
Les retombées désastreuses du 4e mandat
le 09.11.15 | 10h00
Jamais le pouvoir de Bouteflika n’a fait l’objet d’autant de polémiques sur fond de doutes, de soupçons, voire de remises en cause déchirantes. Il en est – jusqu’à ses plus proches soutiens, qui se recrutent même parmi ceux ayant occupé les postes durant presque tout son règne – qui ont fini non pas par susurrer quelques critiques, mais par faire des déclarations publiques des plus tonitruantes.
Le 4e mandat, obtenu dans des conditions aussi critiques que conflictuelles, aura finalement débouché sur une aggravation de la crise politique qui plombe le pays. Au traditionnel fonctionnement opaque des appareils décisionnels se greffe un désordre dans le processus de prise de décisions stratégiques. Les attributs de la manifestation de la fonction présidentielle sont pratiquement inexistants. Il est évident que des acteurs et autres groupes informels évoluant à la périphérie du pouvoir s’en accommodent et travaillent dans l’ombre à garder, sinon à renforcer leurs positions dans la perspective de futures échéances.
Fragilisé dès le départ, le 4e mandat de Bouteflika est-il en passe d’être subtilisé ? En tout cas, le sursaut d’indignation des personnalités nationales – dont certaines sont connues pour leur proximité avec le chef de l’Etat – doutant sérieusement du véritable détenteur du pouvoir, le suggère fortement. Les inquiétudes exprimées par le «groupe des 19» dans la lettre à Bouteflika confirment une réalité tangible. L’interpellation publique par ce groupe a aussitôt provoqué des réactions aussi virulentes qu’hystériques des «gardiens du temple».
Signe d’une panique provoquée par l’élargissement des rangs de la contestation pendant que la base politique du pouvoir se rétrécit ? Les «réponses» de Saadani et d’Ouyahia à l’adresse des signataires de la lettre signifient-elles une obstination d’un pouvoir qui ne veut pas céder la moindre parcelle ? Probablement les deux à la fois. A l’évidence, les «répliques» de ces deux chefs de parti ne font pas l’unanimité au sein du pouvoir. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, dont l’influence politique se réduit de manière évidente, aurait réagi différemment à la lettre du «G19».
En coulisses, d’autres ministres en exercice ne cachent plus leur «désarroi» et «partagent» même les préoccupations exprimées par les camarades de Abdelkader Guerroudj. D’autant que leur démarche a eu le soutien des nombreuses personnalités et autres responsables qui ont exercé sous l’autorité de Bouteflika. D’anciens ministres proches du chef de l’Etat, qui ont occupé dans un passé récent des ministères régaliens, partagent la démarche et l’analyse de la lettre du «G19». En tout cas ces derniers ne comptent pas attendre des mois la réponse du chef de l’Etat qui, probablement, ne viendra jamais. Pour le moment, ils ne révèlent pas leur plan B.
Ils considèrent que les «réponses par procuration» confirment le doute et surtout que «ni Ouyahia ni Saadani ne sont habilités à parler au nom du Président», clame Zohra Drif-Bitat. Elle a immédiatement riposté et joliment rendu la pareille : «Je trouve scandaleux les propos tenus par le secrétaire général du FLN. Des propos qui veulent dire que l’Algérie est sous tutelle ! Sinon comment interpréter le fait de nous renvoyer au président français pour savoir si notre Président va bien ?
C’est un scandale, d’autant plus que cela vient du responsable du FLN.» A l’adresse d’Ouyahia, l’ancienne héroïne de la Bataille d’Alger a eu également des mots durs comme il n’a pas l’habitude d’en entendre : «Ouyahia, qui s’autorise à dire que des personnages de la trempe de Guerroudj et Fettal, qui ont vécu les couloirs de la mort, et de moi-même que nous sommes manipulés est indigne. Indigne de quelqu’un qui se dit responsable politique. Notre lettre est adressée au Président, pas à lui.»
Hacen Ouali
Groupe des 19 : les « demi-réponses » de Sellal
le 09.11.15 | 13h56
Le premier ministre Abdelmalek Sellal a tenté de donner des réponses aux interrogations soulevées par le groupe des 19 qui a demandé récemment audience au chef de l’Etat pour s’assurer de sa capacité à diriger le pays.
« Le droit de préemption dont use l'Etat est maintenu pour la sauvegarde de l'économie nationale », a déclaré Abdelmalek Sellal, aujourdh'hui lundi, au cours d'une rencontre avec les investisseurs de la wilaya de Blida.
Les lois en cours d'examen garantissaient ce droit « auquel nous ne renoncerons pas d'un iota », a-t-il affirmé, selon APS. Le groupe des 19 avait évoqué, dans sa lettre adressée à Bouteflika, l’abandon de ce droit qui s’applique sur les investisseurs étrangers.
Sellal a ajouté, que « nul sur la scène politique nationale n'est aussi soucieux que le Chef de l'Etat de la souveraineté nationale ». D’après le premier ministre, cité par APS, Bouteflika a assez de forces pour superviser « quotidiennement » l'exécution de son programme.
Avant la constitution du groupe des 19, des informations ont fait état du renoncement de l’Etat à son droit de préemption, en ce qui concerne les cessions opérées via la bourse.
Elwatan.com
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Dopage : l’Iaaf lance la procédure d'application des sanctions contre la Russie
le 09.11.15 | 16h52
La Fédération internationale d'athlétisme (IAAF) va lancer la procédure d'application des sanctions contre la Russie demandées par l'Agence mondiale antidopage (AMA), indique l'instance dans un communiqué lundi.
"Les informations révélées par la commission d'enquête indépendante de l'AMA sont alarmantes. Nous avons besoin de temps pour les digérer et en comprendre tous les détails. J'ai cependant demandé au Conseil de l'IAAF de lancer la procédure relative aux sanctions proposées contre l'ARAF (la Fédération russe d'athlétisme)", fait savoir le président de l'IAAF Sebastian Coe dans un communiqué.
Coe a succédé au Sénégalais Lamine Diack en août dernier à la tête de l'IAAF. Lamine Diack est depuis la semaine dernière sous le coup d'une mise en examen pour corruption et blanchiment aggravé.
"Cette décision (de lancer la procédure d'application des sanctions contre la Russie, ndlr) n'a pas été prise à la légère. Nos athlètes, nos partenaires et nos fans ont mon assurance totale que là où il y a eu des défaillances dans notre gouvernance ou dans nos programmes antidopage, nous les résoudrons.
Nous ferons tout ce qu'il faut pour protéger les athlètes propres et reconstruire la confiance en notre sport. L'IAAF continuera à offrir à la police son entière coopération dans le cadre de leurs investigations".
AFP
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Finale retour de la Ligue des champions : L’USMA décimée à Lubumbashi
Ligue des champions d’Afrique : 5e titre continental pour le TP Mazembe
le 08.11.15 | 17h01
Le TP Mazembe a été sacré du titre de la Ligue des champions d'Afrique-2015 de football en battant l'USM Alger par 2-0, mi-temps (0-0), en finale retour disputée dimanche à Lubumbashi (RD Congo).
Les deux buts de la rencontre ont été inscrits par le Tanzanien Mbwana Aly Samata (74e sur penalty) et l'Ivoirien Roger Claver Assalé (90e+4).
Lors du match aller disputé le 31 octobre dernier à Alger, le TP Mazembe s'était également imposé sur le score de 2-1. La formation congolaise succède ainsi au palmarès de l'épreuve au club algérien de l'ES Sétif. C'est le 5e titre de champion d’Afrique pour le TPM après ceux décrochés lors de l'ancienne formule en 1967 et 1968, et lors de la nouvelle formule en 2009 et 2010.
Grâce à son sacre, le TP Mazembe représentera le continent africain au prochain Mondial des clubs prévu en décembre 2015 au Japon.
Fiche technique du match
Tartan en bon état. Temps : chaud et humide. Public : nombreux. Arbitrage du Gambien Gassama Bakary Papa, assisté de Jean-Claude Birumushahu (Burundi) et Yaya Mamadou (Niger).
Buts : Samata (74' s.p), Assalé (90'+4) pour le TP Mazembe. Avertissements : Ulimwengu (70') du TP Mazembe. Benayada (3') et Ferhat (73') de l'USMA. Expulsion : Ferhat (90'+5) USMA.
Composition des deux équipes :
TP Mazembe : Kidiaba, Frimpong, Kimwaki, Boateng, Coulibaly, Asante (Adjeï 46'), Diarra, Sinkala (Assalé 46'), Samata, Ulimwengu (Mpangi Merikani 75'), Traoré. Entraîneur : Patrice Carteron.
USM Alger : Mansouri, Abdellaoui, Boudebouda, Benayada, Chafaï, Koudri, Ferhat, Benkhemassa, Andria, Aoudia (Beldjilali 46'), Benmoussa (Nadji 68').
Entraîneur : Miloud Hamdi.
APS
APS
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Finale de la Ligue des champions (retour) :
TP Mazembe – USM Alger Seul un miracle…
le 08.11.15 | 10h00
Battu à Bologhine (1-2) au match aller et s’étant déplacé vendredi à Lubumbashi avec un effectif décimé, c’est quasiment une mission impossible qui attend l’USM Alger, cet après-midi (14h30), face aux Congolais du Tout Puissant Mazembe en match retour de la finale de la 19e édition de la Ligue des champions d’Afrique… à moins d’un miracle.
Ayant perdu gros lors de la joute aller, aussi bien sur le plan des résultats (1-2) que sur celui de l’effectif — avec l’expulsion de Khoualed et El Orfi qui s’ajoute à la suspension de Meftah qui vient grossir le rang des absents, notamment pour cause de blessures, à l’image de Mazari, Beldjilali et Darfalou pour ne citer qu’eux — l’USMA, qui dispute sa première finale continentale, n’aura d’autre alternative que de vaincre le TPM avec un écart de deux buts, ou du moins tenter d’aller aux penaltys en imposant aux Corbeaux le même score de l’aller, pour espérer décrocher cette première étoile africaine.
Une mission qui ne s’annonce pas aisée pour les Algérois avec les soucis du coach Miloud Hamdi pour composer son onze en raison des nombreuses défections, malgré le retour du Malgache Andriea, devant une équipe du Mazembe qui n’a pas l’intention de lâcher ce cinquième titre africain (dont deux Ligues des champions en 2009 et 2010) sur ses terres et devant son public.
Patrice Carteron, l’entraîneur français des Corbeaux, qui disposera d’un effectif quasi complet, à l’exception de son attaquant zambien Kalaba expulsé à Bologhine, semble avoir tous les atouts en main pour réussir la mission pour laquelle il a été engagé en 2013.
Contrairement à Hamdi qui a évité la presse, l’ex-défenseur de Saint-Etienne a été clair en annonçant : «Il faudra encore battre l’USMA pour mériter le trophée», tout en exhortant ses poulains à rester prudents.
C’est dire que les Algérois auront besoin d’un miracle, cet après-midi, pour réussir un exploit auquel les fans semblent croire.
Tarek Aït Sellamet
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