Algérie: le gouvernement baisse les taxes pour bloquer prix et violences
Paradoxal profil des troubles à Constantine
Sereines le jour, les villes s’embrasent la nuit
Par A. Lemili
Curieux paradoxe d’une wilaya calme dans la
journée et agitée dès la nuit tombée. Mais aussi un paradoxe qui vient
superbement expliquer que tous les troubles qui rythment dans leur
quasi-ensemble ses communes ne peuvent en aucun cas être argumentés
rationnellement.Calme le jour, même si celui-ci est effectivement précaire, la
situation peut vite balancer pour peu qu’une personne ou un groupe de jeunes
s’avise, même par simulation, d’en être l’étincelle. Cette situation est telle
que l’effet meute a de grandes chances de prévaloir en la circonstance et les
conséquences d’être plus dramatiques dans la mesure où les débordements,
jusque-là limités aux assauts contre les édifices publics, ont été étendus à la
propriété privée, notamment dans les transports et les grandes et moyennes
surfaces commerciales. Pis, contre les véhicules de particuliers.Parce qu’ils se
déroulent la nuit, ces troubles renseignent, on ne peut mieux, sur les
intentions, voire l’absence d’intention de leurs auteurs, ce qui est de nature à
confirmer qu’il ne s’agit en réalité que d’actes de vandalisme à mettre sur le
compte d’une oisiveté assassine, d’une absence quasi dramatique des parents,
d’un mal de vivre général. Ensuite, ces troubles n’obéissent, depuis leur
déclenchement, à aucune spontanéité et encore moins à un encadrement politique
et/ou para-politique et n’ont finalement vu le jour que par phénomène d’onde de
choc et en réaction de ce qui s’est passé d’abord au centre du pays et qui a
gagné l’Ouest. Le même phénomène s’est reproduit d’ailleurs à l’échelle de la
wilaya avec un départ de la contestation, si tant est qu’elle en soit une, à
partir du chef-lieu de wilaya pour gagner subrepticement et partiellement des
villes satellites sans pour autant que cette contagion touche l’ensemble des
communes. L’exemple de la ville du Khroub est assez frappant en ce sens qu’il ne
s’y est rien passé, exception faite d’une tentative de gamins à hauteur de la
voie de circulation périphérique
rapidement avortée par les riverains
mêmes. C’est dire que lorsque les citoyens veulent s’impliquer, il existe de
très fortes chances pour que la raison prévale. Or, ce n’est malheureusement pas
le cas dans le reste des villes où les troubles ont connu des pics, une majorité
silencieuse ne cachant pas son vœu de voir l’instabilité continuer à régner au
motif d’une logique qui voudrait que «parce que la vie est chère que le
gouvernement ne fait rien pour se pencher sur les difficultés des Algériens à
vivre ou même à survivre, il est normal que ces jeunes brûlent, cassent et
tapent sur les policiers». Cette majorité silencieuse se dérobant quelque part à
ses propres responsabilités qui consisteraient à revendiquer, se placer en
première ligne pour recourir à des voies et procédures citoyennes. Les exemples
ne cessent de nous venir des pays étrangers et le dernier en date est celui de
Tunisie où la contestation a été phénoménale par son ampleur, mais tout
également exemplaire par son déroulement pacifique. En France pendant plus de
deux mois, 3 millions de manifestants occupaient les rues chaque semaine et cela
ne s’est jamais soldé par des actes de déprédation, de violences physiques,
etc.Il serait mal placé pour quiconque de tenir un réquisitoire et encore moins
de faire l’amalgame entre la majorité des jeunes et leur aspiration à vivre
mieux dignement en les confondant avec d’autres plus prédisposés à la violence,
au vandalisme, comme il est clair de rappeler qu’ils appartiennent à l’un ou
l’autre camp (regrettable lapsus du ministre de l’Intérieur au cours d’un
entretien exclusif sur la Chaîne III hier). Cela n’absout en rien les pouvoirs
publics de leur absence aux côtés de la plus importante population constituant
le pays. Les personnes que nous rencontrons au cours de notre présence sur les
lieux concernés sont unanimes à stigmatiser «l’amnésie» des uns et des autres
entre peuple et représentants de l’Etat. «Ce qui se passe actuellement est grave
et mériterait que le gouvernement n’en tire pas seulement des enseignements,
mais se remette en cause. Dans des Etats démocratiques, et le nôtre en
revendique le statut, bien des gouvernements auraient sauté pour moins que ça.
Il est quand même des plus graves que des sujets de discorde, qui nous faisaient
rigoler quand ils avaient lieu à côté de nous dans les pays voisins, braquent
les projecteurs sur l’Algérie au motif que ses populations sortent dans la rue
parce que les prix de l’huile et du sucre ont connu une augmentation», a
considéré
un homme attablé à une terrasse de
café.
**************************************************
Le
gouvernement algérien a annoncé samedi soir une série de mesures pour faire
baisser les prix du sucre et de l'huile dont la flambée a provoqué des émeutes
qui ont fait depuis le 5 janvier trois morts et quelque 400 blessés, dont 300
policiers, selon un bilan officiel. A l'issue de
plusieurs heures de réunion interministérielle autour du Premier ministre Ahmed
Ouyahia, le gouvernement a annoncé l'exonération à titre temporaire de 41% des
charges imposées aux importateurs, producteurs et distributeurs d'huile et de
sucre. Samedi 08
janvier 2011, 22h18 Il a également annoncé la tenue d'une
réunion urgente "dans les prochaines heures" entre le ministre du Commerce
Mustapha Benbada et les opérateurs concernés. Ces mesures,
applicables rétroactivement depuis le 1er janvier jusqu'au 31 août 2011, sont
destinées à "faire face à la hausse subite des prix de certains produits
alimentaires de base" à l'origine d'émeutes qui se sont poursuivies samedi dans
plusieurs régions. "Je confirme le décès de trois jeunes à
M'sila, Tipaza et Boumerdès", des villes respectivement à 300 km au sud-est, 70
km à l'ouest et 50 km à l'est d'Alger, a déclaré à la télévision le ministre de
l'Intérieur Dahou Ould Kablia. "Dans les deux premières
wilayas (départements), les personnes décédées ont été retrouvées sans vie lors
des émeutes, des enquêtes sont en cours pour en déterminer les causes", a-t-il
indiqué. La troisième personne, décédée à Tidjelabine
(Boumerdès), a été retrouvée brûlée dans un hôtel incendié par les émeutiers,
a-t-il ajouté. M. Ould Kablia a souligné que la police
avait reçu l'ordre de contenir les manifestations en évitant tout débordement,
et que "plus de 300 agents entre police et gendarmerie, ont été blessés". "Dans
l'autre camp, il y a moins d'une centaine de blessés", a indiqué le
ministre. A Annaba (600 km à l'est d'Alger), quatre
policiers ont été blessés dans de nouveaux heurts entre jeunes manifestanst et
forces de l'ordre, portant à un total de 21 le nombre de personnes blessés dans
cette métropole industrielle, proche de la frontière
tunisienne. A Tizi Ouzou, principale ville de Kabylie, des
émeutes ont eu lieu dans le centre-ville et dans des quartiers périphériques,
notamment à Boukhalfa où des manifestants ont coupé vendredi la route menant
vers la capitale avec des pneus en feu, selon des
témoins. Samedi, l'axe routier principal en direction
d'Alger a été coupée à 75 km de là au niveau de Naciria, obligeant les
automobilistes à rebrousser chemin. A Alger, une vive
tension persistait samedi notamment à Bab el Oued, quartier populaire densément
peuplé et principal foyer de contestation. La nuit y a cependant été calme,
selon ses résidents. Les Algériens dont les moins de 30
ans représentent 75% de la population, avaient commencé à manifester le 5
janvier, malgré l'état d'urgence toujours en vigueur, contre l'augmentation
jusqu'à 30% constatée depuis le 1er janvier des prix des produits de
base. Plusieurs partis politiques, dont le Mouvement de la
Société pour la Paix (islamique modéré, membre de l'alliance présidentielle), et
la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de
l'homme (CNCPPDH, officielle) ont dénoncé des "actes de violence et de
vandalisme", dont le coût n'a pas encore été
évalué.
Dans son communiqué, le
gouvernement précise qu'il "attend des producteurs et des distributeurs d'en
répercuter en urgence les effets sur les prix de vente aux consommateurs" dans
ce pays considéré comme un important acheteur de produits
alimentaires.
Paradoxal profil des troubles à Constantine
Sereines le jour, les villes s’embrasent la nuit
Par A. Lemili
Curieux paradoxe d’une wilaya calme dans la
journée et agitée dès la nuit tombée. Mais aussi un paradoxe qui vient
superbement expliquer que tous les troubles qui rythment dans leur
quasi-ensemble ses communes ne peuvent en aucun cas être argumentés
rationnellement.Calme le jour, même si celui-ci est effectivement précaire, la
situation peut vite balancer pour peu qu’une personne ou un groupe de jeunes
s’avise, même par simulation, d’en être l’étincelle. Cette situation est telle
que l’effet meute a de grandes chances de prévaloir en la circonstance et les
conséquences d’être plus dramatiques dans la mesure où les débordements,
jusque-là limités aux assauts contre les édifices publics, ont été étendus à la
propriété privée, notamment dans les transports et les grandes et moyennes
surfaces commerciales. Pis, contre les véhicules de particuliers.Parce qu’ils se
déroulent la nuit, ces troubles renseignent, on ne peut mieux, sur les
intentions, voire l’absence d’intention de leurs auteurs, ce qui est de nature à
confirmer qu’il ne s’agit en réalité que d’actes de vandalisme à mettre sur le
compte d’une oisiveté assassine, d’une absence quasi dramatique des parents,
d’un mal de vivre général. Ensuite, ces troubles n’obéissent, depuis leur
déclenchement, à aucune spontanéité et encore moins à un encadrement politique
et/ou para-politique et n’ont finalement vu le jour que par phénomène d’onde de
choc et en réaction de ce qui s’est passé d’abord au centre du pays et qui a
gagné l’Ouest. Le même phénomène s’est reproduit d’ailleurs à l’échelle de la
wilaya avec un départ de la contestation, si tant est qu’elle en soit une, à
partir du chef-lieu de wilaya pour gagner subrepticement et partiellement des
villes satellites sans pour autant que cette contagion touche l’ensemble des
communes. L’exemple de la ville du Khroub est assez frappant en ce sens qu’il ne
s’y est rien passé, exception faite d’une tentative de gamins à hauteur de la
voie de circulation périphérique
rapidement avortée par les riverains
mêmes. C’est dire que lorsque les citoyens veulent s’impliquer, il existe de
très fortes chances pour que la raison prévale. Or, ce n’est malheureusement pas
le cas dans le reste des villes où les troubles ont connu des pics, une majorité
silencieuse ne cachant pas son vœu de voir l’instabilité continuer à régner au
motif d’une logique qui voudrait que «parce que la vie est chère que le
gouvernement ne fait rien pour se pencher sur les difficultés des Algériens à
vivre ou même à survivre, il est normal que ces jeunes brûlent, cassent et
tapent sur les policiers». Cette majorité silencieuse se dérobant quelque part à
ses propres responsabilités qui consisteraient à revendiquer, se placer en
première ligne pour recourir à des voies et procédures citoyennes. Les exemples
ne cessent de nous venir des pays étrangers et le dernier en date est celui de
Tunisie où la contestation a été phénoménale par son ampleur, mais tout
également exemplaire par son déroulement pacifique. En France pendant plus de
deux mois, 3 millions de manifestants occupaient les rues chaque semaine et cela
ne s’est jamais soldé par des actes de déprédation, de violences physiques,
etc.Il serait mal placé pour quiconque de tenir un réquisitoire et encore moins
de faire l’amalgame entre la majorité des jeunes et leur aspiration à vivre
mieux dignement en les confondant avec d’autres plus prédisposés à la violence,
au vandalisme, comme il est clair de rappeler qu’ils appartiennent à l’un ou
l’autre camp (regrettable lapsus du ministre de l’Intérieur au cours d’un
entretien exclusif sur la Chaîne III hier). Cela n’absout en rien les pouvoirs
publics de leur absence aux côtés de la plus importante population constituant
le pays. Les personnes que nous rencontrons au cours de notre présence sur les
lieux concernés sont unanimes à stigmatiser «l’amnésie» des uns et des autres
entre peuple et représentants de l’Etat. «Ce qui se passe actuellement est grave
et mériterait que le gouvernement n’en tire pas seulement des enseignements,
mais se remette en cause. Dans des Etats démocratiques, et le nôtre en
revendique le statut, bien des gouvernements auraient sauté pour moins que ça.
Il est quand même des plus graves que des sujets de discorde, qui nous faisaient
rigoler quand ils avaient lieu à côté de nous dans les pays voisins, braquent
les projecteurs sur l’Algérie au motif que ses populations sortent dans la rue
parce que les prix de l’huile et du sucre ont connu une augmentation», a
considéré
un homme attablé à une terrasse de
café.
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Le
gouvernement algérien a annoncé samedi soir une série de mesures pour faire
baisser les prix du sucre et de l'huile dont la flambée a provoqué des émeutes
qui ont fait depuis le 5 janvier trois morts et quelque 400 blessés, dont 300
policiers, selon un bilan officiel. A l'issue de
plusieurs heures de réunion interministérielle autour du Premier ministre Ahmed
Ouyahia, le gouvernement a annoncé l'exonération à titre temporaire de 41% des
charges imposées aux importateurs, producteurs et distributeurs d'huile et de
sucre. Samedi 08
janvier 2011, 22h18 Il a également annoncé la tenue d'une
réunion urgente "dans les prochaines heures" entre le ministre du Commerce
Mustapha Benbada et les opérateurs concernés. Ces mesures,
applicables rétroactivement depuis le 1er janvier jusqu'au 31 août 2011, sont
destinées à "faire face à la hausse subite des prix de certains produits
alimentaires de base" à l'origine d'émeutes qui se sont poursuivies samedi dans
plusieurs régions. "Je confirme le décès de trois jeunes à
M'sila, Tipaza et Boumerdès", des villes respectivement à 300 km au sud-est, 70
km à l'ouest et 50 km à l'est d'Alger, a déclaré à la télévision le ministre de
l'Intérieur Dahou Ould Kablia. "Dans les deux premières
wilayas (départements), les personnes décédées ont été retrouvées sans vie lors
des émeutes, des enquêtes sont en cours pour en déterminer les causes", a-t-il
indiqué. La troisième personne, décédée à Tidjelabine
(Boumerdès), a été retrouvée brûlée dans un hôtel incendié par les émeutiers,
a-t-il ajouté. M. Ould Kablia a souligné que la police
avait reçu l'ordre de contenir les manifestations en évitant tout débordement,
et que "plus de 300 agents entre police et gendarmerie, ont été blessés". "Dans
l'autre camp, il y a moins d'une centaine de blessés", a indiqué le
ministre. A Annaba (600 km à l'est d'Alger), quatre
policiers ont été blessés dans de nouveaux heurts entre jeunes manifestanst et
forces de l'ordre, portant à un total de 21 le nombre de personnes blessés dans
cette métropole industrielle, proche de la frontière
tunisienne. A Tizi Ouzou, principale ville de Kabylie, des
émeutes ont eu lieu dans le centre-ville et dans des quartiers périphériques,
notamment à Boukhalfa où des manifestants ont coupé vendredi la route menant
vers la capitale avec des pneus en feu, selon des
témoins. Samedi, l'axe routier principal en direction
d'Alger a été coupée à 75 km de là au niveau de Naciria, obligeant les
automobilistes à rebrousser chemin. A Alger, une vive
tension persistait samedi notamment à Bab el Oued, quartier populaire densément
peuplé et principal foyer de contestation. La nuit y a cependant été calme,
selon ses résidents. Les Algériens dont les moins de 30
ans représentent 75% de la population, avaient commencé à manifester le 5
janvier, malgré l'état d'urgence toujours en vigueur, contre l'augmentation
jusqu'à 30% constatée depuis le 1er janvier des prix des produits de
base. Plusieurs partis politiques, dont le Mouvement de la
Société pour la Paix (islamique modéré, membre de l'alliance présidentielle), et
la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de
l'homme (CNCPPDH, officielle) ont dénoncé des "actes de violence et de
vandalisme", dont le coût n'a pas encore été
évalué.
Dans son communiqué, le
gouvernement précise qu'il "attend des producteurs et des distributeurs d'en
répercuter en urgence les effets sur les prix de vente aux consommateurs" dans
ce pays considéré comme un important acheteur de produits
alimentaires. ACTUALITE DERNIERE HEURE Pages : 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7
WikiLeaks
se dit certain d'être visé par une enquête pour
espionnage (Photo Nicholas
Kamm /
AFP/Archives) (Samedi
08 janvier 2011, 23h44) Le
gouvernement des Etats-Unis a réclamé les détails du compte Twitter du fondateur
de Wikileaks Julian Assange et de trois de ses sympathisants, d'après des
documents officiels américains, ce qui prouve selon Wikileaks l'existence d'une
enquête pour espionnage à son encontre. Lire Espionnage:
Renault se dit "victime d'une filière
internationale" (Photo Lionel
Bonaventure /
AFP/Archives) (Samedi
08 janvier 2011, 22h43) Le
constructeur automobile Renault se dit "victime d'une filière organisée
internationale" mais assure n'avoir pas perdu de secret majeur dans l'affaire
d'espionnage industriel qui l'ébranle, alors que le gouvernement se refuse à
confirmer la piste chinoise avancée par la presse. Lire Algérie:
le gouvernement baisse les taxes pour bloquer prix et
violences (Photo Fayez
Nureldine /
AFP) (Samedi
08 janvier 2011, 22h18) Le
gouvernement algérien a annoncé samedi soir une série de mesures pour faire
baisser les prix du sucre et de l'huile dont la flambée a provoqué des émeutes
qui ont fait depuis le 5 janvier trois morts et quelque 400 blessés, dont 300
policiers, selon un bilan officiel. Lire Trois
morts durant les émeutes en
Algérie (Samedi
08 janvier 2011, 21h44) Trois
personnes ont trouvé la mort durant les émeutes contre la vie chère depuis le 5
janvier en Algérie, selon un nouveau bilan annoncé samedi par le ministre de
l'intérieur Dahou Ould Kablia. Lire La
primaire socialiste en toile de fond de l'hommage à
Mitterrand (Photo Martin
Bureau /
AFP) (Samedi
08 janvier 2011, 20h50) Les
socialistes ont cherché samedi à afficher un visage uni à Jarnac pour commémorer
les 15 ans du décès de François Mitterrand, mais 2012 était dans toutes les
têtes après la proclamation par Ségolène Royal dans la presse de son "envie de
succéder" à l'ancien président. Lire Médiator:
la justice ouvre une enquête, une "victoire" pour les
associations (Photo Fred
Tanneau /
AFP/archives) (Samedi
08 janvier 2011, 20h32) La
justice a ouvert une enquête sur l'affaire du Mediator du laboratoire Servier,
un médicament accusé d'avoir entraîné la mort de plusieurs centaines de
patients, une avancée saluée par leurs défenseurs comme "une première victoire
pour les victimes". Lire Soudan
: le chef sudiste plaide pour la paix à la veille du référendum
d'indépendance (Photo Tim Mckulka
/
UNMIS/AFP) (Samedi
08 janvier 2011, 20h02) Le
leader sudiste Salva Kiir a appelé samedi à la "coexistence pacifique" entre le
Nord et le Sud du Soudan à la veille d'un référendum qui pourrait aboutir à la
partition du plus grand pays d'Afrique, mais des violences meurtrières ont
assombri les préparatifs. Lire Algérie:
nouvelles violences à Annaba, transformée en ville
fantôme (Photo /
AFP) (Samedi
08 janvier 2011, 19h10) De
nouvelles violences dans la ville côtière d'Annaba (600 km à l'est d'Alger) ont
opposé samedi manifestants et forces de l'ordre et transformé cette
agglomeration de 800.000 habitants en cité fantôme, selon des sources
concordantes. Evènement. Lire Algérie:
quatre jours d'émeutes contre la vie chère ont fait deux
morts (Photo Fayez
Nureldine /
AFP) (Samedi
08 janvier 2011, 18h17) Les
émeutes contre la vie chère en Algérie ont fait au moins deux morts depuis le 5
janvier et quelque 400 blessés, dont 300 policiers, selon un bilan officiel,
alors que le gouvernement cherchait samedi une parade à la flambée des prix.
Evènement Lire USA:
premiers pas difficiles de la nouvelle majorité au
Congrès (Photo Jewel Samad
/
AFP/Archives) (Samedi
08 janvier 2011, 16h43) Les
adversaires républicains de Barack Obama, victorieux aux élections de novembre,
ont effectué cette semaine des premiers pas difficiles aux commandes de la
Chambre des représentants, épinglés d'entrée par les démocrates sur leurs
promesses de campagne. Lire Russie:
deux opposants en détention pour avoir protesté sur la place
Rouge (Photo Natalia
Kolesnikova /
AFP/Archives) (Samedi
08 janvier 2011, 14h56) Deux
opposants russes ont été condamnés samedi à deux jours de détention pour avoir
protesté sur la place Rouge à Moscou contre l'incarcération récente de leaders
de l'opposition et réclamé la libération de ces "prisonniers
politiques". Lire Parfums
Jackson: un Niçois signe avec le père du "roi de la
pop" (Photo Valery
Hache /
AFP) (Samedi
08 janvier 2011, 14h15) Franck
Rouas n'en revient toujours pas: ce Niçois de 38 ans, un temps professeur de
tennis de stars d'Hollywood, vient de signer avec le père de Michael Jackson un
contrat portant sur la création d'une gamme de parfums en hommage au "roi de la
pop", disparu en juin 2009. Lire Hommage
national à Aimé Césaire, le patriarche de la
négritude (Photo - /
AFP/Archives) (Samedi
08 janvier 2011, 13h14) Un
hommage national sera rendu en avril au poète martiniquais Aimé Césaire, mort le
17 avril 2008 à 94 ans après avoir consacré sa vie à la poésie et à la
politique, a annoncé vendredi l'Elysée, en marge du voyage du Président Sarkozy
en Martinique. Lire Inondations
dans le nord: 50 personnes évacuées dans
l'Aisne (Photo Francois Lo
Presti /
AFP) (Samedi
08 janvier 2011, 11h15) Quelque
cinquante personnes ont été évacuées de leurs logements, samedi, dans l'Aisne,
en raison des inondations qui touchaient le département, toujours en vigilance
orange aux crues avec le Nord, une mesure étendue à l'Oise, samedi matin, a-t-on
appris auprès des gendarmes. Lire Dioxine:
la Corée du Sud a suspendu les importations de porc
allemand (Photo Bodo Marks
/
AFP) (Samedi
08 janvier 2011, 10h49) La
Corée du Sud a informé l'Union européenne qu'elle suspendait les importations de
viande de porc allemande -- 1er pays à agir de la sorte -- à la suite du
scandale de contamination à la dioxine, une mesure jugée disproportionnée par la
Commission européenne, a indiqué à l'AFP un porte-parole. Lire La
chirurgie esthétique ne veut plus forcer le
trait (Photo Mario
Vedder /
DDP/AFP/Archives) (Samedi
08 janvier 2011, 10h49) Adieu
effet tiré, sourire en biais ou lèvres gonflées comme des pneus : les
chirurgiens esthétiques lèvent le bistouri et veulent privilégier un résultat
plus naturel en combinant plusieurs techniques, expliquent-ils à l'occasion du
congrès de la profession. Lire Nucléaire:
l'Iran affirme pouvoir fabriquer ses propres barres de
combustible (Photo Qassem Zein
/
AFP/archives) (Samedi
08 janvier 2011, 10h19) Le
chef de la diplomatie par intérim et du programme nucléaire de l'Iran, Ali Akbar
Salehi, a affirmé samedi que son pays était en mesure de fabriquer ses propres
"barres" et "plaques" de combustible, une technologie que l'Occident disait que
Téhéran ne possédait pas. Lire Irak:
Moqtada Sadr appelle à la "résistance" contre les forces
américaines (Photo Qassem Zein
/
AFP) (Samedi
08 janvier 2011, 10h04) Le
chef radical chiite Moqtada Sadr a appelé samedi ses partisans à "résister par
tous les moyens" aux forces américaines, dans son premier discours à Najaf
depuis son retour en Irak d'un exil volontaire de quatre ans, selon un
journaliste de l'AFP sur place. Lire 52%
des Français opposés à la suppression des 35 heures, selon
l'Ifop (Photo Mychele
Daniau /
AFP/Archives) (Samedi
08 janvier 2011, 09h55) Cinquante-deux
pour cent des Français se déclarent opposés à la suppression des 35 heures,
selon un sondage Ifop publié par le quotidien régional Sud Ouest dans son
édition de dimanche. Lire Pages : 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7
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