332-/-ACTUALITÉS Du Mercredi 23 Novembre 2016
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Météo en Algérie pour le Mercredi 23 novembre 2016
أحوال الطقس في الجزائر ليو الأربعاء 23 نوفمبر 2016م
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Mobilis : La valse des directeurs La société publique de téléphonie mobile Mobilis a un nouveau PDG en la personne d’Ahmed Choudar, qui remplace Mohamed... |
La dernière ligne droite
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Les APC seront dotées de 3 guichets pour mieux servir le citoyen
Dès 2017, les communes seront dotées de trois guichets chargés de répondre aux différents besoins des citoyens.
Actualité
Mobilis : La valse des directeurs
La société publique de téléphonie mobile Mobilis a un nouveau PDG en la personne d’Ahmed Choudar, qui remplace Mohamed...
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L’opposition parlementaire accuse le pouvoir de vouloir détourner l’attention des citoyens des véritables problèmes en...
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Mahrez et Slimani parmi les 5 finalistes
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CAF : Trois arbitres suspendus
Coupe d'Algérie : MOB-NAHD domicilié à Sétif à huis clos
La commission d’organisation de la coupe d’Algérie a délocalisé la rencontre des 32es de finale de la coupe...
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Mobilis : La valse des directeurs
le 23.11.16 | 10h00
La société publique de téléphonie mobile Mobilis a un nouveau PDG en la personne d’Ahmed Choudar, qui remplace Mohamed Habib. Ce énième changement à la tête d’une entreprise importante n’est pas sans susciter des interrogations.
La société publique de téléphonie mobile Mobilis a un nouveau PDG. En effet, un communiqué du ministère de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, dont El Watan a été destinataire d’une copie, a informé de la nomination d’Ahmed Choudar à ce poste de responsabilité en remplacement de Mohamed Habib.
Il a assuré un intérim de près de 11 mois, alors que le communiqué du ministère annonçait en décembre 2015 que «le nouveau responsable qui sera désigné sera appelé à anticiper les évolutions que connaît l’industrie des télécommunications mobiles en général et y adapter dès maintenant le management de l’entreprise». Ce changement intervient dans le cadre du «parachèvement des programmes de dynamisation du secteur des TIC et de la politique du gouvernement visant l’amélioration du service public dans le domaine des télécommunications», précise la même source.
Cependant, ce énième changement à la tête d’une entreprise aussi stratégique suscite de nombreuses interrogations. Pourtant, c’est Imane Houda Feraoun, la ministre du secteur, qui lui a demandé de représenter les intérêts de la maison mère et qu’il avait toute sa confiance. Pourquoi une telle décision alors que l’opérateur de téléphonie mobile a enregistré de bons résultats financiers ?
Mobilis a abordé l’année 2016 avec une très forte croissance à deux chiffres de ses indicateurs économiques et financiers, selon un communiqué de presse de l’opérateur. En effet, le 1er semestre 2016 a connu une augmentation de +20% de son chiffre d’affaires par rapport au 1er semestre 2015, s’établissant à 57,2 milliards de dinars, soit 519 millions de dollars avec un nombre d’abonnés global de 16,5 millions, dépassant pour la première fois depuis sa création, en 2004, les autres opérateurs mobiles.
Le résultat brut d’exploitation avant amortissements et impôts (Ebitda) a connu une croissance de +30%, s’établissant à 21,3 milliards de dinars. Pour le 2e trimestre 2016, le chiffre d’affaires de Mobilis s’est établi à 30,4 milliards de dinars, soit 275,6 millions de dollars. Ce résultat place incontestablement Mobilis à la tête des 3 opérateurs mobiles du marché avec 9% de plus que celui classé deuxième.
Ces forts taux de croissance à deux chiffres sont la résultante, selon Mobilis, de plusieurs paramètres : la généralisation, dès janvier 2016, des offres 3G sur les 48 wilayas du pays, faisant en sorte que 58% des abonnés Mobilis sont désormais en 3G ; le maintien de la tarification à la seconde, contrairement aux deux autres opérateurs mobiles ; le lancement de l’offre WIN postpayée, qui a multiplié par 5 le nombre d’abonnés postpayés par rapport à 2015 ; la mise en place de la stratégie de commercialisation de terminaux «Made in Bladi» associée à des offres Mobilis en adéquation avec la politique des pouvoirs publics pour encourager la production nationale. Ses packs de téléphones de fabrication locale ont atteint des ventes de 5000 unités/jour.
Avec ce nouveau partenariat, Mobilis confirme sa volonté de continuer à œuvrer pour la démocratisation de l’utilisation de l’internet mobile pour toutes les couches de la société.
Le Conseil d’administration décide-t-il réellement ?
Contacté, Younès Grar, observateur de l’évolution des TIC en Algérie, fait une remarque pertinente : «Pourquoi, lorsqu’on opère des changements et qu’un responsable est limogé, on ne nous dit pas pourquoi il a été mis fin à ses fonctions ? Est-ce pour mauvaise gestion ou un manque de transparence ?
Et lorsqu’on nomme quelqu’un d’autre, on ne nous dit pas sur quel critère et surtout quels sont les objectifs à atteindre.» Ainsi, la valse des PDG se poursuit dans le secteur qui vit une instabilité chronique. Ahmed Choudar, ex-directeur général de Trust assurances, connaît-il suffisamment le secteur des télécoms pour pouvoir conduire Mobilis à se moderniser et l’adapter aux rythmes d’évolution dynamique dans un environnement concurrentiel ?
Le communiqué de presse du MPTIC fait de lui un portrait élogieux, le qualifiant «de profil idéal après avoir occupé la fonction de directeur général adjoint au niveau d’Algérie Télécom». Aujourd’hui, la tendance mondiale est à la convergence. Le secteur de la téléphonie est en pleine ébullition, en plein changement. Avec la 3G et la 4G, la distinction entre le fixe et le mobile n’a plus lieu d’être : on va presque autant sur internet avec son mobile qu’avec son ordinateur et dans quelques années ce rapport de force se sera inversé.
Younès Grar se pose une autre question : «Quel est le rôle du conseil d’administration à partir du moment où on lui dicte la conduite à tenir ? Ce sont les mêmes personnes qui ont placé Dama, Habib et qui les ont relevés de leurs fonctions sans la moindre explication. Qui doit payer les mauvais choix ?Mobilis est une entreprise publique et non familiale.»
Changement ou juste des têtes qui tombent ?
Retraite anticipée : Qu’est-ce qui fait courir les enseignants ?
le 23.11.16 | 10h00
La majorité des pensions de retraite des enseignants n’atteignent pas 50 000 DA, certaines sont à peine de 30 000 DA et ne permettent pas dans la plupart des cas à leur détenteur de subvenir à ses besoins.
A la retraite, certains enseignants se dirigent vers le secteur privé pour y exercer encore plusieurs années. Une possibilité pour ces «jeunes retraités» d’avoir un rentrée d’argent supplémentaire pour renforcer leur budget en exerçant le même métier, mais dans d’autres conditions. Pour les parties qui sont pour la suppression de la retraite anticipée dans le cadre de la révision du code du travail, cet argument est idéal face à chaque revendication du corps enseignant à maintenir la possibilité de départ à la retraite après 32 ans de service.
«Ce n’est pas de gaieté de cœur que nous nous dirigeons vers les établissements privés. Nos pensions suffisent à peine à couvrir les besoins élémentaires de nos familles. Il faut encore trimer plusieurs années supplémentaires pour pouvoir affronter dans la dignité la multitude des frais qui alourdissent nos charges», explique une enseignante à la retraite depuis quelques mois et qui est à la recherche d’un poste dans une école privée à la périphérie est d’Alger.
Cette femme d’une cinquantaine d’années, qui a exercé dans l’enseignement moyen, a plus de 32 ans de service. «C’est un métier que j’adore, mais qui m’a épuisée», lance-t-elle, en guise d’introduction à «l’argumentaire» de sa demande de retraite anticipée et son intention d’aller vers le secteur privé pour y gagner de quoi arrondir ses fins de mois. «J’ai été enseignante durant toute ma vie, je ne sais réellement pas faire autre chose. C’est le seul métier que je continuerai à exercer afin de ramasser un peu plus d’argent pour affronter les frais quotidiens, mes enfants ayant toujours besoin de mon soutien.»
N’ayant jamais bénéficié de logement, de nombreux ménages comptent toujours sur leurs parents pour les aider à réaliser cet objectif. D’autres enseignants à la retraite sont contraints de travailler pour subvenir aux besoins élémentaires des leurs, car étant la seule source de financement dans le ménage. «Mes enfants sont encore à ma charge, l’un est universitaire et deux autres sont encore au lycée. Je n’ai pas le choix que de retrousser mes manches et de chercher un boulot qui puisse m’aider», explique un père de famille, ex-enseignant à la recherche d’un poste dans une école privée.
La majorité des pensions de retraite touchées par les enseignants n’atteignent pas 50 000 DA, certaines sont à 30 000 DA et ne permettent pas, dans la plupart des cas, à leur détenteur de subvenir à ses besoins. «Au moment où des retraités du monde entier profitent de cet âge-là pour voyager et se permettre des loisirs, nous sommes appelés à travailler ailleurs pour ne pas tendre la main», déplore un enseignant interrogé devant un lycée à Alger-Centre.
Cet enseignant formateur en fin de carrière nous énumère la liste des charges qu’il affronte au quotidien et «avec l’inflation galopante, 50 000 DA ne feront pas de moi un riche», ironise-t-il. «Mais combien d’enseignants peuvent encore exercer après leur départ à la retraite ?» s’interroge M. Amoura, président du Satef, qui estime que le nombre de ceux qui se dirigent vers le privé est «infime» par rapport au nombre de sortants malades et affaiblis par les contraintes de ce métier et qui ne profitent même pas de cette période de leur vie.
Selon des chiffes officiels (datant de septembre dernier) 40 000 enseignants ont déposé leur demande de départ à la retraite anticipée. Ces chiffres pourraient doubler à la fin de l’année, ultimatum fixé pour pouvoir bénéficier encore de cette disposition. La revendication brandie depuis quelques semaines par tous les syndicats du secteur de l’éducation lève le voile sur la paupérisation d’une partie des effectifs de la Fonction publique, qui sont en grève cyclique depuis hier pour défendre cet «acquis» et protester contre les dispositions de la loi de finances 2017 qui «menace encore davantage le pouvoir d’achat des ménages».
Fatima Arab
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الأربعاء 23 نوفمبر 2016 م -- +++
Meilleur joueur africain de l’année 2016
Mahrez et Slimani parmi les 5 finalistes
le 23.11.16 | 10h00
Les deux internationaux algériens, Ryad Mahrez et Islem Slimani, tous deux évoluant à Leicester City, en Angleterre, font partie des cinq finalistes pour le Ballon d’or africain.
C’est ce qu’a indiqué la Confédération africaine de football (CAF), hier, sur son site internet. Les trois autres joueurs nominés sont le Gabonais Pierre-Emerick Aubameyang (Borrusia Dortmund), le Sénégalais Sadio Mane (Liverpool), et l’Egyptien Mohamed Salah (Roma). L’autre Algérien qui était sur la liste de départ (30 joueurs), en l’occurrence El Arabi Hillel Soudani (Dinamo Zagreb, Croatie) a donc été recalé. Mahrez, champion d’Angleterre avec son club, et meilleur joueur de la saison écoulée, a des chances de l’emporter.
Ce joueur algérien est également dans la liste des joueurs nominés pour le Ballon d’or mondial attribué par le journal français France Football. Mahrez est également en course pour le trophée de meilleur joueur au monde de l’année de la FIFA. Pour le Ballon d’or africain, la CAF indique qu’en ce qui concerne la dernière phase du vote, ce sont les voix des entraîneurs des sélections des 54 membres de l’instance africaine ainsi que la moitié du panel des 20 experts choisis par la CAF (10 membres) qui seront déterminantes.
A noter, en dernier lieu, que les cinq finalistes du trophée du meilleur joueur africain évoluant sur le continent sont les deux Sud-Africains Keegan Dolly et Hlompho Kekana, qui jouent à Mamelodi Sundowns, club ayant remporté la Ligue des champions ; leurs deux coéquipiers en club, le Zimbabwéen Khama Billiat et l’Ougandais Denis Onyango, ainsi que le Zambien Rainford Kalaba (TP Mazembe, RD Congo). Le Tchadien Morgan Betorangal, qui évolue au MO Béjaïa, malheureux finaliste de la Coupe de la CAF, qui était dans la liste de départ, n’a pu figurer dans le «top five». La cérémonie de remise des trophées, 2016 Glo-CAF Awards, aura lieu le 5 janvier 2017 à Abuja, au Nigeria.
Abdelghani Aïchoun
L’APPEL À LA GRÈVE ASSEZ PEU SUIVI L’appel à la grève de trois jours lancé par les syndicats autonomes depuis lundi pour faire pression sur le gouvernement pour le maintien de la retraite anticipée a été peu suivi hier. Les établissements scolaires, de santé et les services de l’administration ont fonctionné normalement, pour la plupart, en ce deuxième jour du débrayage. Le mouvement de lutte des syndicats autonomes va Suite... |
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