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Le Front de libération nationale est, depuis hier samedi, le premier parti politique à trancher officiellement la question de son candidat aux prochaines élections présidentielles : Abdelaziz Bouteflika. Sans surprise, la proposition faite par Amar Saïdani a été avalisée à l’unanimité par les membres du Comité central qui se réunissait en session extraordinaire, hier à l’hôtel El-Aurassi.
Kamel marni - Alger (Le Soir)
La session en question était convoquée avec comme seul point à l’ordre du jour, la désignation des membres du nouveau bureau politique du parti. Or, ce point-là sera relégué au rang de «l’accessoire», et pour cause ! br> D’emblée, et après avoir expédié la traditionnelle cérémonie d’ouverture, Amar Saïdani prononcera un long discours en guise d’allocution d’ouverture où il ne sera question que des prochaines élections présidentielles, et, cela va de soi, de Bouteflika. 
«Je me félicite du fait que des partis et des personnalités ont rejoint notre appel.» Allusion faite à ses précédentes sorties appelant à un quatrième mandat. Il enchaîne tout de suite après. «Le FLN s’est rarement trompé sur les grands choix qui engagent la nation. C’était le cas en novembre 1954, en 1989, en 1999, en 2004, en 2009. C’est pourquoi, je vous fais la proposition consistant à faire du président du parti, le Président Abdelaziz Bouteflika, le candidat officiel du FLN pour les élections présidentielles.» 
A l’unanimité, les présents, 291 selon Saïdani, plébiscitent ce «choix» par acclamation ! Saïdani estimera qu’il ne s’agit là que d’une suite logique : «Il a eu déjà les mouhafedhs qui ont choisi la candidature de Bouteflika. Ensuite, les parlementaires la semaine dernière, le président de l’APN compris. Et aujourd’hui le Comité central.» 
Dans les statuts du parti, il est effectivement clairement stipulé que le Comité central est la seule instance habilitée à choisir le candidat aux présidentielles. Amar Saïdani, intronisé à la tête du parti par un coup de force fomenté par la présidence de la République, ne fait, là, qu’accomplir la mission dont il a été chargé. Ce n’est pas un hasard si, parmi les présents à El-Aurassi, l’on comptait les ministres en exercice du parti dont celui de la Justice, et le secrétaire général de la présidence, pour ne citer que ceux-là. «Je peux vous réunir le Comité central trois fois si vous voulez et vous aurez invariablement le même résultat», répondra d’ailleurs Amar Saïdani lors d’un point de presse. 
«Le cumul des mandats n’est pas une invention algérienne», justifiera également Saïdani qui citera plusieurs fois le président des Etats Unis Franklin Roosevelt . «Il a fait quatre mandats dont le dernier sur une chaise roulante ! Il avait aussi mis 286 milliards de dollars pour sauver l’économie et c’est également ce qu’a fait le Président Bouteflika.» 
Pour Amar Saïdani, les choses sont claires. «Le FLN ne va pas faire campagne pour Bouteflika. Il est déjà en campagne.» 

Un bureau politique fortement déséquilibré
Comme attendu, Amar Saïdani a présenté, hier samedi, à l’occasion de la réunion du Comité central la composante de son nouveau bureau politique. Et comme nous l’annoncions aussi, pas un seul responsable (ministre, haut fonctionnaire, etc) en exercice n’y figure. «C’est pour qu’il (Saïdani, ndlr) puisse les maîtriser», nous confie-t-on dans son entourage. 
Cette liste, avalisée par l’entourage immédiat de Bouteflika, comporte, sans surprise, des noms comme Ahmed Boumehdi, Mohamed Allioui, Mustapha Mazouzi, Moussa Benhamadi, Ali Merabet, Kada Benaouda, Saïd Bendaïda, Saïd Bouhadja, Sadek Bouguettaïa, Mustapha Boualeg, Saïd Hadjoudj, Mohamed Mecheri, Abdelkader Zehali et, pour la première fois, un membre d’Oum-El-Bouaghi (Rachid Assas) et de Tizi Ouzou (Yamina Meftali). Pour la première fois dans l’histoire de l’ex-parti unique, l’équilibre régional en prend un sérieux coup ! 
Pas moins de huit membres du BP sont originaires de l’est du pays, dont deux parmi ceux qui sont comptabilisés sur la région d’Alger et la Wilaya IV historique ! Cette bourde s’explique aisément : hier, et pour la première fois également dans l’histoire du parti, les ténors ont brillé par leur absence. Des anciens moudjahidine ou figures de proue comme Mustapha Cherchali, Abdellah Hadj, Affane Djillali, Boualem Benhamouda, Abdelkader Hadjar, Amar Tou, et, bien sûr, Belayat, Abada, etc. 

Abderrahmane Belayat : «Nous sommes toujours dans la même disposition pour que cesse l’imposture» 
Pendant que Amar Saïdani et les siens étaient à l’hôtel El-Aurassi, ses adversaires étaient, eux, en conclave à Draria. 
Le coordinateur de ce mouvement de redressement, Abderrahmane Belayat, est affirmatif : «Cette rencontre d’El-Aurassi n’est qu’un remake de l’imposture du 29 août dernier. Les informations que nous détenons démentent totalement les chiffres avancés.» Il fait allusion au nombre des présents à El-Aurassi. «La preuve de ce que je dis, c’est, comme vous l’auriez remarqué, l’absence d’un huissier de justice comme le prévoit la loi, à cette rencontre d’El-Aurassi.» 
Pour Belayat, «tout ce qui a découlé de cette rencontre est, de fait, illégal». Il commente aussi la composition du bureau politique : «Elle ne se distingue pas par une grande originalité. Elle est sans surprise et, surtout, sans effet.» 
S’agissant par ailleurs de la résolution adoptée en faveur d’un quatrième mandat pour Bouteflika, Belayat la juge illégale. «Les textes du parti sont clairs. 
Le Comité central ne peut s’exprimer sur la question des présidentielles que lorsqu’il est convoqué spécialement sur cette question en session extraordinaire. Or, cela n’a pas été le cas. Il s’agit là d’une grande tromperie de ses initiateurs. 
Car, une telle motion est affaiblie par notre absence. En se précipitant de la voter, ils veulent faire croire que nous sommes contre. Ce qui n’est pas le cas.» 
Cela dit, Belayat affirme que son mouvement continuera à travailler «en direction des membres du Comité central qui, et ils sont nombreux, ont été écœurés par ce qui s’est produit ce 16 novembre à l’hôtel El-Aurassi. Nous sommes toujours dans la même disposition pour que cesse l’imposture».
K. A.

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A chaque intempérie son lot de victimes et de dégâts matériels. Les dernières chutes de pluie ont fait quatre blessés et plusieurs inondations ainsi que des effondrements.
Les fortes averses qui se sont abattues sur les wilayas du centre et de l’est du pays durant les journées de jeudi et vendredi derniers, n’ont pas été sans provoquer des dégâts humains et matériels. Ceci a nécessité plusieurs interventions des éléments de la Protection civile. Quatre blessés ont été ainsi enregistrés suite à deux collisions entre des véhicules, survenues à Alger. Selon le communiqué de la Protection civile, des opérations d’épuisement des eaux pluviales ont été effectuées dans plusieurs habitations et édifices publics dans les wilayas d’Alger, Jijel, Skikda, Bouira, Tiaret et Annaba.
Des interventions ont été également nécessaires dans la capitale suite aux effondrements partiels de balcons au boulevard Cervantès, dans la commune de La Casbah et au glissement de terrain sur la voie publique à hauteur de la salle Harcha dans la commune de Sidi M’hamed. Un autre effondrement a été recensé dans la wilaya de Annaba. Il s’agit du plafond d’une chambre d’habitation dans la commune de Annaba. Dans la même localité, les unités des services de la Protection civile ont secouru un automobiliste cerné par les eaux pluviales. Au risque de glissement de terrain des habitations dans la commune de Boussif, wilaya de Jijel, cinquante-trois familles ont été évacuées et recasées provisoirement à titre préventif, ajoute la même source.
Rym Nasri

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L’accomplissement post-révolutionnaire s’avère, deux années après la chute de Kadhafi, des plus délicats pour une Libye livrée au diktat des milices armées aux substrats foncièrement ethniques. Ayant investi la capitale Tripoli pour asséner le coup de grâce au dictateur et à son régime, ces dernières n’entendent pas repartir une fois la révolution terminée. Les Tripolitains en ont eu la preuve vendredi. Dans la douleur.

Sofiane Aït Iflis - Alger (Le Soir)
Vendredi, des centaines de Tripolitains, agacés par la présence de milices armées qui s’arrogent les pouvoirs de la police et de l’armée régulières et qui commettent des exactions à répétition, ont organisé une marche. 
Les miliciens de Misrata, qui ont érigé leur quartier général dans le quartier de Gharghour, se sentant visés par cette manifestation, ont vite fait de réagir. Elles emploient la manière forte. Les armes ont crépité. Les morts et les blessés se sont comptés par dizaines. 
Les affrontements de vendredi ont fait 43 morts et plus de 450 blessés, selon un responsable du ministère libyen de la Santé. Les manifestants, appuyés par la milice de Tripoli, ont, dans leur riposte, incendié le quartier général de la milice de Misrata. Suite à quoi, des renforts armés ont accouru de la ville de Misrata, distante de 200 kilomètres de Tripoli. Leur mouvement vers la capitale a mis sur le pied de guerre la milice de Tripoli. Cette dernière s’est postée en des endroits stratégiques de la ville pour empêcher que les renforts venus à la rescousse de la milice de Misrata n’entrent dans la ville. Tripoli s’est donc réveillée samedi matin dans l’odeur de poudre. 
Les affrontements entre les deux milices ont repris dès les premières lueurs du jour. Les heurts ont éclaté après que les miliciens venus de Misrata ont attaqué une caserne de l’armée occupée par les ex-rebelles de Tripoli. 
Le commandant de cette brigade a fait cas d’un mort et de huit blessés. La même source a indiqué à l’agence libyenne Lana que les milices de Misrata ont pillé la caserne, ont pris des véhicules et des armes. Un véritable état de guerre entre milices qui échappent à tout contrôle des autorités. Elles font l’autorité, en l’absence d’une armée et d’une police régulières fortes. 
Les miliciens de Misrata ont tenté, après leur prise du matin, de pénétrer dans la capitale. Des affrontements ont eu lieu dans la banlieue est de la capitale. Mais auparavant, d’autres convois de Misratis puissamment armés sont parvenus à pénétrer dans la ville et ont réussi à reprendre leurs positions dans le quartier résidentiel de Gharghour, au sud de Tripoli. Ce qui rend la situation des plus explosives qui, d’ailleurs, inquiète sérieusement.

Les autorités dépassées
Les autorités libyennes ne savent que faire face à une situation qu’elles savent incontrôlable. Elles se résument alors à tenter de persuader les belligérants de ranger les armes. Des appels qui risquent d’être inaudibles pour des miliciens qui semblent vivre pour faire la guerre. 
Le Premier ministre Ali Zeidan a appelé à la retenue et à l’arrêt des combats. «La situation se compliquera davantage si d’autres groupes armés entrent dans la capitale», a-t-il averti, impuissant face à une dérive incontrôlable des miliciens. 
Les tentatives de négociations avec les miliciens de Misrata pour les convaincre de rebrousser chemin ont peu de chances d’aboutir. 
Le temps joue en défaveur des autorités. «Les prochaines heures et jours seront décisifs dans l’histoire de la Libye et dans la réussite de sa révolution», a indiqué un communiqué du gouvernement. L’inquiétude a gagné aussi la Mission de l’ONU pour la Libye qui, dans un communiqué, a appelé à la cessation immédiate des hostilités qu’elle a condamnées fermement. «L’Unsmil condamne fermement la violence qui a eu lieu vendredi à Tripoli, entraînant la perte tragique de vies humaines parmi les civils, et appelle à la cessation immédiate des hostilités», a déploré la mission onusienne qui, par ailleurs, a rappelé le droit de manifester pacifiquement et le droit des peuples à exprimer librement leurs opinions. Mais que faire si les mots s’avèrent impuissants face à la réalité présente de la Libye ? 
Le Premier ministre Ali Zeidan a averti dimanche dernier contre une éventuelle intervention de forces d’occupation étrangères si l’anarchie persistait dans le pays. 
L’avertissement est peut-être exagéré dans le but de recueillir l’adhésion des Libyens à la démarche du gouvernement qui tente, vaille que vaille, de réduire de l’influence des milices armées. 
Avec les affrontements meurtriers de vendredi et samedi, c’est l’option d’une force d’interposition onusienne qui serait plus envisageable.
S. A. I.

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Sports : Handball : 
Division Une Messieurs (10e journée)
Le statu quo persiste

Cette étape, la dixième de cet exercice de ce championnat national de première division messieurs a permis de voir un peu plus clair dans le peloton de chacun des quatre groupes.
En faisant une lecture des résultats enregistrés, force est de constater qu’aucune poule n’a connu un bouleversement dans sa hiérarchie. Commençons par le premier groupe où évolue le champion sortant, à savoir le Groupement des Pétroliers. Ce dernier, dans un beau derby de la capitale, face aux El Biarois n’a pas eu de difficulté pour s’imposer et maintenir son avance de six longueurs sur son dauphin rouibéen. Le WOR est revenu de Ouargla victorieux aux dépens des locaux qui ne font plus que de la figuration. Les Blidéens quant à eux se sont faits surprendre par les Béjaouis.
Le même scénario prévaut dans la poule B où les gars de Baraki, bien que battant difficilement les Auressiens de Barika maintiennent leurs poursuivants immédiats de M’sila à cinq points derrière eux. Signalons que le match devant opposer le Mouloudia d’Oran au Chabab de Chelghoum Laïd ne s’est pas déroulé vu l’impraticabilité du terrain du Palais des sports d’Oran à cause des intempéries. Quant au troisième groupe, il est le seul où le fauteuil de leader est occupé par un duo. En effet, Aïn Touta et Maghnia ont profité de l’avantage du terrain pour battre Mila et Souk Ahras. Derrière les chefs de file, la surprenante formation de Tadjenanet, Mila et le Mouloudia de Saïda se positionnent en attente. Enfin, le quatrième groupe est toujours mené par les Skikdis qui tout en étant exempts, gardent leurs cinq points d’avance sur leurs dauphins qui ne sont plus les Bordjiens mais les Sudistes d’El Oued. Ces derniers ont fait d’«une pierre deux coups» puisqu’ils prennent la deuxième place après leur victoire sur Sétif et la défaite de Bordj Bou-Arréridj à Ouargla.
H. C.

• Résultats
• Groupe A
• GS Pétroliers-HBC El Biar 29-22
• MAJD Blida-HC Béjaïa 21-22
• JS Kabylie-ES Arzew 29-28
• IC Ouargla-WO Rouiba 23-26
• Groupe B 
• CRB Baraki-AB Barika 27-23
• MC Oran-C Chelghoum Laïd (Non joué pour cause de salle inondée) 
• O M’sila-NRB Touggourt 23-20
• Exempt : GS Boufarik
• Groupe C 
• ES Aïn Touta-CRB Mila 30-21
• MB Tadjenanet-TRB Bab El-Oued 27-24
• O Maghnia-HC Souk Ahras 22-20
• Exempt : MC Saïda
• Groupe D 
• O El Oued-TR Sétif 29-19
• WAB Ouargla-CR Bordj Bou-Arréridj 26-25
• CRBEE Alger-Centre-R El Arrouch 25-22
• Exempt : JSE Skikda.
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• Culture :
• ACTUCULT 
• Théâtre national algérien Mahieddine-Bachtarzi (Alger) 
• Du 16 au 22 novembre : 5e Festival culturel international de danse contemporaine.
• Dimanche 17 novembre à partir de 18h : Spectacles de la troupe Enkidu Company (Suède), Egyptian Modern Dance Theater Compagnie (Egypte), Beijing Dance All river red (Chine) et de la Coopérative wach Fibre de l’Ame (Algérie). 
• Lundi 18 novembre à partir de 18h : National Opéra et Ballet de Samsun «Bach Concerto» (Turquie), Pink Zebra Theater «Tous des valseurs» (Autriche), Compagny a Poc a Poc «Lips and Hands» (Mexique) et Troupe Winaruz «Ma’ak» (Algérie).
• Mardi 19 novembre à partir de 17h30 : La Compagnie Vert Te Dance (Tchéquie), Lamia Safieddine «Lilith» (Liban), Dantzaz Kanpainia (Espagne) et Compagnie Profil «Chemin de femme» (Algérie).
• Mercredi 20 novembre à partir de 18h : Centre chorégraphique national de Grenoble Jean-Claude Galotta «Daphnis et Chloé» (France), Prosxima Dance Compagny (Grèce), Ballet national (Cameroun) et Compagnie des Trois centres «Symbiose», Compagnie Trois loges «Bal d’amour» (Algérie).
• Jeudi 21 novembre à partir de 18h Artemis Danza (Italie). Louisa Gherdaoui (Wallonie Bruxelles). Company E (USA). Compagnie Dream Team (T.O) «La prise de la liberté» (Algérie).
• Vendredi 22 vendredi à partir de 18h20 : Cérémonie de clôture. Troupe Aniko Ballet (Ukraine).
• Palais de la culture Moufdi-Zakaria (Kouba, Alger) :
• Dimanche 17 novembre : Spectacle Arts of Movements de Billy Cowie (Grande-Bretagne). Dans le cadre du 5e Festival culturel international de danse contemporaine.
• Institut supérieur des métiers des arts et des spectacles (Ismas, Bordj El-Kiffan, Alger) :
• Dimanche 17 novembre : Spectacle Arts of Movements de Billy Cowie (Grande-Bretagne). Dans le cadre du 5e Festival culturel international de danse contemporaine.
• CENTRE COMMERCIAL DE BAB-EZZOUAR, ALGER
• Du 2 au 16 novembre : Exposition intitulée «Confusion», de l’artiste peintre Abderrahmane Chaouane.
• Galerie Baya, Palais de la culture Moufdi-Zakaria, Alger
• Du 31 octobre 2013 au 31 janvier 2014, de 10h à 18h : 6e Salon d’automne.
• MUSÉE NATIONAL D’ART MODERNE ET CONTEMPORAIN, ALGER
• Du 21 septembre au 21 novembre : Exposition de Djamel Tatah.
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