330-/-ACTUALITÉS Du Jeudi 26 Novembre 2015
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Jeudi 26 Novembre 2015 *****/*****
الخميس 26 نوفمبر 2015 م
الخميس 14 صفر 1437 ه
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PROCÈS DU GÉNÉRAL HASSAN AJOURD'HUI A ORAN Le tribunal militaire d’Oran a une lourde tâche aujourd’hui : tenter de rétablir la vérité sur les accusations portées contre le général Hassan, ancien chef de la lutte antiterroriste au sein du DRS, emprisonné depuis le mois d’août dernierSuite... |
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Actualité
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Jean Marcou. Spécialiste de la Turquie et professeur à Sciences Po Grenoble
«La dérive autoritaire est visible depuis plusieurs années en Turquie»
le 26.11.15 | 10h00 Réagissez
La décision d’Ankara d’abattre, mardi, un avion de combat russe Su-24, ayant survolé pendant près de 30 secondes un petit bout de son territoire, montre à quel point les intérêts de la Turquie dans la région divergent avec ceux des pays engagés actuellement dans la lutte contre les terroristes de Daech. Jean Marcou, professeur à l’Institut d’études politiques de Grenoble et ancien directeur de l’Observatoire de la vie politique turque à l’Institut français d’études anatoliennes à Istanbul, donne un éclairage sur les motivations du président Erdogan et revient sur la victoire de l’AKP aux élections législatives anticipées turques du 1er novembre.
- Avec du recul, comment analysez-vous les résultats des législatives anticipées turques du 1er novembre ? Vous attendiez-vous à une victoire de l’AKP ?
Je ne m’attendais pas à une victoire aussi large, mais je pensais à un sursaut de l’AKP de 2 à 3%. En réalité, plusieurs raisons expliquent ce succès. En premier lieu, la situation de novembre n’était pas la même que celle de juin. Lors des précédentes élections, la perspective de voir le HDP franchir la barre des 10% avait offert aux électeurs turcs la possibilité d’adresser un avertissement à l’AKP. Mais le 1er novembre, le pays était en crise. Il fallait donc doter la Turquie d’un gouvernement. En second lieu, l’AKP a fait véritablement campagne dans les semaines qui ont précédé l’élection, alors même que l’opposition a eu tendance à considérer comme acquis que les résultats de novembre seraient proches de ceux de juin.
À quelques jours de la réunion de l’Opep
L’Arabie Saoudite va-t-elle changer de position ?
le 26.11.15 | 10h00
A l’approche de la réunion semestrielle de l’Opep, les récentes déclarations de l’Arabie Saoudite pourraient apporter
une certaine stabilité aux prix du pétrole, selon des experts.
L’Arabie Saoudite va-t-elle montrer plus de flexibilité lors de la prochaine réunion de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) — prévue à Vienne le 4 décembre prochain — en allant dans le sens d’une décision visant à réduire la production de brut ? Les dernières déclarations émanant du royaume chérifien, le laissent en tout cas entrevoir, ce qui permettrait enfin d’extirper le baril de l’engrenage de la chute qui entraîne les prix vers des niveaux de baisse très préjudiciables pour la majorité des pays producteurs dont l’Algérie.
Des propos conciliants de Riyad laissent entendre que le chef de file de l’OPEP est prêt à travailler de concert avec les autres membres de l’Organisation ainsi que les pays hors OPEP afin de stabiliser les prix du brut. Alors que la majorité des observateurs jugent que l’Organisation contribue largement à plomber le marché en s’abstenant d’abaisser ses quotas de production, les déclarations de Riyad ont pu être interprétées, par certains, selon l’AFP, comme le signe que la monarchie du Golfe pourrait annoncer prochainement une inflexion de sa politique de production tous azimuts.
C’est la première fois que l’Arabie Saoudite montre une volonté de travailler à une solution, alors que le royaume avait précédemment choisi d’autoriser les forces du marché à évincer les producteurs aux coûts plus élevés, ce qui visait clairement l’industrie américaine du pétrole de schiste, qui a depuis montré une réelle résistance, malgré les prix bas, soulignent des analystes cités par les agences de presse. Les experts faisaient toutefois remarquer que le rebond des prix du pétrole était resté jusqu’à présent limité, suggérant que les marchés n’étaient pas encore prêts à croire que toutes les parties en présence avaient l’intention d’envisager des réductions de production dans un effort commun pour résoudre le problème de la surabondance d’offre de brut.
D’autres analystes, même s’il jugent prématuré d’interpréter les propos de Riyad comme le signal d’une future réduction de production, soulignent que ces annonces n’avaient rien de nouveau, jugeant toutefois que le royaume ne peut se permettre de laisser les prix du pétrole plonger davantage, ne serait-ce que parce qu’une telle situation affecte de façon croissante sa propre économie.
L’Arabie Saoudite est de plus en plus contrainte de se placer sur la défensive en raison des prix actuellement bas du pétrole. Les réserves de liquidités fondent alors que les déficits de la balance courante et du budget croissent, commentent les analystes estimant que dans ces conditions, il n’est guère tenable pour Riyad de maintenir sa stratégie actuelle, à moins que les prix du brut ne se reprennent.
Confrontées à la baisse des revenus pétroliers, toutes les monarchies arabes du Golfe commencent à réduire les dépenses et à stimuler les revenus hors pétrole, mais des analystes estiment qu’elles devraient agir davantage pour juguler les déficits. Après plus d’une décennie d’excédents grâce au niveau élevé des prix du brut, le déficit cumulé des six pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG) devrait atteindre 180 milliards de dollars en 2015 et cette tendance devrait se poursuivre.
A l’approche de la réunion semestrielle de l’OPEP, les récentes déclarations de l’Arabie Saoudite pourraient apporter une certaine stabilité aux prix du pétrole, selon des experts qui font remarquer toutefois qu’étant donné que les capacités de stockage sur les tankers arrivaient à saturation, l’Arabie Saoudite pouvait difficilement attendre trop longtemps pour trouver une solution avant que les prix ne plongent à nouveau.
Il est à noter que la production élevée, non seulement de l’OPEP mais aussi des Etats-Unis et de la Russie, a largement contribué à faire chuter les prix lors du second semestre 2014, puis à les maintenir à un niveau bas malgré quelques tentatives avortées de rebond
Impact de la LF 2016 sur le citoyen
Le gouvernement rattrapé par ses mensonges
le 26.11.15 | 10h00
Pendant quatre jours, les députés, toutes tendances confondues, ont souligné les «errances» et «les grands gâchis» de la non-gouvernance qui est de mise en Algérie depuis plus de quinze ans.
L’Assemblée populaire nationale (APN) a achevé, hier, l’examen du projet de loi de finances (PLF 2016). Présenté dimanche dernier par le grand argentier du pays, Abderrahmane Benkhalfa, ce texte a donné suite à des débats houleux. Pendant quatre jours, les députés, toutes tendances confondues, ont souligné les «errances» et «les grands gâchis» de la non-gouvernance qui est de mise en Algérie depuis plus de quinze ans. Ils ont tout simplement cloué au pilori le gouvernement, accusé à la fois, de «mensonge» sur la situation économique du pays et «d’immobilisme» qui a accentué la dépendance aux hydrocarbures, au moment où le pays disposait de ressources financières devant lui permettre de développer une économie productive.
Ce projet de loi, qualifié par les partis de l’opposition siégeant à l’Assemblée de «déclaration de guerre» contre les couches défavorisées, vient de démasquer les intentions de l’Exécutif qui décide d’injecter à des doses plus importantes ses mesures d’austérité. Alors que le ministre des Finances refuse toujours de parler de «restrictions budgétaires», utilisant plutôt le terme «période d’orthodoxie», le contenu de ce projet de texte n’augure pas des lendemains meilleurs pour les Algériens.
La cascade de taxes décidées et les augmentations des prix du gasoil et de l’électricité prévues auront, de l’avis des experts et des députés, y compris ceux des partis proches du pouvoir, de graves conséquences sur le quotidien des Algériens. Et cette situation ne fait que confirmer une réalité que les responsables du gouvernement refusaient d’admettre depuis le début du deuxième semestre de l’année 2014.
Tablant sur un prix du baril de pétrole à 60 dollars, l’Exécutif assurait que la chute de recettes en devises ne remettrait pas en cause la politique sociale de l’Etat. Une affirmation mise en doute par les députés qui ont examiné le PLF 2016. Ces derniers vont même jusqu’à évoquer un «abandon du caractère social de l’Etat tel qu’énoncé par la déclaration du 1er Novembre 1954».
«Vers une hausse vertigineuse des prix»
«Libéralisme sauvage», «paupérisation des faibles et enrichissement des riches», «risque d’implosion sociale»… Les députés de l’opposition à l’APN (PT, FFS, AAV et des indépendants) n’ont pas lésiné sur les qualificatifs pour souligner «le caractère grave des mesures contenues dans ce projet» devant être voté lundi prochain.
Citant seulement les dispositions relatives à la révision des prix du carburant de l’électricité, les élus du peuple alertent sur «une hausse vertigineuse des prix des produits de large consommation». «L’augmentation des prix du gasoil touchera inévitablement le citoyen qui aura à payer encore plus cher les billets des transports et les produits agricoles. Car les transporteurs et les agriculteurs vont répercuter cette augmentation sur les tarifs des services fournis aux citoyens», affirment les députés.
Ces derniers sont très peu convaincus par les arguments du ministre des Finances qui, en admettant la révision générale de la politique des subventions, annonce «une politique étudiée» pour protéger les couches sociales les plus vulnérables. L’augmentation des prix en 2016, estiment les élus du peuple, concerneront également d’autres produits de consommation provenant de l’importation, dont les prix de certains d’entre eux connaissent déjà une augmentation sur le marché. Quelle sera la situation en 2016, après l’entrée en vigueur de la nouvelle loi de finances ?
Madjid Makedhi.
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