328-/-ACTUALITÉS Du Mardi 24 Novembre 2015
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Mardi 24/11/ 2015 |
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Mardi 24 Novembre 2015
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الثلاثاء 24نوفمبر 2015 م
الثلاثاء 12 صفر 1437 ه
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Des députés invitent l'Exécutif à «démissionner»
Des députés qualifient le projet de loi de finances 2016 de bombe à retardement.
Actualité
Haro sur les «affairistes»
De nombreux députés, pas forcément ceux issus de «l’opposition», ont vivement critiqué les options lourdes...
Des députés invitent l'Exécutif à «démissionner»
Des députés qualifient le projet de loi de finances 2016 de bombe à retardement.
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Météo : Pluie, rafales de vent et grêle jusqu'à mercredi
le 24.11.15 | 14h38
Des averses de pluie accompagnées parfois d'orages et de grêle, localement "assez marquées", continueront d'affecter les wilayas du centre et de l'est du pays jusqu'à mercredi, selon un bulletin météorologique spécial (BMS) émis par l'Office national de météorologie.
Ainsi, pour les wilayas du Centre (Alger, Boumerdes et Tizi-Ouzou), le BMS court jusqu'à mardi soir (22h00), alors que les wilayas de l'Est (Béjaia, Jijel, Skikda, Annaba, El Tarf, Guelma et Souk Ahras), continueront d'être touchées par ces averses jusqu'à mercredi matin (6h00) avec des rafales de vent.
APS
La Turquie a abattu un avion de combat russe
le 24.11.15 | 11h15
Elwatan.com
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Cérémonie en mémoire des victimes algériennes des attentats de Paris
le 24.11.15 | 12h45
La cérémonie se déroulera en présence de l’ambassadeur d’Algérie en France, M. Amar Bendjama et de responsables consulaires de Paris et de l’Ile de France.
Paris / De notre bureau
Des députés invitent l’Exécutif à «démissionner»
le 24.11.15 | 10h00
Des députés qualifient le projet de loi de finances 2016 de bombe à retardement.
Des députés du FFS, du MSP et indépendants ont appelé le gouvernement à «démissionner», puisqu’il a prouvé son latent échec non seulement sur le plan politique, mais surtout sur celui économique. Intervenant lors des débats autour du projet de loi de finances 2016, Mustapha Bettatache, du FFS, invite l’Exécutif à arrêter de mentir au peuple algérien et à «rendre son tablier». «Durant 50 ans, le pouvoir n’a pas pu diversifier son économie et aujourd’hui, en quelques mois, il veut renverser la donne.
Le gouvernement doit admettre et avouer son échec», lance le député qui pense que la crise évoquée par le gouvernement n’est pas due seulement à la baisse des cours du pétrole. «Le problème est beaucoup plus profond, notre économie est en crise. Depuis 1962, nous parlons de crise économique, mais qu’est-ce que l’Etat a fait pour remédier à cette situation ? Rien», lance l’élu du FFS qui regrette que le seul perdant, compte tenu des nouvelles dispositions de la LF 2016, est le citoyen.
M. Bettatache critique également le rendement de l’APN, qu’il qualifie de «simple chambre d’enregistrement». «Aujourd’hui, le citoyen n’attend rien des députés car il sait pertinemment que nous n’avons pas le courage ni la volonté de renverser la tendance. Nous sommes un poids pour la société et pour le Trésor public», déplore-t-il. Plusieurs députés du FLN ont osé critiquer le contenu du projet en se demandant si le gouvernement est conscient des conséquences si le texte venait à être approuvé dans sa version officielle.
«Est-ce que le gouvernement veut provoquer une explosion sociale, dont le pays s’est prémunie jusqu’ici», s’est interrogé un élu du FLN. Les députés Benkhalef et Naâmane, de l’Alliance de l’Algérie verte, ont déclaré que le projet de loi de finances 2016 est «le plus dangereux que l’Assemblée ait eu à connaître». «Ce projet porte le cachet des détenteurs de l’argent sale. C’est un prétexte pour l’instauration d’un nouveau système féodal et pour l’édification d’un capitalisme sauvage», note Naâmane. et d’ajouter : «Au lieu de sanctionner les riches, le gouvernement sanctionne le simple citoyen.»
Les élus du PT étaient aussi très virulents. Rachid Khan, député de cette formation, qualifie ce texte de «véritable bombe à retardement». «Ce projet ne reflète pas les orientations et les choix du président de la République qui ont été exprimés dans les deux dernières lois de finances.» A qui profite donc cette loi ? Le député pense qu’elle est «réfléchie et mise en œuvre pour l’intérêt de l’oligarchie.
En fait, le gouvernement a tendu la main à la mafia et sanctionné le peuple». Il n’a pas ménagé le ministre de l’Industrie qu’il accuse de favoriser les opérateurs français. Mohamed Touhami, de la même formation, accuse le gouvernement de légiférer pour des «personnes» et non pour des «cas». Les députés du parti dirigé par Louisa Hanoune ont tiré à boulets rouges sur le premier argentier du pays et le ministre de l’Industrie qu’ils attaquent de favoriser les opérateurs français.
Par ailleurs, Chihab Seddik, du RND, estime que les augmentations en question ne toucheront pas la classe moyenne, mais les grands consommateurs. «Les subventions seront maintenues et les transferts seront augmentés par rapport à 2015. Le pays travers une crise et le gouvernement n’a pas décidé d’augmenter le prix du lait ni du pain, pour ne pas pénaliser le citoyen», note le député du RND.
Nabila Amir
Projet de loi sur l’utilisation de l’empreinte génétique
Les tests de paternité non concernés
le 24.11.15 | 10h00
L’utilisation de l’empreinte génétique dans le cadre des affaires judiciaires et d’identification de personnes décédées ou disparues est désormais réglementée par un avant-projet de loi qui prévoit une centrale de base de données dirigée par un magistrat, seul habilité à enregistrer les informations et à les effacer.
Le projet de loi n’a malheureusement pas prévu de dispositions permettant le recours au test de paternité dans le but de garantir le droit à une identité à des milliers d’enfants nés sans nom patronymique. L ’avant-projet de loi relatif à l’utilisation de l’empreinte génétique comporte de nouvelles dispositions permettant à l’autorité judiciaire de recourir à des moyens modernes, non seulement pour l’identification des personnes décédées ou non identifiées, mais également pour confirmer ou infirmer, d’une manière scientifique et donc irréfutable, l’existence d’infractions.
En fait, le problème n’est pas dans le recours à ce moyen de preuve qui a, par le passé, aidé les autorités judiciaires à élucider des affaires de crime et d’identification de personnes décédées, mais plutôt dans son utilisation et son stockage à des fins illégales que l’avant-projet de loi a définies à travers 20 articles repartis autour de cinq chapitres.
L’article 2 définit l’empreinte génétique ; l’ADN et ses parties, ainsi que l’analyse génétique, les prélèvements génétiques et le rapprochement, avant de passer aux conditions et modalités d’utilisation de l’empreinte génétique, en insistant, à travers l’article 3 qui stipule : «Le respect de la dignité humaine, de la vie privée des personnes et de la protection de ses données personnelles, doivent être garantis durant les différentes étapes de prélèvement biologique et d’utilisation de l’empreinte générique.»
Selon l’article 14 de l’avant-projet de loi, «seuls les procureurs de la République, les juges d’instruction et les juges de siège sont habilités à ordonner des prélèvements biologiques et à les analyser (…). Les officiers de police judiciaire, agissant dans le cadre de leurs investigations, peuvent, après autorisation préalable de l’autorité judiciaire compétente, demander des prélèvements biologiques, pour analyse génétique».
L’article 5 définit, quant à lui, les personnes concernées par ces prélèvements et qui se présentent comme suit : «Toute personne suspectée d’avoir commis des crimes et délits contre la sûreté de l’Etat, les personnes, aux bonnes mœurs, aux biens, à l’ordre public ou des infractions prévues par la loi relative à la lutte contre les stupéfiants ou celle relative à la lutte contre le blanchiment de capitaux et au financement du terrorisme, ainsi que tout autre crime ou délit lorsque la juridiction compétente le juge nécessaire ; les personnes suspectées d’avoir commis des atteintes à l’encontre des enfants ou celles condamnées définitivement pour ces faits, les victimes, les personnes se trouvant sur les lieux de l’infraction pour distinguer leurs traces de celles des suspects ; les condamnés définitivement à une peine restrictive de liberté de 3 ans pour avoir commis des crimes ou délits contre la sûreté de l’Etat, les personnes, aux bonnes meurs, aux biens, à l’ordre public ou des infractions prévues par la loi sur le trafic de stupéfiants et de la lutte contre le blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme, ainsi que tout autre crime ou délit lorsque la juridiction compétente le juge nécessaire.»
Pas de dispositions rendant obligatoire le test de paternité
Ces prélèvements, précise l’article 5 de l’avant-projet de loi, peuvent être effectués sur des personnes «ne pouvant donner des informations sur leur identité, en raison de leur âge, d’un accident, d’une maladie chronique, d’un handicap, d’un trouble psychologique ou de toute autre déficience mentale ; les personnes décédées non identifiées, disparues ou leurs ascendants et descendants ainsi que les volontaires.
A l’exception de ces derniers, les prélèvements dans les autres cas, ne peuvent se faire que sur ordre ou autorisation du magistrat compétent».
En ce qui concerne les enfants, précise le même article, «le prélèvement ne peut s’effectuer qu’en présence de l’un de ses parents, de son tuteur, de la personne à laquelle la garde a été confiée ou de la personne les représentant légalement. A défaut, en présence du représentant du parquet général».
Force est de constater que l’avant-projet de loi n’a pas prévu de dispositions relatives à l’obligation de prélèvements d’ADN pour confirmer ou infirmer la paternité d’un enfant abandonné. Encore tabou, le sujet n’est toujours pas pris en compte par les autorités alors qu’il s’agit pour l’Etat de garantir à tous les enfants, le droit à une identité, tel que préconisé dans la Convention internationale des droits de l’enfant, que l’Algérie a adoptée.
De nombreux militants des droits de l’homme estiment que le droit à un nom doit être consacré et sa jouissance doit passer par le recours à la science, afin d’obliger les géniteurs à reconnaître l’enfant, sans pour autant remettre en cause toutes les dispositions liées à l’héritage, sachant que le code de la famille, inspirée de la charia a déjà tranché cette question.
Ainsi, le législateur a raté l’occasion de corriger une situation judiciaire dramatique et combien douloureuse pour des milliers d’enfants nés sans nom patronymique, dans une société qui voit en eux le péché. En tout état de cause, l’avant-projet de loi sur les tests d’ADN, a prévu tous les volets liés au recours à ce moyen d’expertise qui peut être effectué, y compris sur un détenu condamné définitivement, mais sur autorisation du parquet général dont le ressort duquel se trouve l’établissement pénitentiaire.
L’article 6 de cet avant-projet de loi désigne les personnes habilitées à effectuer ces prélèvements «conformément aux critères scientifiques conventionnels», comme suit : «Les officiers et agents de la police judiciaire compétents, les personnes habilitées à cet effet, sous l’autorité des officiers de la police judiciaire et les personnes requises par l’autorité judiciaire.»
Salima Tlemçani
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Ligue 1 (mise à Jour) : Saoura veut s’offrir le leader
le 24.11.15 | 10h00
La JS Saoura n’a toujours pas d’entraîneur. Les coéquipiers de Djallit sont pris en charge par le jeune Abdelkader Gourrari, qui n’est autre que l’ancien adjoint de Bernard Simondi. Les nombreux CV reçus par la direction du club sont encore à l’étude, selon des dirigeants. A propos du match retard (10e journée) contre l’USMA programmé pour cet après-midi à Béchar, les Sudistes restent confiants. Mais il faut souligner qu’ils ne se sont pas reposés après la victoire laborieuse face au RCR.
N’ayant pas eu de répit, les Jaune et Vert comptent faire tomber le leader et se hisser en haut du tableau. «On doit gagner pour faire plaisir à nos supporters et monter vers le haut du tableau. Il ne faut pas oublier que nous avons deux sorties consécutives difficiles à Blida et Belouizdad», explique-t-on. Côté algérois, après le succès ramené samedi dernier d’Oran face à l’ASMO, les Usmistes, invaincus depuis la première journée du championnat, qui ont conforté leur statut de leader avec une avance de trois points sur leur poursuivant, ne comptent pas s’arrêter là. Visant des points à Béchar, le leader veut davantage creuser l’écart, avant la 13e journée prévue ce week-end.
liés Mourad
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Équipe nationale : Gourcuff pose ses conditions
le 23.11.15 | 10h00
Christian Gourcuff poursuivra-t-il sa mission à la tête des Verts ?
La question est d’une brûlante actualité après la période difficile qu’a traversée l’intéressé avant le match retour face à la Tanzanie (victoire 7-0 et qualification au 3e tour des éliminatoires de la Coupe du monde Russie 2018).
Son départ a été évoqué après les deux matchs amicaux contre la Guinée (0-1)et le Sénégal (1-0) et la rencontre officielle en Tanzanie (2-2). Le président de la fédération, Mohamed Raouraoua, et le technicien français ont démenti cette information. A priori, elle a la peau dure puisqu’elle reste toujours d’actualité tant qu’une annonce officielle émanant des deux parties n’est venue confirmer ou infirmer une telle issue.
Après le rendez-vous de Tchaker, Christian Gourcuff a pris quelques jours de congé pour aller se ressourcer auprès de sa famille et faire le vide avant de rentrer à Alger pour rencontrer le président de la FAF et trancher définitivement sur l’orientation qu’il compte donner à la suite de son aventure à la tête des Verts.
Il devrait rentrer à Alger dans les prochaines heures. C’est ce qu’il a affirmé dans un entretien exclusif accordé (hier) au quotidien El Khabar. Interrogé sur son avenir, le sélectionneur national a répondu : «Je n’ai pas encore pris de décision sur mon avenir. Je dois d’abord rencontrer le président de la fédération et discuter avec lui de plusieurs points liés à mon travail.» Les deux hommes ont entamé ce sujet lors du dîner d’après match (face à la Tanzanie).
Gianni Infantino (président de l’UEFA et candidat à l’élection au poste de président de la FIFA) était avec eux à la table d’honneur, mais n’a pas assisté au tête-à-tête entre les deux hommes, tenu au moment où les joueurs avaient rejoint leurs chambres. «Ils ont beaucoup échangé», souligne un dirigeant présent mardi soir à Sidi Moussa.
L’euphorie de la large victoire et de la qualification avait détendue l’atmosphère. Christian Gourcuff avait besoin de souffler et a pris un petit congé avant de revenir à Alger pour établir les prochains plans de bataille en prévision des éliminatoires de la CAN-2017, qui auront lieu au printemps, et ceux de la Coupe du monde 2018 qui démarreront en octobre 2016.
Il a profité des quelques jours passés en France en famille pour réfléchir plus profondément sur ce qu’il fera avec la sélection s’il décide de poursuivre sa carrière en Algérie.
Dans l’interview accordée à El Khabar, il dit : «Je me suis rendu compte que l’environnement n’est pas propice au bon travail. Je veux rester à la tête des Verts. La volonté y est de ma part. Si je voulais partir, je l’aurais fait savoir.
Lorsque je verrais le président, j’aborderais toutes ces questions, je poserais mes conditions comme le fera, certainement, le président.» Christian Gourcuff voudrait voir s’établir de nouvelles relations avec les médias algériens. Selon lui, ce serait une partie du problème qui lui a empoisonné la vie au cours des dernières semaines.
Dans la soirée du 17 novembre 2015 et en prévision des prochaines échéances, Mohamed Raouraoua et Christian Gourcuff se sont déjà projetés dans l’avenir. C’est-à-dire les 11 mois qui nous séparent du début des éliminatoires du 3e tour, dont le tirage au sort sera effectué en juin prochain au Caire. Il faudra rapidement régler les problèmes d’effectif qui ont surgi lors des dernières sorties. La situation en club de Carl Medjani et Belkaroui inspire beaucoup d’inquiétudes. Ils risquent de ne pas trop jouer durant les prochaines semaines.
Christian Gourcuff a aussi des soucis avec les joueurs qui ont un faible temps de jeu avec leur équipe. Au début des éliminatoires du 3e tour, il ne comptera que sur les éléments compétitifs et en forme.
Pour ne pas être pris en défaut sur ce registre, le coach des Verts s’est intéressé au profil de trois jeunes joueurs algériens au potentiel intéressant. Les trois évoluent en Europe. Le premier vient de signer pro avec un club anglais de league one (2e division). Le second est pensionnaire d’un club de Bundesliga (Allemagne) et le troisième est licencié au sein d’un club italien.
La nouveauté devrait résider dans la reprise de la formule mise en place par l’ancien sélectionneur, Vahid Halilhodzic, qui consistait à regrouper régulièrement les joueurs de Ligue 1 pour les soumettre à un travail permanent dans la perspective de les intégrer progressivement dans le groupe des Verts lorsqu’un ou plusieurs professionnels évoluant en Europe sont blessés ou ne jouent pas régulièrement avec leurs clubs respectifs. Vaste programme qui sera abordé par le président de la fédération et le sélectionneur, dès le retour de ce dernier à Alger.
Yazid Ouahib
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