On
ne parle que de ça |
Nicolas Sarkozy: Anne-Marie, sa première maîtresse
Souvenirs, souvenirs... Le témoignage de son
institutrice
Dans son livre J'Ai Eté
La Première Maîtresse De Sarkozy, aux éditions
Fizzi, Anne-Marie Laroche-Verdun raconte les premiers pas d'écolier d'un
certain...Nicolas Sarkozy.
Elle ne manque jamais un anniversaire. Nicolas
Sarkozy reçoit immanquablement, chaque année, une lettre de celle qui lui a
appris à écrire. En cette rentrée,
Anne-Marie Laroche-Verdun lui a fait une surprise. Au lieu d’une lettre, il a
reçu un manuscrit. Le président l’a trouvé «plein de sensibilité et de
fraîcheur».
Pour cause! L’ex enseignante dépeint le petit
Nicolas comme une «adorable tête blonde» sans le moindre défaut. Voilà qui
mérite la présidence… du fan club du chef de l’Etat. Son témoignage n’en reste
pas moins un éclairage intéressant sur l’éducation dans les années 60. Il était
une fois un petit écolier qui rêvait d’être le plus grand…
Gala : Vous avez connu Nicolas Sarkozy
alors qu’il avait 4 ans et demi. Puis
vous l’avez retrouvé à la une d’un journal : à 28 ans, il venait d’être élu
maire de Neuilly. Quelle fut votre réaction ?
Anne-Marie Laroche-Verdun : Son
nom m’a interpellé. J’ai ressorti immédiatement mes photos du cours
Saint-Louis. J’ai appelé la mairie et il m’a donné rendez-vous dans son bureau
le lendemain. Il était enchanté que je lui apporte une photo de classe et m’a
dit : «j’ai deux fils, il y en a un qui s’appelle Jean c’est tout à fait moi
sur cette photo».
Gala : Il s’est confié à vous sur des
aspects très personnels de sa vie. Comment l’expliquez-vous, après tant
d’années sans vous être revus?
A-M L-V : Vous savez, la première maîtresse
d’école c’est très important dans une vie. C’est la première fois que l’on
quitte sa mère… Il m’a dit un jour, alors qu’il était avec sa première épouse,
Marie : «je pense que je vais partir avec la femme de Jacques Martin». Je lui
ai dit: «mais vous êtes fou!» Il m’a répondu: «non non, cela va bien se passer.
Elles sont amies ». Je l’ai alors mis en garde: «ne vous faites pas piéger par
les femmes».
Des années après, nous nous sommes croisés à Neuilly. Il
a aussitôt hélé Cécilia: «viens, je te présente à ma première maîtresse!» Cela
n’a pas fait rire du tout son épouse.
A suivre, l'interview complète
deAnne-Marie Laroche-Verdunpar Candice
Nedelec dans Gala en kiosque cette semaine et, dès demain, la vidéo de la
séance photo sur Gala.fr.
Mardi 20 octobre
2009
Dans son livre J'ai été la première
maîtresse de Sarkozy, aux éditions Fizzi, Anne-Marie Laroche-Verdun
raconte les débuts du petit Nicolas face au tableau noir. Lire la suite
l'article
Photos/Vidéos liées
Nicolas Sarkozy : souvenirs, souvenirs... Le
témoignage de son institutrice
Elle ne manque jamais un anniversaire. Nicolas
Sarkozy reçoit immanquablement, chaque année, une lettre de celle qui lui a
appris à écrire. En cette rentrée, Anne-Marie Laroche-Verdun lui a fait une
surprise. Au lieu d'une lettre, il a reçu un manuscrit. Le président l'a trouvé
« plein de sensibilité et de fraîcheur ». Pour cause ! L'ex-enseignante dépeint
le petit Nicolas comme une « adorable tête blonde » sans le moindre défaut.
Voilà qui mérite la présidence… du fan club du chef de l'État. Son témoignage
n'en reste pas moins un éclairage intéressant sur l'éducation dans les années
60. Il était une fois un petit écolier qui rêvait d'être le plus
grand…
Gala : Vous avez connu Nicolas Sarkozy alors qu'il
avait 4 ans et demi. Puis vous l'avez retrouvé à la une d'un journal : à 28
ans, il venait d'être élu maire de Neuilly. Quelle fut votre réaction
?
Anne-Marie Laroche-Verdun : Son nom m'a interpellé.
J'ai ressorti immédiatement mes photos du cours Saint-Louis. J'ai appelé la
mairie et il m'a donné rendez-vous dans son bureau le lendemain. Il était
enchanté que je lui apporte une photo de classe et m'a dit : « j'ai deux fils,
il y en a un qui s'appelle Jean, c'est tout à fait moi sur cette photo
».
Gala : Il s'est confié à vous sur des aspects très
personnels de sa vie. Comment l'expliquez-vous, après tant d'années sans vous
être revus?
A-M L-V : Vous savez, la première maîtresse
d'école, c'est très important dans une vie. C'est la première fois que l'on
quitte sa mère… Il m'a dit un jour, alors qu'il était avec sa première épouse,
Marie : « Je pense que je vais partir avec la femme de Jacques Martin. » Je lui
ai dit : « Mais vous êtes fou ! » Il m'a répondu : « Non, non, cela va bien se
passer. Elles sont amies. » Je l'ai alors mis en garde : « Ne vous faites pas
piéger par les femmes. » Des années après, nous nous sommes croisés à Neuilly.
Il a aussitôt hélé Cécilia : « Viens, je te présente à ma première maîtresse !
» Cela n'a pas fait rire du…
Lire la suite sur Gala.fr