334-/-actualites du Vendredi 25 novembre 2016
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Vendredi 25 novembre 2016
أحوال الطقس في الجزائر ليو الجمعة 25 نوفمبر 2016م
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Adoption de la loi de finances 2017
Pouvoir d’achat le coup de grâce du gouvernement
le 25.11.16 | 10h00
Après l’adoption de la loi de finances 2017 par l’Assemblée populaire nationale (APN), les citoyens algériens s’apprêtent à vivre des lendemains difficiles.
Le texte intervient dans un contexte de crise marqué par un besoin urgent de ressources. Le Fonds de régulation des recettes (FRR) arrivant à expiration et les exportations d’hydrocarbures ne rapportant plus autant qu’avant, le gouvernement s’est tourné vers les ménages. Du carburant à l’électroménager, ou encore les produits alimentaires, tous les prix vont augmenter dès janvier 2017. Premier choc, la Taxe sur les produits pétroliers (TPP) qui va augmenter les prix de tous les carburants de 1 à 3 DA.
Une hausse avait déjà eu lieu dans le cadre de la loi de finances précédente, avec l’institution d’une taxe d’efficacité énergétique sur les produits importés ou fabriqués localement fonctionnant à l’électricité, au gaz et aux produits pétroliers, dont la consommation dépasse les normes d’efficacité énergétique prévues par la réglementation en vigueur. Par ailleurs, en plus de la taxation ajoutée par la LF 2016, le tabac a connu une majoration cette année. Le prix du paquet, estimé actuellement à 270 DA connaîtra une augmentation d’environ 40 DA.
Cependant, cette hausse variera selon les différentes marques disponibles sur le marché algérien. La loi de finances 2017 verra également l’application d’une TVA sur les marges réalisées par les marchands de meubles d’occasion et en ce qui concerne le logement, les permis de construire et de mise en conformité des bâtisses, les Algériens feront face à des hausses sur toute opération dans le domaine. Une mesure a également été approuvée prévoyant l’augmentation de la taxe sur les boissons alcoolisées à hauteur de 10%.
Selon l’économiste Samir Bellal, il est clair que le pouvoir d’achat va prendre un sérieux coup avec cette loi de finances. Mais ce qui est nouveau pour lui, «c’est que c’est la première fois depuis pratiquement la fin des années 90’ que l’on s’en prend aussi lourdement et aussi brusquement au pouvoir d’achat des ménages. D’un point de vue strictement économique, les mesures contenues dans la LF-2017 visent à remédier un tant soit peu à une situation budgétaire des plus difficiles».
Et d’ajouter : «Ce qui est embêtant dans les mesures annoncées, c’est qu’elles semblent s’inscrire dans un processus d’ajustement naturel, c’est-à-dire un ajustement qui vise simplement à colmater les brèches, mais nullement à ouvrir de nouvelles perspectives pour l’économie nationale. Ce qui est présenté pompeusement comme un nouveau modèle de croissance n’est en réalité qu’un ensemble de mesures budgétaires étalées dans le temps pour faire face à la conjoncture difficile que nous vivons.»
Impasse
Le gouvernement a fait de l’année 2016 la date du lancement d’un nouveau modèle de croissance économique qui donnerait plus de place au développement d’une économie hors hydrocarbures. En matière budgétaire, «la politique de l’Etat a de tout temps privilégié l’impératif politique de la redistribution au détriment de l’impératif économique de la croissance. C’est dans les arbitrages budgétaires effectués par l’Etat que la logique rentière trouve sa parfaite expression», rappelle l’économiste.
Un nouveau modèle de croissance doit, pour être crédible, «exprimer une volonté politique de rompre avec la logique rentière qui gangrène le fonctionnement de l’ensemble des rouages de la société», estime Samir Bellal. Car pour lui, le régime rentier «est aujourd’hui dans une impasse». Une rupture avec cette logique nécessite donc «un nouveau contrat social dont les éléments constitutifs doivent englober des réponses politiques courageuses à des questions économiques essentielles qu’on ne peut éluder indéfiniment».
Ces questions ont trait aussi bien à la nature de l’économie nationale qu’à son insertion dans l’économie mondiale. Avec des choix de politique sociale très prononcés et des mesures de protectionnisme souvent décriées d’un côté, et l’ouverture tous azimuts du marché aux importations de l’autre, on a un peu de mal à dire quelles sont les orientations précises de l’économie algérienne. «Veut-on, oui ou non, instaurer une économie de marché ? De la réponse à cette question découlera la conduite à suivre en matière de prix (et donc de subventions) et d’accès aux marchés», indique l’économiste.
D’autres questions se posent, selon lui, sur le mode d’insertion de notre économie dans la division internationale du travail. «Pendant quinze ans, l’Algérie a procédé à un véritable désarmement douanier qui, conjugué aux effets de la surévaluation de notre monnaie, a fini par détruire le fragile tissu industriel national (l’industrie représente moins de 4% du PIB)», précise Samir Bellal. Sans compter «le clientélisme» qui pèse sur le secteur public.
Autant d’aspects de notre économie qui restent à régler, mais dont le gouvernement ne semble pas se soucier pour le moment, préférant pallier au plus urgent, à savoir récolter le maximum de ressources possibles, quitte à mettre en péril le pouvoir d’achat des citoyens sans toucher aux acquis des plus nantis. «La sortie du régime rentier est un défi fondamentalement politique et ce ne serait pas rendre service à la collectivité nationale que de s’entêter à ne pas en prendre acte», prévient Samir Bellal. A bon entendeur…
Ryma Maria Benyakoub
Coupe d’Algérie : Une compétition pas si populaire que ça !
le 25.11.16 | 10h00
Place à Dame Coupe ce week-end avec le déroulement des 32es de finale de la Coupe d’Algérie de football et l’entrée en lice des formations de la Ligue 1 professionnelle.
Comme les années précédentes, les favoris, ou plutôt les ténors, «ont été avantagés» par le tirage au sort. La plupart d’entre eux devront passer ce cap, même si certains joueront lors de ce tour en déplacement. L’indécision planera sur un seul match, celui qui opposera le MO Béjaïa au finaliste malheureux de l’année dernière, le NA Hussein Dey. Le match se jouera à Sétif et à huis clos. Il restera donc ouvert entre ces deux équipes qui se connaissent bien.
Et même si plusieurs «petites» formations sont sur le départ de ce tour, il est certain qu’aucune d’elles ne pourra se «faufiler» jusqu’en finale. La faute au système du «premier tiré jouera chez lui». La dernière équipe à avoir réussi un tel exploit est l’USM Sétif en… 2005. L’USMS avait joué et perdu sa finale après prolongation devant l’ASO Chlef. Depuis cette date, les finales ont toujours opposé les clubs de Ligue 1 entre eux. La suppression du terrain neutre a accentué l’élimination des plus petits de cette compétition, qu’on continue d’appeler malgré tout populaire.
Il est clair qu’avec cette formule, tous les clubs ne partent pas sur un même pied d’égalité. A titre d’exemple, un club parmi les ténors du championnat a disputé 16 de ses 22 matchs de Coupe d’Algérie des cinq dernières éditions à domicile. Un jour, au lendemain d’une élimination de la Coupe d’Algérie, l’actuel porte-parole de l’ASO Chlef, Abdelkrim Medouar, avait déploré qu’à chaque fois que son club affrontait une équipe du Centre, il devait le faire à Alger. Et il n’avait pas tort.
C’est vrai qu’avec le terrain, on pourrait donner les mêmes chances à toutes les formations et éviter surtout toute suspicion. Pour revenir à la compétition, 17 matchs de ce tour auront lieu aujourd’hui. Les affiches devront opposer le CS Constantine à l’ASM Oran, la JSM Béjaïa à l’USM Blida et le RC Kouba à l’USM Bel Abbès. La JS Kabylie et le CR Belouizdad se déplacent afin d’affronter respectivement le WAB Tissemsilt et Bordj Ghedir. Ils devront faire attention, même s’ils doivent passer ce tour. Le DRB Tadjenanet est le premier club de Ligue 1 à quitter la compétition après sa défaite devant le CA Bordj Bou Arréridj en déplacement (0-1).Quant au MC Oran et à l’USM Alger, ils se sont qualifiés respectivement devant le MC El Eulma (2-0) et le NT Souf (2-0).
Farouk Bouamama
Effondrement de la route à Ben Aknoun, l’arbre qui cache la forêt
le 25.11.16 | 10h00
L’affaissement d’un tronçon de la chaussée sur la route de à Ben Aknoun a soulevé toutes les interrogations, notamment celles des experts. Le débat sur l’état des réseaux d’évacuation des eaux et routier refait surface.
«Les travaux effectués suite à l’effondrement de la chaussée sur l’axe routier qui relie Dar El Beïda à Zéralda au niveau de Ben Aknoun ont été bâclés.» Abdelhamid Boudaoud, président du Collège national des experts architectes (Cnea), joint par téléphone, s’interroge sur la procédure utilisée : «Ceux qui ont effectué ces travaux ont-ils extrait toute l’eau qui se trouvait à l’intérieur du trou ? Ont-ils laissé sécher la terre? Ont-ils lancé l’étude géotechnique et attendu ses résultats avant de faire quoi que ce soit ? Car ce n’est qu’après qu’ils pourront savoir quoi faire exactement. Après le damage de la terre, ont-ils attendu un mois avant de poser le bitume ?
Comment peuvent-ils dire qu’ils ont définitivement réglé un problème aussi complexe en moins de 48h ? Ce tronçon risque de s’effondrer à nouveau. Ce n’est pas tout, car on risque de revivre la même chose un peu partout en Algérie à cause de nos réseaux d’assainissement vétustes, comme c’était le cas de Ben Aknoun ou de Bab El Oued en 2001.» Le président du Cnea ainsi que d’autres experts ne sont pas les seuls à se poser la question.
Sur les réseaux sociaux, les internautes avaient fait de même en demandant «comment l’Algérie a pu faire mieux que le Japon qui avait connu un effondrement de terre plus important que celui de Ben Aknoun, mais qui n’avait réussi à le résoudre qu’après deux jours de dur labour ?» Pour répondre à la question, les facebookers algériens n’avaient trouvé comme explication que d’illustrer satiriquement le wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, comme «un Asiatique aux yeux bridés avec un bandeau japonais autour du front» pour dire probablement que s’il «avait réussi le pari en un temps record, c’est parce qu’il est lui aussi japonais».
Normes
Bloqués pendant deux jours, les automobilistes qui s’impatientaient n’attendaient que la réouverture de la route. Entre-temps, les spécialistes, eux, se disputaient à propos des termes à utiliser. Certains confortaient la thèse des autorités et affirmaient que «c’était un affaissement». D’autres contrecarraient et assuraient que «c’était un effondrement». Interrogés sur ce sujet, le président du Cnea ainsi que l’ingénieur en management des projets hydrauliques et de construction s’accordent à appuyer plutôt la deuxième supposition.
Quant aux autorités, comme l’avaient expliqué à maintes reprises les différents responsables de la wilaya d’Alger, ils n’avaient qu’un seul objectif : intervenir efficacement, régler le problème et rendre à nouveau la route au usagers. Mais en réalité, beaucoup, y compris les experts eux-mêmes, se demandent si les travaux effectués ont été réalisés dans les normes ou non. «La question que l’on doit se poser est la suivante : où est partie la terre qui s’est effondrée ? se demande encore le président du Cnea, Abdelhamid Boudaoud.
«Cette dernière était imbibée des eaux pluviales et par celles du réseau d’assainissement qui avait causé l’incident et avait été engloutie par le trou. Cela veut dire qu’il existait des cavités. De ce point de vue, les autorités devaient consulter d’abord les géologues qui sont les seuls à pouvoir dire ce qu’il fallait faire exactement. Il fallait aussi procéder à une étude géotechnique pour connaître la carte de santé du sol, et enfin prendre une entreprise balèze dans le domaine pour régler réellement le problème.»
Géolocalisation
Mais si les experts montrent une certaine réticence quant au travail réalisé par la wilaya d’Alger, les différentes directions de cette dernière affirment qu’elles ne sont pas de cet avis. Elles assurent que le problème «a été bel et bien pris en charge et réglé définitivement». «Il s’agissait d’un vieux collecteur d’eaux usées qui était à 10 mètres de profondeur. Il s’est effondré suite aux fortes pluies qui se sont abattues dernièrement sur la capitale», indique Abderrahmane Rahmani, directeur des travaux publics à la wilaya d’Alger, joint par téléphone.
«Chacun explique les choses à sa manière, mais ça ne reste que des suppositions, se défend Smaïn Amirocuhe, directeur des ressources en eau de la wilaya d’Alger, joint par téléphone. Nous avons fait tout un diagnostic à l’aide d’un système de géolocalisation par radar afin de voir la profondeur du trou, mais aussi pour connaître les causes et la manière avec laquelle il avait évolué.» Et d’ajouter : «Nous avons dévié le collecteur principal des eaux usées avant de remblayer le trou.
Il n’y a plus d’arrivée des eaux à cet endroit. Néanmoins, nous aussi nous souhaitons connaître les raisons de l’affaissement. Nous ne pouvons rien dire pour l’instant car l’enquête technique est en cours.» Sur ce point, l’ingénieur Faouzi Maalem, qui rejoint la thèse du président du Cnea, Abdelhamid Boudaoud, ne cache plus lui aussi ses réticences quant «au temps accordé pour l’achèvement de l’opération de remblayage». «Un confortement du site s’impose après la réparation des conduites des différents réseaux.
Le sol mis en place ne peut être stable quand la consolidation des sols du terrain est réalisée en un temps relativement très court par rapport au temps nécessaire pour atteindre l’état d’un sol consolidé.» Et d’ajouter : «Dans ce cas précisément, je conseille à mes confrères de réfléchir sur le comportement du périmètre voisin de ce point. Car si on conforte les parois en apportant des matériaux différents avec une densité différente et une résistance beaucoup plus supérieure au cisaillement et aux efforts de compression du voisinage, l’ensemble devient hétérogène et d’autres instabilités pourraient surgir aux alentours de cet endroit.»
4000 km
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