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La disparition de Nelson Mandela a occupé le menu des discussions dans les chaumières constantinoises sans pour autant détrôner le sujet principal du jour, à savoir le tirage au sort de la Coupe du monde de football tenue ce vendredi à Bahia la brésilienne.
Même si la frange des jeunes connaît peu le personnage pour lui témoigner de la sympathie, beaucoup parmi ceux que nous avons interrogés, hier, ont exprimé de l’émoi face à une perte certaine pour l’humanité tout entière et l’Afrique en particulier. Djamel, cadre quinquagénaire de la jeunesse et des sports, résume cet état d’esprit : «C’est la disparition d’une icône en premier lieu. Mandela est le libérateur de l’Afrique. Les dirigeants africains au lieu de s’identifier au dictateur du Zimbabwe Robert Mugabe devraient prendre exemple sur lui.» Le mot «perte» est repris par tous ceux que nous avons interviewés et qui ont déclaré connaître Mandela. C’est le cas pour Farida, employée aux guichets de l’état civil au district de Sidi Rached : «Je suis touchée par son décès en tant qu’Africaine et Algérienne, sa disparition a été un choc pour moi. Nous avons grandi en admirant son parcours. Sa vie a marqué tous les Africains.»
Zineddine, un commerçant de 33 ans, rencontré à Djenane Ezzitoun, considère lui aussi que c’est une perte pour l’Afrique s’agissant d’un homme de principe, grand militant antiraciste. «Si au moins quelqu’un chez nous pouvait réaliser la moitié de ce qu’il a fait», regrette-t-il.
Guantanamo: rapatriement au goût amer pour un Algérien
le 08.12.13 | 18h39
L'avocat Robert Kirsch s'est battu bec et ongles pendant une décennie pour...
L'avocat Robert Kirsch s'est battu bec et ongles pendant une décennie pour faire libérer ses clients des geôles de Guantanamo. Après une série de succès, le rapatriement du dernier d'entre eux, contre son gré, en Algérie lui laisse un goût amer. Après douze ans de détention à Guantanamo, sans inculpation ni procès, l'Algérien Belkacem Bensayah, 51 ans, a été renvoyé jeudi dans son pays d'origine, où il n'a plus de famille et où il craint pour sa vie. Un épilogue que son avocat a accueilli avec "frustration", "déception" et "colère". "Il n'y avait nul besoin de renvoyer cet homme maintenant", alors que "la loi est en train de changer" au Congrès américain pour accélérer la libération des détenus lavés de tout soupçon, a-t-il déclaré à l'AFP. M. Bensayah était le dernier de ses six clients à Guantanamo, les "Algerian Six", arrêtés fin 2001 en Bosnie et arrivés parmi les premiers dans cette enclave louée par les Etats-Unis à Cuba. Interpellés sur des soupçons de complot d'attentat contre l'ambassade américaine de Sarajevo, les "Six" avaient été envoyés dans les cages à ciel ouvert réservées par l'administration Bush aux "combattants ennemis". En 2004, le cabinet d'avocats de Rob Kirsch prend en charge bénévolement les six hommes. La Cour suprême vient de débouter le gouvernement Bush et d'établir que les tribunaux américains sont compétents pour décider de la légalité de la détention des étrangers de Guantanamo. Près de 200 plaintes affluent devant les juges fédéraux. S'ouvre alors "une espèce de jeu de ping pong entre le Congrès et les tribunaux".
Colombie: les Farc décrètent un cessez-le feu unilatéral de 30 jours
le 08.12.13 | 19h35 | mis à jour le 08.12.13 | 20h56
La guérilla colombienne des Farc, qui mène des pourparlers de paix depuis...
La guérilla colombienne des Farc, qui mène des pourparlers de paix depuis plus d'un an avec le gouvernement de Juan Manuel Santos, a annoncé dimanche qu'elle décrétait un cessez-le-feu unilatéral de 30 jours à partir du 15 décembre. Les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) ont ajouté qu'elles comptaient sur le gouvernement pour faire de même, mais le président Santos a toujours refusé de relâcher la pression militaire sur la rébellion avant la signature d'un éventuel accord de paix. "De manière unilatérale, nous ordonnons à toutes nos unités (...) de cesser le feu et les hostilités pendant 30 jours", a annoncé un communiqué de la rébellion rendu public à La Havane, où les Farc mènent des pourparlers de paix avec une délégation de Bogota depuis novembre 2012. Toutefois, "dans le même temps, nous ordonnons à (nos troupes de) rester en alerte face à toute opération ennemie, à laquelle il devra être répondu sans délai", a ajouté ce texte lu par le commandant guérillero Pablo Catatumbo à la fin d'un nouveau cycle de négociations dans la capitale cubaine. Les Farc, qui n'ont pas exposé les motivations de ce geste, ont aussi affirmé qu'elles "entretiennent l'espoir que le gouvernement réponde à (ce) geste en suspendant ses opérations".
LEUR SYNDICAT REVIENT À LA CHARGE Les magistrats revendiquent une augmentation de salaire
Le Syndicat national des magistrats revient à la charge. Il revendique la revalorisation des indemnités des magistrats. Djamel Laïdouni, premier responsable dudit syndicat, estime que les magistrats ont été lésés.
Le Syndicat national des magistrats revient à la charge. Il revendique la revalorisation des indemnités des magistrats. Djamel Laïdouni, premier responsable dudit syndicat, estime que les magistrats ont été lésés. Nawal Imès - Alger (Le Soir) Le Syndicat national des magistrats tiendra dans les jours à venir un conseil national. A l’ordre du jour, l’élaboration et l’approbation d’une plate forme de revendications socioprofessionnelles, à leur tête la revalorisation des indemnités. Le président dudit syndicat, invité hier du forum du quotidien DK News, a expliqué que le corps des magistrats était le seul à n’avoir pas bénéficié de revalorisation des indemnités depuis 2008. Il considère qu’en tant que cadres supérieurs de l’Etat, les magistrats devraient avoir droit aux mêmes égards que d’autres catégories de cadres ayant vu leurs indemnités augmenter. Djamel Laïdouni use du même argument pour justifier cette revendication : les magistrats doivent être à l’abri du besoin pour pouvoir remplir leurs missions. Le président du syndicat des magistrats place beaucoup d’espoir dans l’actuel ministre de la Justice et rappelle que les magistrats sont un corps discipliné, ne pouvant revendiquer leurs droits dans la rue. Il considère également qu’il s’agit d’un des corps qui fait l’objet de la plus grande autosurveillance, notamment à travers le Conseil supérieur de la magistrature. Ce dernier s’est d’ailleurs réuni récemment pour le renouvellement partiel de ses membres et s’est également penché sur le dossier de six magistrats pour fautes professionnelles. Un organisme que Laïdouni espère voir indépendant de l’exécutif. Interrogé au sujet du recours abusif à la détention provisoire, le président du syndicat des magistrats a expliqué cette pratique par la nécessité de protéger et les victimes et les coupables et par la complexité de certaines affaires, nécessitant des commissions rogatoires ou plusieurs semaines d’enquête. Actualité oblige, Djamel Laïdouni s’est exprimé au sujet de la mouture du code pénal, actuellement en débat à l’Assemblée populaire nationale. A ceux qui le qualifient de copie conforme de la loi française, il répond qu’il s’agit là d’un texte élaboré par des Algériens pour les besoins de la société algérienne, notamment le durcissement des peines pour les auteurs d’enlèvements suivis d’assassinats de jeunes enfants.
Le mouvement dans le corps des magistrats sera «partiel» Tout juste un mouvement partiel selon le président du syndicat des magistrats. Djamel Laidouni explique ce choix par l’imminence des élections présidentielles. Un rendez-vous qui exige que des magistrats habitués à superviser l’opération restent au niveau de leurs postes. Il dit espérer un mouvement beaucoup up plus large d’ici juin. N. I.
Dix-sept concours internes mettent dès aujourd’hui à l’épreuve, des milliers de professionnels de l’éducation nationale de tous les corps de métiers. Des concours organisés sur fond de contestation par les syndicats du statut-même des fonctionnaires du secteur. Lyas Hallas - Alger (Le Soir) Beaucoup de corps de métiers de l’éducation nationale «pleurent» en effet le manque de perspectives que leur offre le travail dans le secteur de l’éducation, notamment les conseillers d’orientation scolaire, recrutés parmi les diplômés en psychologie et dont leurs pairs du secteur de la santé bénéficient de promotion, alors qu’eux ne peuvent accéder qu’à un seul grade, celui d’inspecteur de l’orientation scolaire. Or, il n’existe que deux postes par wilaya, ce qui veut dire que la quasi-totalité des conseillers partiront à la retraite avec leur même statut qu’au départ de leurs carrières. La réponse à donner à cette revendication, liée à l’évolution des carrières des conseillers de l’orientation scolaire, si elle est tributaire de la disponibilité des postes et du besoin du secteur en la matière, est confrontée par contre à un autre problème pour les autres corps de métiers comme les instituteurs et autres enseignants du moyen et du secondaire, ayant accédé aux rangs qu’ils occupent actuellement grâce à leur ancienneté, car ils ne disposent pas des diplômes désormais exigés par l’éducation nationale pour le recrutement. Ces «anciens», s’ils étaient «gâtés» par le nouveau régime indemnitaire au détriment des universitaires et des diplômés des écoles normales supérieures, ne peuvent accéder aux promotions conditionnées par un niveau d’instruction plus élevé, conformément à la réforme engagée il y a maintenant dix ans. Une réforme qui prône la qualification et la spécialisation, à tous les niveaux de la hiérarchie. Cette «prétention» continue par contre à être le cheval de bataille de la majorité des syndicats. Cela est dû, selon les observateurs, à l’âge avancé des syndicalistes du secteur, des fonctionnaires aux portes de la retraite, pour la plupart d’entre eux. Il est donc logique que la priorisation des revendications obéisse à la logique de ces «anciens», qui défendent paradoxalement les intérêts de travailleurs à majorité jeunes mais, lesquels résignent à s’engager dans le combat syndical. Même si ces «jeunes» n’hésitent pas à exprimer leur colère par rapport au peu d’indemnités perçues à la révision du statut et du régime indemnitaire des travailleurs de l’éducation nationale, et ce, à l’occasion des sit-in et piquets de grèves observés de manière cyclique. Face à cet état de fait et à l’agitation devenue une constante dans le secteur, le ministère de tutelle, acculé par les arbitrages de la direction générale de la Fonction publique, qui craint un déséquilibre dans le budget de l’Etat que provoquerait la contagion dans les autres secteurs, ne trouve plus sur quel pied danser. Il se montre plutôt laxiste, ne recourant jamais à la sanction et fixant des seuils des programmes pour les élèves devant passer les examens du BEM et du bac. En attendant le départ imminent à la retraite de ces «vieux lésés» par le nouveau système et qui, à en croire Benbouzid et maintenant Baba Ahmed, ne sont pas si nombreux… L. H.
Effectivement, c’est le constat qui est en exergue au soir de cette onzième étape du championnat national de première division. Avec le déroulement de cette avant-dernière journée, la liste des équipes qualifiées pour jouer le titre au second tour au niveau de la «Superdivision A» est sur le point d’être bouclée. Ainsi le groupe A était le premier où deux billets étaient distribués depuis longtemps et il s’agit du Groupement des Pétroliers et les El Biarois. Ces derniers sont revenus au bercail, bredouilles de leur virée à Béjaïa. Le troisième ticket est convoité par Rouiba et Arzew. Le calendrier semble favorable aux banlieusards d’Alger, lors de la dernière journée. Pour le deuxième groupe, Les formations de Baraki et M’sila sont en roue libre, car ayant assuré leurs places pour la course au titre. Ils devaient s’affronter hier mais sans que le fauteuil de leader change de propriétaire, puisqu’il est occupé confortablement par les Algérois. Au niveau de la troisième poule, la formation de Saïda, en remportant une précieuse victoire à Souk Ahras vient s’ajouter à celles d’Aïn Touta et Maghnia, en se retrouvant qualifiée. Comme Saïda a battu à l’aller Tadjenanet et fait match nul au retour, le Mouloudia de Saïda est pratiquement qualifié, quel que soit le résultat de la dernière sortie de ces deux ensembles. Quant au quatrième et dernier groupe, nous retrouvons toujours les Skikdis caracolant en tête. Ils sont talonnés par les Bordjiens qui se préparent à jouer le titre national au prochain tour. Pour la troisième place, les deux équipes du Sud que sont El-Oued et Ouargla se la disputent mais avec un avantage pour El-Oued qui compte deux rencontres en retard à jouer. Notons que la prochaine journée, qui sera la dernière de cette phase retour, est prévue pour le vendredi 13. Cependant, le match entre El-Oued et Ouargla sera décalé au mardi 17 de ce mois. La raison est le non-déroulement des matchs aller et retour entre Bordj et d’El-Oued. Pour la mise à jour de cette poule, El-Oued jouera sur son terrain le mardi 10 puis ira à Bordj qui accueillera El-Oued le vendredi 13. H. C.
Résultats et classements Groupe A ES Arzew-WO Rouiba 23-20 HC Béjaïa-HBC El-Biar 33-30 Majd Blida-IC Ouargla 30-29 JS Kabylie- GS Pétroliers Samedi
Classement
Pts
J
1. GS Pétroliers
26
13
2. HBC El-Biar
16
13
- WO Rouiba
14
13
4. ES Arzew
13
13
5. Majd Blida
10
13
-. JS Kabylie
10
12
7. HC Béjaïa
11
13
8. IRC Ouargla
5
13
Groupe B NRB Touggourt-GS Boufarik 25-28 C Chelghoum Laïd-AB Barika 33-23 O M'sila-CRB Baraki (samedi à 15h) Exempt : MC Oran
Classement
Pts
J
1. CRB Baraki
20
10
2. O. M'sila
14
9
3. GS Boufarik
13
11
- MC Oran
10
10
5. C Chelghoum Laïd
8
10
6. AB Barika
4
10
7. NRB Touggourt
3
11
Groupe C TRB Bab El-Oued-CRB Mila 20-22 O. Maghnia-ES Aïn Touta 7-32 HC Souk Ahras-MC Saïda 22–24 Exempt : MB Tadjenanet
Classement
Pts
J
1. ES Aïn Touta
19
10
2. O. Maghnia
15
10
3. MB Tadjenanet
11
10
- MC Saïda
13
10
- CRB Mila
11
10
6. HC Souk Ahras
6
11
7. TRB Bab El-Oued
0
11
Groupe D CRBEE Alger-Centre-O. El-Oued 29-30 CRB Bou-Arréridj-TR Sétif 30-23 R El-Arrouch-JSE Skikda (N.P) Exempt : WAB Ouargla
AFFAIRE CHAKIB KHELIL Les Américains donneront des informations
L’ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique à Alger a indiqué, hier, que la justice américaine divulguera bientôt des informations sur l’affaire Chakib Khelil.
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