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SAID SADI RÉPOND À OULD KABLIA «EN FINIR AVEC LE MAL(G)»
La montagne a accouché d'une souris. Une
commission ad hoc mise en place, la consultation des archives du MALG, autant dire la mémoire de l'Etat, pour arriver à la conclusion que Boussouf n'avait aucun problème avec Amirouche, Krim Belkacem et Abane Ramdane et que ce dernier est monté au ciel par les voies du Seigneur. Beaucoup s'en doutaient, ce n'est pas en 2010 que les artisans du pouvoir des ténèbres allaient en arriver à changer de pratique et de culture.
Les salves du premier spadassin envoyé au front avaient donné le ton : on ne discute pas d'histoire : chasse gardée. Le procédé a été testé mille fois dans tous les systèmes totalitaires. Sur le fond, on ne répond pas à l'adversaire. On qualifie à sa convenance, c'est-à-dire que l'on diabolise ses propos et positions, une fois le postulat faussé, le raisonnement peut suivre. Le président de l'association du MALG engageant son bureau dit ne pas chercher «la polémique avec l'auteur et encore moins à l'amener à se déjuger, car ils pensent bien que son opinion est définitivement arrêtée et de longues date». Voilà l'estampille MALG. Je me revois 25 ans en arrière face au juge d'instruction de la Cour de Sûreté de l'Etat qui me disait : «Vous avez signé un tract dans lequel vous revendiquez un Etat démocratique et social. Cela suppose le renversement du régime. Par quels moyens comptez-vous y parvenir ?» On le voit, les mœurs sont toujours les mêmes. A en croire le bureau du MALG, cela fait quarante ans que je récolte témoignages après témoignages, documents après documents pour sortir un livre en 2010 en sachant, dès le départ, ce qui allait advenir de notre pays. On découvrira dans d'autres évènements comment le MALG traite comme complot toute initiative échappant à son contrôle. Les violences des attaques et les incohérences des interventions de M. Benachenhou ayant provoqué une indignation à peu près générale, il fallait engager le reste des divisions : le bureau du MALG étant la vitrine light du service opérationnel. En finir avec le MAL(G) Auparavant, le bureau du MALG avait envoyé en éclaireurs quelques associés dont il suffit de rappeler les dires pour en apprécier le sérieux. L'un explique que l'une des raisons qui ont pu amener le général Massu à masser ses troupes trois jours avant le passage des colonels Amirouche et Haouès dans le Hodna pouvait être l'attentat commis par deux maquisards qui avaient éliminé un harki les ayant repérés. Le second nous informe que Boumediène n'était pas au courant de la séquestration des restes des deux martyrs… mais qu'il avait entendu dire qu'il s'apprêtait à leur organiser des «funérailles nationales grandioses» ! Sur les faits, il n'y a rien de nouveau sous le soleil. Pour nos tuteurs, le régime qui sévit depuis 1957 est l'expression démocratique du peuple algérien et tout ce qui contesterait ce dogme relèverait d'esprits malfaisants, régionalistes qui veulent saper le moral d'une nation harmonieuse, prospère et apaisée. Pourtant la sortie de M. Ould Kablia ne manque pas d'intérêt, non pas dans ce qu'il apporte d'un point de vue événementiel, mais dans ce que son approche permet de découvrir. M. Ould Kablia nous avertit : le bureau du MALG n'est pas un parti, un lobby et encore moins une secte avant d'ajouter que pendant la guerre, son service avait orienté son potentiel exclusivement vers la nuisance de l'ennemi. Fort bien. Il n'en demeure pas moins qu'il nous apprend que cet organe, présenté comme une instance technique du renseignement mis au service du pouvoir politique, disposait «de plus de 2 000 cadres» alors que «ceux qui faisaient tourner les autres secteurs ministériels » comptaient à peine «quelques dizaines» ! A la chute de Salazar, les Portugais découvrent qu'un citoyen sur cinq était, d'une façon ou d'une autre, instrumentalisé par la police politique, la PIDE. C'est précisément ce détournement et ce gâchis que dénonçait Amirouche dans son rapport quand il rappelle : «Désirons que jeunes envoyés par les wilayas soient orientés sur plusieurs branches… Nous envoyons des jeunes à l'Extérieur pour les faire profiter et les préparer à des tâches qui serviront mieux l'Algérie de demain. Or, nous apprenons que la plupart sont dirigés vers les transmissions. Nous aimerions qu'à l'avenir ces jeunes soient orientés vers d'autres branches…» Plus près de nous, il est pour le moins surprenant qu'une association d'anciens combattants désireux de finir leurs jours dans la sérénité fasse financer ses membres sur le fonds spécial en les faisant bénéficier du salaire de cadres de la nation. Enfin, et ce n'est pas le moindre des abus, une association qui dispose de documents confidentiels alors qu'ils devraient relever de la discrétion de l'Etat pose à la fois un problème de souveraineté et d'éthique. En principe, une association demande à l'Etat de pouvoir consulter des archives ; chez nous, il y a comme une inversion d'autorité, y compris quand il s'agit d'une «contribution forte à l'endroit des lecteurs et des historiens qui, à la faveur de sa lecture, pourront se faire leur propre opinion sur des faits et des évènements qui n'ont pas encore livré tous leurs secrets». Depuis quand une association occupée par d'inoffensifs patriarches, a-t-elle le droit de détenir des secrets d'Etat et en vertu de quel statut est-elle fondée à choisir le moment de leur divulgation ? Nous le verrons tout au long de cette intervention, le statut, les prérogatives et la culture d'origine du MALG ont pesé et continuent de peser sur la mémoire et le destin de la nation. Considérons donc que c'est par le fait d'un simple hasard que MM. Benachenhou et Ould Kablia ont fait le tour du gouvernement depuis l'indépendance et que c'est du fait du même hasard que Nordine Aït Hamouda et moi-même, pour ne parler que des deux dernières cibles du MALG, avons passé notre temps à faire le tour d'Algérie des prisons. Les historiens, les acteurs nationaux non connectés à la secte, les observateurs étrangers qui ont unanimement noté, et pour ce qui est des Algériens, déploré quand ils ne l'ont pas carrément condamné, la pieuvre tchékiste du MALG, sont des plaisantins ou des ennemis de la patrie. Le MALG et l'arrivée d'Amirouche à Tunis
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2010/06/03
/article.php?sid=101037&cid=2
Actualités
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CONSEIL NATIONAL DU RCD Réunion en session ordinaire vendredi |
Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) tiendra, demain vendredi, une session ordinaire de son conseil national. Une session qui intervient dans le contexte particulier d'un gouvernement remanié, de polémique autour du livre Amirouche, une vie, deux morts, un testament de Said Sadi, et de bras de fer avec les pouvoirs publics autour du programme du PNUD pour la wilaya de Tizi-Ouzou. Suite... |
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SAID SADI RÉPOND À OULD KABLIA «EN FINIR AVEC LE MAL(G)» |
La montagne a accouché d'une souris. Une commission ad hoc mise en place, la consultation des archives du MALG, autant dire la mémoire de l'Etat, pour arriver à la conclusion que Boussouf n'avait aucun problème avec Amirouche, Krim Belkacem et Abane Ramdane et que ce dernier est monté au ciel par les voies du Seigneur. Beaucoup s'en doutaient, ce n'est pas en 2010 que les artisans du pouvoir des ténèbres allaient en arriver à changer de pratique et de culture. Suite... |
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ÉDUCATION À L'ENVIRONNEMENT Pour une future génération «verte» |
Dans le cadre de la généralisation de l'éducation à l'environnement dans les écoles, le Conservatoire national des formations à l'environnement (CNFE) et l'Ecole de l'éducation environnementale du Jardin d'Essai d'El-Hamma (Alger) ont signé hier une convention de partenariat pour la formation de formateurs en environnement. Suite... |
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APRÈS SA DISSOLUTION PAR LE WALI La gestion de l'APC de Tiaret confiée au chef de daïra |
Comme cela était prévisible, les échos faisant état de la dissolution de l'APC de Tiaret, par le premier responsable de la wilaya, viennent d'être confirmés selon des sources crédibles qui rapportent que la gestion des affaires de l'Hôtel de ville est, désormais, confiée au chef de daïra. Cette décision s'explique, en fait, par l'ampleur des scandales qui ont secoué la mairie de Tiaret depuis l'an dernier non sans aboutir, il y a peine deux mois, à l'incarcération de pas moins de neuf personnes dont des membres du staff communal, l'ex-P/APC, l'ancien chef de daïra, deux fonctionnaires ainsi que deux entrepreneurs. Suite... |
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COMMÉMORATION À la mémoire du chahid Henri Maillot |
Il y a 54 ans, Henri Maillot est tombé au champ d'honneur, un certain 5 juin 1956. En répondant à l'appel de la patrie, l'enfant du Clos- Salembier (El Madania), Henri, a offert sa vie pour une Algérie libre, indépendante, fraternelle et tolérante. Pour mémoire, en sa mémoire et afin que nul n'oublie, une cérémonie de recueillement aura lieu le samedi 5 juin à 10h au cimetière chrétien de Diar Essaâda (El Mouradia). Gloire à tous nos martyrs, la famille Maillot Suite... |
Tapis rouge hier pour Ahmed Ouyahia à l'occasion de l'inauguration de la 43e Foire internationale d'Alger. Accompagné de son staff gouvernemental, à l'exception des ministres «remaniés», le Premier ministre a plaidé hier pour la «mise en place d'une véritable coopération entre l'Algérie et ses partenaires commerciaux».
Abder Bettache - Alger - (Le Soir) - C'est au niveau des halls chinois et jordaniens que le Premier ministre a marqué les plus importantes haltes de sa visite à la 43e Foire internationale, qui s'est ouverte hier à la Safex, en présence de 42 pays, dont le royaume hachémite était l'invité d'honneur de cette édition. D'ailleurs, dans une brève déclaration faite à la fin de son «périple», le Premier ministre a indiqué qu'«il s'agit d'une belle foire et qu'il faut capitaliser les contacts entre les exposants étrangers et les hommes d'affaires algériens». Pour Ahmed Ouyahia, «aujourd'hui, l'Algérie a besoin d'une véritable collaboration avec ses différents partenaires commerciaux».A noter que les journalistes conviés à couvrir cette importante rencontre économique ont eu toutes les peines du monde à faire leur travail. Cela étant, la particularité de cette 43e édition, a été la présence en force, et ce, pour la seconde année consécutive, des entreprises chinoises, dont le nombre est passé de 100 lors de l'édition de 2009 à 150 pour cette année. L'autre fait marquant est celui relatif à l'absence remarquée de l'Egypte. Une première du genre depuis 1962. Selon des sources proches de la direction générale de la Safex, les responsables égyptiens n'ont donné aucune suite à l'invitation qui leur a été adressée par l'Algérie pour prendre part à cette manifestation économique. Côté maghrébin, il est important de signaler que la Tunisie et le Maroc ont marqué de leur présence cette 43e édition, alors que la Jordanie et la Turquie occupent des espaces considérables de par le nombre d'entreprises présentes à cette manifestation. Le thème retenu pour cette édition est «Algérie : des opportunités d'investissement stratégiques». Le bilan chiffré présenté par le représentant du ministère du Commerce fait état d'une participation étrangère en hausse. 43 pays, dont 4 sous pavillon officiel et 835 firmes étrangères, prennent part à ce rendez-vous annuel. Un chiffre en hausse par rapport à l'édition précédente. La surface d'exposition sera de 17 000 m2 . Pour ce qui est du stand algérien, il s'étale sur un espace de 34 000 m2, le nombre d'entreprises est de 368, représentant les secteurs public et privé. A. B.
Défection des ministres «remaniés» L'autre fait marquant de cette foire internationale d'Alger est l'absence à la cérémonie d'inauguration des ministres «remaniés». En effet, à l'exception d'Ould Abbès, les autres ministres étaient absents, à l'image de Yazid Zerhouni, Chérif Rahmani, Saïd Barkat ou encore Temmar n'étaient pas présents. Une défection qui a soulevé des interrogations parmi les observateurs de la question politique nationale. A. B.
Il y a 54 ans, Henri Maillot est tombé au champ d'honneur, un certain 5 juin 1956. En répondant à l'appel de la patrie, l'enfant du Clos- Salembier (El Madania), Henri, a offert sa vie pour une Algérie libre, indépendante, fraternelle et tolérante. Pour mémoire, en sa mémoire et afin que nul n'oublie, une cérémonie de recueillement aura lieu le samedi 5 juin à 10h au cimetière chrétien de Diar Essaâda (El Mouradia). Gloire à tous nos martyrs, la famille Maillot
Culture
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ÉLITES ARABES ET MUSULMANES, MYTHES ET HISTOIRES, DE MAOUGAL Pages d’histoire |
«La péninsule arabique, semble-t-il, aurait commencé par être un verdoyant paradis avant de devenir un incandescent enfer. Cela n’est-il pas et n’aura-t- il pas été à l’origine de toutes les convoitises possibles et imaginables ? L’Eldorado de l’Antiquité n’aura-t-il pas été cette mythologique cité enfouie dans le sable comme Ninive et Petra ou engloutie par les eaux comme l’Atlantide ?» écrit Lakhdar Maougal dans l’avant-propos de son dernier ouvrage intitulé Elites arabes et musulmanes. Suite... |
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ANNABA Ouverture, aujourd’hui, du festival Cinéma sous les étoiles |
Cinéma sous les étoiles qui s’ouvre ce soir dans la grande cour du lycée Pierre-et-Marie- Curie, en plein centre de la ville d’Annaba, en est à sa seconde édition. Si nous l’affublons du qualificatif de «festival» — ce qui n’est pas attribué par les organisateurs —, c’est que nous pensons que cette manifestation mérite amplement ce titre dans la mesure où, même s’il n’y a aucune distinction ou nomination, elle participe amplement à la promotion du septième art dans une ville qui en est sevrée. Suite... |
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SPECTACLE Dieudonné à Alger |
Dieudonné est déjà venu à Alger en 2005 pour présenter ses (fausses) Excuses (titre de son spectacle). Cela lui avait valu un procès en France, pour des propos qu’il avait tenus à Alger, au cours d’une conférence de presse. Suite... |
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Actucult |
PROGRAMME D’ANIMATION DU CAFÉ LITTÉRAIRE L’ÎLE LETTRÉE - Jeudi 3 juin à 15h, rencontre avec Fadila Merabet autour de son itinéraire et de ses dernières publications. LA GALERIE D’ART DAR EL KENZ -Jusqu’au 17 juin à Chéraga (Alger), expo collective intitulée «Regards croisés» des artistes peintres Abdelmoumene Assia, Belbahar Souhila, Bettina Heinen-Ayech, Hennaoui Nabila, Houadef Djahida, Kouadria Feriel, Sellal Zohra, Valentina Pavlovskaya Ghanem et Zoulid Safia. Suite... | |
Sports
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SPONSORING Sonatrach au secours des Verts |
Le groupe Sonatrach va sponsoriser les équipes nationales de football et de handball dans des compétitions internationales de 2010 et de 2011 en vertu de deux contrats de sponsoring signés hier à Alger avec la compagnie Air Algérie et la Fédération nationale de handball. Suite... |
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IL EST LE SEUL SÉLECTIONNEUR DU CONTINENT Saâdane, pour l’honneur de l’Afrique |
La Coupe du monde a beau se dérouler pour la première fois de son histoire en Afrique, une seule des 32 équipes engagées sera dirigée par un sélectionneur issu du continent : Rabah Saâdane, le vétéran du football algérien qui fait presque figure d’anomalie. Les cinq autres équipes africaines - Côte d’Ivoire, Cameroun, Ghana, Nigeria et Afrique du Sud - ont en effet toutes confié leur sort aux mains de sélectionneurs étrangers. Suite... |
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JO DE LA JEUNESSE Six athlètes algériens qualifiés |
Six athlètes algériens ont arraché leur qualification aux Jeux olympiques de la jeunesse à Singapour à l’issue des épreuves du championnat d’Afrique cadets d’athlétisme (région nord) qui se sont déroulées les 21 et 22 mai à Alger, a-t-on appris auprès de la Fédération algérienne d’athlétisme (FAA). Suite... |
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Sports : IL EST LE SEUL SÉLECTIONNEUR DU CONTINENT Saâdane, pour l’honneur de l’Afrique
La Coupe du monde a beau se dérouler pour la première fois de son histoire en Afrique, une seule des 32 équipes engagées sera dirigée par un sélectionneur issu du continent : Rabah Saâdane, le vétéran du football algérien qui fait presque figure d’anomalie. Les cinq autres équipes africaines - Côte d’Ivoire, Cameroun, Ghana, Nigeria et Afrique du Sud - ont en effet toutes confié leur sort aux mains de sélectionneurs étrangers. L’anecdote, à laquelle il n’avait pas prêté attention, fait sourire Saâdane, 64 ans. «Je représente donc tous les entraîneurs africains, ainsi que le monde arabe. C’est une grande responsabilité», a-t-il dit lors du stage de préparation des Fennecs à Crans-Montana, en Suisse. La mode africaine qui consiste à faire appel à des grands noms étrangers quelques mois seulement avant le début des compétitions internationales l’interpelle toutefois. «C’est un problème qui appartient aux présidents (des fédérations) et je ne veux pas leur donner de conseils. Mais je peux vous dire que l’Afrique recèle des entraîneurs de grande qualité». Dans la longue histoire de la Coupe du monde, il a fallu attendre 1978 pour trouver trace du premier sélectionneur africain présent en phase finale, le Tunisien Abdelmadjid Chetali. En 2002, trois pays, un record, avaient fait confiance à des sélectionneurs locaux - Nigeria, Afrique du Sud et Tunisie - mais, quatre ans plus tard en Allemagne, on ne comptait déjà plus que l’Angolais, Luis Oliveira Gonçalves. Saâdane, dont la carrière de joueur fut brutalement interrompue à 27 ans par un accident de voiture, n’en est pas à son coup d’essai. Il dirigeait déjà l’Algérie en 1986 lors de sa dernière apparition en Coupe du monde au Mexique, qui s’était soldée par une élimination sans gloire au premier tour. Rappelé, il y a deux ans et demi à la tête des Fennecs après le passage de plusieurs entraîneurs étrangers, Saâdane en est à son cinquième mandat de sélectionneur, dont deux par de courts intérims, la Fédération faisant appel à son vieux sage à chaque fois qu’elle se retrouve en difficultés. «C’est la vie d’un entraîneur en Afrique», résume-t-il. «Je ne sais pas s’il faut y voir de la chance ou de la malchance.» Le peuple algérien, lui, y a vu une providence. Surnommé le «Cheikh» par ses joueurs, l’entraîneur algérien a su galvaniser ses troupes pour les amener jusqu’à la qualification dans un groupe où l’Egypte faisait office de favori. Et, à quelques jours du Mondial, personne n’ignore en Algérie que Rabah signifie en arabe «celui qui gagne».
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